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 Le Dormeur s'est réveillé | Terminé

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Varnan
Elfe
Varnan


Nombre de messages : 23
Âge : 33
Date d'inscription : 13/01/2019

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  240 ans
Taille
: 1m89
Niveau Magique : Arcaniste.
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MessageSujet: Le Dormeur s'est réveillé | Terminé   Le Dormeur s'est réveillé | Terminé I_icon_minitimeMer 19 Juin 2019 - 16:46

Identité
Nom/Prénom : Varnan Signifie "Protecteur de la forêt"
Âge/Date de naissance : An 776 du cycle XI / 240 ans
Sexe : Mâle
Race : Elfe
Faction : Ornedhel Anëdhel
Alignement : Loyal neutre
Liens notables : La Symphonie, sa meute et l'Anaëh

Particularité :
Il a le lobe de l'oreille gauche percée de manière à y ficher une boucle en os et divers arabesques lui sont tatouées sur le corps. De plus, une entaille allant du haut de son front traverse son sourcil, passe au coin de son oeil et se termine au niveau de sa pommette.

Métier : Druide
Classe d'arme : Corps à corps / Magie / Métamorphose


Possessions & Equipements :
Vernan n'adhère pas au concept de possession et considère tous ce dont il use comme un prêt de l'Anaëh. Il se nourrit de ce qu'il trouve et vit librement là où ses pas l'emmènent. Outre son collier d'os et sa boucle d'oreille en os, il ne possède donc rien. Toutefois ceux qui l'ont croisé ont noté qu'il garde toujours à portée de main une lance artisanale taillée dans le bois d'une branche offerte par l'Anaëh.

Apparence :

  • Taille : 1m 89cm
  • Couleur des pupilles : Jaune orangé
  • Couleur de peau : Brun hâlé
  • Couleur des cheveux : Châtain clair tirant vers le blond selon la luminosité


Bien que grand parmi les tribus noss, dont il est originaire, Varnan n'ateint pourtant pas la taille d'un taledhel. Le teint de sa peau est d'un hâlé prononcé, faisant de lui l'un des plus clairs de la tribu de bruns dont il est originaire. Vivant continuellement dans la nature, se nourrissant du stricte nécessaire et physiquement actif, son corps long et fin s'est taillé d'une musculature sèche que ne laisse pas de place à la moindre graisse saturée.

Son visage long est harmonieux, quoi que légèrement plus anguleux que ceux de sa race, sans doute à cause de son menton franc. Ses lèvres fines dessinent souvent un sourire en coin, naturellement fier. Son nez fin passe entre deux yeux malicieux, dont le jaune orangé reflète parfois le vert de la sylve. Ses sourcils arqués s'ajoutent à son air sournois, que ne cachent pas ses cours cheveux châtains ramenés en arrière. Et pour finir ses larges oreilles forment franches pointes, évidemment, fort semblables à celles de sa mère. Et vous le savez, comme l'on dit dans la Noss dont il est originaire : "les oreilles larges c'est signe d'un éveil puissant".

Sous sa forme animal, Varnan est un valao mâle de cinquante centimètres aux yeux d'un bleu nuit profond. Sa fourrure est d'un blanc immaculé si l'on n'excepte une tache en forme de demi-lune sur son front ainsi que l'extrémité noire de sa queue.



Personnalité :
Le moins que l'on puisse dire est que Varnan est un elfe malicieux. Facétieux, même, et ce depuis sont enfance. Les farce et les plaisanteries, il les connaît toutes. Peut-être même trop, car il en est venu à en inventer pour ne pas se répéter, encouragé par un maître tout aussi espiègle.
Cet esprit d'apparence enfantin et volatil aurait pu nuire grandement à son apprentissage si l'elfe n'avait pas été aussi doué et vif d'esprit, comprenant bien vite pour son âge des concepts que même les plus anciens on pris des années à assimiler. Pourtant ce don s'accompagne d'un défaut, et c'est l'arrogance. L'arrogance de se sentir plus éveillé que le commun des éternels, et cette suffisance ne peut être que renforcée par sa sensibilité.
Car Varnan est un être sensible, aussi peu probable que son comportement puisse laisser paraître. Sensible, oui, mais pas forcément à ce qui pourrait vous émouvoir vous. L'anëdhel est considérablement sensible à la symphonie, et par extension à tout ce qu'elle véhicule. De ce fait Varnan se considère plus lie à l'Anaëh et ses habitants (animaux comme végétaux) qu'à son propre peuple.


