Les Créatures Aquatiques.

Créatures aquatiques

Liste complète	Créatures d'eau douce	Créatures d'eau salée
Amphi-hydrus Espoir du Marin Crin d'écume Cocalse Flornithorynque Fortuné Grenouille putride Kathral Kelkana Mozal Norkan Ogremat Parasite d'Ousomös Rokvenha Raie Naenite Serpent d'Ogremat	Amphi-hydrus Cocalse Flornithorynque Fortuné Grenouille putride Kathral Parasite d'Ousomös Stroboa à tête plate Raie Naenite	Espoir du Marin Crin d'écume Kathral Kelkana Mozal Norkan Rokvenha Serpent d'Ogremat

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Rappel : Veuillez respecter la mention "Densité dans la Nature" pour l'utilisation des créatures dans vos RP. Merci.

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L'AMPHI-HYDRUS

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Amphi-Hydrus - Caunwaithon - Bolgaran grovalk.

Habitat : Eaux douces, marécages.

Région :

• Faëlia

Type : Amphibien carnivore.

Taille et âge :

• 1,20 mètres à 1,50 mètres de haut
  
• Longévité moyenne : 14 ans

Description : Calme et aussi peu agressif qu'intelligent, l'amphi-hydrus n'est, à première vue, pas l'animal le plus dangereux au monde. Cependant, sa peau, en plus d'avoir la capacité de changer de couleur, sécrète naturellement un venin extrêmement nocif. Qui plus est, sa salive aussi se trouve être un poison mortel si acide qu'elle rend ses crocs complètement mous et donc inoffensifs.

Le principal danger, outre sa capacité à vous empoisonner même sans le vouloir, c'est que l'animal vit en petits groupes d'une dizaine d'individus. Et si cela ne semble pas insurmontable à combattre, le véritable problème, c'est leur faculté à changer de couleur et ainsi se fondre dans leur environnement. Ces bestioles ne bougent que rarement, la plupart du temps elle attendent patiemment qu'une proie les touche par inadvertance, ou s'approche assez près pour lui cracher une filet de bave hautement acide au visage ou la frapper d'un coup de queue avant de laisser faire le venin.

Densité dans la nature : Élevée, mais elle se cachent bien.

Mode de défense : Camouflage, queue, venin et bave acide.

Composant Notable : Les glandes qui sécrètent le venin que l'animal transpire sont très prisées des empoisonneurs et des chamanes. Elles se vendent à prix d'or en éstrevent, car très peu des fous qui se lancent à leur recherche en reviennent.
Quant à la bave qu'elle est capable de cracher, personne n'a jamais réussi à trouver un contenant adéquat pour la transporter.

Domptable : Non.

Fiche rédigée par :  Dryae

LE KELKANA

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Kelkana - Usahtiel - Krovalk.

Habitat : Eaux de mer, océans et mers froides.

Région :

• Océan d'Eris
  
• Océan Nordique

Type : Poisson piscivore.

Taille et âge :

• 9 à 12 mètres de long
  
• Longévité moyenne : 20 ans

Description : Cet animal n'est agressif qu'uniquement lors de la chasse, et qu'envers ses proies qui ne sont autre que des poissons. Le reste du temps, il est passif et n'est donc pas un danger pour les races de miradelphia. Il vit dans les eaux froides, loin des côtes et ne s'enfonce jamais très profondément sous le niveau de la mer.
C'est une créature appréciée des marins, qu'ils associent à un bon présage ou à la bonne fortune. Ils se complaisent à les regarder sauter hors de l'eau, lorsque ces poissons déplient leurs nageoires semblables à des ailes, avant d'y replonger aussi sec.
Certains tentent de les chasser pour leur viande, réputée très fine et goûteuse, cependant cela reste un exercice très difficile, car c'est un animal extrêmement vif et très rapide, doté d'une habilité à en faire pâlir plus d'un.

Densité dans la nature : Commune.

Mode de défense : La fuite.

Composant Notable : Sa viande est très appréciée par la noblesse et la bourgeoisie et se vend donc cher.

Domptable : Non.

LE ROKVENHA

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Rokvenha - Thandion - Brak ad valk.

Habitat : Eaux de mer, mers chaudes.

Région :

• Mer Olienne

Type : Poisson carnivore.

