Syld [Hanegard]

Nom/Prénom : Alak'dar, Syld
Âge : 125 ans
Sexe : Masculin
Race : Hybride
Particularité : Les deux sabres qui l'accompagnent semblent faire parti intégrante de lui.

Alignement : Neutre
Métier : Vagabond
Classe d'arme : Corps à corps


Description physique / Equipement :

Au premier abord, on ne retient de Syld qu'une fine silhouette à la démarche souple, vite avalée par la foule dans laquelle il se fond, invisible dans la multitude. Une seconde rencontre révèle un regard gris immense teinté d'antharcite, qui ne se détourne pas et vous embrasse tout entier. La bouche pourtant joliment ourlée, qui passe du franc éclat de rire, moqueur et insolent à la moue boudeuse, est la plupart du temps masqué par un foulard. Le visage d'une finesse féminine est auréolée d'une chevelure noire lisse qui descend sur ses épaules, toujous masquée par un bandana noir. La plus part du temps, le faciès d'un hybride est marqué par l’héritage sylvestre, au contraire du corps qui est influencé par la rigueur du sombre. Pourtant le teint grisâtre de Syld rappelle celui des drows, bien que ses traits fins et son gabarit semblent refléter la doucereuse sereinité elfique.

Les mouvements sont élégants, d'une grâce obtenue à force d'heures entières passées à casser la résistance de chaque muscle, pour gagner en maitrise et en fluidité. Il marche au bord des corniches comme en pleine rue, funambule bondissant de toît en toît d'une détente féline. Il est vêtu le plus souvent de larges pantalons sombres et d'une longue tunique de coton elfique de couleur pourpre, fendue sur les cotés, qui descend plus bas que le genou et vole autour de lui au moindre mouvement. S'il fait trop froid, il s'enroule dans une sorte de cape de lainage assez informe qui le dissimule tout a fait et dont un rabat lui sert de capuche. Il porte de fines bottines de peau souples et dans son dos, deux grands sabres légèrement recourbés enroulés de tissus qui les protégent, maintenus par deux grandes sangles entrecroisées sur sa poitrine. Dans sa manche est dissimulée un fin stylet à la longue lame aiguë, tranchante comme un rasoir.

A l'index de la main gauche, brille l'éclat sombre d'un anneau d'argent orné d'une pierre ovale tres bombée et lumineuse, du meme rouge liquide que le sang.



Description mentale :

Au premier abord, Syld ne semble qu'insolence effrontée. Un trait de caractere qu'il a acquis durant les années à suivre son ami Kyalan et sa petite troupe de bandits. De villes en campagnes, l'apprentissage de la vie de rôdeur lui a appris à savoir user de ses talents de pickpocket, de marchandage, d'assassinat, et accessoirement de ses charmes. Il ne recule pas devant l'idée de devoir donner une nuit en échange d'un lit chaud et d'un repas. Son enfance à voler dans les rues a exercé son oeil aux valeurs des choses et il ne peut résister à s'approprier ce qui lui semble en valoir la peine. Les boutiques, les maisons riches ne sont pas à l'abri de ses furtives visites nocturnes. Quand quelqu'un lui barre la route, il n'hésite pas à l'éliminer. Quand quelque chose attire son attention, il n'hésite pas à se mouiller du début à la fin. Silencieux et agile comme un chat, il troque, tue, torture, et subtilise, sans le moindre remord.

Bien que sa vie ait été bordée de précipices dans lesquels il est fréquement tombé, il garde de ses jeunes années à parcourir des lieux populaires et ouverts à toute différence, une curiosité et une candeur enfantine qui agrandissent souvent son regard clair.

Il doit toutefois souvent faire face à ses origines, qui le ramènent à la dure réalité, celle où il n'a sa place nul part, rejeté par deux communautés qui voient d'un très mauvais l'oeil l'union dont il est le fruit. A la fois Elfe et Drow, Bien et Mal, Lumière et Obscurité, il a passé son enfance entre deux mondes, forcé de devoir choisir le sien. Ignoré par une mère qui ne pouvait voir la vérité en face, battu par un père qui voulait faire de lui un guerrier drow, il aurait été étonnant qu'il s'en sorte sans séquelle. Ainsi sa personnalité peut se réveler troublante, teintée d'un lunatisme déroutant, d'une obsession à la perfection révélant presque de la folie. C'est sans détour, qu'il rira au nez de celui qui se plaint et son naturel enjoué masquera encore le cruel manque qui le tord et le pousse à mener une vie de folie et d'illusion.