Capacités magiques :
Dès sa naissance, Varan fut considéré comme un véritable don de Kÿria. Sa sensibilité particulièrement grande à la symphonie fut remarquée dès son plus jeune âge, alors que le bambin ressentait ce que la plupart des noss eux-même n'entendaient pas. Son don remarqué fut par la suite entraîné par son maître jusqu'à donner ce qu'il est aujourd'hui.

Métamorphose :
Comme tout druide, Varnan a obtenu de Kÿria le don merveilleux de métamorphose. Lorsqu'il découvrit son totem, lors de la cérémonie ultime, l'aspirant druide en a été à la fois étonné et ravi. Sa douleur a était grande de découvrir ce valao  blessé et mourant, cependant il pris comme un honneur de pouvoir ne faire qu'un avec l'animal. En remerciement le druide a confectionné une boucle d'oreille avec quelques os de la queue de l'animal, constituant ainsi son focalisateur, ainsi que d'autres parures avec ce qu'il n'avait pas dévoré.

Magie de l'esprit :
De longues et nombreuses années de pratique ont permis au druide d'apprendre à appréhender, comprendre et contrôler l'une des magies les plus subtiles qu'est celle de l'esprit. Si sa sensibilité innée à la magie et à la symphonie lui ont été d'une grande aide il a aussi été souvent une faiblesse, et surpasser l'arrogance qui en découlait a sans doute été l'épreuve la plus difficile. Cela fait désormais partie du passé, et à présent le druide s'exerce quotidiennement afin de préserver son contrôle sur cette magie qu'il exerce avec une subtilité toute particulière.

Le druide s'est ainsi exercé aux multiples usages de la magie de l'esprit, et plus particulièrement au transfert de sa conscience dans l'esprit d'autres créatures telles que les animaux qui l'accompagnent. Le druide peut ainsi guider et diriger les créatures qui accueillent son esprit, préférant toutefois leur suggérer des demandes tout en leur laissant la liberté de lui obéir plutôt que de leur imposer une servitude non désirée. Dans le même état d'esprit le druide est capable d'insuffler son esprit dans les rêves de dormeurs afin de les apaiser à leur réveil, ou au contraire de les perturber pour rendre les ennemis de l'Anaëh plus vulnérables. Et si pour lui la magie est avant tout un outil qu'il a aiguisé au même titre que son don, le druide n'a pas pour aspiration d'y mener des recherches outre mesure.

Histoire

La naissance de Varnan, en elle-même, n'a rien de particulier. Un couple de ornedhels qui se rencontrent, apprennent à se connaître et s'aiment. Puis vient la bénédiction de Kÿria, et la femme tombe enceinte. La noss est joyeuse, car toute naissance est un cadeau. Et enfin vient un enfant, un garçon, un bébé au futur prometteur. Et tout naturellement le bébé grandit, devenant bambin, puis enfant. Et c'est là que la joie des parents devient fierté. Cette noss, c'est la mystique et bien connue Pan'Mera, à la fois moquée et respectée par les elfes qui les côtoient. Et même pour les standards de cette noss particulière, cet enfant montrera des talents comme il en apparaît peu en un millénaire.

Une bénédiction, un don ; Le petit Varnan est un enfant éveillé, certains diront même qu'il est doué. Très tôt il a fait preuve d'une sensibilité remarquable à la symphonie, d'une curiosité formidable, et d'une intelligence rare. Mais l'enfant est aussi turbulent, malicieux et indocile. Impossible à tenir en place, nombreuses sont les fois où l'enfant s'est mystérieusement soustrait à la vigilance de ses gardiens pour se rendre dans la forêt, ô combien dangereuse à cet âge-là. Maintes fois il a fallu faire appel aux autres membres de la Noss pour aller retrouver le petit Varnan, qui bien souvent revenait de lui-même avec dans les bras un petit animal à soigner, ou toute autre curiosité trouvé dans une souche d'un arbre.

