Menelorme - Sculpteur d'arcs de l'Armée Royale [Gligli]

Nom/Prénom : Menelorme, fils d'Olinn
Âge : 220 années, mais paraît âgé de 21 ans.
Sexe : Homme
Race : Elfe des bois
Particularité : Aucune, si ce n'est ses nombreux bijoux dans ses cheveux.

Alignement : Loyal neutre
Métier : Archer / Sculpteur d'arcs de l'Armée Royale et marchand ambulant, chasseur par besoin.
Classe d'arme : A distance / Magie de l'eau

Équipement :
Grâce à son métier, Menelorme possède une magnifique collection d'arcs, de carquois et de flèches à usages divers et de toutes les origines possibles. Niant totalement les épées et autres poignards, il ne se sent à l'aise qu'avec cette arme. Il possède cependant un cimeterre, dont il use plutôt rarement et prend la poussière chez lui, et un poignard de défense d'une qualité basse pour une arme elfique lui servant à dépecer ses proies. Ses flèches ne sont pas que des pointes simples ; il a aussi des flèches en croissant de lune, pour couper des cordes par exemple, des boules pour assommer, des crochets pour escalader des remparts, des piques hérissées de plusieurs pointes, des formes imaginées pour causer des blessures inguérissables et assurer la mort de la cible, des pointes de flèches sifflantes, à bout rond, ou ouvragées d'une certaine manière.

Description physique :
Menelorme est de ces elfes encore dans la fleur vigoureuse de l'âge. Ses deux siècles et ses deux décennies de vie lui laissent une apparence de jeune homme plutôt beau, sans faire de lui un modèle de beauté pour ceux de sa race. Son faciès arbore un nez large et plat, lui donnant une expression de grand félin, accentuée par ses yeux entre la forme d'amande et bridés, ne découvrant pas totalement ses iris d'un gris-argent comme l'acier. Sa bouche est étroite par ses commissures, mais les lèvres sont charnues, ce qui la rend ronde et lui donne perpétuellement une moue boudeuse ou sceptique. Ses pommettes sont hautes, comme tous les elfes. Sa peau arbore un hâle doré, tout comme ses cheveux, longs, blonds et lisses, comme beaucoup d'autres elfes. Coupés droits et principalement attachés en une couette haute par une atébas de lin, bien volumineuse, lui permettant de dégager son visage pour le côté pratique lors de ses chasses et ses activités d'artisan. Autour de sa queue de cheval, un long collier de perles de quartz vert pâle s'enroule, et une sorte de couronne de feuilles encercle le sommet de son crâne. Lâchée, quoique cela reste rare, sa chevelure ne porte plus aucune décoration si ce n'est son atébas de lin qu'il garde depuis des décennies. Ses très longues oreilles à l'ouïe incroyable sont entourées d'une sorte de casque bien étrange fait de bronze ; il n'entoure que l'arrière du crâne, ces dites oreilles, et deux courbes soulignent ses yeux pâles. Il a l'utilité d'éviter de se prendre une flèche dans la nuque ou que les crocs d'un animal sauvage, ayant tendance à attaquer le cou, ne puisse transpercer cet endroit de son anatomie.

Son corps est à l'image de ses arcs ; fin, gracieux, extrêmement souple et tendu. C'est le genre d'elfe toujours en mouvements et dont la musculature se contorsionne aisément dans de multiples positions, lui permettant de se camoufler dans beaucoup de petits coins. Il n'est pas très grand non plus et ne dépasse pas le mètre septante-cinq. Son agilité n'en est pas affectée, au contraire, et il grimpe aux arbres aussi bien qu'un singe, ayant un don d'équilibriste inné. Il est donc vêtu de façon à se mouvoir très facilement. Sa tenue de chasse est tout à fait adaptée à cette activité : son haut est en général un pourpoint sans manches, dont les coutures sont amples et lui permettant de larges mouvements des bras. Il porte également des brassards de force en cuir, et parfois des mitaines particulières à un seul doigt de cette même matière, qui lui évite de se blesser l'index sur la corde si la chasse ou pour une potentielle guerre. Son pantalon, sombre, est moulant, fait de cuir, et d'une souplesse incomparable, telle une deuxième peau. Il porte des hauts-de-chausse plus épaisses pour protéger ses tibias, mais ne porte de chausses qu'en ville ; le reste du temps, il est pieds nus. Ses habits-là sont aux couleurs de la forêt, verts, bruns, pourpres parfois, et décorés d'arabesques dorées. Son carquois favori a une sangle en spirale sur sa poitrine et dont la moitié se dédouble, tout en courbes et épousant parfaitement sa corpulence et n'est ajustée qu'à la sienne, car fabriquée de ses propres mains. La spirale est sertie d'une émeraude, héritage de sa famille. Quelques feuilles d'or ont été plaquées dessus, avec une finesse artistique remarquable. Menelorme en est extrêmement fier.

