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  Judith Forescar [Aventurière]

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Judith
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MessageSujet: Judith Forescar [Aventurière]    Judith Forescar [Aventurière] I_icon_minitimeMer 1 Sep 2010 - 22:35

Nom/Prénom : Judith Forescar
EDIT : Après avoir créé ma fiche, j'ai remarqué qu'il existait déjà une Judith, Judith D'Aphel... Elle semble inactive depuis longtemps, alors cela ne pose pas de soucis si je garde quand même ce prénom ?
Âge : 24 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine

~~ Particularité ~~

On l'appelle rarement par son prénom, et encore plus rarement par son nom de famille. Ceux qui l'ont croisée sans son armure la désignent sous le sobriquet de "la Dame", ce qui évoquerait presque un surnom de guerre. Dans son armure de plates noires, heaume baissé, elle ressemble à un terrible chevalier qui serait venu hanter les cauchemars des enfants. Souvent, on dit d'elle qu'elle aurait dû naitre homme, ce qu'elle trouve plutôt flatteur en vérité. De toute façon, elle en remontrerait à bien des mâles en matière d'audace et de virilité...


Alignement : Neutre
Métier : Aventurière
Classe d'arme : Défensif

~~ Équipement ~~

Si certains ne s'embarrassent pas de kilos d'équipement pour partir à l'aventure, ça n'a jamais été le cas de Judith. Elle n'affectionne rien de plus que sa lourde armure de plaques noires dont elle supporte le poids sans broncher, si ce n'est son épée à large lame et au tranchant meurtrier qu'elle garde accrochée à sa selle. Ses sacoches contiennent provisions, vêtements de rechange et munitions pour son arbalète qui, accrochée à la selle de sa monture, dissuade les rôdeurs de venir y voir de trop près. Sous son heaume à la visière étroite et au panache sombre, elle dissimule à la fois sa voix, déformée par le casque, et son visage de femme, prenant l'allure terrifiante d'un paladin noir lourdement harnaché qui fonce vers l'ennemi au triple galop.

Parmi ses possessions les plus précieuses, on peut citer une paire de bracelets de cuir qui lui entourent les poignets. Ensorcelés, ils confèrent à leur possesseur une vigueur accrue, ce qui lui permet de manier sa lourde épée sans trop d'efforts et de ne pas souffrir du poids de l'armure qu'elle trimballe avec elle. Ce secret, elle ne le révèle à personne, préférant de loin surprendre les curieux avec son inexplicable robustesse. Après tout, dans ce métier, un peu d'esbroufe n'a jamais fait de mal à personne ! Et puis, il fallait bien réparer l'injustice qui l'avait fait naître femme alors qu'elle aurait tant voulu être un homme.

Parfois, entre deux errances dans les terres désolées et sauvages, elle finit par rejoindre la ville, poussée par une envie subite de vie sociale, et loue une chambre dans une auberge de confiance. Elle y laisse destrier, armes et armures pour ne sortir qu'avec des tenues plus simples : chemisier, bottes de cavalier, pantalon et rapière pour aller sillonner les bas quartiers ou se perdre parmi la foule des brigands de bas étage. Rarement, quoique l'occasion se présente quelquefois les soirs de fête, elle porte la robe pour aller danser ou se mêler à une meilleure société. Elle maintient souvent ses cheveux relevés sur sa nuque à l'aide de longues épingles de métal qui peuvent se révéler, en cas de besoin, des armes redoutables.

Quoique pour être honnête, dans ses mains, même un peigne peut devenir dangereux...


~~ Description physique ~~

Première chose à savoir : elle ne supporte pas de se regarder dans les miroirs. A ses yeux, la coquetterie est au mieux un luxe, au pire une aberration. Ayant depuis toute petite trouvé son propre physique ingrat, elle s'est orientée vers une voie qui ne lui laisse ni le temps, ni le loisir de s'adonner à des futilités pareilles. Non pas qu'elle soit laide, quoi qu'elle puisse en penser ; mais la plupart du temps, elle ressemble tellement peu à l'idée qu'on pourrait se faire d'une femme qu'elle en devient une anomalie aux yeux des hommes. Une femme combattante, ça peut encore aller ; une femme en armure de plaques, qui boit et jure comme un homme, ça calme tout suite les velléités de flirts et, honnêtement, ça fout une sacré trouille.