Taille et âge :

• 75 centimètres de long, en moyenne
  
• Longévité moyenne : 5 ans

Description : Difficile de faire plus agressif que cette teigne des mers, si bien que les habitants des côtes de la mer Olienne l'ont surnommé « Fléau des rivages ». Ce poisson, d'une vivacité impressionnante, est un prédateur né, se déplaçant en banc d'une dizaine voire d'une quinzaine d'individus. Autant dire qu'il vaut mieux ne pas se baigner à côté, car quand bien même vous réussiriez à leur mettre un coup de harpon, la peau de ces créatures est munie d'une fine couche de roche. Fort heureusement pour le pêcheur chevronné, point de couche rocheuse sur le ventre, mais vos comparses vous souhaiteront bien du courage pour les harponner par-dessous.

Cependant, ce poisson ne passe pas toute l'année près des rivages. Bonne nouvelle, n'est-ce pas ? Durant les saisons chaudes, il vit dans les profondeurs de la mer Olienne, donc loin des autochtones d'éstrevent. En revanche, en hiver, lorsque les profondeurs deviennent toujours plus froides, il remonte vers la surface, à la recherche d'eaux un peu plus chaudes et donc plus proches des rivages.

Densité dans la nature : Commune.

Mode de défense : Une mâchoire puissante munie de dents aussi aiguisées qu'un rasoir.

Composant Notable : Sa peau rocailleuse est appréciée des armuriers.

Domptable : Non.

LE MOZAL

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Mozal - Calminaion - Rhynvalk.

Habitat : Eaux de mer, océans.

Région :

• Océan d'Eris
  
• Océan Nordique

Type : Poisson piscivore.

Taille et âge :

• 13 mètres de long, en moyenne
  
• Longévité moyenne : 10 ans

Description : Si d'apparence on aurait envie de nager très loin de lui, cet animal n'est pas très agressif. Sa force réside dans la résistance naturelle de sa chair musculeuse et sa peau épaisse comme le cuir, ainsi que dans son nombre. Le Mozal est un animal sociable et ne se déplace qu'en banc de 5 à 8 individus du même sexe. Il est connu pour la lumière rouge iridescente qui se dégage de sa gorge.


Ils vivent en général à des profondeurs que les races de miradelphia ne peuvent atteindre, c'est pourquoi on en croise très peu. Cependant, on peut en apercevoir des spécimens proches de la surface durant le printemps, qui est aussi leur saison des amours. Les bancs de mozals mâles et femelles remontent et s'adonnent à des nages nuptiales très éprouvantes qui s'étendent sur plusieurs heures, ce qui permet aux femelles de choisir le partenaire idéal. Après quoi, il retournent à leurs profondeurs.
C'est d'ailleurs durant la saison des amours que les pêcheurs parviennent à en attraper quelques-uns. Et ce n'est pas leur viande qui les intéresse, mais plutôt la pierre qu'on trouve au fond de leur gorge et qui émet cette étrange lueur rougeâtre. La mozalite est donc rare et a autant de valeur, si ce n'est plus, qu'un rubis.

Densité dans la nature : Rare, puisqu'on en croise peu en dehors de leur saison amoureuse.

Mode de défense : La fuite, sa corpulence et sa queue.

Composant Notable : La mozalite, une pierre précieuse qui scintille d'un rouge iridescent.

Domptable : Non.

LE NORKAN

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Norkan - Eruantion - Gronti a Valk.

Habitat : Eaux de mer, océans.

Région :

• Océan d'Eris
  
• Océan Nordique

Type : Poison omnivore.

Taille et âge :

• Le plus grand spécimen recensé atteignait les 40 mètres de longueur
  
• Longévité moyenne : Un siècle, mais cette donnée est présumée

Description : Le Norkan est un animal auréolé de mystères, on en entend plus souvent parler dans les racontars et on-dit des marins qu'on ne le croise. En effet, la créature vit dans les insondables profondeurs océaniques, si loin qu'aucun être terrestre ne peut oser espérer s'y rendre. Cependant, il est arrivé parfois, que cette créature immense ait été aperçue proche de la surface. On ignore les raisons qui ont poussé ces quelques spécimens aussi loin de leur habitat des profondeurs, et celles qui ont été invoquées jusqu'ici ne sont que des allégations avancées par des marins clamant les avoir vus de leurs yeux.

