Va'he | Mercenaire / Chasseuse de trésors [corrigé par les staffascistes]

Va'he

Nom/Prénom : Va’he
Âge/Date de naissance : 29 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Faction : Ithri’Vaan
Alignement : Chaotique Neutre
Liens notables : Ascanio Vossula, officiellement comme principal employeur de la Compagnie de mercenariat dont elle fait partie, officieusement comme gigolo.
Particularité : Dresseuse d'animaux de guerre.
Métier : Bras droit de la Compagnie des Renégats / Chasseuse de trésors
Classe d'arme : Corps à corps / A distance

Possessions & Equipements :

Le b.a.-ba de l’équipement du mercenaire classique et du chasseur : une armure en cuir de qualité, une longue épée légère adaptée à la corpulence de son propriétaire. Un arc long ainsi que le carquois et les flèches qui l’accompagnent. Une ceinture en cuir également, pourvus d’une multitude de poches et de rangements pour tout équipement nécessaire à la chasse. Va’he possède également une besace où elle range toutes les cartes qu’elle a elle-même dessinées durant ses expéditions. Son habitation privée, qui se situe non loin du palais des Vossula à Eofel regorge d’antiquités trouvées et rapportées de ses expéditions : tout ce qui n’avaient aucune valeur aux yeux de ses employeurs.

Apparence :

* Taille : 1m77
* Couleur des yeux : bleus

Va’he se caractérise par une silhouette sportive et élancée à la poitrine peu prononcée par rapport aux autres femmes que vous pouvez trouver en Ithri’vaan. Son corps cumule quelques cicatrices dont l’une d’entre elle lui fend légèrement la lèvre supérieure. Toutes ont une histoire mais elles sont particulièrement ennuyantes à raconter. Ses cheveux blonds et sa coupe au carré facilite sa distinction parmi les Vaanis, ce qui est pratique dans certains cas, moins dans d’autres. Le bleu de ses yeux est du même ton bleuâtre que le fond des océans. Peu sont ceux à pouvoir se targuer d’avoir pu les admirer de près. Son dos présente un petit trésor : un tatouage datant de quelques années déjà, représentant un arbre mort.

Personnalité :

On pourrait aisément comparer Va'he a un ouragan : mieux vaut s'en tenir éloignée le plus possible. Les quelques téméraires (ou fous, selon les cas) qui s'en approchent, se risquent à des vents puissants qui peuvent se traduire par un caractère bien trempé que peu ont réussi à supporter. Mais pour les plus endurants -et ils sont rares-, l’œil est atteignable après avoir acquit une confiance si durement acquise. Et l'oeil s'avère être finalement une femme brisée par ses nombreuses mauvaises expériences passées, mais qui possède tout de même moult qualités, dont la générosité et la bienveillance en sont les principales.

Capacités magiques :

Aucunes

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Histoire

Le père était un érudit, puis, fut recruté comme instructeur des enfants Vossula. C’était le seul, semblerait-il à avoir suffisamment de patience pour apprendre l’art de la lecture, de l’écriture ainsi que la géographie à ces gamins pourris gâtés. Sa mère quant à elle était la gouvernante, dans ce même palais. C’est ainsi que les tourtereaux s’étaient rencontrés au détour d’un couloir, tombant nez à nez avant d’échanger un long regard silencieux. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’ils se retrouvent pour une balade, puis une autre. Vint ensuite le rapprochement et la demande en mariage. Ils étaient encore jeunes et la venue d’un enfant n’était plus qu’une question de temps.

Sauf que cet enfant ne vint pas. Les années passèrent et il n’y eut toujours pas de petite frimousse à l’horizon, ce qui apporta des tensions au sein de couple : légères mais bel et bien existantes.
L’épouse se pensa maudite, l’époux crut plutôt à l’infertilité de sa femme.

Vint le jour où, enfin vint le miracle : madame attendait un enfant. La grossesse se passa à merveille et le couple sut s’entourer des meilleurs pour l’accouchement. Quelle ne fut pas la joie de découvrir un enfant semblerait-il en bonne santé. Une fille qu’ils prénommèrent Va’he.

La petite fille grandit sans voir arriver un quelconque frère ou une quelconque sœur. Fille unique, toute l’attention lui était portée. Chérie par son père, aimée par sa mère. La petite était toute prédestinée à un bel avenir dans la Haute-Société de l’Itrhi’Vaan.

Sauf que ce ne fut pas le cas.