Ses yeux, d'un brun désespérément banal, savent se faire furieux et inflexibles, tempête et orage, murs de mépris infranchissable. Elle a de longs cheveux très sombres, d'un brun presque noir, lisses et souvent emmêlés par un long séjour dans son casque. Elle se trouve elle-même bien trop grande pour une femme, ce qui la complexait beaucoup quand elle était plus jeune. A présent, elle se dit que de tout façon, avec son corps musclé et ses allures masculines, cela ne fait qu'accentuer l'aisance avec laquelle elle se fait passer pour un homme.

Un long entraînement à l'épée lui ont toutefois permise d'acquérir une certaine poigne, et il lui arrivait souvent de battre au bras de fer les garçons de son village qui voulaient se faire passer pour des durs. Elle a pris des leçons d'escrime à droite à gauche, dès que l'occasion se présentait, puis s'est finalement trouvée un maître d'armes en la personne d'un ancien soldat, cavalier dans l'armée, qui a bien voulu la prendre en charge. Elle manie donc son immense lame avec un certain talent, bien que pas franchement dans les règles de l'art. Ayant passé une grande partie de son adolescence à s'entraîner à la joute, frappant d'une lance en bois le centre d'une cible qu'elle a fabriqué, elle n'a plus qu'une idée en tête : trouver un chevalier à défier pour mettre son apprentissage en pratique. Des années d'exercice ont développé son endurance et son agilité, si bien qu'elle parvient généralement à surprendre ses adversaires par la rapidité avec laquelle elle se déplace, même sous une armure si imposante.


~~ Description mentale ~~


Qui ne connait pas le proverbe "Prenez garde à l'eau qui dort " ?

Si elle ne brille pas par sa féminité, Lady ne s'est jamais distinguée non plus pour ce qui concerne la patience. Quoique d'un abord calme et posé, elle peut s'irriter extrêmement rapidement et réagir avec une violence rare à des commentaires insultants - ou simplement déplaisants - qui lui seraient adressés. Aussi hautaine et orgueilleuse qu'une reine, elle n'en est pas moins capable d'actes profondément charitables envers des personnes faibles ou en difficultés. Elle ne tolère aucune faiblesse chez les autres, pas plus qu'elle ne la tolère chez elle, et peut garder une rancune tenace envers ceux qu'elle a jugés déloyaux ou méprisables.

Paradoxalement, elle aime qu'on lui tienne tête. Rien n'excite davantage son esprit combatif qu'un rival, pour peu que celui-ci soit vraiment doué au combat, et elle aime se frotter à plus fort qu'elle pour tester ses limites et combattre jusqu'à l'épuisement le plus complet. Son obstination lui a souvent valu bien des déboires, mais elle reste pleinement confiante (un peu trop, même) en ses propres capacités et refuse catégoriquement d'admettre ses points faibles. Elle ne vit que pour l'action, le combat et l'inconnu ; excellente cavalière depuis son plus jeune âge, elle n'aime rien de plus que de galoper à bride abattue sur un sentier désert, le vent sifflant dans son heaume et gonflant sa cape dans son dos. Sa hardiesse la pousse à se jeter au devant du danger plutôt que de le fuir, et sa langue acérée n'est pas en reste pour déclencher rixes et bagarres de tavernes lorsqu'elle se sent le besoin de se divertir.

Elle s'est mise dans une terrible colère lorsque ses parents l'ont empêchée d'entrer dans l'armée -quitter à l'enfermer si nécessaire- pour finalement se rendre compte, après réflexion, qu'elle n'aurait pas supporté la discipline et le climat d'obéissance sévère qu'il y règne. A vrai dire, elle supporte difficilement qu'on lui donne des ordres et n'envisage même pas de devoir quoi que ce soit à quiconque. Le métier d'aventurière lui convient bien mieux que l'armée, même si elle caresse le rêve secret de se devenir un jour chevalier.

