Nom/Prénom : Shaâr Zakath Âge : 120 ans Sexe : Mâle Race : Demi-Drow Particularité : Toute la moitiée gauche de son corps est couverte de tatouage divers, qui couvrent son visage jusqu’à ses pieds. Il possède aussi quelques bijoux sur ses oreilles et des cicatrices du côté droit au niveau des côtes. Mine de rien Zakath possède un certain don pour les jeux de hasards et la triche qui les accompagnent. Il est aussi doué pour la naviguation.
Alignement : Chaotique Neutre Métier : Rôdeur Classe d'arme : Corps à corps ( épée principalement)
Équipement : Alors faisons l’inventaire : Une épée bâtarde de fabrication Drow, des vêtements chauds et légers, une longue cape à capuche, une bourse, une gourde, une flasque d’alcool, du tabac, une pipe longue, une bourse, des poignards, des jeux de cartes et de dés, des vivres.
Description physique : Shaâr est un demi-drow, alors afin de ne pas nous perdre nous allons commencer par ce qui le rapproche le plus dees Drows. Tout d’abord sa taille, il est pile d’une taille moyenne pour un Drow, mesurant un mètre quatre-vingt-dix pile, ce qui fait de lui une personne de grande taille au sein des humains, mais dans la moyenne chez les Drows. Il est inutile ce me semble de préciser que ce dernier à de fines oreilles pointues. Passons donc à sa chevelure, qui est typique des Drows : Longue, soyeuse et d’un blanc aussi pur que la neige. Il porte donc les cheveux longs, cependant ils sont souvent mis en arrières, et ils possédent quatres trèsses : deux au-devant de son visage tiennent compagnies à quelques méches qui tombent en dessous de son front, les autres son dérrières ses oreilles, ses tresses sont maintenues par des liens de cuirs. Ses yeux eux sont de la couleur des félins : or, même si la pupille n’est pas fendue comme ses dernies. Il faut savoir qu’ils se veinent de rouge quand il est en colère. Et pour finir ce qui le rapproche des Drows : sa peau, cette dernière paraît aux premiers abord simplement bronzée, mais de plus près sa teinte est plus proche du caramel que du simple bronzage du baroudeur du désert.
Poursuivons avec son physique propre, qu’importent ses origines. Tout d’abord Shaâr est pour un humain de grande taille mais aussi avec de bonnes épaules, certes ce n’est pas un monstre, mais sa carrure est plus que respectable, ce qui donne à ses muscles, car croyez-moi il en à, un aspect plus noueux que ceux de ses cousins les Drows Il à cependant un visage fin et sévère. C’est tout pour son physique pur pour ce qui est des choses telles que l’apprence vestimentaire et bien, il a le plus souvent l’air d’un maraudeur avec des hauts en cuirs sans manches, le pantalon basique et les lourdes bottes de cuir, le tout couronner de son éternelle cape noire à capuche qui descend jusqu’à ses chevilles, il porte aussi le plus souvent une épaisse ceinture de tissus autour de la taille, lui servant à dissimuler ses poignards. Pour résumer, Shaâr est un demi-drow de bonne taille avec une bonne carrure et la musculature qui va avec, et un visage fin, et un corps tatoué d’un côté de la tête aux pieds, au final pour un humain il sera d’une beauté assez brute, cependant il n’en ai guère conscient.
Description mentale : Tout comme pour le physique nous commencerons par ses traits qui font de lui un Drow. Tout d’abord et cela n’est guère surprenant, il est sournois, et la trahison d’inconnu est loin de lui poser problème, surtout si cette dernière peut lui rapporter gros ou le sortir d’un pétrin quel qu’il soit, donc un coup de couteau dans le dos est une chose à prévoir si vous croisez sa route. Il faut savoir que Zak à la rancune tenace, très tenace et que les affronts et coups tordus dont il sera victime, il les fera payer un jour où l’autre, et il à des taux d’intérêts élever, se soldant souvent par la mort du débiteur. Afin de continuer dans les travers emprunter à ses cousins. Il est tout aussi apte à la manipulation que les siens, n’hésitant pas à piéger ses compagnons si cela lui permet de s’en sortir ou de s’enrichir. Zak est aussi sensible à la paresse, quand l’occasion lui est donné de paresser tel un Pacha, croyez bien qu’il s’étira tel un félin au ventre plein au millieu d’une paillasse confortable pour ne rien faire d’autre que buller. Pour finir Il est sensible à la luxure, quel que ce soit sa compagnie, si les personnes sont à son goût et qu’il en a l’occasion, il se fera une joie d’abuser de la chair.
