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 Sous la chaleur d'un dragon

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Goar Ier
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MessageSujet: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeJeu 14 Fév 2013 - 14:07

Quatrième jour de la sixième ennéade

L'audacieux dragon de sinople rugissait haut et argenté sur les étendards de l'ost que conduisait Sebastian. Des dizaines de chevaliers avaient rejoint son appel, on comptait des arétriens la défaite dans l'âme qui escomptaient bien tirer vengeance de ce pompeux baron et regagner gloire et honneur. Plusieurs Olyséens, fuyant l'ombre de Saint-Berthilde, mais aussi quelques chevaliers Ydriliens, ayant fuit le comté sous l'hégémonie Soltarie, et rejoignant l'âme en joie leur capitaine et seigneur. Sebastian le batailleur avait réunit une fière compagnie de guerrier, tous voués à faire couler le sang impur de ces brigands souldoyers du déchu.

Mirant les âpres collines gibbeuses, le bellâtre Suderon fit arrêter son ost, près du village d'Horst, où la populace avertis de l'arrivé d'une bande armée, avait caché ses vivres, leurs bambins et eux mêmes dans leurs chaumières. Le campement vétuste fut à peine achevé que de loin on percevait la bannière de l'hanglyosis de sinople s'animant au loin, amenant Drogon et son ost de rivois, à ses côtés plusieurs hommes d'Etherna, ayant revêtu les couleurs de Systolie, accompagnaient la Furie. Nimbé d'une cape rougeâtre, Sebastian sortit de sa tente, la vue de ces nobles coeurs, qui guidé par la gloire, qui par la vengeance, ou qui d'autre encore par la soif de sang, fit naître en son âme grande joie. Des éclaireurs furent mis en place afin de prévenir tout risque d'embuscade ou d'attaque.

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Dernière édition par Goar de Falkenberg le Mer 27 Fév 2013 - 14:22, édité 1 fois
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Farren de Lockrive
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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeMar 26 Fév 2013 - 0:59

Ainsi va des guerres.

Honteux et abattus, l’ost rivois s’en était retourné, après la cuisante défaite du pont maudit et les rapines vengeresses, vers leur terre natale, dans le vain espoir de panser leurs blessures de l’orgueil, qui astreignaient leur cœur. Ainsi va des guerres. Ainsi va des vaincus. Maussade, le pauvre seigneur de ce peuple fier s’était emmuré dans un silence des plus oppressants, accusant le coup comme l’on accuse un poignard en plein cœur. Et Nefir se peignait de gris…

Alors, quand devant les portes de ce qui était sa maison, l’on vit apparaitre le fils prodigue, la morosité sembla s’estomper quelque temps. Drogon, l’enfant du pays, retournait enfin sur sa terre après sa longue absence. Si la nouvelle eu l’audace d’arracher un sourire rêveur au brave Farren, les raisons de son retour eurent tôt fait de renfermer les exclamations joyeuses. Voilà donc que ce vieil ami du nord se retrouvait en fâcheuse situation. Passé les festivités des retrouvailles, l’on discuta longuement. Las des guerres et du sang, le bon Farren ne parlait que peu, peut être le jeune homme n’était que trop sensible pour les affaires d’homme, peut être digérait-il mal sa chute de son piédestal, lui qui se pensait choisi des Dieux.
La décision fût bientôt arrêtée et malgré les affreux doutes personnels qui rongeaient à présent son esprit, le Corbeau était déterminé. Il n’avait pas d’autre alternative, Rive répondrait à l’appel du Sanglier du Nord.

Finalement, tout se prépara relativement vite. L’on n’eut pas à prospecter longuement pour assembler la troupe tant les volontaires affluèrent d’eux-mêmes. Parmi la majorité de ces gens, nombre de vétérans de Pont-Lamor avaient sauté sur l’occasion, trop belle, de laver leur honneur. C’était cent dix-sept têtes casquées qui marchaient vers le Nord, fiers guerriers des falaises grises.

