Harkaas Val'Ulroa
Drow
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Âge : 120
Date d'inscription : 24/08/2009
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Taille : Niveau Magique : Maître![Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] ![Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/13/06/08/i_icon_minitime.gif) Ven 25 Mar 2011 - 20:04 | |
| Prénom/Nom : Harkaas Val’Ulroa
Race : Drow
Sexe : Masculin
Age : 305 ans
Métier : Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen
Classe d’arme : Magie divine
Alignement : Neutre mauvais
Particularité : N’oubliez jamais que l’auteur est un menteur.
Description physique :
Le Haut Prêtre de Tesso est un drow d‘une belle prestance, cela nul ne peut le nier. Il ne s’agit cependant pas de la beauté quasi inhumaine (indrowesque serait un terme un peu étrange n’est-ce pas ?) des prêtres d’Isten, mais d’une beauté plus rassurante, presque familière. La régularité des traits, la franchise du sourire, la clarté du regard, voilà ce qui caractérise avant tout Harkaas. Le genre de drow que l’on pourrait pour un peu s'imaginer avoir comme ami, capable d’une certaine empathie avec ses proches s'ils acceptent de lui ouvrir leur cœur. Extérieurement, le religieux ne sort guère de l’ordinaire, toujours vêtu de vêtements sobres bien que de qualité comme s’il voulait éviter de vexer en se montrant trop à son avantage. De taille normale, il ne présente pas la musculature d’un guerrier ni la ventripotence d’un jouisseur. Un masque que cette apparence bien entendu... mais un masque fort utile pour gagner la confiance de ses interlocuteurs.
Description mentale :
Quel défi que de définir mentalement un drow comme Harkaas Val’Ulroa. Se complaisant dans le mensonge et la tromperie, il est bien difficile de lui trouver des points d’ancrages mentaux solides… si ce n’est peut être justement l’absence de point d’ancrage. Car de fait, Harkaas ne croit en aucune cause et n’est fidèle envers personne. Son plus grand plaisir dans la vie, sa plus violente jouissance est d’assister en spectateur discret à une catastrophe causée par une mystification ou une trahison. Peu lui importe d’ailleurs qui se trouve être la cible de cette trahison, son culte ne cherche pas à soutenir spécifiquement une cause contre une autre. Un frère trahissant un frère en croyant obtenir un héritage inexistant… quel délice pour lui. Un chef sacrifiant ses hommes pour conquérir une position inutile mais dont il était persuadé qu’elle se révélerait utile… de même. Amateur de situation avant tout, les personnes concernées ne comptent pas à ses yeux, drows, humains, elfes ou même nains, le plaisir est le même. Conscient que certaines limites ne peuvent être dépassées sans risque, il n’irait cependant pas jusqu’à trahir sa propre race… sauf bien sur s’il estime que l’on ne pourra jamais remonter jusqu’à lui.
Histoire :
[Comment peut-on raconter avec sincérité son histoire lorsque l’on baigne dans le mensonge depuis son premier jour ? Ce défi parait impossible à relever pour le Haut Prêtre, aussi la conscience du narrateur se manifestera par moments sous cette forme afin de replacer la réalité derrière l’illusion]
Mon histoire est de celles qui se chantent dans les tavernes où se content les soirs d’hiver. Pas une de ces belles histoires de vaillants chevaliers en armures blanches pourfendant monstres et démons afin de sauver des vierges effarouchées qui pourtant leur ouvriront leurs cuisses. Non. Il s’agit d’une de ces histoires sombres et sordides où les pires aspects de la race des drows jaillissent comme le sang d’une plaie. Une de ces histoires qui vous laisse une impression de souillure et de saleté sur la peau.
Mais commençons par le commencement. Je naquis voici plus de trois siècles dans une famille roturière du Puy d’Elda. Mon père avait été un grand guerrier des osts du Puy jusqu’à une blessure à l’épaule le rendant inapte au combat. Je m’en souviens comme si c’était hier, bien que je n’étais alors âgé que d’une dizaine d’années. Je le revois entrer dans notre maison, l’épaule encore bandée et le regard terne. Pour un drow qui ne vivait que par et pour la guerre, ce retour à la vie civile fut un véritable déchirement.
