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 Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.

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Aetius d'Ivrey
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MessageSujet: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 8:24

« Mais qui était cet homme, Urgon, qui s’évada des geôles de notre seigneur pour lui voler son plus beau cheval ? »

« Je n’en ai pas la certitude, Ystan, car ce filou m’avait tout l’air d’un fieffé menteur. Il disait se prénommer Aetius, Aetius d’Ivrey, mais rien n’est moins sûr… C’était un beau jeune homme, la vingtaine. Un humain, pour sûr, et un noble, au vu de son teint pâle et de ses manières. »

« As-tu remarqué quelque chose qui pourrait nous aider à l’identifier, toi qui as passé tant de temps avec lui ? »
« Rien de particulier, sinon son regard bleu et clair. Il me donnait l’impression de pénétrer au plus profond de mon âme, de la fouiller comme un sanglier fouille la terre. Son regard, je ne l’oublierai pas de si tôt. »

« T’a-t-il dit qui il était ? Ce qu’il venait faire par chez nous ? »

« Non pas, mais il n’est point difficile de déduire ces choses-là. Il nous revenait de Diantra, fourbu et crotté d’un chemin qu’il dut faire en toute hâte. Il portait la maille et un bouclier. Il avait arraché ses armoiries, il avait abandonné son tabard, rejeté tous les signes qui auraient pu le rattacher à une quelconque maison. Il était un déserteur, un chevalier qui abandonna son maître, qu’il fût un loyaliste ou un traître. Pour brouiller les pistes, il mit la toge d’un prêtre de Néera, mais il ne put se défaire de son épée, qui était toujours ceinte à sa hanche. »

« Es-tu sûr qu’il était chevalier ? N’était-il pas un prêtre, ou un archer, ou encore un mercenaire de mauvais aloi ? »

« Il était un peu de tout cela, je le crains, Ystan. Lorsqu’il arriva au village, son cheval, le cœur au bord de la gueule, rendit son dernier souffle, et l’étranger, qui se retira avec la lourdeur que produit la fatigue, s’agenouilla un instant auprès de son compagnon. Il enfouit alors son visage dans la crinière du destrier tout encrotté et pleura, répétant à voix sourde le nom du défunt comme seuls le font les gens de noblesse, qui ont du temps à perdre dans le sentiment envers leurs animaux. »

« C’est l’attitude d’un chevalier, Urgon, tu as raison. Mais pourquoi dis-tu qu’il est un peu de toutes les choses que j’ai dites ? »

« Eh bien parce que malgré ses pleurs et son épée, il montra des aptitudes qui ne sont pas celles de la caste des guerriers. Une fois son chagrin un peu passé, il reprit contenance et commença à prier pour son cheval comme seuls le font les prêtres, qui connaissent les langues divines. Plus tard, je le surpris à lire quelque chose avec l’aisance des clercs. Plus tard encore, lorsque nous buvions à la taverne avant cette fameuse rixe, il fit voleter devant mes yeux la cruche de vin que je lui avais offert, comme l’aurait fait un sorcier ou quelque créature maîtrisant les airs. Il se servit de ce terrible pouvoir, ensuite, pour dévaster les murs de la taverne en envoyant les chaises se fracasser contre eux. »

« N’avais-tu pas trop bu, Urgon ? Mes hommes m’ont dit qu’il avait fait preuve d’une grande habileté à l’épée lorsque le Guet l’interrompit. Il a tout de même blessé deux miliciens avant de se faire capturer or les mages ne sont pas connus pour se servir d’armes. »

« J’en mettrais ma main à couper, comme les autres paysans qui sirotait leur vin matinal dans le reste de la taverne. Mais vois-tu, il était un enfant de la noblesse, nul doute à cela, et, moi qui connais un peu les magiciens pour avoir été le serviteur d’un apothicaire, je sais que les sorciers disposent de dons innés, contrairement aux mages, qui doivent s’instruire de longues années avant de maîtriser les différents éléments de leur art. Et d’après ce qu’il m’a dit, il était prédisposé à cette magie. Mais n’as-tu pas trouvé d’objet magique sur lui ? »

