Visite importante (pv les dirigeant)

Orelindë était arrivé la veille au soir après un long voyage dans la ville de Diantra. Le roi des hommes avait envoyé un message en Aleändir pour réunion d'urgence. Sa fille ne pouvant s'y rendre, Orelindë avait proposer de tenter le voyage a sa place. Ainsi avait-elle quitter la cour elfique pour partir seule sur les routes de Miradelphia. Théoriquement, elle était senssé avoir voyagé avec une escorte de jeunes et fringuant soldat elfes, mais la reine voulait profiter de ce voyage pour se retrouver. Elle était donc partit en pleine nuit, sachant très bien que son comportement ne serait pas approuvé.

Elle avait donc longuement chevauché pour enfin arriver en vue des toit de Diantra la veille au soir. Elle avait fait connaître son identité au garde et s'était précipité vers les appartements qui lui avait été réservé. La famille royale dormait déjà et la reine ne s'était pas reposer depuis des jours, voulant arriver le plus vite possible au terme de son voyage. C'est donc épuisé qu'elle s'était couché, pensant présenter les salutation d'usage le lendemain.

C'est ainsi que lorsque le soleil se leva, la jeune femme était déjà debout et sortait de ses affaires la robe la plus présentable qu'elle avait. Quelques minutes après, Orelindë sortit de ses appartements, sublime. Elle avait revétu une longue robe ecarlate, très simple mais qui mettait en valeur sa peau clair et ses cheveux blond. Elle avait d'ailleur relevé certaine mèche de sa magnifique chevelure doré en cheignon et avait déposé dessus une résille de minuscule rubis. Le rouge et l'or se mariant parfaitement, l'effet en était saisissant.

C'est donc ainsi vétu mais un poignard dissimulé dans chacune de ses manche qu'elle se rendit dans la salle du trone. Elle poussa la porte et avança dignement vers l'assemblé.

[HJ : J'attend qu'au moins deux dignitaires de Diantra réponde avant de réponde.]

Après avoir finit la réunion avec une bijoutière prometteuse, qui voulait devenir la bijoutière attitrée de la reine, Ultuant se tourna vers le garde près de la porte.

"Qui dois-je recevoir maintenant ?"

"Órelindë d'Alëandir, la reine elfe, attends de pouvoir entrer" répondit-il d'une voix forte.

Ultuant se massa le front, se rapellant qu'il l'avait convoqué.

"Bien sur. Faites la venir tout de suite. Ca ne se fait pas de faire attendre les gens comme ça."

La reine se présenta dans une superbe robe écarlate. Le roi se leva et avança vers elle, les bras tendu.

"Ma chère, cela faisait si longtemps que je ne vous avait pas vu. Comment allez-vous ?"

Il lui fit un baise-main.

"Et votre fils ? Toujours aussi pétillant ?"

L'ambiance s'était tout d'un coup assombrit lors de la question sur le roi des Elfes. Conrad, qui avait entendu parler de l'arrivée de la souveraine des Elfes, venait d'apparaître, arrivant par l'entrée principal de la salle d'audience. Vêtu comme à son habitude, c'est-à-dire d'une manière sombre, mais élégante, il s'inclina devant son roi et ami, pour ensuite faire de même face à Òrelindeï. Ayant perçut la question du roi abordant sur le roi des Elfes, Conrad fut légèrement étonné d'une telle question. Le roi n'avait-il pas eu vent de la mort du souverain elfique?

- Sire, si je puis me permettre, le roi des Elfes a été assassiné voilà maintenant près d'un mois... chuchota-t-il à l'oreille d'Ultuant. Votre Altesse, reprit-il de son ton habituel, votre arrivée parmi nous me comble de joie, comme à l'habitude. Je reste néanmoins accablé par la perte de votre époux, le souverain d'Alëandir.

Malgré tous les efforts qu'il faisait, le maître d'arme eut tout de même une pensée heureuse. Il n'avait pas oublié la nuit qu'il avait passé avec la reine, voilà de ça quelques années...