En revanche, il arrive, en de très rares occasions, il faut le souligner, qu'on retrouve un cadavre de norkan échoué sur une plage. La plus grande ossature observée à jour mesurait un peu plus d'une quarantaine de mètres de long.
Certains se laissent à penser que le norkan ne serait pas un animal solitaire, et que cet être, bien qu'au sommet de la chaine alimentaire, soit social. Une légende avance qu'un norkan ne se reproduit qu'une fois, et qu'il ne quitte jamais plus sa partenaire. Seule la mort peut séparer un couple de norkans. Ainsi, toujours selon cette fable, le norkan esseulé remonterait à la surface pour y déchaîner sa colère et se laisser mourir jusqu'à enfin dériver sur un rivage.

Densité dans la nature : Très rare, du moins on le suppose puisque ses apparitions sont presque exceptionnelles.

Mode de défense : Difficile de s'attaquer à un mastodonte pareil, d'un coup de queue il briserait un navire, d'une bouchée il avalerait une dizaines de marins.

Composant Notable : Nul ne sait quoique ce soit à ce sujet.

Domptable : Non.

LE FLORNITHORYNQUE

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Flornithorynque ou « Crotrifua »  - Crotrifua - ??.

Habitat : Eaux douces, marécages, rivières et lacs.

Région :

• Anaëh
  
• Aduram
  
• Faëlia
  
• Ithri'Vaan

Type : Reptilien végétal.

Taille et âge :

• 50 à 70 centimètres
  
• Longévité moyenne : 10 ans

Description : Le Crotrifua, appelé communément, flornithorynque, est un étrange animal reptilien. La couleur de ses écailles s'étale du turquoise au bleu canard. Les érudits ont par ailleurs avancé que la couleur varie selon son lieu de vie. Et c'est bien la seule chose qui diffère d'un flornithorynque à un autre, puisqu'en dehors de cette particularité, tous ont un bec pourvu d'une dentition qui ne leur sert qu'à capturer leurs proies, puisque leur véritable bouche se cache au fond de ce bec.
L'animal est dépeint comme une créature patiente, attendant le bec ouvert et prêt à piéger leurs victimes qu'elles attirent grâce à une ou deux antennes semblables à des fleurs, dont les pistils émettent une très légère lueur. Ces antennes sont venimeuses et sécrètent un venin paralysant, dont les effets se ressentent quelques secondes après être entré en contact avec. La créature est peu intelligente et ingère tout ce qu'elle trouve sans faire de véritables distinctions. Et si elle est pataude sur terre, elle est en revanche une nageuse hors pair.

Ceux qui les ont étudiés ne savent dire s'ils vivent en colonies ou non. Car si ces animaux ne semblent ni se battre en eux ni avoir de liens sociaux particuliers, ils partagent tout de même un territoire commun. Là où l'on croise un flornithorynque, il faut s'attendre à en trouver d'autres.

Densité dans la nature : Très commune.

Mode de défense : La fuite, son venin paralysant.

Composant Notable : Les glandes qui sécrètent le venin paralysant.

Domptable : Non.

LA RAIE NAENITE

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Raie Naénite - Fisiaë Naïndal - Krinvalk.

Habitat : Eaux douces, fleuves, rivières et lacs.

Région :

• Anaëh
  
• Zagazorn
  
• Péninsule
  
• Ithri'Vaan
  
• Wandres

Type : Poison omnivore.

Taille et âge :

• Entre 20 et 30 centimètres de long pour une envergure de 50 centimètres
  
• Longévité moyenne : Une dizaine d'années

Description : Cet animal est un être vicieux, un véritable prédateur aquatique, si vif et si rapide qu'on le dit quasiment invisible. Ses couleurs ternes et les algues se développant sur son dos lui permettent de se cacher au mieux dans la vase des lacs, et les rocailles des fleuves, afin de surgir au dernier moment, fondant sur sa proie avec une vivacité hors du commun. Et la raie naenite tue en une poignée de seconde grâce à son venin. C'est bien l'une des raisons qui poussent à faire attention lorsque l'on plonge ses petits orteils dans les eaux fraîches de Miradelphia.
Complètement aveugle, cette raie se repère grâce à un son aux fréquences basses qu'elle produit, fonctionnant comme un sonar qui lui permet de se situer dans son environnement et de chasser.
Aucun remède à son venin n'a été découvert à ce jour, en revanche le fait qu'il soit extrêmement mortel est très apprécié des divers nobliaux de Miradelphia. Quoi de mieux pour se débarrasser d'un ennemi qu'un venin inodore et sans aucun goût particulier ?

