[Doth'Ka] La divine malédiction [PV Aryl] /!\ Sexe et Violence

Le siège d'Alonna s'était achevée sur une cinglante défaite, les jours chariant leurs lots de rescapés, de blessés et de mourants. Jour après jour, les sombres rentraient dans le sombre volcan, mais toujours aucune nouvelle de la Reine. Dartan attendait anxieusement dans ses appartements, se maudissant encore d'etre bloqué au Puy par la surveillance de l'héritier. La Reine avait donné ses ordres et ils étaient implacables, Ténélas se devait de les suivre, mais ce sentiment d'inutilité était encore plus évident depuis qu'il avait contemplé les lambeaux de la fière et puissante armée rejoindre la capitale. Il pestait silencieusement, attendant patiemment des nouvelles plus intéressantes que les "ils nous ont massacrés" que répétaient les pauvres pécores qui avaient fui comme des laches.

La porte claqua lorsqu'un des gardes pénétra dans les appartements de son chef. Dartan, adossé contre un mur, fut sorti de ses pensées et tourna la tete vers l'intrus, le regard sombre. Le drow s'arreta et se mit au garde à vous, avant de déclarer de sa voix éraillée.

Monseigneur...

Quoi?! Tu as intéret à avoir une bonne raison de rentrer sans frapper, Vhar'inn!

Je ... Je pensais que ...

Tu pensais?

Je venais vous apporter le premier rapport, Monseigneur!

Le drow, malgré sa taille et sa largeur, était impressionné par Dartan, sa froideur, exacerbée depuis sa rencontre houleuse avec le Prime Conseiller, imposait un certain malaise à quiconque se retrouvait seul face au sombre. Il tendit un parchemin, se concentrant pour ne pas trembler face à son supérieur. Dartan se saisit du parchemin sèchement, grognant vers le soldat un.

Sors, cafard.