(HJ: XD, si tu veux développer sur ça, ça serait bien intéressant :) )

Orelindë entra donc avec grâce et élégance et s'inclina légérement devant le roi. Celui ci s'était levé et était venu vers l'elfe, les bars tendu. Elle tendi délicatement sa main et Ultuant lui fit un baise main. Elle sourit élégamment et prit la parole d'une voix douce mais sauvage.

-Je vais très bien, je vous remerçit ! J'espère que votre pays et votre personne se porte a merveille ? En tout cas, a ce que j'ai pu en voir, votre royaume est florissant ! Mon fils est lui aussi en parfaite santé.

Les deux dirigeant évitèrent le sujet de sa fille qui était toujours un sujet brulant. En effe, sa fille était la nouvelle dirigeante d'AleÄndir mais elle avait refusé de voyager jusqu'a Diantra, dans ce pays qu'elle qualifiait de "barbare et retardé".

L'arrivé d'une autre homme interrompu ses politesse. sans qu'elle put voir son visage, elle l'entenbdit chuchoter quelques mots a l'oreille du roi. Celui ci avait apparament oublier l'ouie fine des elfes car la reine avait tout entendu. mais elle se garda de la faire remarquer, ne cherchant pas à ètre impoli. L'homme se tourna ensuite vers elle et lui souhaita la bienvenue. Elle répondit d'une voix égaleen faisant un geste gracieux de la main.

-Je vous remmerçit de votre solicitude... La mort de mon mari est en effet une grande douleur pour moi et le royaume.

C'est alors que son regard rencontra celui de l'homme qui lui faisait façe. Elle le reconnut alors et retient une exclamation surprise. Il y a de cela quelques années, lors d'une visite avec son époux au roi de Diantra, elle était sortit découvrir en pleine nuit le palais. Et c'était retrouver nez à nez avec l'homme. Il avait combattu toute la nuit et pour une fois, la reine avait penser que les humain n'était pas si nul. Mème son niveau n'égalait pas celui d'un elfe, l'homme était très fort.

Il aurait pu se passer énormément de cchose cette nuit là si le soleil n'avait pas apparu...

- J'espère que votre pays et votre personne se porte a merveille ?

Ultuant se tourna sur lui-même pour que Orelindë l'observe.

"N'ais-je pas l'air en pleine forme ? Pour ce qui est du royaume, c'est une autre paire de manches. Mais je fais ce que je peux pour maintenir la barre sur la bonne route."

Le roi capta l'exclamation qui passa dans les yeux de la reine des elfes, avant qu'elle ne reprenne une attitude digne. Ils se connaissaient, cela était sur, mais plus que bien. Quelque chose avait du se passer entre eux, mais Ultuant ne le savait pas. Il du faire avec et les observa avec encore plus de précision, son regard essayant de les pénétrer. Puis il les présenta pour sauvergarder les apparences et ne pas leur montrer sa suspiscion croissante.

"Je vous présente Conrad de Payn, mon fidèle maitre d'armes. Peut-être l'avez-vous déjà croisé lors d'une de vos nombreuses visites. Il m'aide comme un diable, le pauvre. Toujours en train de courir à droite et à gauche pour moi. Je ne sais pas ce que je ferais sans une personne en laquelle j'ai autant confiance."

Perdu dans ses pensées, Conrad fut tirer de sa rêverie brusquement lorsque le roi le présenta officiellement à Òrelindë. Reprenant ses manières austères de sévérité totale, il s'inclina une seconde fois devant la souveraine elfique, comme le voulait la tradition.

- Majesté.

Il avait dit cela d'un ton neutre, indéfinissable. Il était impossible de savoir à quoi le maître d'arme pensait en ce moment précis, moment où le regard qu'Ultuant portait sur lui devenait agaçant. L'observant du coin de l'oeil d'un air strict, regard qui, habituellement, faisait comprendre sans paroles au roi que ce dernier le dérangeait légèrement, il retourna les yeux vers Òrelindë, d'un même oeil d'acier.