Maintenant que cela est fait passons à sa personnalitée propre et ses quelques petites contradictions. Tout d’abord même si il est prêt à la moindre sournoiserie pour s’enrichir ou survivre, la richesse ne le conduira pas automatiquement à trahir, loin de là, pour que cela est lieux il faut qu’il ne considère absolument pas la vie de ses compagnons ou que les profits possibles soient faramineux si il a un peu d’estime pour ses denriers. De plus même si il est inhumainement rancunier, il n’est pas colérique pour autant, c’est même plutôt quelqu’un de calme et posé, ses colères sont rares mais il ne les oublie jamais. Comme dit plus haut Zak est quelqu’un de calme et posé, ne sortant sa lame que si besoin est, n’étant pas un assoiffé de sang, ni un avide d’aventure, cependant l’appât du gain reste fort et il n’hésitera pas à partir à l’aventure ou à abattre une personne pour remplir sa bourse.
A l’inverse de ses congénères Drow, Zak est que peu sensible aux plaisirs sophistiqués et aux envies de richesses démentes. La seule richesse que convoite le bâtard est celle qui lui permettra de faire ripaille au chaud dans une auberge et d’avoir assez de tabac sur lui. Il aime donc ce genre de chose : manger, boire et fumer, rien de bien compliqué au final.
Zak a aussi son égo comme beaucoup d’autre et n’hésite pas à accepter un défi ou un duel, même si en général il préfère jouer aux jeux de hasards que sortir l’épée afin de régler ses conflits d’ego, cela l’amuse toujours de plumer ses adversaires au perrudo.
Shaâr n’est certes pas colérique ou suceptible, cependant il y a des choses à ne pas faire si on veut éviter que la situation dérape. Tout d’abord se montrer trop insistant sur sa situation de sang-mêlé, ce fut une chose qu’il a toujours subit et se montrer trop véhément par rapport à son sang, n’aura que pour simple effet que de déclencher un duel dans le but de prouver à l’autre que « bâtard » est meilleur que vous.
La seconde chose à éviter est de faire couler son sang. Bien que peu sensible à l’appel global du sang, si on fait couler ce dernier, il répondra dans l’instant à son appel pour vous vider du vôtre.
La dernière est de se savoir manipulé, si il se rend compte qu’il n’a été qu’un pion, il le fera payez,et avec ironie si il en a les moyens et l’occasion, manipulez son manipulateur pour l’attirer dans un traquenard, ça sonne pas comme quelque chose de doux et sucré à vos oreilles ? Continuons de brosser son portrait, parmi tous ses traits il a au moins quelques qualités : La première est qu’il a les deux pieds sur terre. Ainsi si une personne qui ne peut être touchée, trop forte, ou hors de portée (guerrier plus expérimenté que lui, nobles etc) provoque sa colère, il sera ravaler sa rancœur, et prendra son mal en patience, jusqu’au jour où il aurait une opportunité de se venger.
La seconde est que malgré son calme et donc la froideur qui peut s’en dégager, il est un bon vivant et aime faire ripaille avec d’autre, se fichant totalement de leurs races. Ainsi il sera capable de s’attacher à d’autres. Et pourquoi avec le temps devenir ami avec ses personnes, mais il lui faudra beaucoup de temps, par apport à une vie humaine j’entends. Ainsi toute trahison, et ce qu’importe le montant d’or proposer, ne sera plus pour lui envisageable, cependant à l’inverse, se faire trahir par des personnes qu’il aura considérées comme ses amis le fera entrer dans une fureur noire et irraisonnable.
Il reste à signaler qu’il a un faible pour les félins, qu’il considère plus que les êtrs humains en règle générale.
Pour résumer Zack est un être calme et posé qui aime faire ripaille, qui n’as pas l’amitié facile, mais forte et capable de réaliser sa situation par rapport aux autres. Mais c’est aussi un drow dans le sens où il aime l’or, il aime se prélasser, il aime goûter la chair de belles compagnies et n’hésite pas à jouer du poignard pour obtenir ce qu’il désire, lave ses affronts dans le sang et aime détrousser les malheureux qui joueraient avec lui, et manipuler ennemis et faibles.