Parmi ces animaux ramenés et soignés, il y en a un en particulier qui est à retenir. C'est une petite boule de poils féline aux cornes brisées, que Varnan a trouvé épuisé et blessé auprès d'une rivière. Le nom qui lui est donné a été choisi par l'animal lui-même, à en croire Varnan qui prétends l'avoir entendu le lui murmurer - cela constitue sans doute l'un des premier indice de son don, que nul n'aura su alors déceler. L'elfe soigne donc la créature, la nourrit et la protège si bien que le félin reprend des forces, survit et grandit. Sans doute par reconnaissance, Atsa ne retourne pas dans la forêt, préférant rester au côté de celui qui l'a sauvé. Et plus il grandit, plus il devient évident que le jeune elfe s'est trompé sur son espèce : ce n'est pas un léomenis aux cornes brisées, mais un phish oura au pelage juvénile encore clair.

Le temps passe, et Varnan a désormais soixante six ans. L'enfant joue avec son compagnon félidé lorsque qu'un vieil elfe se présente dans la Noss et demande à le rencontrer. A la fois curieux et intrigué, le jeune prodige s'adonne presque sans crainte aux étonnants jeux du vieil elfe que même les anciens semblent respecter. Et alors que l'enfant commence à trouver le dernier jeu ennuyant le vieux vagabond déclare qu'il est bel et bien celui vers qui la symphonie l'a guidé. L'ennui fait place à la surprise : le vieil elfe est un druide, et il désire faire de Varnan son apprenti.

Pour l'elfe curieux qu'est Varnan, la vie au côté du vieil elfe se fait instructive et amusante. Le manque de victime pour les facéties du jeune elfe fait du vieux druide sa cible favorite, et ce dernier le lui rend en enseignant ses propres blagues au jeune fougueux. Malchance se trouve alors pour les pauvres elfes croisés au cours de leur long voyage d'apprentissage, car en plus d'enseigner à son disciple l'art de la discussion spirituelle le vieil elfe en profite pour lui montrer de rusées espiègleries, à fortiori lorsque le malheureux est un taledhel. C'est que le vieil elfe a eu tôt fait de comprendre comment canaliser son disciple, qu'il convient tout de même de réprimander à de nombreuses occasions.

C'est le cas notamment lorsque Atsa se sépare de son compagnon elfique, alors que ce dernier vient d'atteindre sa huitième décennie. Cette année là le félin, qui depuis leur rencontre n'avait plus jamais quitté l'elfe, répond enfin et à l'appel de la nature. La saison des amours ayant fait son office l'animal est allé trouver ses femelles, et bien qu'il soit content pour son ami l'aspirant druide est déchiré par cette séparation. Un mal-être qui le rend un temps plus désagréable qu'à l'habitude, et qui ne disparaît totalement que quelques mois plus tard alors que Atsa l'a retrouvé pour lui présenter ses petits.

Après ce jour Atsa est revenu au côté de Varnan, tout comme d'autres animaux au cours des années. Si les origines de l'apprenti druide dans la Noss Pan'Mera lui ont apporté une prédisposition pour le spiritualisme et la magie immatériel, au même titre que son mentor, c'est sans doute son lien indescriptible avec les animaux qui ont décidé de son application. L'apprenti accepte donc comme sienne la magie de l'esprit, et plus particulièrement celle du rêve, en hommage à l'Ëala Maurquimellë qui aurait béni la Noss dont il est originaire ainsi que leur protectrice, Ywonven. Et c'est en partageant l'esprit des animaux qui l'accompagnent que l'aspirant s'exerce, sans jamais les forcer, sans jamais le blesser. Du moins volontairement, car cette magie est telle qu'il lui est difficile d'apprendre à la contrôler, à la maîtriser. Cependant son lien avec ses compagnons animaux est si fort que Varnan fait s'évertue à s'améliorer le plus vite possible, son désir de ne pas les blesser ou au contraire d'apaiser leurs esprits prenant le pas sur sa nonchalance et sa négligence. Ainsi l'apprenti s'applique plus dans ce domaine que dans tout autre, jusqu'à parvenir à partager l'esprit de ses amis sans qu'il n'y ait plus de séquelle.