Histoire :

Syld est le fruit de l'union entre un officier drow partit en mission en Ithri'Vaan, Jarlyx Alak'dar, et une elfe retenue captive à Naelis, dont le nom et l'origine demeurent un mystère pour Syld.

Il est le seul bâtard de la lignée Alak'dar, la seule erreur, l'intru, la rature, le nom à effacer de l'arbre généalogique. Selon beaucoup de membres de sa famille paternelle, il serait même ce que la vie peut apporté de pire à une famille noble, une leçon des Dieux de ce qu'il ne faut pas faire, s'accoupler avec les sous-races de la surface, les démons Sylvains.
Jarlyx a toujours ignoré ces inepties bien qu'il n'ait jamais considéré Syld comme son fils, se contentant de lui assurer le couvert et la protection mais n'attendant de lui pas plus de ce qu'un officier exige d'un soldat. Passant la majeure partie de son temps à Sol'Dorn, l'avant-poste de l'armée sombre régionale, Jarlyx laissait toujours son fils dans les rues malfamées de Naelis, au boin soin de sa mère, une esclave qu'il avait violé puis, conscient qu'elle avait engendré un avorton, avait "relâché". Mais il lui avait ordonné de veiller sur Syld pendant son absence. Elle n'avait d'autre choix, sinon c'était la mort, mais elle ne donna jamais un semblant d'amour à son fils, elle se contenta de veiller sur lui un minimum, le regard perdu au loin vers la forêt d'Aduram. Jarlyx avait déjà la main mise sur le jeune mâle, et lui réservait quelques ambitions pour plus tard, car les affaires le menaient bien souvent en Ithri'Vaan.

Syld n'eut donc aucune vraie éducation, c'est les rues de Naelis et la misère ambiante qui furent ses tuteurs principaux. Il oublia bien vite le language purement elfique de sa mère pour parler le patois de son quartier, habité essentiellement par des drows, des sang-mêlés et des fils d'esclaves humains. C'était une sorte d'argot qui se basait sur la langue des drows en y ajoutant quelques expressions humaines, et des variantes elfiques d'Aduram que les marchands du coin parlaient. Passé quelques années, la ville n'avait plus de secret pour lui, ses fortifications ruinées où il emmenait parfois quelques conquêtes féminines, ses abris poussiéreux, ses cachettes qui devenaient de véritables mines d'or lorsque Syld et ses amis dérobaient le butin d'un marchand itinérant qui passait par les quartiers populaires de Naelis sans se rendre compte du danger qui le guettait.

La cité miséreuse de Naelis était le théâtre de nombreuses abominations dont on ne parlait que dans les récits elfiques, et avait vu naître bon nombre d'être étranges, de créatures au sang souillé, croisées de toute part, exclus de la société normale, maudits par le simple fait de leur existence, et reclus dans des habitations ruinées en ayant pour seul but de survivre à la civilisation tels des sauvages. Ils étaient les opprimés de la société moderne, les fardeaux, la "peste" d'Ithri Vaan. Syld avait un petit quelque chose en plus : du sang de noble de Puy dans les veines, qui fait qu'il se démarquait de ses compagnons d'infortune par une attitude plus "digne" transmise par son père durant ses courts séjours à Naelis. Sa mère quant à elle survivait en se prostituant, ou en demandant à son fils de partager des réserves avec lui, ce qui ne le dérangeait pas outre mesure.

C'est quand son père revint quelques mois plus tard qu'il leur fit part de ses réelles intentions : Il voulait faire de Syld une sorte de fouine exterieure, allant farfouiller dans les contrées exterieures pour lui rapporter oralement ce qu'il se passait chez l'ennemi lorsqu'il serait de nouveau au Puy d'Elda, voir un guerrier farouche. La mère de Syld qui, mine de rien, s'était un tant soit peu attaché à lui et le considérait bien plus comme son fils, s'opposa fermement à Jarlyx, montrant là ses premiers et derniers signes d'affection pour le jeune hybride. La réaction de l'officier drow fut aussi démesurée que l'ambition qu'il avait placé sur les épaules du petit. Il la frappa, la viola, la mutila, et la laissa là, sur le sol gisante, en lui ordonnant d'implorer son pardon pour qu'il lui laisse la vie sauve. Syld sauva sa mère en acceptant, pour le coup, la mission de son père et en lui disant qu'il était prêt à partir sur le champ.