- Si je puis me permettre, dit-il d'un ton sévère, son Altesse elfique ne doit pas voyager seul sans raison importante. Je crois savoir que vous avez demandé une audience de la plus haute importance avec les hauts dignitaires de Diantra. Je crois par conséquent que nous pouvons commencer -

Conrad fut interromput par les toussotements d'un homme venant d'apparaître dans le cadre de la porte. Vêtu richement d'une toge verte, ses cheveux sombre et frisant tombant sur ses épaules, le conseiller du roi venait d'entrer dans la salle d'audience. Maigre et pâle, cet être inspirait de dégoût à la plupart des gens qu'il rencontrait, étant connu pour sa lâcheté et pour son caractère infiniment arrogant. Les yeux noirs, quelques mèches grises commençaient à se montrer dans son épaisse chevelure. Un sourire mesquin sur le visage, il approcha du roi pour s'agenouiller devant lui et lui faire, comme le veut le protocole, le baisemain.

- Sire, commença-t-il d'un ton d'une grande douceur, Pardonnez mon retard, mais il semblerait qu'on ne m'est pas transmit le message de cette rencontre... Hôôôô!!! fit-il en appercevant la reine elfique, Majesté, c'est un honneur de vous revoir aussi, j'en suis fortement... touché...

Il avait hésité sur le dernier mot avant de lui faire à son tour le baisemain, comme si il avait dû ravaler une autre parole qui aurait pu lui faire perdre sa langue de vipère. Jetant un regard méprisant à Conrad, ce dernier ne s'en souciait guère. Grogner était bien la seule chose que ce bâtard de chien pouvait faire, jamais il n'oserait le mordre... sauf peut-être de derrière. En fait, Conrad ne se préoccupait pas plus du roi, ni du conseiller. Ses sens étaient tournés vers Òrelindë, qui elle observait le conseiller d'un drôle d'air. Conrad se rappelait tout de leur soirée... Tout...

Cela faisait déjà dix ans... Un Conrad bien plus jeune se dirigeait vers ses appartements dans les nombreux couloirs lorsqu'il vit une ombre blanche passer devant lui, semblant égaré. Entreprenant de la suivre, les deux échappés au maître du sommeil se retrouvèrent bientôt en pleine cour intérieure, sous la lumière froide de la lune. Aussitôt qu'il fut à un mètre d'elle, cra c'était bel et bien une femme, cette dernière matérialisa une épée qu'elle saisit et dirigea vers Conrad, près à l'attaquer. Bien entendu, un combat s'en suivit, un combat dans le silence, dans la nuit. Il dura jusqu'au levé du soleil, où, épuisé, la femme avait tenté un dernier coup, coup que Conrad bloqua, mais n'ayant plus de force, les deux tombèrent à la renverse, elle par dessus lui. C'est à ce moment seulement que les deux se reconnurent mutuellement... Et puis, sans prévenir, ils s'embrassèrent. Ils s'enlacèrent et échangèrent un de ces baisers qui peut changer le cours d'une vie toute entière. Puis, au lever du soleil, Òrelindë détala, laissant un Conrad encore sous le choc des événements... Cette soirée, il ne l'a jamais oublié, et, présentement, en la voyant, c'est à ces anciens événements qu'il pense...

(Je suis en feu! )

Lelyan entra dans la salle du trône d'un pas vif, vêtue de bleu roi et d'or, elle se dirigea vers la Reine elfique afin de l'accueillir comme il se doit. Ses cheveux blond cascadaient dans son dos et bougeaient au rythme de sa marche assurée. Elle marqua un temps d'arrêt que l'on pouvait traduire par du dégout en remarquant la silhouette courbée du conseiller. Elle lui jeta un regard sévère à cet homme qu'elle détestait cordialement. Elle salua son homologue elfique ainsi que le Roi et Conrad, mais omis délibérement de saluer le conseiller. La Reine se place entre son époux et cette vipère véreuse, voulant inconsciement éloigner ce personnage de son époux.

-"Veuillez excuser mon retard, j'ai été retenu. Heureuse de vous savoir parmi nous Altesse. J'espère que vous vous portez bien, ainsi que le royaume elfique."

Elle jeta un regard en bié au conseiller qui semblait vouloir ajouter quelque chose, d'un regard elle lui fit fermer la bouche. La Reine ne voulait pas entendre ne serai ce que le son de sa voix. D'ailleurs, elle n'appreciait guère le fait de le savoir ici, elle aurait préféré qu'ils s'entretiennent sans lui, mais elle ne pouvait malheureusement pas le congédier.

