Nom/Prénom : Maewan Waith
Âge : 41 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Particularité : Une cicatrice sur la joue, qui se remarque aisément. Depuis quelques années déjà, un écureuil gris, répondant au doux nom de Bugle, suit Waith dans tout ses voyages. C'est lui qui est chargé de la quête à la fin des offices.
Alignement : Loyal Bon
Métier : Haut-Prêtre de Néera
Classe d'arme : Magie divine / Corps à corps (bâton)
Équipement : Waith, depuis près de trente ans maintenant, a pris pour habitude d'avoir constamment son bâton près de lui. Un long manche, taillé dans du châtaigner, atteignant presque le mètre quatre-vingt. Bien entendu, son habituel compagnon n'a pas toujours été aussi haut, imaginez un enfant mesurant le mètre vingt avec une chose aussi grande auprès de lui? Insensé. Ce bâton donc, lui sert autant à marcher, que pour se défendre, en effet, son père adoptif, Myuil, le forma dès son plus jeune âge au maniement de ceci. Cela pourrait faire sourire, voire même rire certains, mais, ce n'est pas une arme pour blesser, ou même tuer. Le but, n'est que de se défendre, rien de plus. Enfin, le religieux, ne se sépare jamais de son luth, instrument duquel à découlé une grande passion, et surtout, un métier, si l'on peut appeler ça un métier. Disons plutôt que, grâce à cet instrument à cordes, Waith put se nourrir, et loger dans des auberges lors de ses passages dans diverses villes et autres villages. Enfin, ce voyageur a toujours à sa ceinture une dague, qui lui sert en bien des occasions.
Description physique :Grand, fin, de longs, et magnifiques, cheveux noirs tombant en cascade le long de son dos, un visage finement dessiné, Waith a toujours plu à la gente féminine, mais, malheureusement pour celles-ci, lui n'a jamais été très doué pour percevoir ces fameux petits signes qui indiquent une certaine attirance. Il n'a jamais, non plus, su discerner ces mots, ces phrases, ces intonations laissant entrevoir de minuscules chemins vers l'invitation, voire peut-être, une relation. Non mesdames, ce barde n'a jamais été doué avec vous,
Si l'on venait à s'approcher au plus près de cette homme, on y découvrira de nombreuses imperfections dues à ce nombre d'heures incalculable où il s'est entraîné avec son défunt maître, et, durant lesquels, il reçut de nombreux coups. Bien sûr, ses nombreux voyages, et les dangers qui se sont révélés, lui ont eux aussi laissés des marques, de part et d'autres de son corps. En regardant ses mains, on verra que celles-ci, en plus d'avoir des cornes dignes de celles présentes sur les pieds, sont enflées, boursouflées, et où de nombreuses blessures en tout genre ont élues domicile, tel de nombreuses coupures, brûlures, déchirures, et j'en passe. Ses mains ne sont pas les seules à avoir eu droit à ce châtiment, ses jambes sont façonnées de la même façon, et à vrai dire, une grande partie de son corps l'est aussi. Il y a une chose que l'on ne voit que trop bien sur son visage cependant, c'est une infâme cicatrice, laissée par une lame sur sa joue droite, recouvrant celle-ci de moitié.
Description mentale :Waith, d'aussi loin que sa mémoire lui permette de remonter, a toujours vécu selon les préceptes de la déesse de la vie Néera. L'homme qui l'a recueilli ayant été un moine dans sa jeunesse, lui a fait don de tout son savoir à ce sujet. On lui a apprit à faire le bien, à réfléchir aux conséquences de ses choix, ainsi que de toujours respecter les choix de chaque homme, à aider tout homme dans le besoin, à partager son savoir à toute personne désireuse de l'obtenir, à chérir la vie sous toute ses formes, et enfin, essayer de résoudre le plus pacifiquement possible les conflits. Sur ce dernier point, Myuil, n'était pas tout à fait d'accord. En effet, l'idée de base était des plus intéressante, et surtout des plus louables. Malheureusement, il savait très bien que, même avec la plus grande volonté du monde, il y avait bon nombre d'esprits que l'on ne pouvait apaiser par des mots. De fait, il a toujours apprit à se défendre par ses propres moyens, et inculqua à son fils adoptif cette idéologie, qui, associée au maniement du bâton restait, de son point de vue, fidèles aux enseignements de Néera. Nul blessure, nulle mort.