C’est seulement lorsqu’on arriva en pays sgardien que la troupe se permit à lever la bannière d’Arhelm. En effet, suite aux tristes épisodes qui frappèrent le Lyron, les rivois n’eurent peine à penser que la vue d’une troupe armée aurait tôt fait de paniquer le pauvre paysan éprouvé par les guerres. Aussi, l’on agit par ruse.
Accompagné d’une lettre apposée du sceau du temple de Néera, l’ydrilain Alberto Manéfeltre, maitre d’arme de Lockrive de son état, avait grimé la troupe d’une bien originale manière. Voilà donc que se présentait aux péages et autres ponts, un groupe composite de piétons, une poignée de femmes et bœufs en attelages, qui remontait, la lettre l’en attestait, d’un large pèlerinage au travers des temples de la Péninsule royale. En guise d’escorte, c’était l’ordre de saint Ignace, d’une cinquantaine de têtes, à cheval ou à pied. Ainsi on traversa sans encombre le long périple vers la guerre promise. Aux prétendus pénitents on cacha les armes et paquetages dans les chariots. Les femmes, quant à elles, ne furent pas issues du hasard mais bien du temple de Lwar, pouvant garantir des soins aux blessés et aux malades.

C’est sur les paroles vindicatives, arrogantes, et parfois vulgaires de Drogon que l’assemblée avançait, bercée de rumeurs peu flatteuses sur l’ennemi. Il les disait violeurs de chèvres et d’oreilles pointues, ce qui en soit n’avait guère de différence, et plus proche du bœuf que de l’homme. Encensée par ces discours, Drogon était un fier orateur, la rage de vaincre imprégnait le cœur des hommes.

Ainsi va des guerres.

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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeMar 12 Mar 2013 - 21:55

Sixième jour de la sixième énnéade
Fort de ses nouvelles troupes, Sebastian mis en branle tout ce beau monde pour remonter plus haut. Passant rapidement à travers la campagne, et toujours en envoyant des éclaireurs ouvrir la voie, tandis que l'arrière garde veiller à ce que rien n'arrive dans leurs dos et leurs flancs. Voyageant ainsi et promptement, la compagnie installa son campement dans le bois de Parsmont, caché dans l'épais feuillage des chênes centenaires.

Là, ils s'organisèrent et ne laissèrent passer de ravitaillement pour Amblère, pas même un seul gueux. Rapide et efficace, la coterie s'amusa fort bien. On fit Sebastian s'entourer d'une compagnie de rivois dont Drogon ainsi que quelques bougres la bonne mines d'Arétriens, dont le bouffon les amusa fort bien. Et s'amusant au détriment de ce que jamais ne recevrait Norman, que ledit bouffon singea avec beaucoup d'art, ils s'amusèrent fort bien, bien qu'en prenant toujours d'habiles précautions, la région n'était après tout, pas sûr.
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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeJeu 14 Mar 2013 - 22:20

      L'or. C'était l'or qui leur avait fait quitter Bastylle. L'or et les talents d'orateur d'Arras l'Agile, comme on l'appelait, milicien de son état et grande gueule assumée. Il avait, par le passé, eu l'occasion de guerroyer aux côtés du Terrible qui ne l'était pas encore autant, et l'homme lui avait fait forte impression. Aussi, quand il avait entendu parler des missives du baron contesté, il n'avait pas hésité. Cette guerre, c'était sa chance ; alors il avait promis monts et merveilles à cinquante de ses gars et ils s'étaient mis en route vers Oësgard, aussi discrètement que possible. Assez, en tout cas, pour que les regards ne se détournent pas sur eux. Grand avait été leur soulagement, cependant, quand ils avaient passé le col qui menait à l'Uberwald ; souvent ils avaient juré avoir entendu les sabots de la cavalerie fondre sur eux.
      Malheureusement, la troupe était celle d'une milice entraînée à surveiller une ville, pas à partir en campagne. Aussi, s'ils savaient vaguement qu'il fallait envoyer des éclaireurs, ces derniers ne connaissaient pas le métier. Le seul avantage de cette troupe lâchée dans la nature avait été d'aller vite, pour éviter les conséquences de leur départ. Mais cette hâte les amenait tout droit vers le campement d'un Sebastian qui se réjouirait sûrement de l'aubaine.