Afin de faire vivre sa famille, il dut se reconvertir dans le commerce, exercice qui lui vint finalement assez aisément. Un talent caché, latent, peut être ? Toujours est-il que nos assiettes ne furent jamais vides et que nous ne souffrîmes pas de privations. Au fond, ce furent des années heureuses pour moi, et ce d’autant plus que ce bonheur allait prendre fin. Ma main tremble encore d'une colère difficilement contenue alors que je repense à ce jour funeste où mon père fut assassiné par une bande de brigands qui « vendaient » leur protection aux commerçants et faisaient des exemples de ceux qui refusaient leur aide.
[Petite rectification… le père d’Harkaas était lui-même vendeur d’esclave à ses heures et sa mort fut la suite d’un différent commercial avec un confrère dans une taverne sordide où se réglaient toutes sortes d’affaires qui ne l’étaient pas moins. Quand au mélo dramatique d’Harkaas, inutile de s’appesantir dessus.]
Quel terrible déchirement cette perte fut pour moi ! Pendant des jours, j’errais dans le Puy comme une âme en peine, volant ou mendiant ma nourriture et m'enivrant pour oublier, n’osant même plus m’approcher de ce qu’autrefois j’appelais mon foyer. Bien m’en prit d’ailleurs, car l’assassin de mon père s’en était revenu avec des hommes de main et avait enlevé ma mère et ma sœur. Lorsqu’enfin je retournais dans ce qui avait été ma maison durant cette période que je ne peux qu’appeler mon enfance, rien n’en restait. Je m’effondrai en larmes, le cœur déchiré.
[Plus précisément, sa mère vendit sa fille comme esclave et fila vivre une passion tumultueuse avec un veldru’k du troisième ost. Cela vous donne une idée du personnage, et de son absence totale d’intérêt pour ses enfants, chose assez rare chez une race aussi peu prolifique que les drows. De là à comprendre pourquoi Harkaas n’aime guère parler de son enfance, il n’y a qu’un pas. Quand au soi-disant déchirement qu’il affirme avoir connu, il faut le tempérer par le fait que jamais il ne fit le moindre effort de retrouver sa sœur, même une fois devenu un personnage important du culte de Tesso Uns’aa Ulnen]
Alors que je gémissais, prostré au sol, une voix retentit. Sur le moment, je ne sus dire d’où elle venait et encore moins la décrire. Forte ? Faible ? Aigue ? Grave ? Sardonique ? Sérieuse ? Aussi étrange que cela puisse alors paraître pour moi, elle semblait tout cela à la fois. Elle m’environnait et me pénétrait, me remuant jusqu’au plus profond de mon âme. Cette sensation était à la fois terrifiante et terriblement excitante.
Relèves toi, mon garçon. Relèves toi et regardes moi.
Mes yeux plein de larmes se levèrent du sol et le virent. Une masse de fumée ayant vaguement forme humaine, d’où irradiait une puissance telle que jamais je n’en avais contemplé. Je ne le connaissais pas, et pourtant je savais qui il était, comme si un déclic venait de s’activer dans mon coeur. Mon dieu, mon maître, mon seul point d’ancrage en ce monde. Tesso Uns’aa Ulnen. De nouveau la voix retentit et je compris alors qu’elle arrivait directement dans mon esprit. J’aurai du être terrifié mais cette simple notion semblait incompréhensible pour moi à cet instant, car je venais de trouver mon nouveau père, celui que je servirai jusqu’à mon dernier souffle.
Rends-toi à mon temple, mon garçon, et présente toi aux prêtres. J’ai de grands projets pour toi.
Un souffle d’air violent me cingla le visage, m’obligeant l’espace d’un instant à fermer les yeux. Lorsque je les rouvris, je me retrouvais de nouveau seul, mon maître avait disparu. Mais dans mon cœur, sa présence ne me quitterait plus. Désormais, le doute et la peur ne me tenaillaient plus, car je savais quelle voie prendre, celle de mon dieu. Séchant mes larmes, je descendais dans les niveaux intermédiaires du Puy, fermant ainsi une page de ma vie.