Histoire : Année 886 du 10 éme cycle, année de naissance de Zakath Shaâr. Cependant cette naissance à une histoire qui y mène. En effet la mère de Zakath est une humaine du nom de Lidya, qui faisait partit d’une caravane marchande. Lidya était jeune quand elle tomba enceinte de Zak, pas encore dépassée ses vingt-cinq ans. Et ce n’est pas une belle histoire d’amour interdit, loin de là, c’est une histoire sordide, comme pour la plupart des bâtard Drow.
Neufs mois plutôt, Lidya et les siens avaient installés leurs caravanes dans les terres d’Itrhi’vaan, à une centaine de kilomètres de Nealis, une ville abandonnées, en attendant de reprendre leurs route vers les terres des elfes. Cependant ils n’auront pas l’occasion de reprendre cette route. Une patrouille Drow les avaient repérer et fondit sur eux avant de piller la caravane. Parmit les membres de cette patrouille se trouvait Za’toast Shaâr, Aîné des fils de la famille Shaâr, une famille modeste mais qu is’en sortait un peu mieux que d’autre par des mâles doués dans l’art de la guerre, et des femmes dévoué à leurs dieux. Za’toast avait toujours eu, même pour un Drow, un égo surdimensionné et prenait toujours ce qu’il désirait, se fichait peu qui en était le propriétaire. Lors de cette attaque un grand nombre de marchand avait péri, d’autres avait fui. Mais Lidya n’eût pas la chance de fuir assez vite, et alors que les autres Drows remplissait leurs sacs et les sacs des chevaux d’un maximum de choses pour s’enrichir, Za’toast trouva, caché dans une caravane accidenté une chose à son goût : une humaine, Lydia, et la jugea à son goût et abusa d’elle.
Une fois leurs sales besognes faîtes, les Drows repartirent, les autres n’avaient pas remarqué l’absence de Za’toast, et Lydia, baîllonée n’avait pas pu faire assez de bruit pour les alerter.
Quand les Drow furent partit, les fuyards vinrent chercher les survivants et ce qu’il restait de marchandise et partirent. Puis deux ans s’écoulèrent dans la vie des deux personnages, de ce viol la jeune femme eût un « cadeau » un enfant, qui grandit à ses côté, malgré toute la rancœur qu’éprouvait L idya elle fut incapble de faire payer l’enfant pour les méfaits de son père. De son côté Za’toast continuait sa vie de pillage et de débauche, étant désormais accompagné de son jeune frère qui suivait lui aussi la voie du guerrier.
Zak avait un peu plus d’un an lors de la seconde rencontre de ses parents. La caravane marchande de la jeune femme continuait son chemin, il lui fallait bien vivre, même si le départ de ses terres avait été retardé par l’attaque Drow, à cause du manque cruel de moyen suite à l’attaque. La caravane était de nouveau arrêtée, mais un endroit à l’opposé de l’endroit de la dernière attaque. Cependant la patrouille Drow les retrouva et les attaquas à nouveau. Le massacre fût total, et quand vint le tour de Zak et de sa mère, elle reconnut Za’toast hurlant qu’il l’avait violé et que Zak était son fils, qu’il pouvait la tuer, au moins les images de ce jour funeste ne la hanterait plus, mais qu’il assume son fils. Veldruk Shaâr, son petit frère était incrédule, son aîné aurait donc fait quelque chose d’aussi dégradant que de coucher avec une femme humaine et aurait engendré un bâtard ? Alors que Za’toast s’apprêtait à la faire taire par la lame, Veldruk stoppa sa main et regarda l’enfant. Des cheveux blancs, une peau caramel, des oreilles pointus et des yeux d’or. Il était quasiment certains que la femme disait alors vrai et que l’aîné avait ainsi déshonoré la famille et devant la fureur de ce dernier, aucun doute n’était plus possible. Afin de sauvegarder l’honneur de la famille Shaâr il abbatit l’aîné et sa mère. Mais son peuple décroissait de décennies en décennies, et un bâtard aurait bien une utilité, alors il embarqua l’enfant jusqu’à Sol’Dorn où résidait la famille.