Il le déroula et se mit à lire les premières informations réelles. Il parcourut rapidement le compte des rescapés, puis son regard s'arreta sur la catégorie "Prisonniers"... Prisonniers? En effet, trois prisonniers s'étaient échoués sur les terres des sombres en meme temps que les restes de l'armée. Les prisonniers avaient été gardés en vie pour etre interrogés par "l'unité de torture" disait le rapport. Ténélas se put retenir un sourire cruel à la lecture du terme, cette unité de torture, il préférait l'appeler la Garde Noire, et celui qui dirigerait les interrogatoires, c'était lui. Il acheva la lecture du rapport, les prisonniers étaient des elfes. Un frisson, mélant excitation et cruauté, parcourut sa colonne vertébrale et il laissa tomber le parchemin sur le sol tandis qu'il sortait de ses appartements, prenant, dans un pas ferme et décidé, le chemin des geoles.

~~~~~~~~~~~~

Il pénétra dans la cellule sombre et crasseuse, poussant la porte de fer qui laissa échapper une araignée velue et grosse comme le poing de son chambranle. Il était suvi par deux de ses guerriers, un prisonnier chacun, ces drows étaient des privilégiés et ils le savaient. Dartan parcourut du regard les corps sales, au vétements arrachés et amaigris qui se tenaient à ses pieds. Deux males et une femelle, le choix était difficile. Les hommes étaient plus résistants, mais les femmes permettaient des scéances de torture ou la luxure trouvait sa place avec la violence, le sadisme et la cruauté. Il prit la parole.

Ma Dame! Messieurs! Votre voyage a du etre long! ...

Il marqua un temps d'arret, s'attardant sur le visage de la femme. Ce visage ... Il le connaissait par coeur, elle était responsable d'un de ses plus gros échecs dans le temps passé, l'attaque de l'Armée des Divins. La chef se trouvait là, à ses pieds. Les yeux fixés sur le visage de la jolie elfe et il déclara.

Je m'occupes de la femme, prenez les males et sortez! Sortez!!

Les drows emportèrent les deux elfes en les trainant sur le sol et Dartan se pencha vers sa victime, exhalant une haleine fétide.

Arylwren Isadith! Quel honneur ma chère! Nous allons pouvoir discuter ensemble!

Il saisit violemment l'elfe pour l'attacher sur la table. Dartan prendrait son temps, il voulait des informations avant tout. Tandis qu'il finissait d'attacher les pieds fins d'Arylwren, il ajouta.

Racontez-moi cette bataille, Dame Arylwren!

Il sortit une dague courbe avant de l'aiguiser, un sourire malsain illuminant son visage. Il murmura une sombre prière à Khiel avant de se pencher sur sa victime.

Elle se réveilla dans une geôle froide et sale. Sur le champ de bataille, juste avant qu'elle ne perde conscience, il lui semblait que c'était un guérisseur allié qui s'occupait d'elle. Manifestement la douleur lui avait voilé les yeux... Son armure lui avait été retirée et son hémorragie stoppée. Arylwren inspecta précautionneusement sa blessure et remarqua qu'elle avait été recousue. Grossièrement certes, mais cela avait permit à l'hémorragie de se stopper. L'elfe n'était pas seule, il y avait deux autres hommes avec elle. Elle les avait déjà croisé à maintes reprises, que ce soit sur le champ de bataille ou lors d'entraînements. Wren apprit par ses compagnon de cellule qu'elle se trouvait entre les mains de ses pires ennemis, et, au vu de l'endroit cela ne l'étonnait en rien. La jeune chef n'avait pas peur de mourir, elle s'était faite à l'idée mais elle redoutait plutôt les tortures des Sombres. Les trois prisonniers ne pouvaient qu'attendre, c'est tout ce qui leur restait à faire. Sa blessure lancinante l'avait considérablement affaiblie. Son teint blafard et son immobilité en étaient la preuve. Le temps passait incroyablement lentement, comme si le fait d'attendre sa mort parvenait à le figer. Les prisonniers échangeaient quelques mots de temps en temps, sans grande envie. Leur interminable attente fut brisée par des bruits de pas qui approchaient. La porte de la geôle s'ouvrit brusquement, un homme entrant suivit par deux autres. La jeune chef leva les yeux vers le premier homme. Il était incroyablement grand et musclé, imposant le respect. Elle ne retint de lui que son regard, violet et sournois. Il prit rapidement la parole de sa voix enrouée.

Ma Dame! Messieurs! Votre voyage a du être long! ...

Les prisonniers se regardèrent furtivement d'un regard entendu, tel un adieu. Le drow posa ses yeux sur Arylwren et y attarda son regard de sadique. Elle le fixa à son tour d'un air défiant.

Je m'occupe de la femme, prenez les mâles et sortez! Sortez!!

Les deux autre hommes emportèrent ses comparses prisonniers mais elle ne quitta pas le regard du drow. Il se pencha vers la Sylvaine et ouvrit la bouche pour parler.