Malicieuse nature, comme tu es intelligente. Un poison aussi discret que fulgurant. Il y a quelques fous qui se sont mis en tête de créer un élevage... Quoi que... Ce ne sont que des rumeurs. Sachant qu'il est extrêmement difficile de se procurer du venin de raie naénite, son prix frise la folie. Quant à celui d'un de ces animaux vivant... Il est suffisamment important pour changer la vie d'un homme.

L'on ne sait que très peu de chose sur cette créature, très peu répandue et extrêmement dangereuse. Seul quelques âmes ont pu en apercevoir quelques spécimens et on pu les toucher sans finir entre quatre planches.

Densité dans la nature : Extrêmement rare, suffisamment pour que l'on ne connaisse quasiment rien d'eux, à part leur venin.

Mode de défense : Morsure venimeuse.

Composant Notable : Son venin, bien que ceux en ont possédé doivent se compter sur les doigts d'une main.

Domptable : Non.

LE PARASITE D'OUSOMÖS

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Parasite d'Ousomös - Ousomös Parasitëa - ??.

Habitat : Eaux douces, fleuves, rivières et lacs.

Région :

• Terres Stériles
  
• Ithri'Vaan
  
• Zurthan

Type : Parasite.

Taille et âge :

• 7 centimètres de long et 2 de larges pour les plus spécimens les plus imposants.
  
• Longévité moyenne : Aussi longtemps que l'hôte parasité

Description : Niveau créature désagréable et dangereuse, celle-ci est certainement une des mieux cotées. Cette créature parasitaire est accoutumée à survivre dans le corps de ses hôtes... Et ces derniers sont souvent retrouvés mort, desséché et vidé de l'intérieur, où l'on compte en général une bonne trentaine de cadavres de parasites...
Se comportant comme des vers, ces créatures creusent des galeries dans la chair de leur hôte en lui assimilant un puissant anesthésiant.

Les symptômes sont assez flagrants, l'anesthésiant créer une grande fatigue et une envie irrépressible de vomir, des boursouflures semblent se déplacer dans tout le corps, les hémorragies internes sont communes... En somme, c'est le genre de parasite que l'on apprécierait de ne jamais avoir.
Le seul moyen de se débarrasser de ce parasite, est de s'ouvrir les chairs et de réussir à l’attraper... En espérant que la personne qui l'extirpe ne se voit pas être la prochaine victime de cette bestiole, sachant qu'elle peut s'infiltrer par les orifices naturels déjà en place avec une grande facilité.

Cette créature, une fois installée au chaud dans le corps de l'hôte, pond jusqu'à une vingtaine d'œufs dans le corps de l'hôte. Œufs qui seront déposés dans un sillon creusé généralement dans le torse, mais il peut arriver que l'animal ponde dans la cuisse ou le bas du dos.
Une fois éclos, les jeunes parasites ne dépassant pas le centimètre, commencent à se nourrir de la chair principalement, évitant de s'en prendre aux organes vitaux, cherchant à vivre au moins une semaine dans le corps de l'hôte avant de s'en extirper soit en creusant dans la chair une sortie, soit en passant par l'urine, les déjections, voire par voie buccale. Le parent des jeunes parasites, lui, s'extirpe après avoir pondu les œufs. Le parent étant beaucoup moins doux que les jeunes, il peut parfois déchirer certaines voie de sortie.

Une pratique courante lorsqu'on essaie de soigner un hôte est la saignée. Ceux qui peuvent se le permettre passent entre les mains de chirurgiens.

Densité dans la nature : Commune, beaucoup moins dans les endroits salubres.

Mode de défense : Aucune.

Composant Notable : Aucune.

Domptable : Non.

LA GRENOUILLE PUTRIDE

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Grenouille Putride ou « Putressaim » - Omëona Distride - ??.

Habitat : Eaux douces, marécages.

Région :

• Aduram

Type : Amphibien.

Taille et âge :

• 40 centimètres de haut pour une vingtaine de kilogrammes
  
• Longévité moyenne : 30 ans

Description : Cet animal à l'apparence répugnante dégage une odeur tout aussi repoussante, en tout elle l'est assez pour éloigner les plupart des prédateurs. Les divers abcès recouvrant son corps laissent échapper un fluide visqueux et corrosif dégageant une odeur proche de l’ammoniaque couplée à celle d'un cadavre en décomposition. Et si cela ne suffit pas le liquide corrosif sécrété par sa peau dissuadera aisément les prédateurs qui souhaiteraient s'en faire un casse-croûte.

