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| | [Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle |  |
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Tebirahc Zaurahel
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Taille : Niveau Magique : Spécial.![[Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: [Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle ![[Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/13/06/08/i_icon_minitime.gif) Sam 14 Nov 2009 - 16:51 | |
| Le temps s’écoule, ne laissant guère entendre plus que le doux son d’un ruisseau aux eaux calmes bordés par les sentiers éternels, il s’écoule dans l’indifférence du sombre seigneur qui déjà avait tant vécu qu’il ne trouvait guère l’envie de s’intéresser encore à son défilement, l’éternel ne s’encombre point des préoccupations futiles.
Il était passé quelques jours depuis le retour de sa précieuse esclave, outil même d’une vengeance antique mais toujours présente, Oloryle, et s’il ne s’était pas montré des plus attentionnés avec elle, la maintenant pour l’heure à l’écart de sa fonction, la laissant s’occuper de quelques tâches tandis qu’il s’en allait inspecter ses troupes, gardant sous tension les milliers de soldats sous ses ordres, car bien qu’il n’ait pas encore l’assurance de partir en guerre dans l’immédiat, son père avait préféré lui transmettre cette idée de garder sous pression les hommes, ne pas les laisser léthargique trop longtemps pour obtenir d’eux le meilleur, tout de suite.
Ce matin là, alors qu’il avait affecté Oloryle aux tâches ménagères de la demeure de sa mère, il reçut la visite d’un des assistants de l’artisan à qui il avait passé commande d’un bijou répondant à quelques besoins spécifiques suite à cet abus dans les manières décadentes des sombres gardes qui, par ailleurs, s’étaient vu recevoir dix coups de fouet chacun, pour la bêtise et l’horreur de ces manières plus bas qu’humaine, aux yeux du sombre, non à celui de cette société tombant en déchéance au fil des années.
Il n’avait pas encore programmé sa visite au Temple d’Ishten, dans cette volonté de confirmer ce qu’il supposait sur les mœurs nouvelles qui n’étaient pas encore ce qu’elles étaient du temps de sa jeunesse et que sa position avait toujours maintenu bien loin de sa maison. Mais il devrait le faire, il devait savoir d’où venait ces manières abjectes, cette idée qu’un drow puisse désirer une elfe, vouloir la violer le répugnait… Il n’appréciait guère déjà les jeux avec les humains, mais il en voyait les avantages, avec cette présence d’esclaves demi-drows plus efficaces que leurs faibles ancêtres dans les tâches les plus épuisantes, alors en ce qui concernait la race ennemie…
Il avait été forcé d’offrir plus d’attentions qu’il ne le voulait dans l’intimité de la relation avec son esclave, mais l’idée même d’en venir à l’acte restait impensable… Mais pour les autres drows, qu’en était-il vraiment ?
Il remercia le visiteur et le congédia, gardant avec lui un petit écrin de bois et ordonna à un de ses serviteurs d’aller trouver sa précieuse chose et de lui demander de se rendre à son bureau au plus tôt.
Quand elle entra en fait dans la vaste pièce, il était installé à son bureau, plongé dans quelques rapports et documents, aux sujets de ce qui se passaient dans le Puy, pour ces hommes, usant de quelques contacts à la Dothka pour avoir un droit de regard partiel sur ce qui s’y faisait. Il invita en silence d’un geste de la main à s’installer face à lui et termina sa lecture attentionnée avant de lever et poser son regard sur elle.
« Ta matinée n’a pas été trop éreintante, Oloryle ? »
Non qu’il s’en souciait pleinement, mais c’était dans le jeu marquant l’attention particulière qu’il lui vouait de s’y intéresser de la sorte, et avant qu’elle ne lui réponde, il lui tendit l’écrin, sans plus de cérémonie, au grand désespoir de la jeune esclave qui sans doute avait imaginé bien plus dans ses rêves que ce simple geste s’accompagnant de mots sur un ton simple, sans particularité aucune.
« Comme annoncé, voila un présent que tu devras toujours porter quand tu évolueras dans le Puy d’Elda, une assurance pour un meilleur confort de vie et éviter les harcèlements interdits de quelques drows mal avisés. »
L’écrin contenait une chevalière en argent au large chaton ovale où se trouvait gravé avec minutie la wyvern grossière, symbole de sa maison, l’anneau lui-même s’est vu travaillé, apparaissant comme deux serpents emmêlés dans les gueules ouvertes et liés en l’extrémité formerait le chaton. C’était sans nul doute un objet de valeurs, bien qu’assez insignifiant quant aux moyens qu’il pouvait posséder et bien qu’il ne soit pas celui qui s’intéressera au plaisir de la damoiselle, il avait tenu à cette générosité… |
|  | | Oloryle
Elfe
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: [Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle Dim 15 Nov 2009 - 2:05 | |
| Depuis sa fuite après son attaque contre la famille Tiril et son retour dans la demeure de son maître Tebirach, plusieurs jours s'étaient écoulés. Le printemps était cette fois bel et bien implanté, emportant les froids climats hivernaux dans son sillage. Pendant ces quelques jours où Oloryle était revenu et où la vérité, encore un mensonge, avait éclaté; l'elfe n'avait que très peu croisé son maitre. Sa liberté de mouvement dans la demeure et aux abords de la demeure ne donnaient en rien l'impression à la jeune femme d'être une prisonnière, une esclave.