Son autre tenue spéciale est celle de la guerre et l'attend sagement dans sa maison, dans une armoire. Son armure légère ressemble à de larges écailles aux épaulières, sur un gambeson bordeaux qui camoufle des mailles elfiques, et lui donnant une carrure plus carrée, le plastron épouse la forme mince de son thorax et redessine ses pectoraux pour donner sur une braconnière serrée et droite. Ses gantelets se doivent de rester souples et sont donc en cuir, comme ses solerets qui ne sont qu'à moitié faits de fer et l'autre de cuir, comme la semelle. Ses grèves sont en fer, et son armet est celui de l'Armée Royale.

Le reste du temps, lors de ses activités d'artisan sculpteur d'arcs, et de ses voyages, il porte un simple pantalon et une chemise ou un pourpoint, ainsi qu'une cape vert feuille à la large capuche pour le protéger des possibles pluies diluviennes qui s'abattent sur les terres de Miradelphia. Il est généralement pieds nus, mais il possède des bottes fourrées en cas de fraîcheur.


Description mentale :
A la première approche, Menelorme est un elfe plutôt sympathique. Il a la conversation facile, s'exprime facilement en public et aime parler de tout et de rien, sans aucune contrainte. Loin d'être hautain, il est très sociable et accepte la compagnie de beaucoup de personnes, même s'il préfère de loin ceux ayant des choses intéressants à lui conter. Il peut déblatérer autant sur sa passion artisanale, les bijoux, les contrées lointaines, l'amour et la mort, que sur la météo du jour. S'il peut faire preuve de sérieux, il est plutôt d'un caractère enjoué et dynamique de nature. Il ne refuse jamais une invitation à faire la fête, adorant danser, chanter et multiplier les rencontres d'un soir. Tous seront d'accord avec le fait que Menelorme est une présence agréable, incitant à la bonne humeur et à l'ouverture de soi, même aux plus récalcitrants. Très vite, les autres lui offrent leur confiance et Menelorme honore cela depuis des décennies et ne comptent plus ses amis un peu partout, autant chez les elfes que quelques uns d'autres races amies. Son métier de marchand ambulant, passionné par l'art et la maîtrise de l'arc à flèches, attire également les faveurs d'autrui. En société, voici comment est vu notre elfe des bois. Loin de se moquer de la mortalité des Hommes ou de la petitesse des Nains, il apprécie autant parler avec les siens qu'avec les uns ou les autres, trouvant toujours quelque chose à raconter ou à faire ensemble. Ses clients reviennent donc toujours chez lui, non seulement satisfaits de son merveilleux travail, mais aussi pour se revigorer l'âme auprès de lui. Les paroles chaudes et positives de Menelorme agissent comme un soleil sur les cœurs les plus froids. Il ne semble qu'aucune ombre, qu'aucun malheur ne puisse entacher sa joie de vivre.

Il y a tout de même des moments où l'elfe perd cette âme joyeuse, pour faire place à une personne presque glaciale, aux gestes précis tels ceux d'un rapace ; ces moments-là sont dédiés à la chasse. Son œil d'accoutumée brillant d'une lumière bienfaisante prenait une luminescence toute autre, et devenait aussi perçant que celui de l'aigle. Ses pupilles se rétractent et ses paupières se plissent pour voir au loin. Son corps se mouvant gaiement avec une cadence dansante devenait tendu à l'extrême, les muscles serrés, son attitude toute entière dévouée à la discrétion dans toute sa splendeur. Il marche, trottine, traque, piste, grimpe aux arbres et saute dans un silence proche de la perfection. Rien alors ne peut l'empêcher de trouver sa proie. Ce talent lui confère une grande efficacité dans le domaine de la chasse à l'arc, sa rapidité à décocher des flèches y aidant pour beaucoup. Il a pour habitude de se positionner en hauteur et d'attendre, immobile, l'apparition d'un animal, après avoir suivi ses traces pour englober l'endroit où il se trouverait. Une fois l'animal ciblé attrapé, il reprend aussitôt son comportement normal, arborant un sourire satisfait, et s'en retourne tranquillement chez lui pour savourer sa petite victoire personnelle. Les autres instants où on peut l'admirer aussi sérieux est lorsqu'il travaille sur sa dernière création ; gare à quiconque osera perturber sa concentration, car il pourra vivre l'une des rarissimes colères de l'artisan. Menelorme repoussera avec véhémence le malotrus et s'engagera à ce que jamais plus l'inconscient n'aie envie de revenir l'enquiquiner dans son travail. Très rancunier, l'elfe pardonnera difficilement un tel manque de respect.