Suite à cela Zak fût éduqué par sa tante, la sœur de Veldruk et ce dernier pour l’art du combat, cependant malgré son éducation, il était chargé de toute les charges ingrates de la famille et la moindre erreur dans ses cours lui valait une correction monumentale et une privation de nourriture de plusieurs jours quand Veldruk était magnanime.
Comme pour tous les autres bâtard Drow sa vie ne fut pas facile, même si Veldruk était bien plus « bienveillant » envers lui que ne l’aurait été d’autre, il ne l’avait pas tué et l’entraînait personnellement, ce qui était déjà quelque chose d’assez rare pour être souligner. Certe l’entraînement était rude et plus d’une fois Zak faillit mourir rué de coup après une parade mal éxécuté, mais Veldruk le lui répétait sa vie allait être un enfer hors de l’enceinte de la maison familial, alors autant qu’il s’endurcisse maintenant.
Quand Zak eût 30 ans, il fut livré à lui-même dans les rues de la capitale Drow et du survivre de par ses propres moyens. Il vola, racketta, et tua bien avant la fin de sa première semaine dehors.
Et les années s’écoulèrent, encore et toujours les mêmes journées : voler pour vivre, tuer pour vivre, intimider pour survivre. De par sa nature de sang-mêlé, nombreux furent les jeunes Drow à le voir comme une cible facile, mais Zak n’avait pas envie de mourir, et surtout pas de la main de jeune sot qui lui crachait dessus à cause de son sang, comme si il avait choisi sa naissance ! Trente années s’écoulèrent ainsi, sans que jamais sa famille ne lui vienne en aide, ou même qu’il en ai des nouvelles. Il lui parut évident que ses derniers l’avait depuis longtemps abandonné et oublié, mais peu lui importait, il était en vie et c’était la seule chose qui comptait. Quand Zak atteint l’âge de soixante ans, il était craint par les truands des rues de Sol’dorm, et avait une paix assez relative, vivant dans une vieille demeure abandonnée où il amassait ses butins et allait se reposer après une journée de rapine bien remplie.
Cependant durant l’année de ses soixante-ans, une alternative autre que la simple rapine lui fut proposée. Un Drow, un peu plus vieux, une vingtaine d’années humaines, du nom de Tarak vint trouver Zak dans une taverne, ce dernier avait monté une entreprise fleurissante de contre-bande qui consistant à voler des marchandises non présentes à sol’dorme sur le territoire humain et ensuite à les revendres à des intéresser, tisserand, riche voulant former une milice, tout dépendant de la cargaison volé, que ce soit des armes, des tissus ou des bijoux, ils volaient, ramenait ça en cachette a Sol’Dorm et revendait à ceux à qui cela serait utile, à un prix plus bas que celui du commerce, faisant donc comme ce procurer ses marchandises était gratuite, un bénéfice de 100 %, partagé entre les personnes qui avait volé la marchandise et Tarak, le chef qui se chargeait de tout refourguer.
Zak sourit, il y avait moyen pour lui de se faire pas mal d’argent, et peut être même un nom au sein de la cité, et au passage de voir autre chose que les rues de Sol’dorm, il accepta l’offre de Tarak et leurs collabortation commença.
Dès lors Zak voyageât vers les terres humaines, attaquant avec quelques hommes recruté sur place les convois de ravitaillement, ce n’était pas une mince affaire, loin de là, souvent elles étaient bien gardée et le sang coulait, il perdait régulièrement un ou deux hommes, heureusement ce n’était que des mercenaires humains engagés par Tarak, et des mercenaires il n’en manque pas. Une fois les marchandises les plus précieuses volées,ils passaient à toute vitesse les frontières et faisait rentré les marchandises en passant par le fleuve et de nuit. Parfois leur affaire prenait d’autre perspective, en effet, Zak entrait seul dans une ville et volait tout ce qu’il pouvait, des mercenaires se relayant pour rapporter le tout à Sol’dorm.
