Valfreyja [Messagère et Espionne personnelle de Trystan de Diantra]

Nom/Prénom : ValFreyja mais on l’appelle souvent Freyja
Âge : 60 ans, donc 20 en apparence.
Sexe : Féminin
Race : Demi-Elfe
Particularité : /

Alignement : Communauté de la Lumière
Métier : Messagère et Espionne personnelle de Trystan de Diantra
Classe d’arme : A Distance / Magie

Équipement :
Possédant une rapière, Freyja est beaucoup plus habille avec son Arc Elfique. Un Arc qui appartenait à son père, frabriqué dans une branche tombée d’un Pin millénaire de la forêt de Anaëh. Le manche est scultée de symboles elfiques, et Freyja fabrique ses flèches elle-même, les ornant de plume de corbeau de rouge gorge.
Freyja maitrîse la magie de l’air, sa spécialité étant de donné des impulsions à ses flèches pour les faire fondre sur l’ennemi, ou tirer un message sur une longue distance, en soutenant l'air sous les flèches. Quelques bases de magie curative, lui permette de se soigner en cas de blessure, mais Freyja à dû mal avec cette magie. Son armure, protège ses parties vitales, et lui permet de résister aux lourds assautls, mais les combats rapprochés sont pour elle une véritable plaie, car elle est trés peu protégée. Quand Freyja est à court de fléche, elle est capable de les créer à l’aide de magie, mais cela l’épuise rapidement.

Description physique :
De taille moyenne, Freyja est se fond à la perfection dans une foule, pourtant elle est facilement reconnaissable à la couleur de ses cheveux qui sont d’un blanc tirant sur le rose pâle. Et pourtant, ce sont ses cheveux naturels, elle les laisse souvent détaché, ou les nattes quand elle porte un casque sur les champs de guerre. Plaire n’est pas sa principale source de préocupation, mais la jeune demi-elfe sait qu’elle est plutôt attirante, surtout avec son visage rond tout en douceur, son nez en trompette et ses lèvres pleines et rosée. Mais ne vous fiez pas aux apparences, Freyja est loin d’être quelqu’un de docile, et quand ses yeux bleus vous fixe, alors prenez garde.
Son regard à toujours été ferme et volontaire, ses sourcils rosés se froncent et lui donne un air de poupée outrée. Franchement plutôt garçon manqué malgrés des courbes vraiment trés féminines et avantageuses, elle n’a pas une démarche élégante, suggestive, mais plutôt rapide, sèche et un peu bourrue. Se mettre en avant n’est pas vraiment son truc, elle fait son travail, et aime ça. Toutefois, possédant du sang elfique, Freyja dégage quelque chose d’attirant, d’irrésistible, de mystérieux et volupteux, ce qui des fois, elle doit bien l’avouer, l’arrange beaucoup. Les hanches plutôt fortes, elle porte souvent la même tunique courtte, dégageant ainsi ses longues jambes.
Cette tunique, s’est sa mère qui lui a fait, elle se compose d’une jupe rouge au bord dentelleté, superposé apr dessus des jupons blancs, court de longueur différente, un corset enserre sa taille, et laisse dépassé un haut bustier blanc, velouté et laissant deviner une franche poitrine. Pas de bijoux, ni même de fioritures, juste son armure, ses épaulières, ses brassards et ses jambières. Les bijoux risqueraient de l’emmêler lors d’un combat.

Spoiler:

