Malagyrr Rilynt'tar [Tebirahc]

█ Nom/Prénom . Malagyrr Rilynt'tar █ Âge . 422 Ans █ Sexe . Masculin █ Race . Drow █ Alignement . Tueurs de l'Ombre █ Métier . Haut Prêtre de Kiel █ Classe d'arme . Magie ~ Corps à Corps █ Description physique . La peau grise comme la cendre qui habitait autrefois le Puy d'Elda, tendue, indomptable au point de n'en laisser aucune ride, aucun pli, cette peau là ne pouvait qu'être celle d'un Rilynt'tar. A cela s'accompagnait une chevelure aussi blanche que neige, bien que cette dernière ne gagnât jamais les profondeurs du Puy, une longue chevelure que l'héritier Rilynt'tar avait pour habitude de tirer à outrance en une parfaite queue de cheval. Queue de cheval qu'il rabattait ensuite par un habile jeu d'épingles à cheveux. Décorant son visage d'une inexpression peu commune, deux yeux étirés comme les fentes d'un masque d'arlequin brillaient d'une vive couleur ambre. Couleur que le drow aimait à nimber d'un trait verdâtre subtil, presque naturel, autour de chaque oeil. Six brûlures englobaient son regard de félin, si froid, et pourtant si aguicheur, deux bâtons en dessous de chaque oeil, un au-dessus. Ces marques étaient posées avec une telle précision que nul oeil un tant soit peu entrainé ne pouvait les confondre en excuses. Six brûlures, pour autant d'accomplissements dans la vie du Rilynt'tar. Grand, et de bien fier allure, le drow possédait une musculature soignée, non trop osée, tout juste ce qu'il fallait de courbes pour faire de son corps une sculpture de puissance et d'agilité. Malagyrr, c'est ainsi qu'on le nomma. Ce qui en langue drow signifie le protecteur des mystères. Cela explique sans doute pourquoi il en conserve un si grand nombre. Certaines langues racontent d'ailleurs volontiers que jamais ses lèvres n'ont été entrevu, sans que personne ne sache pourquoi. █ Description mentale . S'il est de coutume qu'on reconnaisse un drow aussi bien à sa couleur de peau qu'au sourire sournois qu'il affiche lorsque son esprit bouillonne de calculs et de manipulations à venir, Malagyrr l'était à son trop plein de silence et à ce regard par lequel il véhiculait toutes ses émotions. Bien qu'il n'avait en aucun cas à rougir de l'avidité et du vice de ses congénères, car il en débordait plus qu'il n'en fallait, Malagyrr passait maître dans l'art de dissimuler tout ce pourquoi son feu intérieur brûlait. Aussi froid et détaché qu'il est possible de l'être, parfois même trop du goût de certain, il est un calculateur né, quasi virtuose, car tout ce qu'il touche, tout ce qu'il entreprend, à un but précis défini bien à l'avance dans les méandres de son esprit tortueux. Il est difficile de savoir où et comment Malagyrr frappera, son impassibilité se faisant l'arme de cette incertitude permanente, mais il est une chose certaine : Malagyrr frappera, et il frappera aussi fort qu'il le pourra. Se revendiquant une passion commune avec la Déesse Kiel, son goût de la douleur et de la cruauté semblent être une forme d'art à laquelle il aime s'exercer quand les conditions le permettent. Malagyrr devient alors l'ombre de Kiel, son plus dévoué serviteur, peut-être le seul drow du Puy à être capable d'extraire le supplice du corps de ses victimes, de les dépecer de tout espoir envisagé, pour les emprisonner sous formes de gouttelettes de sueur froide dans des flacons. En cela et en bien d'autres choses, comme l'art de susciter le plaisir, ou encore celui de manipuler ses victimes et même ses congénères comme si tous reposaient sur un échiquier de sa création, Malagyrr excellait. Au plus profond du Puy d'Elda, on le dit somnolant, ni éveillé ni totalement endormi, figé dans son siège cousu de noir et de fer. On dit aussi que croiser son regard, entrevoir le miel de ses pupilles, revient à obtenir une place plus ou moins de choix dans ses stratagèmes. Vérité ou simple murmure, tout ce qui habite l'existence de Malagyrr est pourtant bien destiné à quelque chose, tout peut avoir une utilité après tout, du corps pulpeux d'une drow en chaleur aux murmures d'un disciple soumis à des pulsions meurtrières, en passant par le sourire d'un prisonnier trop certain de son endurance. ░░░░░░░░ █ Histoire . La famille Rilynt'tar était une très vieille famille, une noble et riche famille, qui en des temps divers offrit son lot de grands noms au Puy. Des trois dernier héritiers Rilynt'tar ( de la branche principale de la famille ), Laelolin, Istaere, et Malagyrr, Malagyrr est celui qui se dessina le plus étrange des destins aux yeux des siens. Famille de guerriers aguerris aux origines comme en tout temps, la famille Rilynt'tar vit son premier fils, Istaere, prendre la Voie du Guerrier et leur unique fille, Laelolin, suivre celle du Sorcier quelques décennies plus tard alors que Malagyrr jaillissait tout juste du ventre de sa mère. Gris, entièrement gris, aux exceptions de ses cheveux d'un blanc pur, comme ceux de sa mère, et de ses yeux couleur ambre, comme ceux de son père, Malagyrr était le dernier d'une fratrie déjà réputée pour son extrême rudesse. Les langues étaient alors loin de voir en ce Lerg la cruauté réincarnée, un genre de cruauté fourbe et dévastatrice comme il n'en naissait que quelques unes par millénaire. Or Malagyrr était l'antre même de cette cruauté. Comme tous les Lerg, il pendit au sein de sa mère aux premières lueurs de son existence, lui arrachant beaucoup plus que sa nourriture, car déjà il était l'être silencieux et profiteur d'aujourd'hui. Pas un pleur, pas une larme, Malagyrr n'était alors