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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeJeu 14 Mar 2013 - 23:08

Adémar là Basriola, tel qu'on le nommait dans son pays, n'était pas homme à se laisser distancer et ni plus à se faire repérer. Ayant aperçu une bande de vaurien qui passait dans la forêt, il courut.. non il vola vers le campement de son capitaine. En peu de temps, voilà que la compagnie s'élançait après de la bande de reîtres. Leur commandant, Sebastian di Systoli, prit la mesure de la troupe : une cinquantaine de rustaud, dont l'allure et la mauvaise mine ne pouvait que les faire venir de Serramire.

Au détour d'un chemin, la joyeuse bande de luron semblait fuir quelques troupes, pourtant rien ne semblait venir de par derrière, ni pas devant. Rien, si ce n'était la bande de brigands des bois. Alors que leur chef en tête passait près d'une clairière, grande fut sa surprise en voyant surgir devant eux une vingtaine de chevalier tout en armes. Et en un rien de temps le reste de la compagnie jaillit de leurs cachettes, qui tendait arbalètes vers la troupe, qui avait l'épée de sortit et prête à trancher les gorges de ces marauds.

"Ollà amigè, qu'estois donc qui vous amenois ti venire ens cè pays ? Mà, parlare, parlare", lança Sebastian sur son destrier. Un Arétrien de son entourage, qui avait passé quelques temps en Serramire et connaissait leurs moeurs et coutumes, engagea pour son capitaine les échanges.

Sous la menace des arbalètes et des terribles chevaliers, et non point moins de ces sinistres sires de rivois, le doux Arras, qui eut bien du mal à faire montre de son surnom d'agile, vint parler avec le capitaine et son entourage. On parla peu mais fort bien. Sebastian su faire comprendre que la guerre n'état plus au hasard et que la victoire serait leur. On évoqua ce bon Fenricks, ainsi que les terribles hordes d'Odoacre, le goût de la piquette local, des affaires serraminoises, des femmes, et un peu aussi, de ce que gagnerais ces miliciens à rejoindre Sebastian.

Oh, point de menace ne furent lancée, pourtant les hommes restèrent ainsi, tendrement armé. Et on vit plus d'un milicien perdre toute couleur, tout penaud qu'ils étaient. On leur proposa de meilleurs soldes, et de toute évidence une bien meilleure compagnie ! (Et, dissimulé au détour de quelques phrases, la vie aussi). Soit, les arguments allaient et venaient, dans la délicatesse de cet humour alliant la finesse Ydrilienne à la grossièreté.

Pourtant la discussion alla de bien en pis, lorsque que ce bon Arras, soulagé de voir fort humour laissa entendre qu'il avait guerroyé avec Norman Sans Tête, cela par un fort et joyeux rire. Oh, terrible fut le regard de Sebastian, oui, terrible ! Il envoya son poing frapper la nuque du bougre et l'envoya à terre. Deux de ses hommes se chargèrent de le maintenir et le désarmer. La compagnie voyant la scène leva ses armes, et les cinquante pauvres bougres furent tout encerclé, sans chef, la peur au ventre.

On ne tarda pas à faire venir une corde, et en un rien de temps, le gibet fut lancé, la nuque glissée dans les cordons de chanvre. Les pieds gesticulèrent un instant, puis plus rien. On laissa là, sous l'abri d'un chêne séculaire le corps de ce bougre qui aurait mieux fait de rester chez lui. Un clerc, se chargea avec charme de rédiger sur une petite plaquette "Ici gît la fortune de tout hosmmes qui servoit Norman Sans Tête". Un religieux lui rendit les derniers sacrements, Sebastian restait pieux.

