Mëlendill - aspirante druide [Katastrophe]

Nom/Prénom : Mëlendill aucun nom de famille connus.
Âge :110 ans à peu près bien que cette information soit quelque peu aléatoire (elle ne sait pas compter)
Sexe : Féminin
Race : Elfe
Particularité :
Elle a une pigmentation de peau terne et relativement plus blanche que la normale, qui tend à confusion, lui créant bien des soucis.

Alignement :Neutre
Métier : aspirante Druide par défaut, à l'heure actuelle, n'ayant pas eut de maîtres, il s'agit d'une magie intuitive, à savoir communiquer avec son frère Lion.
Totem:là voir en jeux tout comme la formation de druide
Classe d'arme : Magie/ Défensif: elle n'attaque que lorsqu'elle se sent en danger.
Langues parlées : un elfique basique et mal assimilé.

Équipement : Une petite dague sans doutes en argent et de belle facture elfique chipée sur un cadavre traînant dans ses bois. C'est d'ailleurs le seul objets de valeur et en bon état qu'elle possède.
Des vêtements eux aussi chipés, ainsi que quelques breloques sans grande valeur.


Description physique :
Une taille moyenne (environs 1 mètre 72) pour une carrure élancée, le corps de Mëlendill semble avoir gardé ses formes adolescentes, timides mais prometteuses, comme la majorité des elfes à vrai dire. De la vie précaire en plein air, elle a hérité de la souplesse du félin, bien qu'elle ne soit effective qu'en terrain qu'elle connaît réellement (forêts) . Si d'aventure, elle devait se trouver dans un endroit plus "civilisé", elle serait sans aucun doutes d'une maladresse effroyable.
Mëlendill arbore une peau à la pigmentation étrange, car elle vire au gris très clair-blanc nacré, lui donnant un aspect ambigus que beaucoup prennent pour une variation pour ne pas dire dégénérescence de la race, ou une vague hybridation. A cela s'ajoutent des tatouages blancs parcourant son dos et sa hanche droite.
Un visage angélique, ayant gardé la candeur de l'enfance, encadrés de longs cheveux lisses, blancs comme neige, où des petites perles viennent discipliner un tant soit peu le tout.
La demoiselle a de plus des yeux d'un vert tendre très expressifs, dont la zone près de la pupille semble avoir reçut des éclats dorés.
Coquette (à sa façon), elle prend plaisir à peindre des motifs blancs sur son visage.
Quant à sa tenue, elle varie selon ce qu'elle trouve, l'ensemble est clairement dépareillés, et lui donne un air bohème.

Description mentale :
Mëlendill a toutes les attitudes de la sauvageonne: curieuse de ce qu'elle ne connaît pas pour ne pas dire à l'extrême, tout en étant méfiante, elle n'a par ailleurs aucune notion de bien ou de mal, ou, si on peut appeler cela notion: "ce qui est bien pour moi, est bien".
Ayant été éduquée à la sauvage, elle n'a par ailleurs aucune notion d'étiquette, de politesse, et aura tendance à parler sans détours, et ce de façon qui put être perçue comme tranchante, trop directe: en effet, elle ne connaît pas les subtilités du mensonge, et dira toujours ce qu'elle pense, sans se soucier ou se rendre compte des conséquences de ces mots.
Socialement parlant, elle applique la lois de la nature, à savoir: le plus fort a raison, mais une tendresse dans les rapports avec les autres, tendresse un peu trop marquée parfois, frisant le ridicule. Elle n'a par ailleurs aucune conscience des rapports intimes hommes-femmes, et donc, si l'on prend en compte la morale normalement établie, elle n'a aucune pudeur ou forme de vergogne.
Bien qu'elle garde une certaine méfiance naturelle envers les personnes lui ressemblant (les deux pattes), elle reste clairement attirée par eux, sans doutes par curiosité.
Changeante comme la lune, elle peut passer de la bonne humeur, à une humeur désastreuse en quelques secondes, son clan l'a par ailleurs surnommée la Fille de La Lune à cause de cette particularité. C'est sans doutes dû au fait qu'elle entende la symphonie des arbres de temps à autres, qui semble fortement influencer ses humeurs.
Mëlendill ne cache jamais ses sentiments, et très expressive, il est facile de lire en elle comme dans un livre ouvert, et bien qu'elle fasse preuve de pas mal de chaos dans sa façon d'être et de penser, elle a une certaine bonhomie et gentillesse (pour ne pas dire naïveté candide) , qu'elle exprime à sa façon toujours.
De plus, elle a une tendance à la cleptomanie lorsqu'elle trouve un objet joli ou intéressant, ne se souciant pas vraiment des concepts de propriété.