Le père s’enfonça petit à petit dans l’alcoolisme et les dettes de jeu. Celui-ci avait vu sa vie basculer lorsque sa femme lui avoua enfin son adultère. Tromperie qui s’était soldé par une grossesse. Voilà que l’enfant qu’il avait chéri et aimé toutes ses années n’était finalement qu’une bâtarde d’on-ne-sait-quel-homme. Son égo en prit un coup, car cela ne pouvait prouver qu’une seule chose : c’était bel et bien lui qui avait un problème de fertilité et non l’inverse.

Dépressif et dépendant de bons nombre de drogues, il entraîna toute la famille au fond d’un gouffre financier dont ils ne sauraient s’en sortir. A moins d’envisager…

Âgée d’à peine onze ans, son père qui ne voyait plus qu’en cette petite le fruit de l’infidélité de sa femme, eu l’idée de la vendre au plus offrant. Cela lui aurait permis de se débarrasser d’elle tout en épongeant l’entièreté de sa dette. Ainsi, il pourrait prendre un nouveau départ. Sa mère quant à elle, n’était point d’accord mais à chaque refus qu’elle émettait, une gifle vint lui rappeler qui était l’époux et qui ne l’était pas. Refusant catégoriquement de se sacrifier ainsi, l’adolescente boycottait chaque rencontre ou chaque sortie qui avait pour but de l’exposer telle une marchandise. Cela se solda finalement par une fugue. Une fugue qui mena Va’he à rejoindre Thaar où elle survivait grâce au vol comme toute gosse des rues.

Vint ensuite un évènement qui allait complètement bouleverser la pauvre gamine : le Voile. Cela avait commencé avec un murmure qu’elle entendit de loin, puis la voix se fit de plus en plus insistante. Va’he se sentit soudainement happée par une folle envie de crier en pleine rue, de hurler toute la haine qu’elle ressentait envers son père au point où elle ne fit même plus attention à ce soleil qui ne daigna plus se lever. Pas une seule journée sans lumière ne passait sans qu’elle exprime cette haine. Vols, agressions, dégradations. Tout y tout le monde y passait jusqu’au jour où elle s’en était prise à la mauvaise personne. Il se faisait appeler Armand le Blond. Sachez cependant que derrière ce nom somme toutefois humoristique se cachait un homme terriblement intelligent. Sa première réaction aurait dû être de châtier l’enfant mais au lieu de ça, il reconnut une certaine utilité à son art et la prit alors sous son aile.

C’est ainsi qu’elle découvrit la grande famille de la compagnie des Renégats dont Armand le Blond en était « le capitaine » même si aucune forme de titre n’était ici employée. Cette compagnie était bien différente du mercenariat classique. Ici, tous types de services pouvait être rendus : du meurtre au chantage, de l’espionnage à la mise à sac d’un quartier ou d’une petite ville.

Va’he s’était tout d’abord sentie comme n’étant pas à sa place, mais elle n’avait pour autant pas trop le choix : même si Armand le Blond ne lui affectait aucune dette suite à son vol, il n’hésita cependant pas à lui vendre la belle vie qu’il s’apprêtait à lui offrir. Quel enfant, ayant fugué pour éviter un mariage de force pour se réfugier dans une immense cité où elle risquait sa vie en permanence, dormant à même le sol pouvait refuser l’accueil d’un homme qui lui offrait une chambre, un lit et trois repas par jour ?

Néanmoins, Va’he dût rapidement comprendre qu’elle n’était pas hébergée gratuitement et que son pain du midi se devait d’être mérité. Elle fit ainsi rapidement le tour des tâches à effectuer et commença, par toute logique, par les plus ingrates d’entre elles.

Deux mois passèrent et enfin, Va’he eut la permission de commencer l’entraînement. Un entraînement qu’elle suivra de sa 13ème année à son 21ème. On lui avait appris à se battre à mains nues mais également à l’arme blanche et à l’arc. Mais ce qui avait fini par passionner l’enfant qu’elle était, était le dressage. Ils étaient peu dans la compagnie à avoir cette capacité de faire d’une bête sauvage une véritable arme de guerre et elle avait décidée qu’elle serait des leurs.

Cette passion en fit naître une autre. Alors que certains membres partaient souvent à la chasse à de nouvelles bêtes à dompter, cela lui avait donné le goût du voyage. Les histoires de trésors en tout genre que ne cessaient de raconter Armand avait également fini de la conquérir. Va’he participa pour la première fois à une expédition lors de son 22ème anniversaire. Expédition qui se solda pour une trouvaille somme toutefois modeste mais satisfaisante aux yeux de la belle blonde. Depuis, il n’y a plus une seule année qui passe sans qu’elle n’arpente une terre désolée, abandonnée, pour y trouver des objets précieux qui rapporteraient gros. Va’he partageait donc son temps entre la lecture d’un maximum d’ouvrages qu’elle pouvait trouver, le dressage des bêtes de guerre, son entraînement continu ainsi que les missions qu’elle se devait de réaliser pour la compagnie.