C'est au cours de ses cent quatre-vingt-douze ans que Varnan, jugé prêt par les enfants de Kÿria, entame le dernier processus de son apprentissage. Mais alors que l'elfe fougueux espérait avoir pour totem un oiseau beau et majestueux (tel que le nar'Aiwë ou le mithdil) ou un animal fort et puissant (comme le nieläv ou le maldelinir revan), Kÿria en a décide autrement. L'aspirant druide fait alors l'un des tours d'observations dont il a désormais l'habitude, s'assurant sans le renfort de son mentor que l'Anaëh et ses protégés se portent bien, quand la symphonie le guide vers une petite clairière ombragée. Là, au milieu de l'herbe humide, est étendue une petite masse de poils blancs et noirs. S'approchant doucement, l'aspirant druide découvre alors un valao enroulé autour d'un petit être endormi. Varnan est d'abord admiratife devant ce petit primate qui, bien qu'affaibli et blessé, continue de protéger de ses dernières forces son petit. Le regard de l'elfe croise celui de l'animal, et cela lui paraît comme une évidence : Varnan a trouvé son totem.

L'animal est achevé sans souffrance et, suivant le rite ancestrale, l'aspirant le mange en totalité. Ce faisant, le mystique ne cesse d'honorer son totem à chaque bouchée, et n'oublie pas de prendre soin de ce qui ne peut être avalé. L'épreuve conclue, le désormais druide recueille le chétif valao que son totem a protégé jusqu'à la fin en se promettant d'en prendre soin. C'est ainsi que l'elfe éveillé obtient son totem, un animal tout aussi malicieux que lui. Mais la formation n'est pas terminé, il doit désormais apprendre à contrôler l'animal qui fait maintenant partie de lui.

Varnan a deux cent quinze ans lorsque son mentor met fin à sa formation. Certes le jeune druide a encore beaucoup à apprendre du monde et de ses mystères, mais le vieil elfe le considère désormais prêt à avancer de ses propres pas. Ce jour mémorable restera à jamais dans les souvenirs du druide-valao, et pourtant la journée n'est pas si différente de celles qui l'ont précédé. Un repas constitué de baies, une ballade dans la forêt, puis une discussion passionnante sur des thèmes mystiques et philosophiques, cela constitue déjà le quotidien des deux elfes. Et puis soudain le vieux druide se lève, le visage fier, et frappe vigoureusement l'épaule de son disciple. Ses paroles sont alors encourageantes, chaleureuses et sérieuses. Il ne sont plus mentor et disciple, ils sont désormais égaux. Le jeune druide peut alors tracer sa route comme bon lui semble, ou plutôt suivre celle que la symphonie lui indiquera.

La première chose que fait Varnan est de retourner près d'Evertem, pour revoir sa famille qu'il n'a pas vu depuis des décennies. Le druide-valao et ses compagnons restent un temps dans la Noss, mais rapidement il comprit que cette vie avec le clan n'est pas faite pour lui. Alors le druide quitte à nouveau sa Noss, et partant cette fois pour un voyage sans but précis. Il se contente seulement d'aller là où le mènent les messages de la symphonie, changeant de direction au gré des fluctuations ressenties, s'adonnant au plaisir des facéties lorsque l'envie lui en prend, grossissant parfois le groupe des compagnons qui le suivent, ou d'autrefois le réduisant. Le druide-valao se laisse ainsi porter par la symphonie, jusqu'à ce qu'arrive le voile.