Histoire :


De sa naissance, peu de gens dans la communauté elfique gardent un souvenir précis, sans doutes oublié par facilité, ou par superstition.
Mëlenwë était une jeune adulte de la noblesse dans sang elfique, fille de Duc, prêtresse de Kyria promise à un siège de haute prêtresse aux vues de ses qualifications, elle jouissait alors d'un futur radieux, souriant, simple, sans compter sa beauté éblouissante: de longs cheveux blonds, des yeux verts profonds, une silhouette fine et élancée, un teint rosé plein de santé.
Courtisée, elle vivait alors dans un petit univers candide, bercée par les histoires et légendes de son peuple.
Qui aurait put croire que cette douce personne puisse un beau jour dévier du bon chemin?

Mëlenwë vécut une idylle, vivant des moments merveilleux et magiques, qu'elle s'évertuait à garder secrète, elle avait alors le sentiment que cela lui appartenait, à elle et à elle seule.

Personne ne s'attendait à voir son ventre s'arrondir au fils du temps, ce qui parut plus étrange encore: elle refusa toujours de divulguer le nom du père, laissant ainsi place à des rumeurs et des spéculations des curieux cherchant à tout prix à savoir.
Sa famille, gênée, ne sut pas vraiment comment accueillir cette grossesse, et il planait une sorte de malaise étrange lors des repas.

Au bonheur des cancaniers et autres ragotteurs, l'enfant vint enfin au monde et tous pensaient pouvoir deviner le père à travers les traits du nouveau-né, seulement, quelle horreur ce petit! outre le fait qu'il avait la peau blafarde, celle-ci manquait d'éclat, et donnait l'impression d'être presque gris.
Très vite des bruits divers coururent sur son compte: un amour illégitime avec un drow, un enfant maudit, disgrâce, tant de méfiance qu'on finit par demander à la dame Mëlenwë de se débarrasser de l'enfant.
Refusant cette alternative cruelle, elle prit sur elle de quitter la douce vie elfique et alla de ce fait se réfugier au fin fond d'une forêt, dans laquelle elle pensait élever sa fille.

La mère et l'enfant trouvèrent refuge loin, au fin fond des bois, s'aménageant un endroit au sec tant bien que mal, car, Mëlenwë n'avait aucune compétence en la matière.
Les premières années, elles vécurent tant bien que mal de la cueillette de fruits, et de certaines prises qu'un ami d'enfance de la dame leur apportait.
Mëlendill ne semblait, contre toute attente, pas affectée par ce mode de vie précaire, en prenant presque goût d'une certaine façon. Dès qu'elle put marcher sur ses petites jambes, elle prenait déjà goût à l'exploration , et très tôt, elle fit preuve d'un esprit un peu rebelle. Mëlenwë semblait tenir à ce que sa fille devienne une dame, élégante, gracieuse, ce qui fut plutôt difficile, car Mëlendill manquait de concentration, et n'avait aucun goût pour les choses de l'étiquette, la danse ou autre, le fait d'entendre la symphonie des arbres la déconcentrait, pire que cela, il lui arrivait de piquer des colères ou bien de pleurer sans qu'on ne sache vraiment pourquoi.

Elle y avait crut. Aussi longtemps qu'elle respirait, elle avait crut qu'il viendrait les chercher, et que sa vie redeviendrait simple, douce, candide. Malheureusement, les rigueurs de la vie sauvage et la réalité la rattrapèrent, lorsque Mëlenwë, partie cueillir des fruits, fit une chute du haut d'un monticule de rochers, sa tête heurta l'un d'eux plus saillant que les autres, causant une commotion cérébrale, ainsi qu'une hémorragie interne.
Son agonie fut lente, mais il n'y eut pas de miracle, quelques heures plus tard elle était morte, laissant l'enfant seule, trop jeune pour survivre.