Ainsi, le religieux est quelqu'un d'une grande bonté, cherchant bien souvent à aider son prochain. Chérissant la vie, il est toujours venu en aide aux plus démunis, apportant soins et protection à qui en avait besoin. Il lui est même arrivé de sauver des animaux des griffes des gens, trouvant un plaisir malsain à les faire souffrir. Bien entendu, Waith comprenait qu'on veuille tuer un animal pour se nourrir, mais, si ce n'est que pour le principe de tuer, cela le mettait hors de lui.
Histoire :Contrairement à bon nombre d'histoires, celle de Waith, n'a pas de début, celle-ci commence un beau jour, alors qu'il n'avait sans doutes que sept ou huit ans. En effet, un beau jour, dans les montagnes au Nord de Diantra, tout près Christabel et d'Ancenis , un ermite répondant au nom de Myuil Maewan trouvât un enfant, le visage ensanglanté, la face contre un rocher, cet homme le recueillit et fit tout ce qu'il avait en son pouvoir pour le soigner. Cet homme était un ancien moine au service de la Déesse de la vie Néera. Après l'avoir servie de très nombreuses années dans des temples ou sur les routes, Myuil préféra se retirer dans les montagnes, vivre des bienfaits de la nature et de la méditation. Bien entendu, jamais il n'aurait pensé qu'une telle chose se produise. Cet enfant était arrivé de nulle part, tel un présent des Dieux. Le choc reçu à la tête lui fit perdre la mémoire, pour ne jamais la retrouver, ainsi, nul ne su jamais qui était-il vraiment, et quel était son nom réel. Le vieil ermite espérait que quelqu'un vienne chercher cet enfant, mais, après de longs mois d'attente, il dut se résigner à une cruelle vérité: personne ne viendrait jamais le chercher.
Alors, une fois compris cela, Myuil éleva cet enfant comme s'il était le sien, lui donna un prénom: Waith, en référence à son frère, mort dans sa jeunesse, et lui inculqua les préceptes de Néera. Il se devait de faire le bien, de préserver l'équilibre, et respecter les choix, afin de ne juger que là-dessus. Il se devait aussi, et surtout, de respecter la vie que la Déesse avait offerte à tous, et la protéger, de toujours tout faire pour bannir les conflits pacifiquement. Enfin, de dispenser son savoir à tout ceux qui seraient désireux de le recevoir. Bien entendu, de part son jeune âge, l'enfant mit du temps à comprendre tout cela, mais, le père improvisé était patient, et, joyeux d'avoir de la compagnie. L'enfant lui, semblait heureux de cette vie simple, vivant de la terre et des animaux qui y vivaient, priant à la Déesse à chaque fois qu'il était obligé de tuer une bête pour se nourrir.