qu'un brasier naissant. Un brasier que sa mère attisait avec un sourire presque malsain, devinant déjà, sans doute, que son dernier ne ressemblait pas aux deux premiers. Le destin lui donna raison. Jeune Dalharen, Malagyrr reçut pour nourrice une drow prénommée Quavnolu. D'elle, l'enfant apprit l'histoire du Sombre Peuple, et plus encore, la religion. Très tôt, il s'intéressa au panthéon des dieux, délaissant volontiers l'étude des arts du chant et de la musique, et mettant même en retrait son étude du combat bien qu'il en magnât les préceptes comme tous les membres de sa famille avant lui. Et plus les années passaient, plus sa soif de connaissances religieuses s'intensifiait, plus encore pour la Déesse de la Cruauté que pour les autres dieux du panthéon. Quavnolu regardait l'enfant grandir à petit feu, fière de ce qu'elle accomplissait, car en lui elle voyait son enseignement étinceler. Mais un soir, alors que leur leçon se prêtait à quelques pratiques sexuelles d'usage, Quavnolu sentit son coeur se dérober sous le souffle brûlant de Malagyrr. Le plaisir l'envahit et s'intensifia au fil des secondes, alors que les doigts agiles du Dalharen saisissaient les rebonds de sa chair pour les palper généreusement. Vaquant à sa tâche, elle ne remarqua pas la lueur qui brillait dans les yeux de son élève, elle ne vit pas l'ombre de la Déesse Kiel poindre au-dessus de leurs silhouettes entrelacées, et sentit encore moins la fine lame saigner sa chair car ses sens étaient alors trompés par les dents légèrement plantés dans son sein droit et la piqure laissée par la communion de leurs intimités. Le sang coula lentement le long de sa cuisse avant qu'elle ne s'en rendit compte. Malagyrr fit son affaire comme il en convenait à un jeune drow de la faire et se redressant, il regarda la vie de sa nourrice s'écouler le long de sa jambe et imbiber les draps. Quavnolu voulut se débattre, elle voulut lutter pour sa vie, mais Malagyrr s'étendit si doucement contre elle, ne craignant ni ses griffures ni ses coups, et embrassa si sensuellement sa clavicule que la drow mourut quasiment en silence, dans un dernier soupire de plaisir. Cette victime, Malagyrr l'apporta aux portes du Temple de Kiel comme une offrande faite à la déesse. La première brûlure de son existence, située au-dessus de son oeil droit en un bâtonnet de quelques centimètres, était de ce fait. Malagyrr raconta plus tard que ce bâtonnet de chair calcinée était le fruit d'un rituel que lui avait inspiré ses premières lectures autour du Culte de Kiel. Pour chaque mort qu'il offrirait de sa propre main à la Déesse, Malagyrr offrirait un bout de sa chair au feu qui le consumait. Ce n'est qu'une fois devenu Haut Prêtre de Kiel, qu'il honora ce rituel. Un an après cet épisode, Malagyrr se présenta de nouveau aux portes du temple pour y suivre le Chemin de Kiel, conformément à la Voie des Dieux. Le jeune drow fut initié à ce que la cruauté avait de plus absolu, aussi bien dans la conception que le Culte de Kiel avait d'elle que dans la pratique préconisée par le Prêtre Instructeur et la Grande Prêtresse. Mais tous deux étaient loin d'imaginer que Malagyrr serait le drow à même de repousser les limites du Culte. Discret, parfois trop au goût de ses camarades, Malagyrr fut très vite mis de côté et considéré comme une bien maigre menace pour qu'on s'intéressa à lui, en tout cas était-ce le jugement que lui portait les autres recrues. Sûr de son potentiel, de sa force, et du lien qui l'unissait indéniablement à la Déesse Kiel, Malagyrr ne se soucia en rien de cette mise à l'écart, il en fit même une force. La deuxième brûlure de son existence, celle qui prenait la forme d'un autre bâtonnet, cette fois-ci, au dessus de son oeil gauche, était du fait de ses jeunes années en tant que recrue. Au cours d'une prière devant un parterre d'adeptes, les esclaves Zurthans employés au transport des cendres se révoltèrent et prirent le Prêtre Instructeur en otage dans une pièce du temple. Parmi les recrues, les novices, comme parmi les prêtres, la question se posa de savoir ce qui devait être entrepris pour sauver le Prêtre Instructeur tout en abattant tous les Zurthans impliqués. Le débat fit rage pendant de longues minutes, mais une recrue poussa froidement les portes de la petite pièce et s'engouffra à l'intérieur, sans crainte, sa dague à la main. Son regard de félin balaya la scène, et aussi lentement qu'il était possible de frapper, il s'avança et frappa en plein coeur le premier Zurthan qui se rua sur lui. Détendu, impassible, mais le coeur grondant de férocité, Malagyrr tua autant de Zurthan que la portée de son bras le lui permis. Les autres furent abattus par les autres drows qui s'étaient décidés à entrer. Dans la cohue générale, Malagyrr trancha le cou du Prêtre Instructeur avec un des couteaux dont les Zurthan s'étaient servis, et ce après lui avoir soufflé à l'oreille qu'un prêtre de sa qualité avait rendu un bien piètre hommage à sa Déesse en se laissant capturer par des moins que rien et que la bienséance aurait voulu qu'il se donne lui-même la mort. Certains jurèrent avoir vu le Prêtre Instructeur en vie à leur arrivée dans la pièce, d'autres que non, l'étude du cadavre conduisit à la conclusion que le cou du Prêtre Instructeur avait été tranché par un couteau de cuisine comme en tenait les Zurthans. Le crime leur fut attribué et une cérémonie fut célébré pour que le corps du Prêtre fut érigé en offrande à la Cruauté. Malagyrr passa en tout et pour tout quatre vingt quinze