Ce liquide est fort apprécié par les différents alchimistes et herboriste de Miradelphia, de par ses capacités à ronger la chair, et nettoyer les plaies s'il est dilué dans de l'eau. Un désinfectant extrêmement puissant, en quelques sortes. Mais aussi extrêmement douloureux.

Cette créature reste toutefois extrêmement dangereuse, puisqu'elle est capable de cracher ce liquide corrosif sur ses prédateurs. Il est donc fortement déconseillé de l'approcher sans savoir ce que l'on fait. En revanche, c'est là d'ailleurs son seul moyen de défense. Lente et pataude, cette créature compte principalement sur ce liquide pour se protéger des prédateurs.
Pouvant pondre jusqu'à trois mille œufs lors de sa portée annuelle, la moitié d'entre eux finiront par éclore et seulement une centaine de têtards parviendront sortir du point d'eau où ils ont été déposés. Il a aussi été observé que plus la créature est jeune plus les effets du liquide corrosif sont violents, a tel point cela peut ronger l'index d'un homme en une poignée de minutes...

Autrement dit, ce liquide est fort apprécié par les personnes voulant faire souffrir leurs cibles... Mais extrêmement compliqué à se procurer.

Densité dans la nature : Commune en Aduram, inexistante ailleurs.

Mode de défense : Bave et sécrétions corrosives.

Composant Notable : Les glandes qui produisent la sécrétion corrosive.

Domptable : Non.

LE SERPENT D'OGREMAT

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Serpent D'Ogremat ou « Dévoreur de Navire  » - Ingaas Ho Cirya - ??.

Habitat : Eaux de mer, mers et océans.

Région :

• Océan Nordique
  
• Mer Olienne

Type : Serpent de mer.

Taille et âge :

• 20 mètres de long pour 1 à 2 de large
  
• Longévité moyenne : Un siècle

Description : Tout ce que nous connaissons du comportement du serpent d'Ogremat, c'est qu'il s'attaque souvent aux navires de petite taille. Les pêcheurs en proie à un trop plein de confiance et qui s'éloignent trop des côtes pourraient être bien surpris.
Lorsqu'elle attaque, cette créature s'enroule autour de l'embarcation, en essayant d'attraper un ou deux marins avec sa gueule au passage, avant d'emporter le navire au fond de l'eau.

Cette créature est cependant connue pour être assez rare, surtout depuis les deux derniers cycles, certains marins se targuent d'en avoir tués, mais cela n'est certainement rien d'autre que des mensonges et la vantardise fabulée pour se faire un nom !

Cette créature est donc assez méconnue et dangereuse. En revanche, on la sait pondre des œufs, qu'on peut trouver en petits nombres dans des criques difficiles d'accès depuis la terre.

Densité dans la nature : Extrêmement rare, depuis le 9ème cycle l'animal a désormais plus sa place dans les légendes qu'ailleurs.

Mode de défense : Constriction, noyade, crocs.

Composant Notable : Aucune information encore découverte.

Domptable : Non.

LA COCALSE

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Cocalse - Amluglyrn - ??.

Habitat : Eaux douces, marécages.

Région :

• Péninsule
  
• Wandres

Type : Amphibien piscivore et carnivore.

Taille et âge :

• 3 mètres de long
  
• Longévité moyenne : 5 ans

Description : Le terme cocalse est un nom vernaculaire attribué à certains amphibiens. À un de ses stades de développement, la larve de la cocalse est appelée un marmond. On décompte dans cette espèce plusieurs stade de vie tantôt aquatique, tantôt terrestre. Les cocalses adultes sont strictement aquatiques. Tous ces termes usuels correspondent à des apparences extérieures plus qu'à des classements strictement taxinomiques.

Dans les plaines du Garnaad, parmi les espèces de cocalse les plus connues figurent la cocalse verte et la Petite cocalse rousse, la cocalse des marées, et, en élevage, la cocalse rieuse.

Certaines espèces comme la cocalse des marées d'Apreplaine sont remarquables pour leur très grande taille.

Il existe environ 30 espèces de cocalse qui subissent depuis le milieu du dernier siècle un déclin brutal lié à l'assèchement systématique des marais. Plusieurs espèces de cocalse, moins agressives, sont élevées pour consommer la chair de leurs queues, d'autres encore sont rarement adoptées pour l'agrément.