Ah, autant le préciser aussi : elle n'a aucune imagination...


~~ Histoire ~~

Les gens heureux n'ont pas d'histoire.

Judith, née au milieu d'une famille de paysans ni trop pauvres pour des serfs, ni trop aisés, pour des bourgeois fut relativement heureuse pendant toute la période de son enfance. Il y avait beaucoup d'animaux à la ferme avec qui jouer ; à peine avait-elle appris à marcher qu'elle se disputait déjà avec chiens, chats, poules, cochons... Son père aurait voulu un garçon pour l'aider aux durs travaux de la maison, aussi faute d'une future présence masculine, il se contenta d'elle. Elle y trouvait son compte, d'ailleurs, car même si les autres filles du village se moquaient de ses manières rudes et indisciplinées, comme si elle avait été élevée par une espèce de meute d'animaux sauvages, la fillette ne rêvait ni de princes qui viendraient la chercher, sourire éblouissant aux lèvres, ni de jolis rubans et de robes aux couleurs chatoyantes, ni de peignes, colliers et bagues nuptiales.

Depuis qu'elle avait l'âge de savoir ce que c'était, Judith rêvait aux chevalier.

Elle en avait vus, une fois, qui traversaient le village au grand galop ; montés sur leurs destriers hauts comme des montagnes, aux sabots solides et aux croupes immenses ; avec leurs armures aussi polies et brillantes que le soleil, et leurs épées qui jetaient des rayons de lumière comme la lune dans un ciel plein de nuages. Elle avait vu leurs casques rayonnants, leur air martial, leurs écus comme de l'argent fondu et leurs bannières qui s'élançaient pour se confondre avec le ciel. Après les avoir vus, elle n'avait plus jamais oublié, et elle était rentrée chez elle en annonçant qu'elle voulait partir avec eux.

Ca avait bien fait rire son père. Alors qu'elle se mettait à pleurer, disant qu'elle travaillerait dur, qu'elle apprendrait bien toutes ses leçons, il avait cessé de rire et il l'avait attiré dans ses bras pour lui expliquer qu'une fille de paysans ne pouvait devenir que ce qu'on lui permettrait d'être, ce qui signifiait peu de choses, pour être honnête. Il lui parla longtemps de chevalerie, de nobles, de hiérarchie sociale, et il termina en soulignant qu'après tout, si elle voulait être chevalier, grand bien lui en fasse ; qu'était-ce qu'un chevalier sinon un homme en armure avec un cheval ?

Aussi, pour son vingtième anniversaire, il lui offrit un petit poulain qu'il avait échangé à la foire contre une truie et ses petits, un petit poulain aussi noir que du charbon, avec des grands yeux étonnés et des pattes fines et fragiles comme des brindilles. Elle l'appela Sullivan, qui était le nom du chevalier dont son père lui racontait autrefois les histoires avant de s'endormir, et qui combattait sans relâche l'injustice et l'oppression du peuple (le chevalier, pas le poulain). Il n'était pas racé et provenait d'un croisement entre un lourd animal de trait et une jument d'attelage ; mais en grandissant, il devint un robuste étalon à la robe sombre, au poitrail large et aux sabots lourds comme du plomb. Une fois qu'elle l'eut dressé, Judith le montait sans relâche, profitant du moindre moment que lui laissaient les travaux à la ferme et ses leçons (dispensées par sa mère, qui se chargeait surtout de lui apprendre à lire, écrire et compter, afin qu'elle puisse un jour reprendre la gestion de la ferme). Elle osa rapidement sauter des obstacles de plus en plus hauts, inquiétant ses parents et provoquant parfois des plaintes de la part des voisins dont elle piétinait la propriété en traversant le champs comme un boulet de canon.