La longue nuit, la venue dans l'Anaëh de sa créatrice, le renforcement de la forêt et de la symphonie. Le voile est vu par Varnan comme une rappel à l'ordre, et à la fois comme une bénédiction. Bien qu'il ne l'ait pas rencontré lui-même, le druide-valao a reçu les messages transmis par la symphonie. Kÿria est venue en personne rappeler à ses enfants égarés quelles sont leurs origines, et récompenser ceux qui ne l'ont jamais oublié. De par cette bénédiction l'Anaëh connaît une renaissance, et de part sa sensibilité Varnan est l'un des plus reconnaissants. Alors lorsque le voile pris fin, l'elfe-valao décide de se retirer pour remercier I Emël. Ainsi le druide vit en ermite des années durant, retiré en un lieu inconnu au plus profond de l'Anaëh.

L'an treize du onzième cycle marque un nouveau tournant dans la vie de Varnan. Entre méditation et songe, le druide fait un rêve étrange et inquiétant, un songe qui n'en est pas un. Varnan le sait : c'est un message, assurément. Un message qu'il faut entendre, un message transmettre. Et il a été choisi. Certes, il n'est pas le seul, il le sait, et il l'accepte. Cependant il le sait aussi, il a un rôle a joué. I Mîngely et les Ëalas lui ont parlé, et il les a entendu. Qui mieux qu'un druide peut interpréter message ? Qui mieux qu'un enfant des Pan'Mera peut le transmettre ? Qui mieux que lui peut mener à bien cette mission ? Le don que Kÿria lui a offert, il est temps qu'il la lui rende.

Le temps de la contemplation est terminé et l'ermite sors de sa grotte. L'œuvre de Ir Iarwin est en danger, et revient à eux, ses enfants de la protéger. Mais comment ? Cela n'a pas d'importance, la symphonie le guidera. Peut-être devrait-il commencer par retrouver Maurquimellë, La Secrète, quel leur a transmis ce message ? Et pour cela, le druide doit d'abord rencontrer Ywonven, la Dame protectrice d'Evertem. Après tout, si Anaëh est en danger, les Ëalas seront les premiers à vouloir la protéger. Mais la route sera longue, et le succès incertain. Le dormeur s'est réveillé, et si tel est son rôle il les éveillera eux aussi.


Compagnons de voyage
Atsa - Phish Oura : Premier compagnon à avoir suivi Varnan, il était comme un frère pour le noss. Le félin a fini par retourner dans la forêt lors qu'est venu le temps pour lui de se reproduire, mais il n'a jamais oublié son sauveur. C'est d'ailleurs au côté de son compagnon elfe qu'il a expiré son dernier souffle. Curieusement, il y a toujours parmi ses descendants un adulte en forme qui accompagne le druide, comme si l'animal avait instauré dans sa lignée la règle que l'un des siens protège celui qui lui a sauvé la vie.
Narwa - Phish Oura : Fille de Atsa, elle a remplacé son père auprès de Varnan après que ce dernier ne soit devenu trop vieux. Elle a suivi le druide jusqu'à succomber à la saison des amours, séduite par un mâle sauvage avec lequel elle a vécu jusqu'à sa mort.
Atsa - Phish Oura : Petit-fils de Narwa, il est le compagnon actuel de Varnan. D'un pelage roux strié de noir, il est reconnaissable de par ses pierres frontales d'un vert d'eau et une tache blanche parcourant son encolure.

Isilcù : C'est le nom donné par les taledhels à un groupe de valaos dont le chef semble être un mâle dont la fourrure présente une tache en forme de croissant sur le front. Cet individu n'est autre Varnan sous sa forme animale, qui se plaît à se mêler à des familles de valaos pour des raisons que lui seul connaît.

Hwesta - Silm'Aiwë : Trouvé l'aile blessée, il accompagne Varnan depuis que ce dernier l'a soigné.


HRP:


Dernière édition par Varnan le Jeu 20 Juin 2019 - 16:10, édité 2 fois
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Artiön Laergûl
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MessageSujet: Re: Le Dormeur s'est réveillé | Terminé   Le Dormeur s'est réveillé | Terminé I_icon_minitimeJeu 20 Juin 2019 - 16:06


Le Dormeur s'est réveillé | Terminé Tampon13

Ça y est ! Halyapancake a enfin trouvé un visage !


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[Métier] : Druide

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps-à-Corps / Magie

[Alignement] : Loyal Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

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