Aguildur Silverfang
Nom : Silverfang
Prénom : Aguildur
Âge : 150 ans
Sexe : masculin
Race :Nain
Particularité : familier : Once du nom de Neïsha.
Alignement : neutre
Métier :Militaire : général nain
Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Tête : rien de particulier.
Torse : Il porte une cotte de maille à manche longue, aux anneaux de platine, qu’il a extraite lui même d’un gisement dans la montagne (précision dans l’histoire). Il porte par ailleurs des gantelets, des brassards, des épaulières, des canons d’avant bras et des bottes issus du même métal. Enfin, il porte un plastron de cuir noir, et une cape à capuche grise.
Bas : Ses jambes sont protégées par un cuissard, ainsi que des grèves recouverte par d’épaisses bottes métalliques, toujours issus du même métal.
Armement : Aguildur se bat avec un marteau de guerre en granit, orné du symbole royal et renforcé par des bords d’aciers. Il a porte à la ceinture une courte dague.
Description physique : Aguildur mesure un mètre et quarante quatre centimètres, pèse quatre-vingt-dix kilogrammes et chausse du quarante-deux. Sa longue barbe, prolongement de sa crinière grise descend à son abdomen en une grande tresse encadrée par deux autres petites tresses, retenue par de petits anneaux d’argents. Il a un regard vert, froid, coléreux, bourru si l’on peut dire et sa bouche en accent circonflexe, en partie cachée par de longue moustaches est celle d’un homme peu rieur. Ses oreilles très légèrement pointues sont en partie cachées par sa chevelure abondante. Il a par ailleurs un nez triangulaire symétrique au reste du visage, encadré par des rides marquant le début de la vieillesse.
Là s’arrête la description banale de son visage. En effet celui-ci est couvert de cicatrices diverses, celle d’un violent coup de griffe du côté de la mâchoire droite jusqu’à l’arcade sourcilière, le trait d’une lame effilée sur la joue gauche, ou la béante cicatrice qui part du haut de son cou pour se perdre sous ses vêtements. Les rares personnes qui ont pu le voir torse-nu pourront témoigner de multiples cicatrices parcourant son abdomen, sa poitrine ou son dos. Le mouvement de ses lèvres lorsqu’il parle révèle deux longues canines taillées en pointes. Il a par ailleurs sur le corps des tatouages runiques légèrement taillés dans la chair, on remarquera en outre la rune Im sur son côté droit.
Ses épaulières tout comme ses canons d’avant bras et ses bottes sont frappés des armoiries du Roi, au même titre que son marteau, sur lequel est gravé à son front la rune Rok. Sa longue cape grise est dénuée de dessins, elle est cependant bordée par de longues veinures aux allures celtiques, d’une couleur argentée.
A sa ceinture pend un crâne de loup, dénué de mâchoire inférieure, souvenir d’un ardent combat dans sa jeunesse, maintenu par une chaîne à laquelle est accroché un petit pendentif d’onyx représentant une tête de loup au centre d’une croix d’allure celtique.
Description mentale : Il existe des êtres désagréables. Mais que peut il être de plus désagréable qu’un vétéran nain qui commence à se faire vieux ? Aguildur en effet, de par son visage peu engageant, son regard malsain et son sens de l’humour proche du néant (et le crâne de loup accroché à son côté droit par une chaine à sa ceinture) est un nain avec qui peu de gens sont enclins à discuter. D’où son silence dans une grande partie des situations communes. Pourtant, ce n’est pas un sinistre antisocial. Tout ancien combattant qui se respecte aime bien ressasser ses histoires. Aussi Aguildur, bien qu’il soit un nain bourru (La révélation ne choque pas, cependant il est encore plus bourru que la moyenne des nains) aime beaucoup conter les combats glorieux, les combats moins glorieux, les duels et les batailles auxquels il a participés dans les tavernes, des discours assez… vivants, le geste accompagnant souvent la parole, une chope de bière à la main. Eh oui, il reste un nain. Et à nain bourru, nain bourré. Nombreuses sont les fois où, malgré la haute fonction qu’il assume, il a réussi à… perdre ses facultés alors qu’il était en train de décrire avec ardeur son combat acharné avec un grizzli des froides montagnes du nord. Il s’attendrit devant les enfants, et comme tout nain qui se respecte, a du mal à retenir un certain sarcasme en face des elfes. Il est particulièrement attaché aux humains, du fait de leurs « nature increvable » et de leur entrain selon lui.