Le vieil homme enseigna autre chose au garçon : l'art de manier le bâton, une manière de se défendre respectant, selon lui, les enseignements de Néera. Il pensait que, se défendre sans l'envie, ni même la possibilité de réellement blesser son adversaire, convenait totalement aux pratiques de ce clergé. De son point de vue toujours, éradiquer les conflits par la parole était une bien douce utopie, il y avait bien des hommes ayant fait de mauvais choix, qui finissaient par devenir foncièrement mauvais, et que, de belles paroles ne pouvaient arrêter. Et pour lui-même, qui fut moine itinérant, avoir une possibilité de se défendre contre les brigands, et autre mercenaires avides de richesses était loin d'être un luxe. De ce fait, Waith fut formé à cet art. L'entraînement fut difficile, long, et douloureux, le vieil homme n'ayant aucune autre idée de former quelqu'un que de la façon dont on lui avait enseigné, il dut utiliser la manière forte, à son grand regret. Malgré tout, une telle pratique s'avéra être une bonne chose, car, l'enfant progressait vite, la peur de prendre un coup réveillait en lui un instinct quasi animal pour parer ou esquiver les coups. Le maître avait beau être un vieillard, ces coups étaient fulgurants et des plus précis, si bien que, durant un affrontement, Waith n'eut jamais le dessus sur l'homme qu'il qualifiait de père.
Les années passèrent, et, le garçon devint presque un homme. Il suivait à la lettre les enseignements de Néera, n'oubliant jamais de la prier, ni de la remercier pour la vie qui lui était offerte. Il devint aussi un redoutable adversaire pour le maître, un bâton en main. Mais, il lui restait un petit quelque chose à apprendre : le don de la déesse, commençant par les sorts les plus basiques, tel la lévitation de petits objets, créer de la lumière, ou encore soigner des blessures légères. N'ayant accédés qu'au statut de moine, ses connaissances dans le don de la déesse étaient des plus minimes, mais, ainsi, son fils pourrait arpenter les terres avec ce petit quelque chose en plus. Waith se découvrit une affinité avec les dons de la déesse, révélant ainsi certaines facilités à l'apprivoiser, bien que, pour maîtriser les sorts basiques, il lui fallut bien du temps. Avec l'apprentissage de cette nouvelle discipline, un nouveau précepte de Néera lui fut enseigné : « La Magie Divine et l’Énergie de la Déesse tu ne gaspilleras point ».
Alors qu'il allait sur ses vingt ans -étant donné que le jour où l'enfant fut découvert fut déclaré arbitrairement son jour d'anniversaire, en lui donnant à ce moment 8 ans- le vieil homme rendit l'âme, dans la douceur, le sourire aux lèvres, remerciant son fils de tout les moments passés en sa compagnie, lui demandant de vivre selon les principes de la Déesse. Waith fut bouleversé, et mit quelques jours à se remettre de toute cette tristesse, avant de se décider à aller explorer le monde, et respecter les enseignements de Néera, dont l'un était de « A toute personne sincèrement désireuse de l'entendre, ton enseignement tu dispenseras. ». Comment pratiquer cela en restant seul ? Cela était tout bonnement impossible.
Ainsi, pour la première fois de sa vie, Waith quitta sa montagne, afin de découvrir le monde. Et, très vite, la personne innocente qu'il était à l'époque fit la connaissance d'un des fléaux de ce monde : les brigands de grands chemins, réclamant sa bourse, qu'il n'avait pas, le menaçant de le tuer dans le cas contraire. Il avait beau protester, et dire que nul bourse n'était sur lui, apparemment, ils ne voulaient pas le croire, et, l’agacement montant très vite, ils finirent par l'attaquer. Waith avait beau être un combattant doué, il n'avait alors combattu qu'une seule personne à la fois durant tout son apprentissage, plusieurs assaillants était une chose toute nouvelle, si bien, qu'il finit par prendre un coup d'épée au visage, esquivant de justesse afin d'éviter une blessure grave, la pointe déchira tout de même la joue du jeune homme. Après qu'une certaine rage ait pris possession de son corps, l'homme au bâton prit un plaisir malsain de punir ses adversaires, les ruant de coups alors qu'ils étaient étendus au sol. Il lui fallut un long moment avant de comprendre ce qu'il s'était passé. Suite à quoi, de nombreuses prières furent accordés à la Déesse, espérant son pardon, ne comprenant pas ce qu'il s'était passé, ni pourquoi un tel accès de rage s'était emparé de lui.