Un nouveau jour se lève comme tant d'autres même si cela n'était pas perceptible... Ce jour d'hui, elle irait dans la famille de son maître pour aider aux diverses taches qui accommodent une demeure de belle ampleur. Après avoir revêtu sa robe et disposer une cape à capuchon qu'elle remonta sur sa tête, voilant ainsi sa nature elfique, elle quitta furtivement la demeure de son maitre pour se rendre à celle de sa mère.
Dans la cavité, elle croisa quelques serviteurs mais elle garda le regard baisé comme son maitre lui avait indiqué de faire quand elle se baladerait dans le Puy. Elle arriva enfin devant les grilles de la maison maternel de Tebirach après avoir traversé l'allée séparant les deux demeures. S'avançant vers l'entrée des domestiques, elle frappa à la porte et attendit qu'on lui ouvre alors qu'elle abaissait sa capuche afin qu'on voit qui c'était à travers le judas de la porte.
Ce matin là, elle fut chargée de s'occuper des chambres du premier étage. Oloryle s'attaqua alors à sa tâche sans dire mot, elle savait ce qu'elle devait faire. Elle commença comme à l'accoutumée par la dernière porte à gauche, celle de la mère de Tebirach mais ce matin là la porte resta close, elle frappa mais pas de réponse, aussi elle passa à la pièce voisine. Quand elle eut fini l'étage, il fut presque onze heure, elle informa l'intendant que la chambre de la maitresse de maison était restée fermée et qu'elle n'avait pu y avoir accès. Après cela, elle se retira.
La fraicheur qui régnait dans les profondeurs du Puy donna un frisson à Oloryle la stoppant dans son avancé. En face d'elle une patrouille de gardes faisait leur ronde alors qu'un noble drow titubant avec une bouteille à la main heurta la jeune femme, renversant une partie de son contenu à l'odeur fortement alcoolisée sur sa robe. Celui ci se mit en colère et la saisit par le poignet faisant tomber par un geste brusque le capuchon sur sa tête. Quel ne fut pas sa surprise de voir une elfe cachée en dessous. L'esprit embrumé par l'alcool, il en déduit qu'elle devait être une esclave car aucun elfe n'aurait la stupidité de se balader dans les alvéoles du Puy. Essayant de se défaire de son emprise, celui ci la gifla. Le coup portait fit tomber l'elfe à terre. La garde intervint afin de ne pas créer d'esclandre près de la demeure de l'Obok Senger mais l'un d'eux reconnut l'esclave et s'interposa car il avait reçu des coups de fouets pour avoir osé porter la main sur elle aussi il ne voulait pas risquer de se faire réprimander une seconde fois surtout qu'elle l'avait reconnu. Se relevant, le visage rougit par la main du drow, elle finit son chemin la séparant de la demeure de son maitre alors que dans son dos, le drow criait à l'injustice.
Elle venait enfin de rentrer et se dirigeait vers sa chambre avant de se rendre à la salle de bains pour se débarrasser de cette odeur quand un domestique l'informa des volontés immédiates de leur maitre.
Notre maître désire te voir, Oloryle!
Où se trouve t-il?
Dans son bureau!
Entendu, je me dépêche de le rejoindre.
Oloryle pressa le pas en direction de sa chambre. Jetant sur le dossier d'un fauteuil faisant face à l'âtre de la cheminée, la cape qui recouvrait ses épaules, elle fit de même avec sa robe dont l'odeur alcoolisée emplissait la pièce d'un parfum capiteux. Enfilant rapidement, une tenue sèche, elle ne prit pas le temps de s'essuyer ni de dissimuler la marque rouge sur son visage. Son maitre l'attendait, et elle ne voulait en aucun cas le faire attendre une minute de plus.