Doté d’un esprit d’analyse développé, Il cherche toujours les meilleures situations possibles pour s’en sortir. Combattant aguerri au marteau de guerre (le fait qu’il fasse immédiatement le rapprochement « entre fine lame » et « elfe » ne l’empêche pas de prendre n’importe lequel de ses adversaires au sérieux), il ne cherche à tuer que ceux qui cherchent à le tuer. D’où son style de combat globalement défensif, se servant de son arme comme d’une arme de parade, et doté d’un style offensif violent et moyennement rapide, voire lent. Ses principaux atouts résident néanmoins dans la stratégie, la tactique et la logistique. Cet esprit d’analyse l’a poussé à organiser de nombreux combats, dans son village natal, puis de nombreux convois et par la suite l’armée naine. Si il est extrêmement prudent dans la gestion des armées et groupes de combats, Il se soucie peu de lui même, ainsi que du danger lorsqu’il est seul, ses nombreuses cicatrices en attestent.
Histoire :
La famille Silverfang, une famille de chasseurs, est originaire d’Almia. C’est ici qu’Aguildur voit le jour. Son enfance se déroule au rythme de la chasse avec son père. Ce n’est qu’à partir de sa dix-huitième année qu’il a réellement commencé à user de ses propres moyens. Inventif, aussi bien dans le vif d’une situation que devant un établi de travail, il est à l’origine de plusieurs pièges à loups et à ours, et techniques de chasse.
C’est lors de ses 45 ans qu’il s’est fait connaître de la communauté d’Almia. Son père était alors mourant, à la suite de blessures graves. En effet, une meute de loups importante, et particulièrement… agressive sévissait dans les hauteurs, et plus d’un mineur y laissèrent leurs peau. Suite à la mort de son père, Il décida avec un groupe d’une dizaine de chasseur d’éradiquer ce mal une bonne fois pour toute. Avant de se faire attaquer, son père avait découvert une caverne dans laquelle les loups se réfugiaient durant les tempêtes. La particularité du terrain était une mousse qui recouvrait les pierres environnantes, issue probablement du lac souterrain au fond de la grotte. Aussi lors d’un blizzard Aguidur et son équipe, bravant tant bien que mal les éléments, se postèrent autours des grottes et patientèrent dans des abris hâtivement creusé pendant une demi-journée, attendant la fin de la tempête. Ce n’est qu’alors que la lune éclairait la petite plateforme qu’ils mirent le feu aux lichens. Ayant préalablement recouvert jusqu’à l’entrée le sol, d’abord de sel puis de poudre, de façon à attiser les flammes, l’incendie commença à se diriger lentement vers la grotte. Alors que la flore largement présentent sur les parois prenaient feu, les loups furent pris au piège. Aguildur, face au feu, savourant sa victoire, ne remarqua qu’aux derniers moments le loup, couvert de cendre bondissant par dessus les flammes. En dépit de son couteau, qu’il planta dans le thorax de l’animal in extremis, il ne put esquiver le coup de griffe qui traversa son visage. Malgré l’énorme balafre ouvrant son visage, il rentra triomphant à Almia, la tête du loup à la main, pénétrant avec ses camarades dans la grande salle de la ville. Il parvint avec cette victoire à rentrer dans la vie active, en prenant la direction de la petite garde de la cité. La dizaine d’année qui suivit fut prospère, jusqu’à l’arrivée d’un clan de bandit, s’installant dans les montagnes environnante.
Le clan des Ardanis.