[Cette partie de l'histoire est peu crédible, et un fort taux d'alcoolémie dans le sang pourrait être la cause d'une hallucination mystique. Toutefois, il est exact qu’Harkaas fut accepté à cette époque comme adepte dans le temple. Pour autant, nul aujourd’hui ne sait encore s’il faut y voir une intervention de Tesso ou le simple fait qu’un prêtre était en relation d’affaire avec son père. Sans même parler des déformations habituelles du Haut Prêtre lorsqu’il narre son histoire, force est d’admettre que les voies des dieux sont impénétrables, et celles de Tesso encore plus…]
Devenu adepte au temple, ma vie fut rude et ponctuée de brimades. Les prêtres ne sont en effet pas tendres avec les nouveaux adeptes, leur faisant effectuer les tâches les plus ingrates et les plus humiliantes qui soient. Ce qu’à l’époque je trouvais être une injustice n’en est pas une, cela je le sais aujourd’hui. Ce n’est qu’ainsi que la foi du postulant est mise à l’épreuve, que sa dévotion peut se révéler. De même que le feu forge les outils, la vie d’adepte forge le caractère du futur prêtre.
L’amitié n’est pas un sentiment ayant droit de citer dans le temple de Tesso Uns’aa Ulnen. Elle affaiblit l’âme, car pour un ami l’on risque de baisser sa garde ou de laisser passer une occasion. Or l’élévation au rang de prêtre impose de ne pas donner dans de tels sentiments. Ceux qui tombent dans ce travers sont vite rejetés. Pour ma part, je puis prétendre avec fierté n’avoir jamais mis les pieds dans ce marécage boueux.
Des alliés, oui, voilà une chose que tout adepte se doit d’avoir. Mais l’alliance est fragile, basée uniquement sur une communauté d’intérêt. Trahir un allié pour s’élever, pour se faire bien voir d’un supérieur est faire preuve d’intelligence. Sans doute étais-je meilleur à ce petit jeu que mes condisciples, ou peut être Tesso veillait-il sur moi, car je devins prêtre. Âgé alors seulement de cent vingt ans, je venais d’atteindre mon objectif.
[Rien à redire… le jeune adepte Harkaas fut un véritable fidèle de Tesso au plus pur sens du terme, s’alliant avec les uns puis avec les autres selon ses besoins.]
N’allez pas croire que jamais je ne tins ma parole. Cela m’arriva, et bien plus souvent que vous ne pouvez le croire. Trop de gens ne voient notre dieu que comme le maître du mensonge et de la tromperie, sans chercher à comprendre ce que ces mots veulent dire. Mentir sans but, ou tromper pour rien n’est pas notre dogme. Nous sommes et devons avant tout être des maîtres-manipulateurs, et de même qu’un maître d’armes utilise ses épées, nous utilisons les mots et la trahison pour arriver à nos fins.
Me suivez-vous ? Arrivez-vous à comprendre ce que je tente de vous expliquer ? Le clergé de Tesso est pareil à ces maîtres d’armes, nous utilisons nos armes avec grâce et élégance, pas brutalement comme un imbécile envoyant de grands moulinets dans l’air. Une véritable manipulation se construit, se travaille, se peaufine. Une pincée de mensonge dans une longue vérité, un soupçon de trahison dans un océan de fidélité… et à l’arrivée une situation que nous créons ou chacun joue avec des cartes faussées sans même le savoir. Là est la vraie beauté de Tesso, la vraie noblesse de notre art.
[Un rare moment de sincérité venant du Haut Prêtre. Ou bien mentirait-il encore ?]
Voilà ce que j’appris années après années après être devenu prêtre. En tant qu’adepte, il me suffisait de démontrer mes capacités à suivre nos principes, mais désormais les règles se complexifiaient. Je faisais partie d’un clergé, et cela impliquait de travailler également à son développement. Si j’ai pris tant de temps à vous expliquer la beauté de l’art de la manipulation, il s’agissait également de vous faire comprendre qu’un clergé se vautrant dans un mensonge permanent et stupide comme un porc se vautre dans la boue ne pourrait perdurer. Les fidèles savent à quel dieu ils ont affaire, néanmoins ils se tourneront vers d’autres dieux si Tesso passait son temps à leur mentir et à les tromper… même un dieu respecte certaines limites.
Parlons des adeptes justement. Voleurs, escrocs, charlatans, la pègre du Puy venait souvent à nous, se reconnaissant dans nos principes. Et comme il est toujours bon de se recommander à quelqu’un dans des situations dangereuses, autant choisir un dieu proche de vos convictions… vous aurez plus de chances de le voir poser un regard bienveillant sur vos actes. Car au fond, un faussaire écoulant sa marchandise ou un informateur vendant de faux tuyaux vénèrent Tesso sans même s’en rendre compte.