Voyant continuellement Armand le Blond comme un mentor, elle le prit longuement comme exemple. Celui-ci avait fini par lui vouer une confiance aveugle et n’hésitait pas à lui faire grimper les échelons mais petit à petit.

C’était finalement comme bras-droit que Va’he parti en mission à Eofel. Employé par la maison Vossula, cela réveilla pas mal de souvenirs à la jeune femme qui avait fini par craquer et alla espionner quelques peu l’ancienne maison de son enfance. Elle y voyait une vieille femme balayant l’entrée de sa maison.
Va’he ne l’avait jamais avoué à personne mais depuis qu’elle bénéficiait d’une solde dans la compagnie, elle en envoyait toujours une grosse partie à sa mère. Comme un pardon pour sa fugue, comme un signe pour lui dire qu’elle était toujours vivante.

Une vieille femme mais pas de vieil homme. C’est finalement par l’interrogatoire de plusieurs habitants du quartier qu’elle finit par apprendre que son père s’était repenti, avait cessé ses excès et ne s’était jamais pardonné d’avoir perdu cette fille qu’il avait tant aimé.

Mort deux ans plutôt, l’épouse, sa mère, tâchait de subsister au mieux en veillant à garder la maison familiale, attendant toujours le retour de sa fille.

Un retour qui devra attendre. Car Ascanio Vossula était un employeur généreux mais également et surtout, une Diva qu’il fallait contenter au mieux et au plus vite pour éviter toute crise de nerfs.

HRP:

Bonjour !

Je viens à la chasse aux nouvelles!
Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord. Si aucun signe de vie n'est donné d'ici le 21 Octobre, ta fiche sera placée dans les fiches abandonnées, où il te sera toujours possible de la récupérer si le coeur t'en dit.

A bientôt  


EDIT: Va offrir des Cendrishoes à Mara si pas fini sa fiche avant le 21/10 Signe de vie donné par Discord! Tout est ok

Va'he a écrit:

Âgée d’à peine onze ans, son père qui ne voyait plus qu’en cette petite le fruit de l’infidélité de sa femme, eu l’idée de la vendre au plus offrant. Cela lui aurait permis de se débarrasser d’elle tout en épongeant l’entièreté de sa dette. Ainsi, il pourrait prendre un nouveau départ.  Sa mère quant à elle, n’était point d’accord mais à chaque refus qu’elle émettait, une gifle vint lui rappeler qui était l’époux et qui ne l’était pas. Refusant catégoriquement de se sacrifier ainsi, l’adolescente boycottait chaque rencontre ou chaque sortie qui avait pour but de l’exposer telle une marchandise. Cela se solda finalement par une fugue. Une fugue qui mena Va’he à rejoindre Thaar où elle survivait grâce au vol comme toute gosse des rues.

Vint ensuite un évènement qui allait complètement bouleverser la pauvre gamine : le Voile. Cela avait commencé avec un murmure qu’elle entendit de loin, puis la voix se fit de plus en plus insistante. Va’he se sentit soudainement happée par une folle envie de crier en pleine rue, de hurler toute la haine qu’elle ressentait envers son père au point où elle ne fit même plus attention à ce soleil qui ne daigna plus se lever. Pas une seule journée sans lumière ne passait sans qu’elle exprime cette haine. Vols, agressions, dégradations. Tout y tout le monde y passait jusqu’au jour où elle s’en était prise à  la mauvaise personne. Il se faisait appeler Armand le Blond. Sachez cependant que derrière ce nom somme toutefois humoristique se cachait un homme terriblement intelligent. Sa première réaction aurait dû être de châtier l’enfant mais au lieu de ça, il reconnut une certaine utilité à son art et la prit alors sous son aile.

C’est ainsi qu’elle découvrit la grande famille de la compagnie des Renégats dont Armand le Blond en était « le capitaine » même si aucune forme de titre n’était ici employée. Cette compagnie était bien différente du mercenariat classique. Ici, tous types de services pouvait être rendus : du meurtre au chantage, de l’espionnage à la mise à sac d’un quartier ou d’une petite ville.

Allez ! En espérant que tu ne l'abandonnes pas ta petite mercenaire.

Code:

[Métier] : Chasseuse de trésors

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Corps-à-Corps / Distance

[Alignement] : Chaotique Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.