L'heure était aux choix, se tournant vers le reste de la compagnie, Sebastian glissa quelques mots à son clerc, ce brave Geoffroi, pour qu'il lui souffle les mots justes. Et se lança dans un doux et délicat discours à ces hommes. Un petit groupe de vétéran, que ces pratiques n'intimidèrent que fort peu, prit le pas de venir parler plus près. Et là, on refit les mêmes promesse et les mêmes discussions que précédemment, on ouvrit même une bouteille de piquette, tout ces évènements avaient donné soif à ces joyeux drilles.
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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeMar 19 Mar 2013 - 10:28

Peur, faim, soif, froid, colère, rage, effroi, horreur, sang… Mort…

S’il est bien de ces sentiments, de ces sensations les plus universels c’est bien ceux-là. L’homme, cet animal grimé, peinturluré, masqué, d’un vernis brillant qu’il nomme civilité, demeure toujours dans les langues sèches de quelques scribouillards en mal d’imaginaire, le dos courbé de ne s’être que trop penché devant la terrible page vide, la sueur au front et la mine fermée, l’homme donc, l’Homme ! L’homme, nous disent-ils, ces étudiants, ces écrivains, ces érudits, est un loup pour lui-même. Et ce, rajoute-t-on, comme d’une nécessaire anecdote, comme si l’on n’avait pas encore saisi l’ampleur, l’universalité de l’Idée même, depuis la nuit des temps, la naissance des Ages…

Un obstacle à franchir, encore un et enfin, ce sera la paix. Calme et souriante, elle semblait lui ouvrir les bras, comme attendant sa douce étreinte, mais éphémère coquille vide, elle disparaissait aussitôt. Ici, dans ce monde de pics bruns et de nuages verts, d’océan d’herbe et de lavis de bleu. Ici, tout n’était qu’éternel danger, menace mortelle. Elle bondissait, échappant aux pièges de cette vie si rude, qui voulait, de ses ongles sales et ses dents jaunes, arracher les quelques battements frénétique de son cœur. Et, lorsque la course folle prenait fin, le calme encore, cette douce amie, pour quelques secondes, quelques minutes, quelques temps de paix purs et innocents. Vrais. Et elle observait. Le bruit clair du vent contre les branches noueuses, la timide chaleur du voile lumineux du jour contre son manteau de fourrure, perçant le lourd feuillage, et cette respiration. Sourde et profonde, l’inspiration puissante de la terre elle-même, de la Vie, étrange pulsation aux mélodies envoûtantes. Danger ! Et quelques sueurs de plus, pour conclure l’effort de ses muscles tendus, ruisselant mollement contre sa peau. Là, un nouveau spectacle d’enchantements, de merveilles, dont elle ne comprenait que trop peu le sens. Ou trop bien.
Enfin, elle les vit. Pauvre biche effarouchée contre ces violentes apparences, ces terribles faces, elle resta interdite, cachée dans le tableau opaque des bois. Elle les vit. Eux, ces terribles créatures aux peaux cuirassées, étincelant de milliers d’éclats, criant toujours et tout le temps de leur râle aux milles nuances, foulant le sol avec hâte comme on creuse un sillon et ne laissant derrière qu’un sol pauvre et suffocant. Eux, monstres aux griffes d’aciers et aux regards noirs. Eux, les Hommes. Un bond gracile et le pauvre animal laissait derrière lui la sauvagerie, la barbarie et un corps comme un pendule, oscillant lentement sous les brises du vent.

Depuis la nuit des temps, l’homme est un loup pour l’homme. Dans ce coin du monde, ce bout de carte obscur coincé entre deux lignes d’encre brune que l’on nommait Oësgard, des hommes tuaient d’autres hommes. Et parmi eux, l’on trouvait des rivois.
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MessageSujet: Re: Sous la chaleur d'un dragon   Sous la chaleur d'un dragon I_icon_minitimeJeu 21 Mar 2013 - 11:46

      Ainsi donc, le hasard s'était joué des rêves de gloire de l'Agile. S'il était arrivé deux jours plus tôt, il aurait pu passer devant les troupes de l'Ydrillian. Deux jours plus tard, il aurait eu une chance de passer. Mais ça n'avait pas été le cas. De la bordure de l'Uberwald, l'ost migra rapidement jusqu'au pont de l'Alette, où il put à loisir couper Norman de son ravitaillement.

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