Combien de temps errant-elle sur ses courtes pattes chancelantes? Personne ne pourra donner réponse à cette question, mais ce fut sans doutes sa prédisposition au druidisme qui lui sauva la vie.
La petite avait pleuré, épuisée, elle était tombée. C'est alors que la nature lui sauva la vie en lui permettant la rencontre avec une léomenis (Lionne) isolée. Cette dernière avait été chassée de sa meute à cause de son lionceau albinos.
Sans doutes son instinct maternel jouant, sans doutes prise par une quelconque forme de pitié, toujours est-il qu'elle se prit d'affection pour ce petit félin sans poils et pas très assuré, et qu'elle l'éleva en compagnie de son lionceau.

Grâce à cette mère providentielle, Mëlendill survécut, apprit à chasser, à vivre avec la forêt, les souvenirs de sa mère devinrent alors des bribes, puis des lointaines images pour finalement disparaître. Elle tissa de solides liens avec son frère de lait, et, bien qu'ils ne se parlaient pas vraiment, ils étaient capables de se comprendre d'une certaine façon.
De cette rencontre, certains druides plus expérimentés y verraient un signe de la nature, ou un lien d'âme puissant.
L'enfant avait néanmoins gardé des souvenirs de la langue de sa mère, elle nomma son compagnon Elsyrath, avec qui, ils étaient inséparables.
Ce dernier, plus posé que sa soeur, lui évitait bien des soucis divers, variés et parfois armés, causés par la curiosité de la jeune elfe.

Dernièrement, Mëlendill semble de plus en plus poussée par la curiosité, et a commencé à pousser l'exploration de plus en plus loin dans leur territoire.





Notes: la pigmentation de sa peau est essentiellement due à une forme d'albinisme, une tare rare, mais existante, qui peut être interprétée comme une punition des dieux, si on a l'esprit dévot et mystique.





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Comment trouves-tu le forum ? : Sobre et beau
Comment as-tu connu le forum ? : Via google après moutls recherches
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : à venir , avatar by me.

Pour la particularité, il faut demander à Callista, mais à priori, ça ira pas. Pourquoi ? Parce que changer le temps est à mon avis un talent qui demande pouvoir, puissance et si c'est en continue, endurance... Je vois honnêtement pas comment ça serait possible dans ton cas (et dans n'importe quel cas, d'ailleurs).

Prépare toi à changer, donc, mais je demande quand même confirmation à Callista.

Ensuite !

Tu es une apprentie druide... Vu que tu n'as pas de maître, le mieux serait aspirante, potentielle, etc... Apprenti signifierait que tu as commencé ta formation. Pour ta classe d'arme, il serait surement préférable d'intégrer la Magie en primaire (préférable, voir indispensable)

Ensuite, l'histoire a un souci... Ou du moins, il faut voir à quel âge ta petiote a été recueilli par sa mère animale ? Si cela se fait assez tard, elle peut en effet parler, car elle aura appris, mais autant être sûr. Au final, ça fait un peu Princesse Mononoké, mais vu que j'aime bien le film, et que les elfes sont censés avoir un contact plus naturel avec la Nature dans sa globalité... Ca passe. A voir si tu peux développer l'histoire un peu aussi dans sa globalité =p

Autre point, si elle est aspirante druide, elle entend de façon plus ou moins marquée, la "Symphonie des Arbres". Vu son "niveau", ca sera faible, mais la dite Symphonie lui donne des infos sur son environnement Si tu veux on en parle sur la CB.

Merci à toi pour ta réponse!
Alors, j'ai commencé à changer selon tes remarques, "apprentie" en "aspirante", retirer le corps à corps pour la "magie" et supprimer la particularité sortie de l'espace :3

Pour le reste, je vais étoffer l'histoire , selon tes remarques (mais pas ce soir, il se fait tard , je n'ai pas envie de partir encore une fois en cahouettes ^^)
En parler su cb avec grand plaisir, ça m'aiderait, par contre, je peux au moins avoir un lien avec mon copain lion? dans le sens où on peut se comprendre, communiquer par jeux de regards ou autre?

Vilain double-poste: ayé, j'ai édité mon historique

Et je te.. valide !


Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

N'oublie pas de lire les règles sur la Magie druidique et de choisir tes sorts, de les réclamer dans la partie Demande et de les entreposer dans l'Inventaire !