Elles sont souvent évoquées dans les textes anciens et présentes dans les représentations artistiques. La cocalse est aussi un personnage important du folklore populaire ou enfantin sous forme d'animal tantôt répugnant et maléfique ou, au contraire, magique et bénéfique, en particulier à travers le mythe de la fée des marais.

Densité dans la nature : Commune, exceptée dans les marais du Garnaad où sa population y est endémique.

Mode de défense : Dents, poils urticaires sur le dos.

Composant Notable : Aucun en particulier.

Domptable : Non. Mais peut être élevé pour sa chair.

Issu du rp suivant.

LE FORTUNÉ

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Fortuné - Galu - Akrak.

Habitat : Eaux douces, rivières et lacs.

Région :

• Anaëh
  
• Zagazorn
  
• Péninsule
  
• Wandres
  
• Ithri'Vaan

Type : Amphibien phytophage et nécrophage.

Taille et âge :

• 5 à 8 centimètres de long
  
• Longévité moyenne : 2 ans

Description : Ces petites bestioles vivent en colonies d'une trentaine d'individus, généralement dans les lacs ou les rivières dont les courants sont calmes. Ils sont très rapides et extrêmement doués pour la fuite, mais ils semblent être aussi très joueurs et sont tout sauf agressif.
Ce sont des créatures diurnes, ainsi la nuit, elles se nichent entre les roches et les cailloux, dormant les uns contre les autres jusqu'au lever du soleil.

Le fortuné se nourrit des algues qui poussent dans la vase et sur les roches, ainsi que des chairs nécrosés et infectées. Il n'est pas rare de les voir suivre un poisson blessé, pour y grignoter les chairs malades. Si cela peut être, au premier abord, dégoutant, ce n'en n'est pas moins salvateur. On relate plusieurs anecdotes de voyageurs, qui en l'absence de traitement, ont plongé un membre dans l'eau et laissé travailler les fortunés sur leur blessure infectée.
C'est d'ailleurs ce qui leur a valu leur nom, ainsi que leur réputation. On les apprécie pour ce qu'ils sont et font, et n'étant d'aucun attrait pour les alchimistes ou les braconniers, ils ne sont pas chassés et vivent tranquillement.

On le suppose être un cousin éloignée d'une espèce semblable vivant uniquement le long des littoraux de la mer Olienne : Le Crin d'Écume.

Densité dans la nature : Commune.

Mode de défense : La fuite.

Composant Notable : Aucun.

Domptable : Non.

LE CRIN D'ÉCUME

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Crin d'Ecume - Fastespalass - ??.

Habitat : Eaux de mer, littoraux de la mer olienne.

Région :

• Océan Nordique
  
• Mer Olienne

Type : Amphibien suspensivore.

Taille et âge :

• 5 à 8 centimètres de long
  
• Longévité moyenne : 2 ans

Description : Le Crin d'Écume porte bien son nom, car ce petit être passe son temps à chevaucher les roulis des vagues s'évanouissant sur les littoraux oliens. Il est par ailleurs impossible à rater ! C'est un animal nocturne, qui émet une légère lueur bleuâtre. Les enfants d'éstrevent les apprécient tout particulièrement, car là où les Crins d'Écume s'amusent, c'est l'assurance qu'aucun danger ne se cache dans l'eau.
Son alimentation est un véritable mystère, personne n'a jamais réussi à les observer pendant qu'ils se nourrissaient. En revanche, on sait qu'ils pondent des œufs entre les récifs.
Quant à ce que cet animal apporte et bien... Pas grand chose. Il n'y a rien à manger, pas de composant intéressant non plus. En somme, il n'est que le symbole d'un coin d'eau calme et sans danger. Ainsi, comme son cousin éloigne le Fortuné, il est plutôt apprécié.

Densité dans la nature : Commune.

Mode de défense : La fuite.

Composant Notable : Ses œufs sont un plaisir de gastronome Thaari et leurs corps servent à la confection de peinture phosphorescente.

Domptable : Non.

L'ESPOIR DU MARIN

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Espoir du Marin - Aeraharthad - Brynvalk.

Habitat : Eaux de mer, mers et océans.

Région :

• Océan d'Eris
  
• Océan Nordique
  
• Mer Olienne

Type : Reptile alguivore et frugivore.