Si l'elfe est un voyageur solitaire aimant accumuler les amitiés, il est loin d'être un amoureux idéal. Étrangement, il manquera de romantisme et serait plutôt... possessif. Jaloux, il aura du mal à laisser la liberté à sa moitié, et ne la laissera pas souvent agir à sa guise. Il préférera garder une emprise quasi totale sur la jeune femme, ce qui aura tôt fait d'étouffer et de faire fuir celle-ci. Pour cette sordide raison inexplicable chez l'être des bois, il n'est jamais en couple, mais multipliera les aventures sans lendemain. Gare aux jeunettes transies et désireuses de belles romances ; la déception en sera l'unique finalité. Il favorisa les rencontres tournant principalement autour de la séduction et il est fréquent que l'elfe s'y adonne qu'en étant passablement ivre, ou presque. Chose peu commune chez les elfes, Menelorme, par ses nombreux voyages, aura pris goût à l'alcool et aux mets moins subtils et délicats que l'alimentation elfique de base. S'il reste en grande partie végétarien, il a comme secret avoir déjà mis en bouche de la chair animale ou de poiscaille, par curiosité. Chez lui, il n'en mangera pas, mais en présence d'humains, il se peut qu'il accepte un filet de dinde ou une cuisse d'oie bien grasse. Nous pouvons en conclure que Menelorme, jeune sculpteur d'arcs, s'est doucement mais sûrement corrompu en présence de personnes d'autres races. Si ceci ne semble ne nuire à personne, il aura légèrement perdu ses origines, ce qui lui vaudra assez rapidement messes basses et autres rumeurs mauvaises à son sujet. Fort heureusement, cela n'altèrera pas trop la sympathie que beaucoup ressentent à son égard, toutefois, peu d'elfes apprécient ce changement certain dans son attitude et son mode de vie trop dispersée.

La seule chose dont Menelorme peut encore se sentir fier du côté de ses origines est qu'il perçoit, lui, la Symphonie des Arbres. Cela vient du fait qu'il manie par amour et passion ardente le bois avec lequel il confectionne ses armes de distance. S'il n'avait jamais entendu plus que des murmures inaudibles et des sentiments émanant des arbres plutôt flous, dès qu'il se mit à toucher leur écorce et à en extraire l'ébène précieuse, il commença à mieux les entendre sans pour autant les comprendre. L'apprentissage, en quelque sorte, de la Symphonie des Arbres, lui fit l'effet d'un retour aux sources étrange. D'abord surpris et incompréhensif face à ces flots d'émotions venus d'en-dehors de son propre cœur, il finit par s'y faire et même à apprécier l'échange primitif qu'il put alors avoir avec la forêt. S'il en est encore au stade de percevoir sans s'en rendre compte réellement, il est conscient d'avoir cette chance et ne manque pas, parfois, au moins une fois par an, de s'abandonner à l'esprit de ses bois pour se laisser envahir toute une après-midi ou nuit par les émotions indistinctes des arbres.

Histoire :
Dans la famille de Menelorme, la maîtrise de l'arc est un art considéré comme une chose essentielle dans la vie d'un elfe. Olinn, le père de Menelorme, lui inculqua son amour pour cette arme et lui apprit tout ce qu'il savait dessus. Archer de son clan, il passa le plus clair de son temps à enseigner à son unique engendrée sa parfaite maîtrise et son immense savoir. Sa mère, Elÿsianne, portait sur eux un regard doux et sentait son cœur se gonfler de fierté année après année. A l'âge requis, Menelorme commença à aller chasser avec son père, jusqu'au jour où un accident malheureux survint. Alors qu'ils traquaient une biche, ils mirent le pied sur le territoire de trois phish oura, ces immenses félins d'une agressivité redoutable. Supposant qu'ils avaient une portée, leur présence fut encore moins tolérée et ils furent aussitôt coursés par deux des trois bêtes. Si Menelorme s'en tira avec beaucoup de chance, il dut revenir sur ses pas car il ne vit pas son père à sa suite. Il retrouva son paternel dans un état critique, baignant dans son sang, le corps lacéré, la chair arrachée et sanguinolente, ses os brisés. Toutefois, il respirait encore, et le jeune Menelorme ramena Olinn jusqu'à leur maison sur son dos, craignant pour la vie de son géniteur tant adoré.