Ce commerce florissant durant une dizaine d’années avant que des conflits entre Tarak et Zak naissent. En effet après dix ans à mettre de côté sa part, et à grassement enrichir le Drow, Zak réclama une plus grosse part, car il prenait de lourd risque et menait quasi toute les opérations dangereuse, enrichissant Tarak, et il voulait lui aussi croquer une vraie part du gâteau. La dispute éclata, et Tarak lui cracha au visage que jamais il ne toucherait plus qu’aujourd’hui, car c’est tout ce qu’un sang impur comme lui méritait. Zak eût envie de le tuer mais cela devait attendr, Tarak était trop puissant,trop d’hommes à sa soldes, trop d’hommes qu’il pouvait payer, et même si il le tuait dans les mois à venir au vue de leurs disputes, il serait le premier suspecté et n’étant pas Drow il ne donnait pas cher de sa peau dans un monde qui le méprisait autant.
Suite à cela les missions confiées par Tarak devinrent de plus en plus périlleuse, comme s’il cherchait à se débarrasser proprement du demi-drow, et même si il gagna quelques une de ses cicatrices lors de ses missions, il en revint toujours debout, droit et fier. Les années s’écoulèrent ainsi et Tarak se laissa à penser que Zak c’était finalement laisser dresser. Le demi-drow continuait de faire son travail, années après années. Dix ans s’écoulèrent ainsi.
Le jour de la revanche sonna. Zak revenait d’une rapine, dans une modeste embarcation, avec de nombreuses caisses de tissus précieux qui se vendraient une fortune aux tisserands Drows. Tarak et ses hommes étaient là, et ils débarquèrent la marchandise après que Tarak l’ai vérifié, il semblait content du butin amassé et se frottait les mains des ventes futures, et donna donc son or à Zak qui depuis l’incident 10 ans auparavant recevant une bonne somme certes, fixe, après chaque missions, moins que si il touchait un pourcentage des ventes de la marchandise. Une fois la bourse en main et le dernier homme de main partit avec la dernière caisse, Tarak vérifia s’il ne manquait rien, fouillant le bâteau. Le demi-drow en profita et le poignarda sans vergognes, sa main étouffant les cris de rage du Drow, et il l’acheva en lui ouvrant la gorge. Il prit la bourse du Drow et sa magnifique épée bâtarde,de l’artisanat Drow pur et dur rentra chez lui, rassembla son argent et ses affaires et disparu de Sol’dorm.
Il traversa le territoire neutre jusqu’au territoire humain d’une traite, ne s’arrêtant que pour dormir et manger un peu. Se ravitaillant dans les villages qu’il croisait ou dans les fermes, le long du territoire neutre les gens étaient méfiants mais l’or était plus fort que la méfiance. Son periple l’amenant aux frontières du territoire neutre et dans la ville de Thaar. Ville portuaire, où est située l’intrigante citadelle des âmes, mais ce n’était pas là le but du demi-drow, non il voulait prendre la mer et disparaître loin des terres des Drow, qu’importe l’équipage, du moment qu’il l’éloignait le plus possible de Sol’dorm.
Ainsi il se rendit dans une taverne du port, prit une chambre et attendit les recrutements d’équipages. Des hommes, des drows, des elfes, des bâtards, tout était présent dans ce port. Les joies des territoires neutres en soit, mais plus visible dans une ville portuaire. Les jours passèrent avant qu’un équipage de pêcheur lance un recrutement au sein de la taverne, sautant sur l’occasion Zak se proposa. Cependant il avait oublié que les marins étaient pour la plupart humains, et que les drows sans être craint à l’extrême était mal vue, ainsi le capitaine du navire lui rit au nez, l’insultant de bâtard et que jamais il ne prendrait même un demi-drow en mer, cela lui porterait malheur. Mais le pauvre bougre ne s’arrêta pas là et lança une bouteille d’alcool vide au visage du demi-drow qui ne s’y attendant pas, se la ramassa donc. La bouteille l’éclata et des entailles apparurent sur son visage. De longues et épaissent veines rouges vinrent colorer les yeux or de Zak qui ne se retint pas, dégainant sa lame et il trancha d’un seul geste la tête de l’homme, tournant sa lame rougit par le sang vers l’équipage prêt à découper le premier qui riposterait. Des applaudissements se firent entendre dans la taverne devenu silencieuse. Un homme, à peine la vingtaine était en train d’applaudir, une bande de loubard dérrière lui ricannant. Le jeune homme était à peine plus petit que Zak, mais bien mieux bâti, un réel mastodonte, le genre dont on l’imagine facilement vous broyez la gorge d’une main et sans effort. Il se leva et se présenta, Heram, capitaine d’un tout jeune équipage de pirate, les Loups Blancs, et ils recherchaient des personnes fortes, et le demi-drow semblait correspondre. Zak accepta avec méfiance, ne savant pas à quoi s’attendre, mais il voulait quitter Thaar et les territoires neutres.