Taille et âge :

• 2 à 3 mètres de long
  
• Longévité moyenne : Inconnue

Description : On ne sait que très peu de chose à propos de ces créatures, ainsi nombres de racontars circulent à leur sujet, et quelques légendes de marins ou pirates qui, après être passés par-dessus bord, ont été ramené sur le littoral par ces animaux extraordinaires.
Leur rareté est avérée en revanche. Il est très rare d'en apercevoir un spécimen, et bien heureux est celui qui aura la chance d'être ramené jusqu'aux côtes. D'où son nom « Espoir du Marin ».

Pour les hommes de la mer, c'est un animal très respecté. Jamais ils ne feront du mal à ces dernières, ni même les dérangeront, ce manque de respect apporterait de grands malheurs aux navires.
L'Espoir du Marin est donc un symbole d'immunité, ainsi qu'un présage de bon augure et de chance. Ceux qui ont la chance d'en apercevoir s'empressent de leur jeter des fruits, dont il sont très friands.
On prétend même que certains marins leur voueraient un petit culte très personnel.

Densité dans la nature : Très rare.

Mode de défense : La fuite.

Composant Notable : Aucun connu à ce jour.

Domptable : Non.

LE KATHRAL

Nom - Nom Elfique - Nom Nanique : Kathral - Limcaun (prince des poissons) - Rirukvalkar (Seigneur des rivières).

Habitat : Océans, mers, grands fleuves et marais.

Région :

• Aduram (l'Oliya/les trois fleuves anonymes)
  
• Anaëh (l’Elorëa/le Rhym)
  
• Zagazorn (l’Oliya/delta du Nivor)
  
• Péninsule (l'Oliya, l'Elbre, le Sirilya, le Ner, le Neri, l'Adour, le Granaad, le Bronent, la Shanae)
  
• Ithri'Vaan (l’Oliya)
  
• Faëlia
  
• Wandres (l’Elbre/l’Oliya)
  
• Zurthan (l'Ephise)
  
• Océan d'Eris
  
• Océan Nordique
  
• Mer Olienne
  

Type : mammifère aquatique.

Taille et âge :

• Taille moyenne : entre 1,5 et 3 mètres.
  
• Longévité moyenne : entre soixante et cent ans.

Description :
Ce mammifère omnivore que l’on peut trouver un peu partout dans les eaux de Miradelphia a une taille variable qui dépend principalement de leur environnement. En effet ceux qui sont nés dans des rivières sont d’ordinaire plus petits que ceux qui sont nés dans les mers et océans, à ça il faut ajouter un léger dimorphisme sexuel qui peut rendre l’identification des individus assez difficile. Est-ce que celui que vous avez aperçu hier était un mâle de rivière ou une femelle des mers ? Il possède un long corps recouvert d’une peau divisée en deux couleurs : la moitié supérieure est d’un bleu sombre et la partie inférieure est blanche ; il est à noter que la moitié supérieure est traversée de lignes dorées dont l’utilité pour l’animal reste inconnue toutefois le fait que les mâles aient tendance à en avoir davantage que les femelles laissent penser qu’elles servent pour la sélection sexuelle. La queue représente près d’un tiers du corps, on peut trouver deux nageoires le long de cette dernière et elle se termine par une troisième, la nageoire caudale, donnant à son possesseur une capacité d’accélération très impressionnante. Enfin ce qui était autrefois des nageoires pectorales et pelviennes ont évoluées au fil des cycles pour s’agrandir et devenir ce qu’on pourrait appeler des bras terminés par des doigts palmés leur permettant de sortir de l’eau. C’est d’ailleurs là un excellent moyen de différencier les spécimens nés dans les rivières et ceux nés dans les mers et océans : ceux nés dans les rivières ont généralement des doigts plus longs et surtout plus marqués. Bien qu’il se traine plus qu’il ne marche sur la terre ferme, et n’a donc pas la vitesse qu’il peut avoir en milieu aquatique, il n’est pas rare qu’il pourchasse un insecte et s’enfonce de quelques mètres à l’intérieur des terres avant de retourner aussi vite que possible dans l’eau. Ainsi lorsque des rivières débordent de leurs lits il n’est pas rare d’en voir se déplacer dans les forêts nouvellement inondées avant de retourner dans le lit de ladite rivière en même temps que l’eau.

Ils vivent en groupe dont la taille diffère généralement en fonction de leur habitat, dans les rivières les groupes sont plus petits, une poignée d’individus tout au plus là où dans les mers ont peut trouver des groupes d’une dizaine, voir, de façon plus exceptionnelle, davantage ; le tout est organisé autour d'un seul individus qui protège son groupe familial bien qu'on ne sache pas si traditionnellement l'individu en question est un mâle ou une femelle.