« Non pas. Il n’avait pour toute affaire qu’une épée de bon acier, son armure de maille et quelques chausses. Pas de bourse, Pas de pendentif, rien qui puisse nous permettre de savoir qui il était. Il n’y avait qu’une bague qu’il dérobait à notre regard. »

« Je l’avais vu, lors de notre rencontre, moi aussi. C’était une chevalière, mais il avait retourné son sceau à l’intérieur de sa paume pour qu’on ne puisse pas le voir. A quoi ressemblait ce sceau, Ystan, peut-être sont-ce ses armoires ? »

« Sûrement, mais je n’ai pas eu le cœur de lui prendre ni même de le forcer à nous la montrer. Il mettait toutes ses forces à le garder cachée, et lorsque mes hommes tentèrent de le lui arracher, il implora merci et pleura, tout à fait désespéré. Déserteur ou pas, c’était un noble cœur, car il aurait préféré mille morts plutôt que de nous laisser voir à quelle famille il appartenait, ce qui aurait amené la honte sur cette dernière. Il avait fui la guerre civile, se couvrant ainsi d’opprobre, mais comment aurais-je pu lui refuser ma miséricorde ? Il était, de toute façon, déjà condamné à mort pour avoir porté la main sur les hommes du Guet, alors pourquoi alourdir sa peine ?
Dis-moi encore, Urgon, à quoi ressemblait ce jeune chevalier. Moi je ne l’ai vu que dans les pleurs et la souffrance, et cela déforme les traits. »

« C’était un beau jeune homme brun. Il n’était pas très grand, mais il n’était pas très petit. Il devait avoisiner le mètre soixante dix, quatre-vingt. Il semblait épuisé, certes, mais sa musculature était forte, développée. Il avait un corps bien fait, et de ce que j’ai pu en voir, de nombreuses cicatrices, anciennes comme récentes, montraient le bout de leur nez sur ses bras musclés. Ses mains, ah ! Ces mains ! Elles étaient larges et dures comme cuir tanné, couvertes de cales sûrement dues à l’usage d’outils. Ses doigts étaient pourtant longs et adroits, et ses gestes trahissaient quelque chose de martial. Il avait, cela est sûr, la vivacité de la jeunesse, mais ses mouvements étaient opérés avec calcul. Pour moi, c’est là les manières d’un soldat du sang bleu. »

« Qu’en était-il de son visage, Urgon ? »

« Ah ! Son visage ! Il était pâle et régulier, j’oserai même dire beau si je ne décrivais pas le faciès d’un traître. Rien ici n’aurait pu faire penser qu’il était d’un naturel violent, si l’on excepte son corps sculpté pour la guerre. Malgré sa grande fatigue, il était à l’avenant, de bonne compagnie. Son visage lisse, son nez mutin, sa chevelure d’un noir de jais inspirait confiance. Tout en lui tenait de l’altier, si je puis vous l’avouer. Ses dents étaient blanches et régulières, ses sourires, quoique rares, étaient chaleureux. La seule chose qui me mettait mal à l’aise chez lui, c’était ses yeux. Dans son regard, aussi bleu et froid que le givre, on y lisait une pureté immense, une pureté d’autre part, qui vous envahissait et vous glaçait les os. C’était… pénétrant. Je ne sais que vous dire à propos de ce regard bleu, mais je pense qu’il recelait une once de sadisme ou de cruauté et une folie que rien ne pourra jamais distraire. Le pauvre garçon a participé à une guerre, sûrement la plus ignoble de toute, et y a beaucoup perdu. »

« Cela avait peut-être à voir avec ses talents de mages. »

