Les pavés de la rues...(Ange)

Ange avait quitté le château depuis quelques minutes et pour une fois pas en toute hâte, elle avait clairement affirmé sa position a ses frères et choses étonnantes elle s’était lié d'agréable façon avec une des nobles de la cour.

Qui aurait crue un jour qu'elle Angelina Dawson si réfractaire a toute noblesse pourrait se prendre d'affection pour une noble autre que sa cousine , c'était pourtant arrivé , c'est donc l'esprit serein et un léger sourire aux lévres qu'Ange déambulé dans les rues en direction des bas quartiers , il lui tardait de retrouvait son dispensaire .

Plus elle avançait, plus son regard se faisait triste, il y'avait tant de misères en ce monde, si seulement les nobles donnaient un peu de leurs argents pour les pauvres gens, le bas quartiers ne serait pas si plein de famille dans le besoin, de pauvres âmes errantes malades ou mourant de faim.

Elle faisait de son mieux pour les aidés prodiguant ses soins gratuits jusque dans les orphelinats, donnant le peu d'argent qu'elle avait. Mais c'était une si petite pierre dans l'édifice , mais maintenant qu'elle se savait duchesse du moin sur papier hors de question d'assumé cette tache, les choses allaient changés, elle allait pouvoir faire tellement plus pour ses pauvres gens.

Marchant tranquillement la tète déjà remplie de tout ce qu'elle allait accomplir, elle se fit heurté brutalement , diable c'était la deuxième fois de la journée qu'il lui arrivait ce genre d'incident mais cette fois, elle n'était pas en cause.

Elle se recula de quelques pas pour voir l'auteur du crime et grimaça intérieurement, Mr arrogance dans toute sa splendeur se trouvait devant elle, il avait ce genre de beauté froide qui attire les demoiselles de la cour et il avait cet air de rebel qui fait vibré les pauvres femmes empêtrés dans un mariage arrangé.

Il était beau du moin si ont aimait ce genre la et au vu de son air fier, a n'en pas douté il était trop beau pour son propre bien, a son accoutrement c'était un noble a n'en pas douté et contrairement a sa rencontre du matin Ange était certaine que la discution qui allait débuter serait bien moin agréable.

Regardez où vous mettez les pieds.

Oh le rustre ....

Elle le regarde, un sourire entendu sur les lèvres , si il croit s’en tiré ainsi , il se trompe .

Si vous ne savez pas marcher sans vos valets, vous ne devriez pas sortir ... Et au lieu de vous affublez de vêtements couteux vous feriez bien mieux de vous offrir des cours de politesse.

Ne lui adressant plus un regard, elle détourne les yeux, le contourne et s'apprête à reprendre son chemin.

Raphaël n'avait qu'a peine effleuré cet obstacle pitoyable lorsqu'une voix féminine l'interpella telle une poissonnière tentant de vendre sa marchandise. Elle avait un timbre de voix des plus...Hérissant. Entre l'aigue et le contre alto.

Finalement, il baissa les yeux sur...Un sourcil d'ébène se leva doucement...Sur....Un coin de sa bouche s'étira sur le haut en un prémisse de fou rire..Sur...Un..Une...Femme ? Homme ? Ces prunelles de glace firent un aller retour sur la chose, de haut en bas, de bas en haut...Vêtements masculins, mais de bonne facture, silhouette gracile, une femme a n'en pas douter mais accoutrée comme un homme, bref, une travestie. Ou alors, une gourgandine qui cherche a s'attirer les bienfaits de riches amants. Tout était possible a Diantra.

L'étrange chose le contourna pour passer son chemin mais ses paroles résonnaient encore dans son esprit....

-Au lieux de vous affubler de nipes dignes d'un mendiant, vous devriez apprendre a vous tenir comme une femme...Vous n'aurez pas beaucoup de...mmmh...Clients ainsi vêtue.

Une fille de joie ? Croyez vous ? Et bien Raphaël ne s'en priva pas. Après tout, il n'avait que faire de son avis, il disait ce qu'il lui passait par la tête et là...C'était qu'elle ressemblait a une gourgandine en quête d'un riche protecteur...Autant lui dire que sa mise ne l'aiderait certainement pas.

Ange sent comme un regard pesé sur elle alors qu'elle s'apprête à poursuivre son chemin, un regard qui elle en est sur ne lui plairai pas , elle n’en a connu que trop pour ignoré la désagréable sensation qu’elle ressent dans le bas du dos , qu’importe elle prend sur elle, il n'est qu'un rustre, pas la peine de perdre son temp avec lui. Sauf que le dis rustre semble avoir du temp à perdre lui .

Aux lieux de vous affubler de nippes dignes d'un mendiant, vous devriez apprendre à vous tenir comme une femme...Vous n'aurez pas beaucoup de...mammy...Clients ainsi vêtue.

Ange s'arrête nette, son sang ne fait qu'un tour, vient t'il vraiment d'osé la prendre pour une fille de joie, elle devrait se contrôlé, elle pourrait se contrôlé mais elle ne le fera pas, elle se retourne pose sur lui un regard aussi outré qu'en colère, son bras se lève et s'abat sur la joue de l'impudent dans une gifle magistrale qui après coup ne laisse qu'une épaisse trace rouge.