Si l’on peut le trouver dans des habitats si divers c’est aussi grâce au fait qu’il est agile, en effet il peut aisément se tordre dans tous les sens, lui donnant une vitesse terrifiante dans l’eau, mais qui lui permet surtout de chercher de la nourriture dans des endroits très variés. Que ce soit dans les tréfonds des épaves de navires ou entre les racines d’arbres plongeant dans les rivières. Et, justement, il mange à peu près tout : petits animaux, insectes, poissons, mollusques et coquillages. Il est également charognard ce qui fait qu’il n’est pas rare de le voir se repaître d’infortunés qui ont eu la malchance de se noyer. Cependant à moins d’être agressés ou provoqués, ils ne s’attaquent pas aux bipède, ayant une diversité impressionnante d’endroit où vivre fait que cet animal, contrairement à d’autres, n’est en rien territorial ; par contre il est assez facile de l’approcher et, à l’instar de l'espoir du marin certains ont déjà sauvés des humanoïdes abandonnés aux caprices des flots. Toutefois, s’il est possible de nager à ses côtés et jouer avec lui dans l’eau, il ne faut pas oublier qu’il reste un animal rapide, et donc qui peut gravement blesser sans le vouloir, et qu’il est un animal tout court ainsi ce qu’un humain pourrait voir comme anodin pourrait le rendre agressif.


Densité dans la nature : Moyenne.

Mode de défense : il a de petites dents effilées, coniques et recourbées qui font qu’une fois qu’il a mordu quelque chose, par exemple une jambe, tirer pour tenter de récupérer ladite jambe ne fera que déchiqueter les tissus. Outre sa mâchoire puissante il faut aussi se méfier de sa queue ; c’est surtout vrai dans l’eau mais sur terre, même si sa vitesse est bien moindre, il ne faut pas sous-estimer il peut toujours faire une parodie de saut et tourner sur lui-même, un peu comme il fait sous l’eau, pour frapper avec sa queue.

Composant notable : sa peau peut être utilisée pour faire du cuir bleu et/ou blanc traversé des lignes dorées qui parsèment son corps, des lignes dorées qui se retrouvent dans sa graisse, donnant un arrière-goût particulier mais aussi, et surtout, une couleur particulière à la nourriture ou les produits cosmétiques. Il est également possible de l’utiliser pour concevoir des produits médicaux.

Domptable : C’est une créature aquatique, ce qui rend un domptage assez difficile en soit mais si un spécimen se rend compte que vous le nourrissez régulièrement il n’est pas impossible qu’il se mette à vous suivre.

Fiche rédigée par : Griffon.

LE STROBOA A TÊTE PLATE

Nom - Nom Elfique -Nom Nanique : Stroboa à tête plate - càrpasta - Zorbok.

Habitat : rives, étangs et marécages

Région :

• Aduram
  
• Anaëh
  
• Faëlia
  
• Ithri'Vaan
  
• Meca
  
• Nelen
  
• Péninsule
  
• Puy d'Elda
  
• Wandres
  
• Zagazorn
  

Type : Batracien -amphibien aquatique

Taille et âge :

• Taille moyenne : une cinquantaine de cm pour les plus gros
  
• Longévité moyenne : 5 à 10 ans

Description :
Ce petit batracien épais et rondouillet est remarquable pour sa tête plate à laquelle il doit son nom. De la surface celle-ci ressemble à s'y méprendre à un nénuphar. Il s'agit autant d'un camouflage pour des prédateurs que pour les petits insectes qui auraient le malheur de se poser sur la créature qui se ferait alors un plaisir de les gober.

Sa peau élastique et lisse lui permet une très grande agilité dans l'eau. Il peut aussi se gonfler d'air lorsqu'il plonge et ainsi rester en apnée un long moment pour échapper aux dangers de la surface.  

Densité dans la nature :  Moyenne / Commun

Mode de défense : Camouflage - Cris perçant - Plongée en profondeur.

Composant notable : Peau élastique résistante à des produits corrosif extrême. Matériaux plutôt utile pour les alchimistes et les empoisonneur manipulant des substances toxiques  - suc gastrique acide - chair blanche de poisson au gout prononcé, met simple mais apprécié.

Domptable :Non.

Fiche rédigée par : Aegden.