ans au rang de novice, rang auquel il brilla par ses conceptions nouvelles et son impressionnante capacité d'apprentissage. Repéré par le Haut Prêtre de Kiel en personne, il devint un prêtre aguerris sous la plume de qui naquirent des psaumes virulents qui embrasaient le feu sauvage des drows envoyés sur les champs de bataille. Il inventa de nouveaux rituels, plus sombres, plus douloureux, et plus symboliques encore que ce qui était alors en usage. Certains de ces rituels atterrirent entre les mains des bourreaux qui firent dès lors geindre leur victime comme rarement par le passé. Mais à jamais la satisfaction et le sourire de Malagyrr demeurèrent absents. Le Rilynt'tar nourrissait d'autres buts, et longtemps il attendit le jour propice pour accomplir l'un d'entre eux. Celui-ci survint près de deux siècles plus tard, après que la Bataille du Comté d'Ydril eut fini de tuer le Haut Prêtre du Culte. Au Puy, la Grande Prêtresse désigna un collège de sept prêtres susceptibles, selon elle, de succéder à son maître. Elkune, Faelyntyrr, Jhulagh, Xunolin, Zareyl, Amalaufein et Malagyrr furent choisis parmi tous les autres prêtres du Culte. Amalaufein était le favoris, car neveu du regretté Haut Prêtre. Il fut le premier à disparaître aux yeux des adeptes et à mourir sous les yeux de Malagyrr. Troisième brûlure, un bâtonnet sous l'oeil droit. C'était par une aube d'automne, Amalaufein, Zareyl et Malagyrr se promenaient dans l'aile ouest du Temple quand le premier essaya d'abattre les deux autres. Si Zareyl y perdit une oreille, Malagyrr y gagna une victime. La carotide tranchée, le sang du favoris se déversa tout entier dans le couloir principal de l'aile ouest. Malagyrr taillada son corps des psaumes originels et aidé de Zareyl, le jeta dans l'âtre des cuisines. Le corps fut découvert par les esclaves au petit matin et la nouvelle se répandit que Kiel avait fait s'abattre sa cruauté sur Amalaufein comme elle l'avait fait pleuvoir sur son oncle. Malagyrr et Zareyl se jurèrent silence sur cet affaire et ainsi les choses restèrent-elles entre les deux drows. L'hiver d'après, c'était au tour de Faelyntyrr, retrouvé dépecé au fin fond des geôles après que Malagyrr eut fomenté son enlèvement et échangé son corps contre celui d'un détenu condamné à mort. Quatrième brûlure, premier bâtonnet sous l'oeil gauche. Près d'un an plus tard, Xunolin et Zareyl trouvèrent la mort à la bataille d'Alonna, partis avec l'espoir qu'il reviendrait glorieux de nombreux sacrifices humains et elfes. Restèrent Elkune, Jhulagh et Malagyrr. Ce dernier était devenu le nouveau favoris. A l'intronisation du nouveau Seigneur Sombre, Elkune et Jhulagh mirent à mal la réputation du favoris en l'accusant de la mort d'Amalaufein et de Faelyntyrr devant toute la classe religieuse du Culte, réunie exceptionnellement pour débattre de l'élection de leur prochain Haut Prêtre. Elkune et Jhulagh, trop imbus d'eux-même pour s'intéresser à Malagyrr, s'attendaient à le voir sortir de ses gonds et à se discréditer devant l'assemblée toute entière. Ils furent surpris par le calme avec lequel le Rilynt'tar quitta son siège et s'avança au centre de la rotonde pour prononcer des mots qui demeurent encore à ce jour fraichement gravés dans la mémoire des religieux du Culte de Kiel. " Notre bien aimée Déesse n'est-elle pas la seule à dicter les souffrances de nos victimes ? N'est-elle pas celle qui a commandé cette entaille dans la gorge d'Amalaufein et qui a vidé le corps de Faelyntyrr ? Personne ici ne saurait renier l'évidence de ces faits. Alors pourquoi m'en affubler si ce n'est parce qu'à vos yeux je suis l'élu désigné par notre Déesse ? Si tel est son choix, alors que demain à l'aube vos corps soient retrouvés enlacés dans ses bras, pour vous pardonner d'avoir attribué ses mérites divins au mortel que je suis. " Le lendemain, à l'aube, le corps d'Elkune était retrouvé mort dans sa chambre, sans bras, mais entourés de deux bras étrangers autour de la taille. Cinquième brûlure, deuxième bâtonnet sous l'oeil droit. Celui de Faelyntyrr était retrouvé dans le même état, dans la même aile où Amalaufein avait trouvé la mort. Il fut prouvé après analyse des corps que les bras de Fealyntyrr entouraient le corps d'Elkune et ceux d'Elkune le corps de Fealyntyrr. Sixième brûlure, deuxième bâtonnet sous l'oeil gauche. Malagyrr était aussitôt intronisé au Haut Prêtre de Kiel, la mort annoncée des deux conspirateurs faisant de lui l'incontestable nouveau maître du Culte capable de lire la volonté de la Déesse Cruelle. Le lendemain de son intronisation, six brûlures apparaissaient sur son visage, trois autour de chaque oeil. ░░░░░░░░ █ Equipement . Malagyrr porte toujours une dague à lame recourbée à sa ceinture. Elle se tient dans un fourreau dont l'ornementation s'articule autour de ronces gravées à même le métal. La garde de la dague représente une vague terminée de chaque côté par des émeraudes rondes. Pour les grandes cérémonies et à certains occasions, Malagyrr peut tenir un bâton de prêtre aux reflets sombres, presque noir, possession de tous les Haut Prêtre de Kiel qui se sont succédés à travers les ages. Finalement, une armure complète, dotée d'un gorgerin rehaussé et décorée d'écailles noires et de plumes de corbeaux. ░░░░░░░░ █ Comment trouves-tu le forum ? Intéressant et surtout très vaste ! Bien qu'on s'y perde un peu à chercher toutes sortes d'informations ^^ █ Comment as-tu connu le forum ? Le classement forum.actif. █ Crédit avatar et signature : Damo by iumazark ♥