Description mentale :
Ce qui intérésse Freyjaa, c’est d’accomplir la mission qu’on lui à confié, et ce le plus rapidement possible. Car c’est son métier, aller vite, ne jamais décevoir ses supérieurs. Téméraire et du genre têtue, elle ne renonce jamais. L’échec d’une mission est pour elle, le déshonneur le plus total. A vrai dire, si elle ne s’intérésse qu’à ses missions c’est pour combler le vide qui l’envahit entre chaque voyage. Plus de famille, pas d’amis, juste des relations de travail, et ce vide l’envahit inexorablement. Freyja à donc besoin de se sentir utile, à quelqu’un, et quoi de mieux que de se retrouver au service du royaume, de se noyer dans la masse de l’armée.
Freyja aime la bonne cuisine, dormir dans un lit bien chaud devant une cheminée, chevauché pendant de trés trés long moment. Bref, des plaisirs simple, que son métier lui procure à sa grande satisfaction. Elle ne s’attarde jamais et ne retourne jamais deux fois au même endroit. Avide de découverte, elle essaie toujours de rendre chaque mission unique. Fière et impétueuse, elle ne se laisse pas, mais alors pas du tout marcher sur les pieds. Ca non, elle n’est pas une faible femme et le revendique, même si elle se trouve un peu sotte et peu cultivé. Elle admire en secret, les femmes haut placées, distinguée, qui save si bien se tenir et si bien parler. Mais, même si elle les admire, elle préfère sa liberté.
La liberté, elle ne vit que pour ça, pour voyager et découvrir. La jeune fille à horreur qu’on maltraite les animaux, ainsi que la nature, elle demande toujours l’accord aux animaux avant de leur prendre des plumes, et possède d’ailleurs une empathie assez particulère avec eux. Elle déteste manger de la viande, mais quand il n’y a rien d’autre, elle se force pour survivre. Freyja aime s’entraîner à combattre, et pourrait passer des heures à tirer des flèches dans des cibles, d’ailleurs dernièrement, elle essait de s’améliorer au corps à corps, et n’a pas encore trouvé l’arme qu’il lui fallait. Mais cela va peut être venir. Loyale et sincère, elle ne trahira jamais la personne pour qui elle travaille.

Animal de Compagnie : Un Faucon Pèlerin aux yeux noirs prénommé Silk.

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Comment trouves-tu le forum ? : Vraiment trés beau, et vraiment plein de ressources et de subtilités.
Comment as-tu connu le forum ? : Une amie m’a donné l’adresse
Crédit avatar et signature : C’est une image du MMORPG Aion

Histoire :

La mère de Freyja, n’a jamais été quelqu’un de cultivé, ni même de raffimé, mais elle était bonne, et douce. C’était quelqu’un qui dégageait une aura de bonheur autour d’elle, qui irradiait de lumière et donnait envie de la protéger.
Sa mère se maria très tôt à un homme charpentier, bourru et avec une tendance à l’alcoolisme prononcé. Un homme qui l’insultait et la battait tous les jours, un homme qui voulait un fils, par dessus tout, un homme qui était en vérité un monstre.
Mais la mère de Freyja, alors qu’elle plantait de petits choux blanc dans le potager, vit passer une patrouille de soldat, elle les regarda, les trouvant fier, si fier, sur leurs grands chevaux. La nuit tomba, une nuit qui aurait pu être comme les autres, oui, mais cette nuit fut différente, tellement différente. Son époux rentra encore ivre de la taverne, il réclama de force son devoir conjuguale, et laissa la pauvre femme sur la boue du sol. Il lui cracha dessus, l’humiliant une fois de plus. Et s’en fut trop, alors que son mari dormait, ronflant comme un porc, elle l’étouffa avec un oreiller, et s’enfuit de la maison accroché à la crinière de la vieille jument de la maison.
Elle galopa, toute la nuit, pendant des jours elle s’enfuit, voulant oublié le corps tressautant sous elle. Epuisée et fatiguée, elle s’allongea entre les racines de la forêt de Anaëh et y sombra.

Elle ne se réveilla seulement que lorsque la pluie commença à transpercer les feuilles des grands arbres, elle bu l’eau de pluie, tendant les mains pour la saisir, tournoyant et dansant sur la mousse humide. Libre, elle était libre, elle pouvait faire ce qu’elle voulait.
Riant au éclat, elle continua de danser dans la petite clairière, dans sa robe blanche, déchirée, souillé, elle scintillait comme une étoile, irradia de bonheur.
Pied nu, ses orteils s’enfonçèrent dans l’herbe verte et tendre, et elle marcha, continua d’avancer, se fichant d’ou elle allait. Ce ne fut qu’au beau de quelques jours, qu’elle remarqua qu’elle trouvait des fruits avec une étrange facilité. Pourtant, les fruits étaient accrochés aux arbres, et là, des fruits et des baies, l’attendant à son réveil, posé sur des feuilles.
La jeune femme n’en fut pas plus choqué que cela au début, mais à bien y réfléchir, cela était intriguant. Alors, tous les jours, avant de mordre à pleines dents dans les fuits juteux et délicat, elle remerciait la personne qui les lui apportait.