Un mois plus tard, l'orphelin fit la connaissance d'une troupe d'artiste itinérants avec qui il voyagea de long moments. Il leur apporta la sagesse ainsi que la bonne parole, tandis qu'eux lui firent découvrir un petit quelque chose qui changea sa vie : la musique. Il y avait un certain Marc, barde de son état, qui le forma au luth et à la flûte, lui apprenant que la musique était quelque chose de formidable, de magique même. Un chant pouvait captiver bien des gens, une mélodie pouvait redonner l'espoir, dans les ténèbres les plus sombres. C'était quelque chose qui se devait d'être porté à travers le monde. Curieux de tout cela, le jeune homme apprit bien des choses auprès de cet homme, que ce soit la musique, le chant, ou encore ce que tout cela représentait, et surtout, comment et quand l'utiliser pour gagner quelques pièces afin de vivre.
Trois années passèrent, durant lesquelles le jeune homme était des plus heureux, chaque journée était une bénédiction, chaque soirée était comme un rêve. La troupe était devenue sa nouvelle famille, et, rien ne pourrait l'en séparer. Rien ? Pas si sûr.
En effet, une action qui aurait pu se révéler anodine, changea à jamais sa destinée.
L'action se déroula tout près d'un petit village humain. La troupe s'était arrêter pour camper à l’orée d'une forêt, et, alors qu'Waith s'était retiré un peu plus loin pour soulager sa vessie, de grands éclats de rire, accompagnés par un cri strident empli de souffrance éveillèrent sa curiosité. Alors qu'il s'avançait vers ses bruits, une vision horrible s'offrit à lui. Des gamins avaient attrapés un écureuil, l'avaient solidement attachés, afin de s'amuser à lui lancer des cailloux. Le pauvre animal essayait de se débattre en couinant, mais rien n'y fit. Le jeune homme intervint donc, faisant peur aux enfants en haussant la voix, avant d'aller libérer l'animal, qui, apeuré lui mordit violemment l'index, traversant la peau et la chair, faisant ainsi ruisseler bien du sang, mais, le serviteur de Néera ne broncha pas, n'eut pas un moindre gémissement, ne s'inquiétant seulement que de l'état de santé du pauvre animal. De sa main meurtrie, il maintint le mammifère, tandis que de l'autre, il se mit à le soigner, grâce à sa maîtrise partielle des dons de Néera, tout en le caressant avec douceur de son pouce, tentant de le rassurer comme il le pouvait. Les blessures guéries, le musicien finit par lâcher le petit mammifère, qui partit à toute vitesse se cacher dans un arbre, avant de zyeuter avec grande attention son sauveur. Quand tout à coup, une voix se fit entendre, une voix grave, et inconnue aux oreilles de Waith.
« Toi qui chérit tant la vie de tous. Toi qui vit selon les préceptes de Néera, comment ne peux-tu qu'être simple barde? Ta maîtrise du don de la déésse est grande, et ton cœur noble.»
Le jeune homme regarda en direction de la voix, et, un vieil homme se trouvait là, un bâton de pèlerin dans la main, surplombée par une aile unique, symbole du Dieu de la vie. Des vêtements simples, ainsi qu'une aile stylisée tatouée sur le cou. Cette aile, le saltimbanque ne pouvait que la reconnaître, c'était le symbole de la déesse-enfant. Et, la voir tatouée sur le corps d'un homme ne pouvait dire qu'une seule chose : un Grand-Prêtre, voire même, un Haut-Prêtre. Alors, par respect, il s'agenouilla avec respect, pour répondre avec un respect tout aussi grand ces quelques mots.
« La vie tu respecteras et protégeras. Je ne fais que respecter le septième commandement de notre Déesse, Grand-Prêtre. »
Le vieil homme eut un léger rire et fit signe à son interlocuteur de se relever.