Plus sur sa propre décision que suite à la contestation de sa mère, le jeune hybride renonça à servir les intérêts de son père en éxecutant ce genre de besogne ingrate. Profitant d'un instant d'inattention, il se faufila dans une bouche d'égoût menant à un raccourci et lui fit faux bond. Jarlyx ne le revit jamais. Mais les cris de l'officier résonnèrent longtemps entre les murs de Naelis et dans la tête de Syld...

"C'est ça, fuis, espèce de lâche ! Sans moi tu n'es rien...
Tu crèveras comme tous ceux de ton espèce !"

Il partit à Puy rejoindre les siens et laissa son fils dans la misère de Naelis.
Pendant dix ans, Syld continua à faire les quatre cent coups avec son ami d'enfance, un humain du nom de Kyalan, puis ils montèrent leur propre petite équipe, s'étendant sur l'Ithri'Vaan d'une manière générale. Syld était le seul hybride de la troupe... Les autres étaient drows et humains, et bien que cohabitant dans la nuisance, ils avaient leurs idées, leur préférence, et se vouaient une certaine rivalité en dehors des coups... Et même dans cette rivalité ils semblaient baigner dans une certaine sereinité, aux yeux de Syld. Le sentiment que l'hybride éprouvait était inexplicable. Il n'avait aucune attache, aucune origine, aucune identité, si ce n'est celle de Puy, de son père à qui il vouait une haine farouche et qu'il reniait catégoriquement... Mais personne ne le considérait comme un drow, ou un elfe, personne ne voyait en lui un frère, un compagnon de la même race...

Il compensait tout cela dans la technique lors des guet-apens et des assaults sur les marchands, les voyageurs, les marins... Ainsi que dans les gestes basiques de l'assassinat, la maitrise synchronisée de deux sabres. Alors que la petite troupe prenait de l'ampleur, un soir, un évènement inattendu se produisit. Kyalan, assis autour du feu avec d'autres malfrats, planifiait un plan d'attaque sur une cariole de marchandises qui passerait en Aduram le lendemain matin. Syld sortit de la pénombre et attrapa son meilleur ami par le cou, un stylet tranchant appuyé sur sa gorge. Ses yeux semblaient vides, il n'avait pas l'air d'être lui-même, et sur les six personnes présentes ce soir-là, personne ne sut comment réagir.

"Tu te crois plus puissant que moi, Kyalan ?"

"Mais, Syld, que... qu'est-ce qui t'arrive ?"

"Réponds à ma question. Tu penses que tu es plus fort que moi ?"

"Je sais pas... Et je m'en fou... Lâche-moi, Syld!"

La lame s'appuya plus fort contre la gorge, la pression devint douloureuse, et une goutte de sang la perla.


"Réponds à la QUESTION !"

"Je... Non, tu es plus fort. Arrête..."


Il le lâcha et Kyalan poussa un cri, s'adossa contre un tronc et reprit sa respiration. Syld garda les yeux résolument fixés sur lui, ignorant la réaction de ses camarades, qui le traitaient de cinglé et paraissaient choqués. Mais le plus choqué restait l'humain, le meilleur ami de l'hybride, qui semblait à la fois scandalisé, effrayé, énervé et déçu.


"Tu craques trop facilement sous la pression. Demain, c'est moi qui dirige le groupe." fit Syld d'un ton posé, le regard infaillible.

Etonnés par ce changement soudain d'attitude, les autres voleurs restèrent sur leur garde toute la nuit, et le lendemain à l'aurore, ils attendirent de voir la tournure que prenaient les évènements, la mine circonspecte. Kyalan ne semblait pas enclin à se réconcilier avec Syld, encore moins à suivre ses ordres. Alors que la cargaison approchait, Syld ordonna aux hommes de se cacher et de se préparer à le couvrir, car il avait observé un peu plus tôt la voiture et elle abritait cinq mercenaires de La Dross, venus récolter incognito un énorme butin elfique en faisant croire qu'ils le protégaient des voleurs d'Ithri Vaan. Les hommes s'excecutèrent et se cachèrent, à une centaine de mètres, attendant le signal de Syld qui semblait savoir où il allait. Ca avait quelque chose de rassurant pour eux.