La fôret était si belle, si douce, et si calme.

Les pieds abîmées, un jour elle s’arrêta sur une souche, et chantonna, ses long cheveux blonds nattés sur son épaule. Alors qu’elle se massait la plante des pieds, elle entendit une branche craquée. Surprise, elle se redressa, mais ne dit rien, et continua de chanter de sa voix douce. Puis, presque imperciptiblement, une voix se mélangea à la sienne. Une voix rauque et chantante, une voix qui roulait comme une rivière, avec des échos de roches fraîches, musicale comme la pluie qui tombait sur une vitre. Oui...Alors, elle continua de chanter, se levant pour tourbilloner sur elle même, et se retrouver devant un homme. Immense, mystérieux, et terriblement beau. De longs cheveux blonds, des yeux en amandes, d’un bleu profond, de grandes mains, souples, douce, des mains qui saisirent la taille et qui firent danser la jeune femme. Un homme qui vibra avec elle, l’entraînant, savourant chaque pas dans l’herbe, chaque recoins de mousse sur la peau.

Le moment semblait éternel, infime et si éphème, et comme une chimère, il se termina, et la jeune femme se retrouva seule. Pantelante, comme dans un rêve.
L’homme revint, ne parlant jamais, se contentant de la regarder avec amour, de la couver du regard, de danser à ses côtés, avec elle, enlacer.
Chaque jours étaient un rêve, un songe doux, loin de l’horreur des royaumes, loins de toute réalité. Ils étaient bien, tous les deux, rien que tous les deux. Et chaque soir, il la laissait, d’un baisemain, d’une tendre caresse sur la joue.
Chaque jour était merveilleux.

Mais le rêve se termina, se brisa. Un jour, l’homme disparu. Et elle attendit, attendit, et attendit encore. mais il ne revint jamais.
Alors, la jeune fille reprit son chemin, et quand elle quitta enfin la forêt, son ventre s’arrondissait déjà et à sa main, elle tenait un arc millénaire.

Elle mit au monde sa petite fille dans une petite bourgade de duché de Sainte Berthilde, des terres vertes et des plaines à perte de vue. Une Terre de chevaux.
La jeune femme éléva sa fille seule, la laisant grimper à cheval comme elle l’entendait, la laissant se battre pour apprendre la vie, elle lui parla de son père, le décrivant comme un être à part.

Et la petite fille grandit étrangement lentement, mais elle s’en fichait, car elle avait sa mère. La petite fille était heureuse d’avoir une mère si merveilleuse. Elle grandit à ses côtés, gardant en elle le gout de la liberté, gardant en son sein des souvenirs éternels d’une jeunesse épanouie.

Avide de liberté, la jeune fille chevaucha les landes perdues, elle chevaucha autant qu’elle le pouvait, s’entraînant au tir à l’arc, et se battant avec les garçons de la bourgade. Et sans qu’elle s’en rende vraiment compte, sa mère s’éteignit peu à peu. Le rêve de la forêt disparait dans les lymbes de l’oublie.

La mère de Freyja mourut un soir, le sourire aux lèvres.

La jeune fille se retrouva d’un jour à l’autre, toute seule. Elle tenta bien de vivre, mais elle n’arrivait à rien, sa mère ne lui avait pas apprit comment vivre, mais comment être libre. Alors Freyja intégra l’armé du Roi de Diantra, son peu de force physique, la relegua au rang d’archer, puis de messager. Valfreyja était rapide, plus rapide que tous, revenant toujours en vie de ses missions, queqlues fois bien amochée, mais toujours là. Bien accroché à la vie.

La jeune fille devenue presque femme malgrés son âge avancé, s’intégra bien et se fit remarquer, car aprés tout, elle était le vent de liberté.

Je m'occupe de ta fiche dans la soirée

Je prends note de tout ça !!! Merci beaucoup en tout cas, je éditer la fiche pour la magie curative.
Puis je n'avais pas l'intention de faire faire des triples salto à mes flèches de toutes façons, c'est histoire qu'en cas d'attaque, elles soient expédier rapidement, et être hors de porté des assaillants si il y a un message dessus.

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C'est bon jeune fille

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
N'oublie pas de lire les règles sur la Magie, de choisir tes Sorts, de les réclamer dans la partie demande, et de les entreposer dans l'Inventaire !