« Voyons mon enfant, relève-toi. Ce respect envers moi est de trop. Cependant, tu fais erreur, je suis le Haut-Prêtre. »
Alors qu'il se relevait, Waith ne sut pas où se mettre avec une telle révélation. Rencontrer en personne le Haut-Prêtre était un grand honneur, et, il s'était trompé. De fait, il s'excusa, chose qui fit sourire l'homme.
« Ce n'est rien voyons. Ce n'est rien. Puis je savoir à qui ai-je l'honneur ?
Waith Maewan mon père.
Enchanté. Je me nomme Kanvaël, et, comme tu sembles le savoir, je représente une des plus hautes autorités du culte de Néera. Cela dit, tu n'as pas encore répondu à ma question.
Je heu … Gêné, il essaya de trouver quelque chose d'intelligent à dire. Je m'excuse. La répons est très simple monseigneur. Il me fallait un métier pour vivre, je ne savais rien faire, ces hommes m'ont recueillis, et m'ont fait découvrir la musique. Depuis, je participer, et je gagne ma vie avec cela.
Intéressant, intéressant … N'as-tu jamais songé à porter l'habit de Néera ? Tu sembles pourtant très proche de notre culte, et très instruit.
Cela peut sembler … Idiot, mais je n'y ai jamais pensé. J'ai grandi dans sa lumière. Mon père adoptif était un ancien moine qui a préféré l'isolement pour la méditation. Cela peut sembler étrange vu les enseignements de notre Déesse, mais, il semblait se tenir loin de la noirceur de bon nombre des hommes. Alors, il m'a enseigné tout ce qu'il savait, ainsi que son don. Et … Je vous avouerai ne pas savoir comment faire, et … Après avoir vécu trois années sur les routes, je ne sais pas si je pourrais abandonner les voyages.
Certes, dit il, souriant. Certes. Mais, les prêtres ne sont pas forcément cloîtrés, beaucoup arpentent les routes. Que dirais-tu de venir avec moi, et de suivre mon enseignement ?
Moi ? Surpris, le jeune homme avait les yeux grand ouvert. Je … Ne suis pas digne d'un tel enseignement … Je …
Non ! Coupa-t'il. De ce que j'ai vu, tu appliques parfaitement tout les préceptes de Néera, et tu n'es même pas Adepte. Tu sembles aussi avoir une affinité avec ses dons. Tu deviendras prêtre rapidement, et … Tu évolueras. Peut-être prendras-tu ma place ?
Le vieil homme se mit à rire, s'amusant du jeune homme, qui semblait perdu. Etait-il sérieux ? Waith l'ignorait. En tout cas, il se mit à le suivre, suivit de très près par le petit écureuil, qui, finit par rester sur la tête ou l'épaule de son sauveur, et se fit dresser. En trois ans d'études, il devint prêtre itinérant, restant aux côtés de son instructeur, ne comprenant pas que ce dernier cherchait à former son successeur. Lui expliquant à chaque endroit son travail, ces devoirs, ainsi que la gérance du clergé en tout points. Le musicien, qui, bien entendu n'abandonna pas son luth, était un élève studieux, si bien que, cinq années plus tard, l'élève fut ordonné Grand-Prêtre, finissant par officier dans un grand Temple. Les enseignements de Kanvaël l'aidèrent énormément dans son nouveau rôle, beaucoup venaient l'écouter prêcher, et jouer du luth. Il eut l'idée de mélanger la musique à la bonne parole, et, le nombre de religieux ne cessa d'augmenter.
Quelques années plus tard, le Haut-Prêtre rendit son dernier souffle. Les Grands-Prêtres se réunirent en conclave pour désigner le nouveau. Waith fut élu dans une grande majorité. Tous le connaissaient au moins de nom, tous savaient qu'il avait reçu son enseignement, et qu'il était des plus dignes d'un tel poste.
Bien que grandement étonné par une telle promotion, le nouveau grand religieux arpente les terres depuis, pour s'occuper de la tâche qui lui fut donnée.
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