Si les dieux gardèrent Olinn en vie, ils ne purent rien faire contre les séquelles que les blessures laissèrent. Ses membres gardèrent une horrible rudesse et son visage resta défiguré. Des morceaux de muscles avaient été retirés à certains endroits de son corps et il avait perdu toute sa force suite à des semaines d'alitement. Rabaissé à l'état de débris inutile, son père se laissa mourir de chagrin, ne supportant pas une éternité dans cet état pitoyable. Menelorme, pendant son deuil, se trouva alors sa passion : sculpter des arcs. Était-ce la disparition de son père si amoureux de cette arme qui lui donna le désir soudain d'en confectionner ? Sans pouvoir y répondre, il se mit à créer, créer et encore créer, des arcs d'une beauté insoupçonnée, originaux, plaqués d'or et d'argent, sertis de pierres semi-précieuses, ouvragés d'une main si habile et si ignorante il y a encore peu de ce talent caché. Bientôt, on lui commande des arcs, et il se mit à œuvrer pour les autres aussi et à vendre ses armes, ainsi que des flèches dont l'utilité différait selon la forme de la pointe. Son marché était né, et il fit à nouveau le bonheur de sa mère et les rendit plus riches qu'auparavant. Elÿsianne ne cessa dès lors de lui répéter à quel point Olinn serait fier de lui et heureux de le voir s'épanouir dans cette voie.

Vient un beau jour où Menelorme voulut voir du pays et annonça à sa mère son désir de partir. Avec la bonne raison d'étendre ses ventes au reste d'Anaëh et désireux de faire connaître ses bijoux de chasse et de guerre aux elfes de toutes les régions, il acheta un meharas jeune et vigoureux ainsi qu'un chariot pour entasser son outillage et ses œuvres diverses. Au fil du temps, un demi-siècle est passé, et même l'Armée Royale lui demande de faire des arcs pour ses soldats... N'ayant pas d'autre but pour l'instant que de continuer dans une tâche qui aurait certainement fait plaisir à son père défunt, il parcourt les routes, ne revenant chez lui auprès de sa mère que de temps en temps, quand les saisons défilent trop souvent...

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Tentant.
Comment as-tu connu le forum ? : Par une personne présente dessus qui m'en a parlé vite fait.
Crédit avatar et signature : Illustration d'Alic McMalish (deviantart).
Compte autorisé par : Votre texte ici (Uniquement en cas de compte supplémentaire bien entendu)

NB : Je voudrais un familier, un meharas qui tirerait mon chariot.

Coucou !

Alors, c'est moi qui va m'occuper de cette fiche.^^

D'abord, elle est bien écrite. Je t'encourage à continuer dans ce sens.

Par coooontre...

1-Visiblement ton personnage n'a que des qualités, aussi bien physiquement que mentalement ! Personne n'est parfait, même si Menelorme a la chance d'être très doué (voire surdoué ?), il n'est en rien parfait. Quelques défauts ne lui feraient pas de mal.

2-Ce serait sympas que tu parles plus de son enfance... Et sans vouloir passer dans les fabuleux stéréotypes des Elfes de Bois, ton perso a l'air vraiment très ouvert d'esprit pour l'un d'eux, au point de ressembler à un Elfe de Pierre. Pourrais-tu préciser un peu dans ton histoire (ou autre) s'il suit toujours les vertus apprises plus jeune en tant que membre d'un clan ? Ressent-il la Symphonie des Arbres, au fait ?

Voilà une première correction.
Si tu as des questions n'hésite pas.
Boncourage.

Ouaich, j'avoue avoir abusé sur le côté « génie de l'arc » :D ses colères de vieux frustré lorsqu'on le dérange n'est pas suffisant, j'en conçois. Je vais lui trouver quelques tares vite fait bien fait.

Je pense dire qu'il voyage depuis plus longtemps, ce qui l'aurait rendu plus ouvert dans ce cas. Au bout d'un siècle de vagabondage/marchandage un peu partout, il aurait petit à petit perdu le caractère de base des elfes des bois.