« Pas de mage, Ystan. Pas de mage. Ce n’était pas un rat de bibliothèque. Il avait tout du jouisseur, du moins dans son ancienne vie. Ses dons pour la magie, il la tenait de son sang, comme il tenait ses talents de son sang également. De ce qu’il m’a dit, rien ne l’avait jamais arrêté, et de sa grande intelligence, de sa grande capacité à comprendre plus vite que les autres, il avait tiré une grande confiance en soi – que je qualifierai plus d’orgueil – et, je le pense, une certaine tendance à la procrastination et à l’optimisme. Bien sûr, si cela était vrai autrefois, il se peut que les récents événements aient tout à fait chamboulé le malheureux, qui risque d’apprendre en ce moment même, et en payant cher la leçon, ce que c’est que d’être un homme. Oh ! Nul doute là-dessus, Ystan : je l’ai lu dans ses yeux. Tout se mélange dans l’azur de son regard, tous les doutes, toutes les connaissances, tout vient se dissoudre dans l’obscurité de ses pupilles. C’est un être sans repère, plongé dans le remise en question. Il ne lui reste plus rien, sinon d’abjects souvenirs et un futur incertain. Cela pouvait se voir lors de la rixe de l’auberge. »

« D’ailleurs, Urgon, parle-moi de cette algarade. Qu’est-il arrivé à ce déserteur pour mettre ainsi le désordre dans la taverne ? »

« Pour comprendre cet épisode, il faut reprendre du début. Je vais essayer de t’expliquer ce que j’ai compris de ce qu’il m’a dit sur lui et sa vie, en ajoutant force déductions peu assurée, car son récit était loin d’être clair.
Il disait se prénommer Aetius d’Ivrey mais ne voulut rien dire d’autre sur ses origines. Il passa, me dit-il, une enfance paisible, mais à l’ombre de sa fratrie et, surtout, de son père, qui était très peu présent. Il a été très vague là-dessus, et je ne pus lui tirer plus de renseignements de cette période de sa vie. D’après son accent et son histoire, j’en ai donc conclu qu’il venait du duché d’Erac, puis j’ai restreint mes choix à Erac lui-même et la baronnie d’Ancenis. Pourquoi ? Cet homme attachait une grande importance aux chevaux. Il a pleuré la mort de sa monture devant mes yeux, et toi, tu m’as dit l’avoir vu se saisir du meilleur cheval de notre seigneur pour fuir avec une adresse remarquable. Cela veut dire qu’il est fin connaisseur de chevaux, comme peuvent l’être les Eraciens, d’où viennent les meilleurs chevaux du monde, et les Ancenois, qui sont réputés pour leurs chevaliers. De plus, on lui connaît des dons magiques, or, Ancenis est connu pour son école de magie et Erac est réputé pour avoir été dirigé par feu Charles d’Erac, grand mage de son état et, surtout, chef de l’Arcanum. Coïncidence ? Peut-être.
Je délire peut-être, mais pour moi, il est probable que ce garçon est un bâtard du duc Charles d’Erac voire même de son ami le roi, le véritable père de sa majesté Trystan qui, dit-on, a une chevelure d’un noir de jais et un regard qui vous transperce l’âme. Bref, une chose est sûre, il vient du duché d’Erac, j’en mettrai ma main à couper.
De plus, il a participé à la guerre civile, obligé ou pas. Dans quel camp ? Je l’ignore, et toi aussi, il semblerait. Une chose est sûre, vu son maniement de l’épée et l’état dans lequel je l’ai trouvé, il combattait pour l’une des deux armées qui déchirent notre bon royaume. Il a fui, pour sûr. Peut-être la guerre, peut-être une bataille qui allait se conclure sur sa capture, nous l’ignorons.
Tout cela nous ramène ici, il y a un jour et une nuit de cela. La matinée s’achevait tranquillement lorsque je vis une silhouette cahoter tant bien que mal vers le village. C’était Aetius, monté sur le cheval dont je te parlais. Il tomba et je le relevai, ne voulant pas délaisser un homme comme ça, surtout un homme qui portait la toge de Néera. Je le portai à l’auberge, qui était le lieu le plus proche et le plus chaud et, avec Georges, nous couvrîmes le malheureux d’une couverture. Il resta là quelques heures puis se redressa subitement, comme surpris par un guet apens. Tout était trouble en lui, cela se voyait, et il devait être fiévreux vu son comportement de bête traquée. Cependant, quelques instants plus tard, il reprit empire sur lui-même et commença à s’enquérir du lieu dans lequel il se trouvait. Nous échangeâmes quelques instants et je lui offris un pichet de vin, pour le remettre définitivement sur pied. Il accepta, silencieux, et nous débutâmes un long dialogue sur la guerre, sur moi et (un peu) sur lui. Il s’adoucit vite et se fit drôle, comme pour me remercier. Il alla même jusqu’à faire virevolter notre carafe. Il avait l’air d’un gamin espiègle.
Pourtant, un parchemin placardé sur l’une des poutres de la taverne le rembrunit derechef. Il se dirigea vers le papier et le lit d’une traite. Peu à peu, tout son corps sembla se crisper, et la fureur l’envahit. Il arracha le papier, le déchirant en mille morceaux. L’aubergiste le gourmanda, ce qui tourna sa colère vers la taverne. C’est alors qu’il commença à faire voler des chaises sur les murs de l’établissement, qui lui servait, semblait-il, d’exutoire.