Je précise que la fiche est terminée, à moins que vous ayez des remarques bien sûr. Bonne lecture !

Juste pour "rassurer" et avertir, je lirais et traiterais ta fiche à partir de 15h, 24 heures du Mans oblige.

Je n'avais pas particulièrement besoin d'être rassuré mais bonne fin de course tout de même ^^

Je valide, c'est parfait.


Pour quand tu auras tes couleurs et tes accès :

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

A part ça, pour tes sorts divins, puisque personne n'a mis en place une liste avant ton arrivée, c'est toi qui devra t'en occuper. Les sorts devront respecter l'attribut et le domaine de la divinité, la Cruauté donc, tournant j'imagine autour de la souffrance, de torture etc...
Tu as des modèles ici : https://miradelphia.forumpro.fr/t6028-religieux-demande-de-sorts (c'est là que tu devras poster ta liste) ou bien encore dans la Cosmologie (les Cultes de Tari, Néera et Mogar sont la norme et sont donc d'excellents modèles)

Code:

[Métier & Classe] : Haut Prêtre de Kiel

[Âge & Sexe] : 422 ans & Masculin

[Classe d'arme] : Magie & Corps à corps

[Alignement] : Tueurs de l'Ombre

Merci pour tout ! Je vais lire tout ça avec attention. A bientôt en RP, sûrement. * regarde avec un doux sourire sa page blanche où ses sorts cruels vont s'écrire *