-"Que nous vaut le plaisir de votre visite ma chère ?" Demanda t-elle à la Reine elfique, intriguée de la savoir être partie en pleine nuit sans escorte.

Matador n'avait jmais rien eu contre les elfes, mais aujourd'hui, il le placerait à la même place que la famille royale de Diantre. Cette soi-disant reine venait de lui manquer de respect, et comme il était connu, on ne manquait pas de respect à matador kondor. Il ne réagit toute fois pas. il n'y eu qu'une vague lueur de méprit sur don visage et il dit en se reprenant.

Majesté, J'ai le grand plaisir de voir que votre humour est toujours aussi désopilant.

Il avait dit cela avec un sourire très convinquant, mais ses yeux exprimaient la froideur qu'il éprouvait pour cet être qui venait dans le palais pour le ridiculisé.

Puis, il se trouna ver la reine de diantra, qui l'avait souverainement ignoré. Il la regarda avec un sourire et se permit une phrase.

Majesté, je vous salue. Comment vous portez vous.

Puis vers conrad, toujours un gêneur celui-là et il le serait tant que Matador ne l'aurait pas éliminé.

Maître d'arme, quittez donc cette mine sévere, aussi loin que je me souvienne je ne vous ai jmais vu sourire.

Il avait dit cela avec un léger sourire ironique que seul Conrad avait pu voir. puis, il se tourna vers son roi.

Mon seigneur, je me tiens à votre entière disposition.

Puis il se plaça à la gauche du roi.

Ultuant regarda toutes ces personnes arriver en même temps. Il attrapa sa femme par la taille et lui plaça un baiser sur la joue. Il aimait toujours autant sa présence, elle était belle et il ne cessait de lui dire. Mais il ne pensait pas que cela la dérangea outre mesure, sinon elle lui aurait surement fait la remarque un jour ou l'autre.

"Typique de mon maitre d'armes. Toujours en train de se préoccuper de la santé des autres. Il y eu même un jour où il me garda de force dans mon lit alors que j'étais fievreux. Il s'était placé un siège contre la porte de ma chambre, son épée sur ses jambes croisées et à attendu toutes la journée ainsi. Au moindre mouvement de ma part, il pointait son épée vers ma gorge pour me dissuader de me lever, alors je faisais juste semblant de me tourner. Finalement j'ai tout de même réussi à le berner ce sacripant grâce à la prêtresse qui m'apportait mon remède. J'ai profité de son attention concentré sur la nouvelle entrée pour faire un petit sort de téléportation et m'enfuir dans les jardins. N'empêche qu'il m'a retrouvé et trainé par le col jusqu'à ma chambre à nouveau. Toujours aux petits soins ce cher Conrad, c'est pour ça qu'il est mon maitre d'armes d'ailleurs."

Mon seigneur, je me tiens à votre entière disposition.

Ultuant regarda le conseiller, un sourire sur les lèvres.

"Mais je le sais mon cher, je le sais. C'est votre travail, je sais que je peux toujours compter sur vous en cas de besoin."

Reportant son attention sur la reine des elfes, il l'observa un moment. Elle avait l'air fatiguée. Son allusion aux elfes noirs et troll n'avait pas échappée à Ultuant. Surement qu'elle ne devait pas dormir autant qu'elle le souhaitait, un peu comme lui-même par les temps qui couraient. Des décisions importantes devaient être prises en toutes heures du jour et de la nuit, ce qui restreignait beaucoup les moments de repos pour les souverains.

"Bien sur ma chère" dit-il. "Bien sur que je souhaite renouveller notre amitié et nos échanges si amicaux. Voulez-vous boire quelque chose ?"

Ultuant fit un geste vers un coin de la pièce où des chaises étaient installées en cercle autour d'une petite table.

"Venez-vous asseoir. Vous devez être fatiguée par voitre voyage. Nous discuterons ainsi de nos diverses méthodes pour éradiquer l'engeance des elfes noirs. Il faut à tout prix conjuguer nos efforts, ma dame."