Courant dans les couloirs, elle se rendit compte qu'elle ne s'était pas chaussée, tant pis, elle était déjà arrivée devant la porte du bureau. Frappant par trois fois à la porte d'ébène, elle posa sa main sur la poignée et poussa la porte. Son maitre était là, attablé à son bureau à traiter divers documents dont elle ignorait le contenu mais qu'elle pouvait juger important. D'un geste de la main, il lui fit signe de s'assoir en lui désignant le fauteuil qui siégeait en face de son bureau. Refermant la porte derrière son passage, elle s'exécuta et prit place. Patiemment, elle attendit qu'il finisse et prenne la parole sur la raison de sa présence.
Tebirach vint à finir la lecture du document qu'il tenait entre les mains, tout en le reposant, il se leva. Le regard poser sur elle, son esclave, Il put voir la marque de cette main sur son visage dont le rouge s'estompait peu à peu mais également sentir l'odeur âpre de l'alcool qui la parfumait. Oloryle attendait qu'il prenne la parole. Il lui demanda alors comment s'était passé sa matinée, elle n'eut pas le temps de répondre qu'il lui tendit un petit écrin. Elle le regarda se demandant ce qu'il pouvait contenir mais la réponse se fit bien vite entendre.
Lentement, elle ouvrit la boite et y découvrit une chevalière. La bague bien que simple était de toute beauté aux yeux de l'esclave car c'était un présent de son maitre, le premier qui lui faisait. Cela la rendait heureuse même si le but était d'éviter des désagréments futurs et non de lui faire un quelconque plaisir. Le choix de la forme du bijou avait été laissé à la discrétion de l'elfe qui avait choisi la forme de l'anneau, tout un symbole en soi.
Sortant l'anneau d'argent de son écrin, elle observa les deux serpents s'entremêlant qui formaient le corps de l'anneau. C'était un travail d'orfèvre et la bague aux armoiries de son maitre était une réussite complète. Passant la bague à son annulaire de la main gauche, elle garda son regard sur son doigt ornée de ce bijou un instant. Relevant le regard, elle tourna la tête en direction de son maitre.
Je vous remercie pour ce présent. L'anneau me plait beaucoup.
Un léger sourire se dessina sur ses lèvres alors qu'elle prononçait ces mots. Elle le regardait, attendant une parole de sa part. Cet instant précieux depuis son retour auprès de lui, était une chose qu'elle goutait avec délice. Ses sentiments à son égard n'avaient toujours pas cessé et cela malgré les deux années d'éloignement.
Je ne sais comment vous remercier pour ce bijou... Ordonnez et j'obéirai. Je tiens à payer ma dette pour toutes vos largesses à mon égard.
Elle était prête à tout pour son maitre. Ses ordres seraient ses désirs. D'ailleurs cela avait toujours été le cas, même malgré le fait du pseudo mensonge qu'il lui avait fait concernant sa véritable identité. Tebirach était un ange, comment peut on en vouloir à un ange? |
| | | | Tebirahc Zaurahel
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Taille : Niveau Magique : Spécial. | | Sujet: Re: [Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle Dim 15 Nov 2009 - 15:18 | |
| L’écho d’une générosité rare à l’adresse d’un être qui n’en mériterait pas tant lut sur les traits d’un visage éclairé et épanouie, contemplant le présent comme si s’eut été un cadeau d’une valeur bien plus grande à ses yeux, bien qu’elle put mériter cette récompense après la réussite de sa dernière mission.
Ce moment passé, elle fut dans l’attente de quelques mots qui ne vinrent pas, car après ces remerciements, il n’y avait rien à dire, constaté que le cadeau lui plaisait et convenait à ses attentes, semble t-il lui suffisait… Après tout, même si il restait relativement indifférent, il savait devoir garder un niveau de plaisir qu’aurait la demoiselle à rester en sa compagnie, et ce sourire était une nouvelle victoire obtenu sur le front des manipulations d’un esprit façonné pour remplir une tâche unique, dont le défaut est l’avantage sur les autres esclaves. Le libre arbitre et l’envie propre préservé mais modéré, limité mais nécessaire pour avoir une arme indépendante sur le terrain, capable de réagir en autonomie dans n’importe quelle situation, ou presque.
Elle lui demandait désormais même de l’amener à la servitude, pour le remercier. Il savait cela inutile, et n’avait d’ailleurs pas prévu cette réponse de la part de sa chose, il sous estimait même la soumission qu’elle offrait à sa personne, pleinement à sa disposition, il voyait à nouveau son pouvoir sur elle renforcé, mais il allait la décevoir, car cette chevalière n’avait pas été offerte dans ce but.
Le ton calme, il entreprit donc de lui répondre.