Ainsi ils embarquérent sur leurs navire, nommé L’Alpha des mers. Et les années qui suivirent, Zak n’aurait pas pu en rêver même dans ses rêves les plus optimistes. Les Loups se fichaient totalement, la seule chose qui leur importait était ce que donnait Zak pendant les abordages,et ils ne furent pas dessus . Les années passèrent, la fortune s’amassait et s’amenuisait à chaque arrêt dans un port, Zak finit par se lié d’amitié avec Heram et tout l’équipage devenant un loup à part entière. Il fût décidé que comme tous les membres de l’équipage à chaque fait d’arme qu’accomplirait Zak, il se ferait tataoué un symbole tribal sur le côté gauche de son corps. Le résultat est qu’aujourd’hui toute la moitiée gauche de son corps est tatouée. En effet Zak était heureux d’être accepté par l’équipage et d’avoir un réel ami, et jamais de toute sa vie il ne s’était autant donné dans ce qu’il faisait, à part quand sa vie en dépendait, mais même la simple attaque d’un humble bâteau pêcheur, Zak donnait tout ce qu’il avait pour ne pas décevoir les Loups, dont il faisait partit intégrante.
Trente années s’écoulèrent a bord du navire, trente où Zak eût enfin une famille, certes des tueurs et des pillards et autres saoulard, mais une famille, multipliant les exploits pour eux, parmit eux il avait pillé un galion de guerre à lui seul alors que ses camarades dormait et que seul lui et la vigie était éveiller, ou encore il les avait sauver de l’attaque de trois autres vaisseau pirate jalousant leurs prises en passant par des récifs dangereux, le bâteau et l’équipage s’en sortant indemne pendant que leurs ennemis coulaient, la coque éventrée par les récifs. Mais nous énumerons pas tous ses exploits, cela serait trop longs et un peu répétitif. Non, ce qui nous intéresse est le dernier évenements marquant de sa vie, c’étant passé après trente années de piraterie, Heram était un vieux loup de mer aguerrit et craint désormait de par les mers. Zak était toujours à ses côtés un éternel sourire satisfait aux lèvres ne pouvant plus le quitter, maintenant qu’il avait une place en ce monde. Cependant le passé finit toujours par nous rattraper. En effet trente ans plus tôt il avait tué Tarak, le contrebandier, cependant ce qu’il ignorait était que Tarak venait d’une famille fortuné et influente, et quand le lien entre sa disparition et la mort de Tarak fut établie un détachement d’assassins et mercenaires drows furent envoyer pour le trouver et le ramener à Sol’drom afin que la famille de Tarak puisse prendre eux-même leurs vengeance.
Ainsi un navire les aborda, cinqs Drow à leurs têtes, le reste était des mercenaires humains là pour les informer et manœuvrer le bateau car la plupart des Drows ne sont pas bon navigateur. Ils attaquérent donc, et la bataille fit rage, les mercenaires était une piètre piétaille, cependant les Drows étaient bien plus entraîner et faisait un ravage dans les rangs des Loups. Très vite les deux camps se trouvèrent clairsemé, et leurs diirgeant visible, les cinqs Drow et quelques autres mercenaires, avec en face Heram et Zak, avec une poignée de loup, la bataille s’engagea de nouveau, les lames dansérent et se rencontrérent dans un fracas assourdissant. La lame du demi-drow décrivit un arc de cercle qui trancha les mains d’un des assassins Drow puis sa tête, et dans un bond furieux du sang-mêlé, un autre fut coupé en deux en partant de la tête. Un autre mourut sous le sabre d’Heram et encore un sous une flèche de la vigie, sauvant Zak d’une attaque fourbe. Cependant Heram succomba sous la lame du dernier Drow. Il ne restait qu’eux deux et la vigie, qui se fit abattre par le Drow qui ramassa un arc et le canarda.