Arylwren Isadith! Quel honneur ma chère! Nous allons pouvoir discuter ensemble!

Discuter...La jeune elfe savait bien qu'ils ne feraient pas que discuter gentiment. Le drow l'attrapa violemment se qui la fit grimacer de douleur et serrer les dents. Il l'attacha sur la table, surement une table de torture. Elle ne pouvait se débattre à cause de sa blessure et de toute façon c'était peine perdue.

Racontez-moi cette bataille, Dame Arylwren!

Elle le vit sortir une dague courbe et l'aiguiser patiemment, un sourire étirant ses lèvres. Il murmura quelques chose et se pencha vers Wren. Elle planta son regard émeraude dans celui de son bourreau.

Je n'ai rien à vous dire pauvre chien. lui lança t-elle d'un air dédaigneux.

[HRP:Violence et sexe!!]

Elle défia du regard Dartan sans la moindre hésitation, l’insultant et n’ayant rien à dire. Elle le toisait fièrement malgré sa position, tandis que le sombre se penchait vers son visage en souriant, un lueur de sadisme brillant au fond de ses prunelles. Il posa la pointe de sa lame sur le ventre plat et pale de l’elfe, retenant l’arme du bout des doigts, alors que son autre main caressait les cheveux ébouriffés et sales qui s’étalaient sur les croutes de sang séché qui maculaient la table.

Quelle vulgarité, ma chère ! Une si belle personne ne devrait pas utiliser de tels mots.

Il fit tourner le couteau entre ses doigts, la lame pénétrant la chair délicate sur quelques millimètres, puis il commença à décrire des cercles sanglants sur le ventre parfait d’Arylwren, creusant un sillon atroce en riant à chaque giclée de sang. Il plongea de nouveau son regard dans celui de l’elfe, se remplissant de larmes, avant d’ajouter.

La bataille !! Racontez moi cette bataille !!!

Il fit sortir la lame de la chair et d’un geste rageur, il tailla les guenilles crasseuses qui couvraient la poitrine de sa proie, la découvrant. Dartan empoigna un sein violemment, le soulevant légèrement et mit sa lame en dessous, près à le couper.

Avez-vous des enfants Dame Arylwren ? Non, vous etes bien trop jeune … Et si je coupais vos mamelles ? Comment feriez vous pour nourrir les prochains ?

Son regard fou était fixé sur le visage de l’elfe, ses traits tordus par le mépris et la haine. Sa main s’attarda sur la poitrine ronde et ferme de l’elfe. Ténélas prit le temps d’observer ce corps de femme quasiment nu, totalement offert à ses moindres vices, un torrent de lubricité coulant dans ses veines. Il laissa tomber le couteau sur le sol, avant de monter sur la table, à quatre pattes, au-dessus de sa proie. Il ota les derniers voilages qui couvraient l’entrejambe et le haut des cuisses d’Aryl, découvrant, avec un sourire malsain, le sexe de l’elfe. Dartan fit tomber son pantalon sur ses genoux, et s’introduit en elle violemment. Il saisit bien la taille de sa victime et envoya de grands coups de reins, grognant à chaque impact dans l’intimité violée d’Arylwren. Le viol dura plusiers minutes, sans interruption, sans vraiment de gémissement de plaisir, sans réel plaisir. Dartan le faisait comme un devoir, un rituel lorsque sa victime était une femelle, sans broncher, se souciant peu des crachats, des cris et des pleurs que pouvaient émettre les femmes. Il allait et venait en elle sans la moindre tendresse, le moindre baiser, la moindre caresse, le seul contact autre que sexuel était son regard pervers braqué sur le visage noyé de larmes de sa proie. Il la gifla une première fois, riant aux éclats en augmentant encore la violence de ses coups de bassin, puis il remit une seconde gifle sur le visage légèrement tuméfié de la belle elfe. Le troisième coup fut un réel coup de poing, lui ouvrant la lèvre violemment et le sombre se raidit de jouissance peu après. Il reprit son souffle quelques secondes, avant de s’extirper de l’intimité outragée de l’elfe et descendre de la table pour se rhabiller.

Peut etre pourriez vous demeurer vivante ?

Dartan attisa les flammes mourantes de l’atre qui tronait à l’autre bout de la salle de torture et y déposa un fer. Il observait l’objet rougir petit à petit alors qu’il s’adressait toujours à Aryl.

Dites-moi ma chère … Comment le roi a-t-il pu rassembler une armée si vite ? Et pourquoi y a-t-il des elfes parmi cette armée ?

Il sortit le fer rouge écarlate, un immense sourire illuminant son visage dément et se dirigea vers la table d’un air réjoui. Il posa le métal incandescent sur la plante des pieds de l’elfe lorsque les réponses se firent attendre, puis observa de nouveau le visage de l’elfe nue, attendant une réponse qu’il était déterminée à obtenir.

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