Si d'aventure un maître d'arme ou un aventurier passait par le village, elle ne manquait pas de l'apprendre et se précipitait à sa rencontre pour lui réclamer des cours d'escrime qu'il finissait invariablement par lui donner, ne serait-ce que pour avoir la paix. Apres quelques cours a droite a gauche, elle finit par dénicher un professeur d'escrime, ancien soldat, qui accepta de la prendre en main. Ainsi, à force d'apprentissage et d'entraînement, elle finit par acquérir une certaine maîtrise de l'épée et une indiscutable habilité au combat. Lorsque la guerre commença, elle voulut quitter la ferme pour s'engager dans l'armée, mais ses parents l'en en empêchèrent. Pour la première fois de leur vie, son père et elle faillirent en venir aux mains.

Vint aussi pour elle l'âge de se marier, mais elle ne fut pas des plus prisée. Quel bon fils de famille voudrait d'une épouse qui monte à cheval comme un homme, porte des pantalons, se bat avec les garçons du village à coups de poings, manie l'épée et l'arc à longueur de journée ? Sa première déconvenue, et aussi sa dernière, fut de s'apercevoir que ses anciens amis n'appréciaient guère de passer du temps en sa compagnie. En grandissant, elle était devenue un peu trop étrange, trop différente, trop... masculine. Après tout, elle vivait dans un village de gens simples, éloignés du tumulte des grandes cités, et dont les mentalités n'avaient pas évoluées depuis la dernière guerre, ou si peu. Comment se serait-elle sentie à l'aise en reprenant la ferme, au milieu des commérages, des qu'en dira-t-on, femme seule pour gérer une exploitation agricole sans mari ou amis proches ?

Après une longue et houleuse discussion, ses parents acceptèrent de la laisser partir. Ils lui fournirent un petit pécule, achetèrent une selle et des vêtements, une carte, quelques provisions, l'embrassèrent et lui souhaitèrent bonne chance. Puis elle alla courir les routes, avec son cheval et la vieille épée de son père, en attendant de faire fortune pour s'acheter à la première occasion une véritable armure et des armes dignes de ce nom.

Seulement, elle ne tarda pas a découvrir que la vie d'aventurière ne relevait pas de la sinécure. Souvent dans le besoin, forcée de travailler a droite et a gauche pour récolter de quoi se payer a manger, braconnant quand il le fallait, elle chercha fortune un moment sans rien trouver, ne pouvant rien faire de mieux qu'attendre que la chance tourne. Puis, un beau jour, elle tomba par hasard sur une caravane marchande attaquée par un groupe de pillards. Sautant sur l'occasion, elle se joignit au groupe des gardes et qui l'acceptèrent avec une certaine réticence, profitant toutefois de cette aide minime mais bienvenue. Elle accompagna ainsi les marchands jusqu'à leur destination et reçut sa première paye avec laquelle elle put s'offrir son armure de plates.

Ainsi, elle eut un premier contact avec le métier d'escorte, qu'elle pratiqua ensuite pendant deux ans. Rapidement, elle s'aperçut que se battre en armure lourde était une autre paire de manche. Le capitaine des gardes appréciait ses efforts et, une fois qu'elle se fut relativement intégrée dans la compagnie, il lui offrit de vieux bracelets magiques qu'il utilisait autrefois, dans sa jeunesse, et dont il n'avait plus l'usage. Il la mit toutefois en garde : bien qu'utiles, ces objets étaient a utiliser avec précautions car un emploi abusif risquerait de la mettre dans un état de faiblesse extrême.

Seul, sans famille ni enfants, il semblait se retrouver un peu en elle et accepta aussi de finir sa formation au combat. Quand elle repartit a l'aventure, décidée malgré tout a n'a pas finir sa vie en escortant des marchands, il lui fit ses adieux et lui rappela qu'en cas de besoin, il y aurait toujours du travail pour elle ici. Quand elle parle de lui, ce n'est que sous le nom du Capitaine et avec le plus grand respect.

Elle ne désespérait pas de tomber un de ces quatre sur un chevalier, afin de pouvoir le provoquer en duel et gagner...