Brigands violents, pillards et violeurs, terroristes et fourbes par excellence, ils avaient quittés leurs lieux d’origine, non loin de Diantra, car leurs méfaits étaient devenus si connus que leurs exil les avait poussé jusque dans les hostiles terres du Nord. Bien que la population de bandits soient très diverses, à savoir des hommes, des elfes ou des drows, Le clan était né de deux frères, les Ardanis et Ardanas, qui avaient commencé à recruter parmi les ivrognes dans les tavernes. Complotant contre leur père, ancien combattant lui même au sein d’un groupe de… « vieux soldats » peu sûr, ils l’assassinèrent discrètement une nuit, pour, sous un faux discours ému le lendemain prendre le contrôle de la bande. Ils partirent à l’assaut des caravanes, des voyageurs seuls, puis des convois escortés au fur et à mesure que leurs rangs grossissaient. Ce n’est que lorsque Ardanas fut tué par une escouade de soldats, et que plusieurs des têtes de leurs membres furent mises à prix qu’ils se décidèrent enfin à émigrer. Faisant des alliances avec des pillards, drow ou pas, qu’ils avaient rencontrés en chemin, ils parvinrent finalement aux côtes de l’océan nordique avec deux centaines de gredins à disposition.
La petite garde d’Almia n’était pas suffisante pour prendre d’assaut un campement de cette envergure. Fort heureusement, le jeune capitaine avait à disposition une escouade de bélier de guerre de passage dans la cité. Appuyé par cet allié de poids, Il prépara une attaque. Le campement, sur un petit plateau sur les contreforts d’une vallée adjacente, était protégé par des barricades d’une demi-douzaine de mètres, en bois, un mirador se dressant vers l’est du campement. Un étroit sentier, difficile d’accès serpentait sur le flanc de la montagne, lentement vers le plateau. Il y avait cependant un autre sentier qui menait à un large cratère, dont le flanc, à 35° plongeait vers le nord-ouest du campement. Les brigands avaient omis cette pente, la pensant sans issue, et l’avaient donc considéré comme partie intégrante de la barrière. C’est la que les béliers de guerre, solides sur leurs appuis selon Aguildur, pourraient charger depuis le bord du cratère jusqu’au centre du campement, tandis que les bandits se faisaient attaquer de plein fouet depuis le sentier. L’attaque ne pouvait se faire que de nuit, néanmoins la charge devrait s’effectuer à l’aube. Aussi à partir du début de l’attaque, une ou deux heures avant l’aurore, le groupe de combat devrait-il tenir suffisamment longtemps pour que la cavalerie puisse charger. Le lourd renforcement de métal sur les troncs de la barrière rendait la percée brute difficile. C’est pour cette raison qu’il utilisa une troupe de trappeur munis de barils de poudre. Il devait être possible d’endommager suffisamment la barricade pour pénétrer dans le campement. Quelques jours après la mise en place du plan, Ils se mirent en marche. La nuit, sans lune, partiellement nuageuse plongeait les bois environnants dans une obscurité des plus totale, et les nains se déployèrent autours du campement. Sur la centaine de nains mobilisés, une trentaine avait été placée en retrait du premier baril, à l’est du camp près du mirador. Celui-ci, rattaché à la barricade pouvait s’effondrer suite à l’explosion, ce qui serait un avantage certain. Une cinquantaine de soldats s’étaient regroupés sur le côté sud de la barricade, non loin de la porte, là où les brigands avaient posé leurs tentes. Au moment de l’explosion la surprise leurs permettrait d’abattre un certain nombre de dormeurs. Pas forcément glorieux, mais efficace selon Aguildur. Une douzaine de nain, des chasseurs essentiellement restaient légèrement en retrait, sur les contreforts et dans la forêt, l’arbalète lourde à la main, guettant les adversaires potentiellement dangereux. Quant aux derniers nains, il s’agissait essentiellement de messager vers la cavalerie.
L’attaque débuta.
Les deux barils de poudre explosèrent à 2 secondes d’intervalle, et comme prévue l’explosion fut suffisamment puissante pour détruire le mirador. Celui-ci s’effondra en un énorme fracas sur des tentes, en écrasant plus d’un. L’autre explosion fut moins efficace: la distance entre la barrière et les tentes au sud du campement était plus importante que les nains auraient pensé. Aussi si la brèche fut crée, toutefois sans toucher les tentes, et les soldats immédiatement réveillé, partirent à l’assaut des assaillants. Un féroce combat s’engagea sur le côté sud, tandis que les nains pénétraient aisément par le côté est.