Le demi-Drow sentit la colère l’envahirent tandis que le Drow le narguait. Il venait de voir les seules personnes qui ne l’avaient jamais accepté tel qu’il était mourir sous les lames de tueurs venus de son passé. Ses yeux se veinèrent de rouge et il fonçât droit sur son ennemi. Le Drow se jeta sur ses genoux pour éviter un coup de sabre, glissant jusqu’à son ennemi, sa lame frappant vers ses pieds, le Drow bondit esquivant l’attaque. Zak attrapa une de ses chevilles et l’envoyant manger les plances du pont, lui se redressant et frappant le drow a terre qui roula sur le côté et redressa en une cabriole, prêt à reprendre le combat. Leurs lames se croisèrent en parade et en démonstration de force. Cela dura encore quelques minutes, avant que le droit ne tente un piqué sur Zak, plongeant lame en avant, Zak frappa de toutes ses forces dans la lame de son adversaire, envoyant leurs deux armes valsée un peu plus loinset il sauta sur l’ennemi le tuant en le ruant de coup.
Après cette malheureuse bataille où Zak se retrouva à nouveau seul, il reprit son arme et rentra au port le plus proche,celui d’Etherna.
Cétait il y a dix ans, cela fait donc dix ans que Zak erre de ville en ville sur le territoire des humains, prennant ce qui lui passe sous la main pour se faire de l’or, volant parfois, le demi-drow est à la recherche de quoi faire de sa vie désormais.
Kiran
Nain
Nombre de messages : 730 Âge : 31 Date d'inscription : 19/08/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 151 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Comme annoncé, voilà une première étape de correction de ta fiche.
Pour commencer, et même si ce n'est qu'un détail, la section équipement est sensé être un peu plus qu'une simple liste ordonnée. Étoffer la description de manière à atteindre les 4 lignes réglementaires serait un bon premier pas
Les yeux ne se veinent pas de rouge quand ton personnage est en colère. Désolé mais cela est refusé systématiquement.
Citation :
au final pour un humain il sera d’une beauté assez brute, cependant il n’en ai guère conscient.
Je me dois de rectifier : son ascendant drow étant clairement visible, pour un humain il sera avant tout un monstre et une aberration. Seuls ceux qui parviendront à dépasser leurs préjugés sur les drows (et ceux-là sont rares, surtout en Péninsule) pourront commencer à voir en lui une certaine forme de beauté.
Concernant l'histoire. Première remarque : le viol est une chose courante lors des raids, et totalement acceptée chez les drows. Un bâtard peut éventuellement constituer un semblant de déshonneur pour les familles les plus "aristocratiques" (chez les Prima Sanguis par exemple) mais l'acte de viol en lui-même ne l'est pas (même si certains peuvent, de manière personnelle, trouver cela répugnant de s'accoupler avec une humaine). Pour éviter le risque de progéniture, on tue généralement la femme après coup. Si Za'toas laisse Lydia en vie, cela signifierait qu'il ne s'en inquiète pas outre mesure... (et d'ailleurs ce genre de dégoût pour les humains est bien moins présent chez les drows doeben, à savoir ceux qui vivent en Ithri'vaan comme c'est le cas de la famille Shâar)
A ce propos, peut-être plus de précisions concernant Lydia ? Qui était-elle ? Vivait-elle parmi cette caravane de manière permanente ou ne faisait-elle que profiter du voyage ?
Je ne sais pas si tu l'as bien compris, mais veldruk est un titre militaire (équivalent à "lieutenant" ou "capitaine") et pas un prénom.
Attention concernant l'activité de "contrebande". Ce genre de pillage des terres humaines est courant (ou en tout cas l'était à l'époque) et n'a rien de prohibé à Sol'Dorn. De plus les profits ne sont pas si faramineux que tu le laisses entendre, car si en effet les marchandises sont "gratuites" il faut tout de même payer les mercenaires, la logistique, les informateurs qui permettent de repérer les caravanes, et bien entendu la taxe à la cité de Sol'Dorn pour pouvoir pratiquer le commerce à l'intérieur de ses murs.
Je met un peu le holà également sur les exploits solo du genre "pillage de ville" ou "pillage d'un navire". Tout seul, on ne porte pas grand-chose comme rapine et plus on en porte moins on s'enfuit facilement. Et puis, s'aventurer dans une ville humaine en tant que demi-drow...
A part ça, je vais te demander un petit effort de relecture pour corriger les fautes de frappes et d'orthographe qui, sans rendre le texte illisible, font quand même assez négligé.
A toi de jouer, moussaillon !
Zakath Shaâr
En attente de validation..
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