~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Super, j'y crèche depuis deux ans déjà
Comment as-tu connu le forum ? : Double-compte de Berg'inyon, autorisé par Katalina ^^
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : Malheureusement, je n'ai aucune idée de l'endroit où j'ai pu dénicher cet avatar (comme la plupart des innombrables avatars dont je fais la collection, récoltés de part et d'autre d'internet), aussi si quelqu'un le sait il sera le bienvenu pour m'aider^^

EDIT : en fait l'image a été utilisée autrefois par Faye Messaliera, qui a changé d'avatar depuis. Merci à elle de me l'avoir indiqué !  Judith Forescar [Aventurière] Icon_biggrin

RE-EDIT : j'ai modifié certains traits de caractères après avoir découvert qu'il y avait un autre personnage féminin en armure sur le forum, Johann, et que nos deux fiches se ressemblaient beaucoup, bien que je n'ai jamais jeté un coup d'oeil sur la sienne auparavant ^^
J'imagine que c'est ce qu'on pourrait appeler "l'effet Mulan" ou "l'effet Lady Oscar", le cliché de la femme guerrière qu'on ne peut s'empêcher d'imaginer de telle façon. Sinon je ne vois pas d'autre explication sur le fait qu'on ait toute les deux créées des personnages très similaires (l'initiative lui revient en premier, puis moi) sans s'inspirer l'une de l'autre...
Bref, si jamais tu lis ça Johann, je serai ravie de faire un de ces quatre un RP avec une femme qui a réussi dans l'armée
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Dernière édition par Judith le Dim 5 Sep 2010 - 11:11, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Judith Forescar [Aventurière]    Judith Forescar [Aventurière] I_icon_minitimeSam 4 Sep 2010 - 14:31

Citation :
On l'appelle rarement par son prénom, et encore plus rarement par son nom de famille. Ceux qui l'ont croisée sans son armure la désignent sous le sobriquet de "la Dame", ou encore mieux : "Lady", ce qui évoquerait presque un surnom de guerre.

Lady... Ca fait un brin anglais What a Face la Dame est amplement suffisant.

Citation :
Parmi ses possessions les plus précieuses, on peut citer une paire de bracelets de cuir qui lui entourent les poignets. Ensorcelés, ils confèrent à leur possesseur une force accrue, ce qui lui permet de manier sa lourde épée sans efforts apparents et de ne pas souffrir du poids de l'armure qu'elle trimballe avec elle.

Alooooors... On va dire, bracelet de vigueur What a Face à la limite, je veux bien, MAIS ! Parce qu'il y a un mais. On n'est pas dans un jeux vidéo, les bracelets de force +5 n'existent pas. Il faut une contrepartie pour ce que tu nous proposes là. A première vue, ça serait que si elle les porte en continue pendant un an, il faudra qu'elle demande de l'aide pour soulever une chaise. Enfin tu vois le genre ^^

Citation :
sa silhouette est restée aussi fine que celles des femmes ordinaires. Mystère sans doute dû à ses bracelets de forces, et qu'elle se plait à entretenir...

Bug What a Face Va falloir lui donner des épaules de camionneurs si tu veux rester complètement logique @_@

Citation :
les autres filles du village se moquaient de ses habits sans cesse pleins de terre et de ses cheveux emmêlés

La plupart des paysans ont des vêtements plein de terre et des cheveux emmêles, hein ? L'hygiène, à l'époque é_è. Ca aurait été des filles de ville, encore... mais village sous-entend quand même une certaine... ruralité quoi.

Bon, ensuite, l'histoire... Y a un bug. Comme tu le présentes, je vois mal comment :
- Elle a récupéré ses bracelets
- Elle a acquis une véritable maîtrise de l'épée (parce qu'un cours une fois tous les 36 du mois, c'est peu ._.)
- Elle a pu se payer une armure

Bref, ton histoire semble s'arrêter trop tôt ._.
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MessageSujet: Re: Judith Forescar [Aventurière]    Judith Forescar [Aventurière] I_icon_minitimeDim 5 Sep 2010 - 11:13

Toutes les modifications sont faites ! :-)
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MessageSujet: Re: Judith Forescar [Aventurière]    Judith Forescar [Aventurière] I_icon_minitimeLun 6 Sep 2010 - 22:30

Bon, allez, ça roule ! Je valide, tu connais le chemin.
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MessageSujet: Re: Judith Forescar [Aventurière]    Judith Forescar [Aventurière] I_icon_minitime

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