La première heure fut à l’avantage des nains, les pertes étaient mineures et les ennemis, surtout les humains tombaient rapidement. Soudain, alors qu’Aguildur s’était éloigné de son groupe pour aller chercher Ardanis, une colonne de feu monstrueuse engloutit près de quinze nains à elle toute seule.
Un magicien.
Les combattants se dispersèrent immédiatement, et ce fut une erreur qu’Aguildur ne remarqua que lorsqu’elle eut lieu. Les drows, maîtres de l’assassinat, profitèrent de l’obscurité pour égorger doucement les nains, avant de se fondre dans l’ombre. Un certain nombre de nain y passèrent, jusqu’à ce que le magicien réduise en cendre trois nouveaux nains. Une nouvelle erreur, les arbalétriers ajustèrent les drows à la lumière vive de la colonne et libérèrent une pluie de carreaux, abattant un grand nombre d’ennemis.
Des deux attaques simultanées, on dénombrait une trentaine de morts parmi les nains et près de quatre-vingt morts du côté des pillards. L’infériorité numérique était évidente, et la majorité de « la chair à canon » du camp avait été décimé, aussi restait t-il les meilleurs combattants parmi les adversaires.
Aguildur, parvenu à la position du magicien, perché sur une plateforme de bois reliée au mirador, engagea le combat, qui s’achevât aussi rapidement qu’il avait commencé. Le Magicien, tentant de tuer une série de nains regroupés au même endroit, fut percuté de plein fouet par le marteau d’Aguildur, et se fondra en une gerbe de sang mêlé à des éclats de crânes.
C’est alors que de la grande tente sortit Ardanis. La tête d’un nain dans la main droite, Une longue épée dans la main gauche, il se déplaça lentement vers la position d’Aguildur. Ses yeux verts encadrés par deux mèches rouges semblaient dénué de méchanceté, néanmoins une sensation effrayante s’en dégageait, probablement du fait de l’incongruité d’un tel état d’esprit dans un tel contexte. Aguildur lui fit face. Il entendit clairement « pauvre nains pathétiques » lancé d’une voix claire, grave, accompagné d’un léger sourire. Aguildur posa un pied en arrière, et se jeta sur lui. Il donna un coup de marteau que le jeune homme évita, avant de lui donner un coup d’épée horizontal. La cotte de maille fut déchirée et une légère plaie s’ouvrit sur son abdomen. Aguildur recula brusquement. La vitesse était un atout particulièrement efficace dans ce genre de situation. L’humain attaqua, le nain prit le manche à deux mains et para la lame trois fois avant de tenter un coup horizontal. Ardanis se mit une nouvelle fois hors de porté, et contourna sur le côté, ou il planta profondément sa lame dans l’épaule du nain. Celui ci recula encore, déséquilibré. Le pillard, y voyant une brèche enfonça son épée sur le torse d’Aguildur, qui dérapa sur la cotte de maille, entaillant son côté gauche. Là, Aguildur ramena avec force son marteau. Une nouvelle fois il sauta en arrière… en omettant un détail. Aguildur après avoir mit toute sa force dans le coup, avait, dans l’axe du mouvement fait glisser le manche dans ses mains, pour le tenir par le bout.
Ardanis fut percuté sur la jambe droite, dont les os furent réduits en miette en un sinistre craquement, et s’effondra. Le jeune nain, dans la continuation de son mouvement fit un arc de cercle et fit lourdement retomber le marteau, pulvérisant la tête de l’humain, le tuant sur le coup. Il s’affala à son tour sur la plateforme, épuisé.
Le cor sonna. Alors que le ciel s’embrasait en une myriade de chaude couleur, Les béliers chargèrent pénétrant dans le camp. La suite fut rapide. Des quatre-vingt pillards restants, une dizaine d’entre eux survécurent, en majorité des drows.
Le groupe revint à Almia, triomphant, l’épée D’Ardanis comme trophée. Cependant le bilan était lourd. Des 100 nains d’Almia qui avaient participé à la bataille, trois quart des effectifs était tombé, et il y avait 90% de pertes. Il est probable que si les drows avaient su ceci à temps, une attaque massive aurait fait tomber la cité… cependant ce ne fut pas le cas.