Son bras retombe, elle se calme du moin elle essait, il ne la pas volé, jamais encore personne n'avait osé la traité ainsi, elle plante a nouveau son regard dans le sien se retenant tant qu'elle peut pour ne pas le giflé a nouveau, elle y parvient mais ses lèvres elles ne peuvent restés closes.

Vu votre allure, il est évident que seule femme qui veut de vous se fait payer pour cela, mais avant de confondre une femme de ma trempe avec une fille de joie a l'avenir je vous conseillerai d'y réfléchir a deux fois car croyez bien que je serai trop heureuse de vous giflez a nouveau.

Et cela était une vérité absolue , rien que la vue de l’homme semble la mettre hors d’elle , elle , une fille de joie , diable comment l’idée n’a pu ne serai ce que l’effleuré , Ange inspire profondément , jamais sa main n'était partie si facilement et jamais au grand jamais le regard d'un homme ne l'avait énervé a ce point , arrogant ,sur de lui , fier et pourtant il n'avait pas de quoi , il n'était rien de plus qu'un pauvre type qui visiblement s'offre les plaisir de certaines demoiselles , il faut dire qu'au vu de son comportement il ne peut surement pas espéré mieux .

Vous savez d'une certaine manière j'ai pitié de vous ... Vous ne savez jugez qu'une femme a son apparence c'est donc que vous ne connaissez aucunes vrais femmes, vous n'êtes sans doute qu'habitués aux courbes que l'ont vous sert sur un plateau contre quelques pièces mais au moin je vous accorde une qualité vous êtes réaliste , qu'est ce qu'un homme comme vous pourrez espérez d’autre .

Pitié voila sans doute des mots que l'homme dans sa grande arrogance n'aimerait pas, les mots avaient parfois bien plus d'impact que les coups alors qu'est ce qui ferait le plus mouche avec celui la, la gifle ou le reflet par des mots de la triste vérité de ce qu'atait sa vie.

-Habillée comme une chiffonnière et des manières de rustaudes...

souffla-t-il en sans même se frotter la joue. Superbe gifle digne des plus grandes pimbeche de la création, il devait en convenir. Un demi sourire réhaussa sa bouche. Nulle colère, juste un certain mépris, de celui qu'a un adulte pour un enfant revêche. Il la laissa déblatérer tranquillement, hochant parfois la tête a certains mots, comme un maitre écoutant son elève lui réciter sa leçon du jour. Lorsqu'elle eut finit de parler, il leva les deux mains et applaudit légèrement.

-Bravo, joli discour digne des plus naïve jeunes vierges de Diantra ! Si, si, j'admire votre verve et vos mots choisit avec soin ! Tant de passion pour défendre sa fierté égratignée par quelques mots ! c'est admirable ! Et totalement puéril, vous parliez de vraie femme ? Et bien sachez qu'une femme n'aurait pas même relevé un sourcil, écrasant de son dédain souverain ces quelques mots outranciers. Votre jeunesse surement, un manque flagrant de maitrise de soi. C'est dommage. Mais je ne pouvais m'attendre a plus de classe d'une petite chose vêtue comme une paysane et vociférant telle une poissonnière.

Reprit il tout en ôtant délicatement une poussière inexistante de son épaule, souriant légèrement paternaliste sur les bords. L'air superbement énervant d'un cygne comtemplant un petit canard voulant jouer dans la cour des grands.

Arrogance, le mot qu'il le définit le mieux sans doute, il la traite de rustaude dans sa naïve ignorance alors que c'est lui le rustre, il se croit supérieur peut être bien de par sa noblesse, si il savait ce pauvre bougre, ah grande chance pour lui qu'elle méprise le faite d'être noble sinon il aurait été facile de testé qu'elle est la place de Mr dans la société.

Un sourire s'étire sur ses lèvres , ces premières paroles étaient certes blessantes mais sil il croit l'énervé avec celles ci , il se leur , c'est la juste un moyen de défense pour ne pas perdre sa superbe , il a l'air d'un pauvre chien égaré, un petit caniche de noble qui voudrez etre un loup , il doit probablement en avoir les dents aussi longue , tout du moin aussi longue que son ambition et cela ne doit pas être mince affaire .

Des manières de rustaudes, diable regardez vous, quel est le rustre qui a bousculé l'autre sans excuses avant de l’insulté. De par votre noblesse vous croyez supérieur et bien vous ne l'êtes pas ... Vous n'êtes rien d'autres qu'un odieux noble qui doit compenser son manque de compagnie par de vils mots car dans sa vie les seuls personnes qu’il a sont soient payés pour y’etre , soit pour y obtenir un quelquonque intérêt.

Elle se met a hauteur prête à reprendre son chemin n'ayant que perdu trop de temp avec Mr arrogance.

Quand à votre image de la femme, mon pauvre ami, vous décrivez la une épouse accablé sous le coup d'un mariage arrangé ou une courtisane qui attend son paiement. Une vraie femme et pas une petite noble coincée ou une gourgandine ne resterai jamais impassible pendant qu'un homme l’insulte, de plus un homme avec aucun autre attrait que sa grande prétention.

Son sourire se fait plus large, elle lui adresse un signe de tète puis commence à reprendre son chemin.

Mais j'ai était bien naïve de vous accordé la prétention de savoir ce qu'était une vraie femme, vous n'en savez rien visiblement.