Quelle ne fut pas leur surprise de le voir se mettre au milieu de la route, comme attendant que les mercenaires viennent le chercher. Etait-il inconscient ? Ils ne comprennaient rien... C'est Kyalan qui comprit le premier, il se jeta en avant tandis que les chevaux repartaient de plus belle, emmenés par les coups de fouet de Syld qui laissa échapper un immense rire machiavélique. Il n'y avait jamais eu aucun mercenaire là-bas, juste un trésor monstrueux, avec lequel Syld s'envolait en toute liberté. Il les avait tous dupés, et il en était bien content. Suite à cela, loin des contraintes de la vie de bandit, et avec un bon petit capital en poche, il se fit passer pour un marchand, un colporteur, un artiste, mais au fond il n'est ni plus ni moins qu'un rôdeur qui voyage au gré de ses envies, sans attache... Et qui sait où ses pas le mèneront ?


~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Impec!
Comment as-tu connu le forum ? : Je joue, ou plutôt jouais déjà ici.
Compte autorisé par : (Uniquement en cas de compte supplémentaire bien entendu) MP envoyé.

Cette fiche est-elle à envoyer à la relecture ?

Ouais, c'est terminé. Je suis tout ouïe.

Ok, je déplace au présentoir.

Bon, au boulot, parce qu'il y a pas mal de points à revoir

1) Ta classe d'arme est magie + corps-à-corps ? C'est ton choix mais devenir le mage le plus puissant de ta génération ne te laissera pas le temps de t'entraîner au combat de près.

2) Le feu ardent dans les pupilles lorsque tu manipule la magie n'est pas possible.

3) Toute la partie sur ton style de combat est à reprendre. Un, les mages ne sont pas de chétifs gringalets, manier la magie à haut niveau est aussi épuisant mentalement que physiquement. Sans être des barraques sur patte, ils sont assez endurants. Deux, t'être entrainé au corps-à-corps se fera au détriment de ta magie (un guerrier mage n'atteindra pas les compétences magiques d'un mage pur). Trois, les objets magiques sont à bannir. Seule l'imprégnation est possible, et cela n'est stable que dans des gemmes (lis le bg correspondant qu'avait rédigé Callista).

4) Ta verve ne permet pas de faire disparaître les préjugés des autres races envers les drows, mais de permettre à ton interlocuteur de ne pas uniquement se laisser guider par ces préjugés.

5) la schizophrénie est bien entendu possible, mais cela n'influe en rien sur tes capacités. Uniquement sur ton comportement.

6) A son seizième anniversaire, il entre en lutte contre les esclavagistes ? Un drow de 16 ans est un bambin, pas un adolescent.

7) Tu parles de tunnels très loin vers le haut pour amener ta mère à la surface. Le Puy d'Elda n'est pas Ombre Terre, et le pouvoir étant au plus profond, remonter et sortir est aisé. C'est pour passer la faille et traverser les terres stériles que ta mère aurait eu besoin d'aide. Ou va-t-elle d'ailleurs ? A part Ithri'Vann (ou peut être Meca), elle n'a aucune destination possible pour une drow.

8) " Faern" n'est pas une magie, mais une catégorie de mages naturellement doué dans une facette de la magie (le feu dans ton cas), et à l'inverse faibles dans toutes les autres (à l'inverse des Melzars qui eux sont plus touches-à-tout).

9) La partie avec Azzar recoupe les problèmes du 1) et 3). T'entrainer au combat veut dire que pendant ce temps tu stagnes en magie. Ce sera ton choix, mais sois en conscient. De plus, en 10 ans tu atteins le niveau d'un maître d'armes ? Autre point : je peux me tromper, mais cette partie me parait être un copier/coller de l'histoire de Drizzt, avec Azzar dans le rôle de Zaknafein (un gentil laïque ?) et ton père dans celui de Malice. Attention au plagiat !

10) L'étude noire forme ses élèves à la maitrise de la magie, pas au combat au corps à corps.

11) Trente ans à l'étude noire ? La formation est de 40 ans au minimum, et encore si tu ne fais pas le palier de spécialisation.