« Ne me remercie pas tant… Tu m’as offert le récit d’un oubli de ma part, je n’ai fais que le combler… Après tout, ton obéissance n’est pas le fruit d’une dette envers moi, n’est-ce pas Oloryle ? »
Ces mots étaient très importants, cette question, et la réponse de son esclave serait sujette à de nouvelles séances visant à la soumettre… Elle devait lui obéir et le servir car elle le voulait, non parce qu’elle le lui devait, c’était essentiel que cette pensée soit bien claire entre eux.
« Tu as, par ma faute, été la proie de quelques abus, je devais y palier par la suite, si je veux te confier des tâches et des missions à l’intérieur du Puy d’Elda… D’ailleurs, ma chère Oloryle, ma mémoire me fait peut-être défaut, mais connais-tu et comprends-tu la structure même de cette cité ? Te l’ai-je apprit ou me suis-je uniquement concentré sur la culture des traitres sylvains pour ton apprentissage ? »
Ce n’était malheureusement pas là une question piège, il ne s’en souvenait plus, sa mémoire déjà lui amenait quelques défauts pouvant être désagréable au sujet de sa chose, mais ce n’était que des choses sans grande importance, il savait lui avoir fourni tout les outils indispensables à une évolution dans les bois d’Anaëh, pour le reste…
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| | | | Oloryle
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: [Demeure de Tebirahc] Sous le signe de la générosité | Oloryle Mar 1 Déc 2009 - 15:11 | |
| Oloryle regardait Tebirahc avec un regard plein de reconnaissance. Elle était prête à tout pour payer sa dette qu'elle savait être grande depuis la mort de sa mère adoptive car il avait toujours été là même dans les moments difficiles. D'ailleurs à cet instant précis, un souvenir lointain lui revint en mémoire. Celui du jour où elle avait reçu les coups de fouet dont elle conservait encore les cicatrices dans le dos. Si son maitre n'avait pas émis ses ordres pour que ce chatiment s'arrête rapidement, elle y aurait certainement laissé bien plus que son orgueil.
La voix de son maitre vint à la faire sortir de ses pensées. Pour lui, cette bague était quelque chose de normal pour lui éviter les ennuis dans le Puy d'Elda surtout à cause de sa condition elfique. C'était un oubli qu'il se devait se combler mais pour elle c'était autre chose.
A sa question si l'obéissance de son esclave n'était que le fruit d'une dette qu'elle avait envers lui, Oloryle répondit en secouant la tête.
Du tout, je vous sers car je le désire non pas parce que je me sens reconnaissante. Cela ne m'empêche pas pour autant de vouloir vous remercier de tout ce que vous faites pour moi.
Elle n'obéissait pas car elle le devait mais par ce qu'elle le voulait. L'amour qu'elle portait à son maitre en était l'un des moteurs principaux. Elle ferait tout pour lui être agréable et ainsi un jour l'avoir dans son lit car c'était ce qu'elle désirait le plus. Mais il lui faudrait être patiente pour arriver un jour à cela mais elle avait l'éternité devant elle.
Tebirahc en revint sur la raison de la bague, un oubli à palier pour lui faciliter ses déplacements dans au Puy. En parlant d'oubli, il ne savait plus s'il avait déjà expliqué à son esclave la spécificité du Puy. Elle ignorait tout de ce lieu car tous les enseignements qu'elle avait reçus n'avaient qu'un seul but: la destruction de la race elfique.
Je ne pense pas car à l'origine je n'étais pas censée évoluer dans le Puy mais sur les terres elfiques afin de faire tomber les têtes de nos ennemis.
Par cette phrase, elle venait de lui indiquer cet oubli. Elle ne connaissait vraiment rien au Puy qui était très loin de ressembler aux villes elfiques tant par sa tructure que par sa composition. Cela la déroutait à chaque fois mais heureusement qu'elle ne sortait que pour se rendre chez la mère de son maitre dont la demeure se trouvait dans la même alcôve que la leur, aussi le trajet était des plus courts.
Elle le regardait avec un regard interrogateur car s'il lui posait cette question c'est qu'il y avait certainement une raison. Aussi si elle ignorait cela, ce serait sans doute là une occasion qu'il l'en instruise soit par un plan soit directement sur le terrain en serpentant dans le Puy.
Quoiqu'il en soit, cela serait du temps qu'elle passerait avec lui et cela lui suffissait. Plus elle pouvait passer de temps avec l'objet de son désir et plus elle avait envie de tout faire pour lui plaire. La séparation dûe à sa mision chez les elfes n'avait fait qu'éxacerber son désir pour lui et l'envie d'être à ses côtés.
Le fait qu'il veuille qu'elle puisse se retrouver dans ce labyrinthe drow était une preuve qu'il n'allait pas la renvoyer maintenant dans la forêt. Cette idée lui plaisait car elle pourait peut être trouver une façon de lui être utile également dans le Puy.
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