Mais revenons-en à moi. Être prêtre ne me satisfaisait plus, je savais pouvoir mieux servir mon dieu en accédant à un grade plus élevé. Ma dévotion envers notre maître et ses préceptes, les fidèles que je ramenai au temple, tout cela ne pouvait qu’être porté à mon crédit. Certes ma réussite ne pouvait que susciter des jalousies de la part d’autres prêtres moins talentueux, qui tentèrent régulièrement de me discréditer. Mais ces idiots, s’ils vénéraient Tesso, ne le comprenait pas. Leurs dénigrements primaires et basés sur une mauvaise foi ridicule ne pouvait s’apparenter à l’art de la manipulation exigé par le dieu. Or il est intolérable de la part d’un des nôtres d’être pris en flagrant délit de mensonge, car cela prouve un manque grave de compétence dans ce domaine.
[Un peu idéaliste que cette version. Si Harkaas fut un prêtre efficace, son élévation au poste de Grand Prêtre fut aussi causée par sa capacité à avoir affaibli suffisamment tout autre candidat. Apparu tard dans la course au titre, alors que nombre de prêtres se tiraient déjà dans les jambes, il sut distiller de fausses informations quand à une affaire de vols d’oboles dans laquelle il laissa croire être impliqué jusqu’à ce que ses adversaires l’en accusent. A ce moment, et preuve formelle à l’appui, il put démonter leurs accusations. La Haute Prêtresse Noamuth Kaas, lors d'un de ses rares passages au Puy, s’avoua favorablement impressionnée par ce mensonge subtilement dirigé contre soi-même… digne d’un vrai fidèle de Tesso en effet.]
Je pris pour ma part un grand plaisir à attiser leurs rivalités, laissant croire à chacun que j’estimais qu’il ferait un candidat idéal que je soutiendrai en temps utiles. Ma nomination au poste de Grand Prêtre en surpris plus d’un je crois, mais cette surprise même prouvait qu’ils n’avaient pas le talent nécessaire pour servir efficacement le dieu des mensonges et de la tromperie. Remettre tout en doute et ne croire en rien, voilà bien le seul moyen de perdurer dans ce monde.
Les décennies passèrent les unes après les autres, chaque année apportant son lot de nouveautés, d’anciennes rivalités et de vieilles blessures. Je profitai de mes moments de tranquillité pour me pencher sur la mentalité des autres races, pour analyser leurs forces et leurs faiblesses, leurs ressorts les plus intimes sur lesquels il parait possible de jouer en cas de besoin. Tout bon manipulateur se doit de connaître ce qui fait battre le cœur de son adversaire, faute de quoi prévoir ses réactions ressemblent trop à un jeu de hasard.
Les nains et les elfes ne m’intéressèrent guère. Emplis de noblesse ou de fierté, emplis de morgue. Faciles à manipuler à cause même de cela, ils ne constituent pas un sujet d’étude digne de ce nom. Trop souvent leur honneur, ou ce qu’ils appellent ainsi, les poussent à des actes irrationnels… le pire étant qu’ils le savent. Avec le courage, l’honneur est à mes yeux le pire défaut qui soit. Suivre de tels préceptes est oublier la première règle de la vie, qui est de survivre justement.
[Force est d’admettre que le courage et l’honneur ne sont pas les vertus premières du Haut Prêtre de Tesso. Mais… et s’il avait raison ?]
Les humains par contre, ah oui là il y a un potentiel digne d’être mis au service de Tesso. Ils peuvent faire preuve de la plus grande bassesse qui soit afin d’atteindre leurs objectifs. Nombre d’entre eux ne ressentent pas ces tiraillements de leur conscience qui les accuse de fausseté. Certes ils restent des êtres primaires comparés aux drows, mais ce peuple mérite toute notre attention. Même les drows n’arrivent pas à égaler leur mauvaise foi et leur duplicité lorsqu’ils affirment agir pour le « bien ». Les sombres peuvent tuer et massacrer au nom d’Uriz, mais les humains peuvent le faire au nom de la moralité. Fascinant… vraiment fascinant.
Je constate que je m’éloigne du sujet, mais la parole de Tesso jaillit sous ma plume et il m’est difficile de ne pas expliquer ses préceptes. L’histoire touche à sa fin, car la Haute Prêtresse m'ayant précédée vivait quasi-exclusivement à Diantra afin d'infiltrer les humains et ne pouvait de ce fait diriger efficacement le culte. Un changement s'avéra nécessaire, et aucun autre candidat sérieux que moi ne pouvait être choisi par le clergé. Cette fois j’avais agit différemment, m’imposant comme la solution évidente… et Tesso refusant de répondre aux prières de ceux qui espéraient empêcher mon élévation, une voie royale s’ouvrait devant moi.