12) Quand tu intègres le C'nros, à quel ost es tu rattaché ?

13) pourquoi cette référence à Oësgard ? Y as tu combattu ?

14) La notion de surface et de plaisir à marcher à la surface, de voir pour la première fois la lumière du jour et tout me parait à nouveau être un copier/coller de l'histoire du premier raid de Drizzt à la surface. Attention au plagiat (bis) ! Je me répète, mais les drows de Miradelphia ne sont pas ceux des royaumes oubliés. Ils peuvent vivre sans aucun problème à la surface et n'en ont pas peur, beaucoup le font d'ailleurs en Ithri'Vann.

15) L'immense prime sur ta tête... tu n'es qu'un mage parmi des centaines d'autres. Talentueux sans doute, et cela peut justifier de faire un exemple en t’assassinant, mais pas au point que le karlik gleenn s'intéresse personnellement à ton sort ou que le C’nros mette une immense prime.

Si tu as besoin d'explications, n'hésites pas à me MP.

C'est vrai que je me suis à la base inspiré de Drizzt, mais je vois que c'est loin de coller au contexte de Mira.

Merci pour les explications, je pense que je vais refaire un perso moins compliqué. J'ai pourtant essayé de me baser sur la section adéquate, mais force est de constater que pour faire un bonhomme de cette envergure il faut aller plus en profondeur et maitriser toute la complexité de cette race. Ca va faire trop pour moi, je vais donc me rabattre sur un truc plus simple qui évitera que je me casse la tête.

(désolé pour le gros travail de relecture que je t'ai fait faire, et l'énorme temps d'attente en conséquence...)

See you soon

Eh eh, c'est que tu es ambitieux dans tes choix de personnages mon cher Varen. J'admire l'ambition et la richesse qu'elle permet ensuite en rp, mais je n'en serai pas moins intransigeant dans la fiche... désolé

Si tu as besoin de parler de la race drow ou de la magie, n'hésites pas, je reste disponible. En attendant, je remets ta fiche dans les en-construction pour que tu puisses y travailler tranquillement.

Bon, nouvelle fiche, let's go.

Tu as oublié ton équipement

A lire ton histoire, tu es plus un voleur qu'un rôdeur.

"le teint foncé de Syld" >> les hybrides ont tous la peau pâle.

"s'accoupler avec les sous-races de la surface" >> Les drows de Mira ne vivent pas dans les profondeurs du monde, la noption de "surfacin " n'existe pas pour eux

"Il voulait faire de Syld une sorte d'éclaireur de la surface, allant farfouiller dans les contrées exterieures pour lui rapporter oralement ce qu'il se passait chez l'ennemi lorsqu'il serait de nouveau à Puy d'Elda" >> Un hybride est le pire éclaireur/espion imaginable car il va être mal accepté par n'importe quel communauté et tous se souviendront de son passage. Dans ta description mentale, tu disais que ton père voulait faire de toi un guerrier, ce qui parait plus cohérent.

"au Puy", pas "à Puy". "Du Puy", pas "de Puy".

Je précise juste un point suite à une discussion sur la cb : les katanas qui apparaissent sur ton avatar n'existent pas sur Mira.

Ta fiche indique que Syld utilise des sabres donc je ne te demande pas de changer d'avatar. Mais rappelles toi bien que cet avatar n'est pas à 100% représentatif de ton perso.

Je dirais qu'il devient vagabond par la suite, le vol est juste ce qui lui a permis de trouver sa voie dans sa jeunesse. Par la suite il se contente de voyager, et je verrais ce que j'en ferais par la suite...
Pour ce qui est de l'avatar je m'en rappelerais, merci ^^

Je me permets de faire remarquer que l'avatar semble trop large, et sans doute trop long (je n'ai pas vérifié).

Bien vu Kata ! 198 en largeur, la limite est 180

(la hauteur est ok)

Voila pour l'avatar.

Quand au rang, il fut un voleur durant sa jeunesse avant de partir mener une vie de vagabond... Est-ce que ça ira ?

Hanegard Kastelord a écrit:

la limite est 180

200 pixels de large ton avatar... à retailler !

L'avatar est désormais ok, mais les remarques du 16 novembre ne sont pour la plupart pas prises en comptes. Où en es-tu ?