« Qui avait-il écrit sur le parchemin, Urgon ? »

« Je ne sais pas lire, mais cela ne lui avait pas fait plaisir. Il était dans une rage folle jusqu’à ce que tes hommes arrivent à le maîtriser, où il fondit en larmes, comme si la haine qu’il faisait sortir de lui le brûlait de l’intérieur. Il fut ensuite mis dans les geôles de notre seigneur le temps que l’on prépare le gibet mais il réussit, les dieux savent comment, à s’enfuir. »
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 9:16

Bonjour, bonjour !


Alors je passerais sur le fait que tu n'as pas pris le formulaire parce que je trouve ta fiche assez originale dans sa présentation (Oui mauvaises langues, je sais être magnanime What a Face )

Par contre, est ce que tu pourrais revoir la taille de ton avatar ? Il est beaucoup trop large, la taille standar est 180*332 *o*
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 10:03

Sûr. Voilà.
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 12:17

Dis moi, je mets quoi dans ton métier ? Déserteur ? Noble déchu ?, je suppose que c'est du corps à corps pour le reste ^^
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 12:22

Chevalier ou/et sorcier, ça me plairait bien. Si on ne peut pas mettre deux choses, juste chevalier.
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 7 Fév 2010 - 12:32

Bon, je valide donc !

Trystan et Astéride vont être content si ils ont un pseudo demi frère 🤡

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitimeDim 28 Aoû 2016 - 21:28


Décédé en Favrius de l'an 7 du XIe Cycle


Nom : Aetius d'Ivrey Régent du Royaume de Péninsule
Age : 26ans

Disparut sans laisser de trace avec le roi Eliam Ier et sa soeur, la princesse Lyhann, dans le cataclysme qui emporta la tour de l'Arcanum. Certains murmurent que le mage Nakor a sciemment orchestré la mort de la famille royale.
Emportant avec lui les deux héritiers, il laissa le royaume affaibli. Sa mort marqua également la fin du Royaume de Péninsule comme il avait été unifié par les premiers rois pentiens.
Une tombe lui est dédiée à Diantra bien qu'elle soit totalement vide.

Code:
Mort en Favrius de l'an 7

[Métier] : Régent et Sénéchal du Royaume

[Alignement] : Neutre

[Lieu de repos] : Diantra
 


Lien vers le RP de la mort : L'Œil bleu
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MessageSujet: Re: Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume.   Aetius d'Ivery - Régent et Sénéchal du Royaume. I_icon_minitime

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