La Symphonie des... Bon. J'ai du loupé un épisode u_u



edit : Voilà, je lui ai trouvé quelques défauts bien sales, surtout pour un petit elfe. Pour le physique, à part son nez plat un peu bizarre et ses yeux sans rien d'extraordinaire qu'être tout gris, je ne changerai rien ; je le pense trop jeune et pas assez combattant pour avoir des cicatrices remarquables... Je ne vais tout de même pas lui foutre de l'acné ! En plus il n'est pas très grand, s'il a réussit à y trouver un bon usage à sa petitesse, 'faut se dire que c'est quand même un nabot pour les autres elfes x)

J'ai tout mis dans la description mentale, par contre, j'espère que ça ira.

Un joli petit défaut, en effet.^^ En ce qui concerne le physique je ne te demandais nullement de le rendre borgne et cicatrisé de partout, mais c'est juste que physique plus mental ça faisait beaucoup...
A ce propos, ça ne me dérange pas que tu ais mis les modifications dans la partie "description mentale". C'est juste drôle de voir la description mentale plus longue que l'histoire.^^

Alors en ce qui concerne la Symphonie, ça m'étonnerait fortement que tu ais l'immense chance de pouvoir la comprendre, étant ni druide ni mage. S'il n'y a aucun problème pour que tu puisses la ressentir plus ou moins, le reste fait quand même "gros". A changer donc.

Quand je dis le mot comprendre, c'est pas des paroles ou autres, mais les sentiments... C'est quand même trop gros ?

Disons que certains Elfes peuvent carrément comprendre la Symphonie... Ce serait mieux que tu changes pour "ressentir". Après, pour le fait qu'elle peut influencer les émotions de ton personnage, tu en as déjà parlé.

Change-moi ça et normalement ça devrait être bon.^^

Voici la partie du texte que j'ai changé :

Code:

S'il n'avait jamais entendu plus que des murmures inaudibles et des sentiments émanant des arbres plutôt flous, dès qu'il se mit à toucher leur écorce et à en extraire l'ébène précieuse, il commença à mieux les entendre sans pour autant les comprendre. L'apprentissage, en quelque sorte, de la Symphonie des Arbres, lui fit l'effet d'un retour aux sources étrange. D'abord surpris et incompréhensif face à ces flots d'émotions venus d'en-dehors de son propre cœur, il finit par s'y faire et même à apprécier l'échange primitif qu'il put alors avoir avec la forêt. S'il en est encore au stade de percevoir sans s'en rendre compte réellement, il est conscient d'avoir cette chance et ne manque pas, parfois, au moins une fois par an, de s'abandonner à l'esprit de ses bois pour se laisser envahir toute une après-midi ou nuit par les émotions indistinctes des arbres.

Il y a juste un détail qui me chiffone... Ton perso est également magicien ?! Mais tu n'en as pas fait allusion !
Enlève-moi donc ça, si finalement tu ne l'es pas.

Heu, il me semblait que c'est au staff de décider du niveau de magie... Donc je vois mal comment on peut parler de sa magie sans savoir le niveau que vous allez me donner -_-'

Soit ton perso est un mage, soit il ne l'est pas. On donne le niveau magique en se basant sur la fiche de présentation. Si ton perso n'est pas magicien, il aura le niveau "de base" (chacun a un peu de magie en soi). Sinon, il sera initié, arcaniste...

Bha, je n'ai mis nulle part qu'il était un mage... ^^' je pige vraiment pas ce qui coince sur le coup. Je dois virer qu'il use de la magie dans les combats ?

Justement, tu n'as mis nulle part qu'il était mage, or dans "Classe d'arme" tu mets "Magie de l'eau", ce qui est contradictoire... Enlève-moi le "Magie de l'eau" et je te valide ta fiche.

Edit : N'hésite pas à poser des questions sur la CB ou via MP, parce que j'ai l'impression qu'il y a des choses que tu n'as pas comprises...

Votre forum a beaucoup de choses à lire, c'est un peu normal que des points m'échappent ^^

J'aimerais avoir quand même un peu de magie, j'éditerais demain (là ça m'agace un chouïa), mais je voudrais qu'on voie comment je peux décrire ma magie dans les descriptions sans savoir le niveau que j'ai, et ceci sur la CB ou par MP.

Tu n'as besoin de décrire que ton apprentissage.
Ton niveau de magie te sera attribué en fonction de ce que tu y as écrit et du nombre d'années de pratique.

Johann a écrit:

Tu n'as besoin de décrire que ton apprentissage.
Ton niveau de magie te sera attribué en fonction de ce que tu y as écrit et du nombre d'années de pratique.

Bonjour.

Nous en sommes ou ?
Si tu as des problèmes pour corriger ta fiche, n'hésite pas à demander de l'aide.