Aguildur fut traumatisé. Un bilan aussi lourd marquait pour lui une terrible défaite, et il se jura d’être largement plus prudent. Il se retira longuement dans les montagnes, et après avoir taillé dans la roche un refuge à l’aide de mineur nain dans un flanc de montagne balayé par le vent et la neige, à l’emplacement exact d’un gisement de platine, il vécut en ermite pendant des années. Il redescendit un temps après, à la mort de sa mère, meurtris de ses combats avec des ours et autres bêtes sauvages. Son retour fut célébré brièvement dans la cité, car il s’était résolu à partir simplement pour la grande cité naine, Kirgan. Il s’engagea alors dans l’armée. Ce fut avec ferveur qu’il servit pendant des années, commençant comme simple soldat, puis montant en grade suite à ses succès, notamment l’élimination partielle de la vermine, à savoir des groupes de pillards et des brigands diverses qui rôdaient dans les montagnes. Il était capitaine d’un groupe de combat d’une quinzaine de soldats, treize nains et deux hommes. Cette escouade acquit une certaine renommée, surnommé la « garde grise ». Néanmoins il était évident que cette réputation pousserait les derniers gredins à se débarrasser définitivement du groupe. Larg, un chef de bande drow qui était parvenu à s’enfuir lors de l’attaque de son camp par Aguildur tendit un piège à l’escouade dans un canyon, regroupa un certains nombre de campements isolés. La garde grise tomba dans l’embuscade. L’escouade fut très rapidement exterminée. D’abord fléchés de toute part, ils parvinrent à se mettre à couvert, non sans pertes. Les brigands, en large supériorité numérique descendirent pour achever le travail, et les nains répliquèrent violemment. L’avantage ne fut certain que lorsqu’Aguildur fut seul, blessé face aux trois derniers drows qui se dressaient devant lui. Cependant il avait laissé volontairement les deux humains en retrait, une tactique illusoire où les attaquants n’auraient pas pensé à une réserve derrière le groupe principal. L’arrivée de ses deux camarades le sauva in extremis, tuant Larg et ses compagnons.
Aguildur, vieillissant, se vit s’attirer les faveurs du Roi nain, (qui mourut peu de temps après, laissant sa place à Bromar) et devint, de par ses méthodes de convoi général d’armée, et avant tout stratège. Il développa notamment, suite au massacre de la famille royale un système de convois armé protégés, placé en cercle concentriques, alternant arme à distance et corps à corps, doté d’une réserve de soldats marchant en retrait de façon à pousser l’adversaire à sous-estimer les forces, sans oublier une multitude de faux convois destinés à leurrer les opposants.
Quant aux deux humains qui l’avaient suivit, Elian et Rejan, ils devinrent alors sa garde personnelle. Quelques mots sur ces humains :
Frères, aujourd’hui âgé tout deux de la mi-trentaine, Ils sont généralement vêtus d’une grande armure recouverte d’une longue cape similaire à celle d’Aguildur. Ils sont lancier, et utilisent généralement des hallebardes. Il porte souvent un heaume à l’armoirie naine.
Ils sont pratiquement tout le temps ensembles, et se ressemblent beaucoup, ayant tout deux les cheveux châtains, les yeux verts, l’un étant cependant beaucoup plus réservé que l’autre.
Aguildur a par ailleurs participé à la purge de Kirgan, et aurait bien pu faire parti de la vingtaine de défunts. Si une troupe de nains ne lui étaient pas venu en aide, il aurait été mis en pièce… Une cicatrice de plus, suite à ces combats marque son torse.
Récemment, juste après le couronnement de Garmin Le Vengeur, il est parti en voyage, retourner à sa ville natale, ou il y est resté quelque temps. Juste avant qu’il ne reparte pour Kirgan, on lui a offert une once dressée, cadeaux des chasseurs nains à cet icône d’Almia, qu’il nommera Neïsha.
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signature : Game workshop, Logan Grimnar, Space Wolf Codex.
Sujet: Aguildur, général d'armée Nain. 
Ven 26 Mar 2010 - 9:19
et ça devrait plus être très long à attendre :D