Voici donc désormais bien des années que je suis Haut Prêtre de ce culte. J’ai vu au cours de ma vie passer les régimes, sombrer les rois puis le Triumvirat, assister à la grande défaite d’Alonna, plus récemment à la conquête d’Ellyrion. Et pourtant mon histoire n'est pas fini, car le mensonge fait partie de chacun d'entre nous, que nous le voulions ou non. Et partout où la tromperie régnera, je serai présent...
[Pour un peu je pourrais moi-même m’avouer convaincu par ses thèses et adhérer au clergé de Tesso, admettant enfin que seul ce dieu a vu la vérité et prône tout haut ce que les autres n’osent même pas penser tout bas. La vie du Haut Prêtre n’est-elle pas justement la preuve de cette vérité ? Mais n’oubliez pas… l’auteur est un menteur.]
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Comment trouves-tu le forum ? : si vous ne le savez pas, vous ne me connaissez pas.
Comment as-tu connu le forum ? : Tesso me l’a indiqué… était-ce un mensonge ?
Crédit avatar et signature : Jayla rules !
Compte autorisé par : refonte de fiche (anciennement Harkaas, mercenaire drow), autorisée par Ethan.
Dernière édition par Harkaas Val’Ulroa le Sam 26 Mar 2011 - 8:30, édité 6 fois |
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Astéride de Valis
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| Tiens, une refonte *_*
Un seul petit point, j'aimerais que tu nuance l'apparition du dieu please ^^
Le panthéon drow est né de la magie des drows et ne sont pas des dieux physiques dans le sens où on l'entend, tu peux parler d'un mirage, d'un rêve par contre vu que ton perso était dans un état..euh...pas beau a voir o/ |
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Harkaas Val'Ulroa
Drow
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| Voilà, j'ai modifié pour que l'on comprenne qu'Harkaas était dans les vignes de Bacchus à ce moment là... ![Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] 195580](https://2img.net/u/2513/15/11/71/smiles/195580.gif) - Citation :
- Pendant des jours, j’errais dans le Puy comme une âme en peine, volant ou mendiant ma nourriture et m'enivrant pour oublier
- Citation :
- Cette partie de l'histoire est peu crédible, et un fort taux d'alcoolémie dans le sang pourrait être la cause d'une hallucination mystique
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Harkaas Val'Ulroa
Drow
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| Oups, je n'étais pas remonté assez loin dans mes recherches pour lui remettre la main dessus... faut admettre qu'il n'y avait eu quasiment rien de rp :D
C'est fait, j'ai modifié. Pour le passage au niveau Grand Prêtre, j'ai indiqué qu'elle était de passage (elle devait quand même bien retourner de temps en temps au Puy...), et j'ai laissé le doute sur son destin en parlant de remplacement et non pas de sa mort.
Pour les dates, je ne donne pas de chiffres précis (j'ai enlevé la "cinquantaine" par "bien des années"). Le seul rp effectué par Noamuth ne donnant aucun détail quand à un positionnement temporel, je préfère donner à mon personnage une certaine ancienneté dans le poste.
Cela vous va-t-il ?
Dernière édition par Harkaas Val’Ulroa le Sam 26 Mar 2011 - 10:37, édité 1 fois |
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Drystan
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Taille : 1,88mNiveau Magique : Apprenti. | | Sujet: Re: Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] Sam 26 Mar 2011 - 8:55 | |
| Je m’immisce, concernant le positionnement temporel du seul rp de Noamuth, désolé Astéride é_è
"Alors que l'automne tombait" est donné comme indication dans l'introduction qu'à fait Lazare dans le fameux rp, c'était donc il y a deux ans.
*va se planquer avant de se faire taper sur les doigts* |
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Astéride de Valis
Ancien
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Taille : Niveau Magique : Apprenti | | Sujet: Re: Harkaas Val'Ulroa [Haut Prêtre de Tesso Uns’aa Ulnen] Dim 27 Mar 2011 - 12:00 | |
| Pour moi, say bon o/
Tu connais le chemin, première porte a droite, au couloir, tu prends a gauche, puis encore a gauche, tu monte au premier étage et c'est la porte en face \o/ |
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