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 Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé]

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Oschide d'Anoszia
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MessageSujet: Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé]   Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé] I_icon_minitimeLun 26 Mai 2014 - 12:29


Début 6e ennéade, Favriüs, 11e Cycle

Comme prévu, l’armée pour la conquête de la Sgardie s’était scindée en trois. L’armée du comte d’Arétria marcherait sur Erbay et les troupes du Maréchal irait quant à eux sur Adelagny. Pour lui, c’était Nulhadon qui avait prévue. La petite cité ne possédait selon les renseignements que d’une poignée d’hommes et les murs de l’enceinte fortifiée avaient été gravement malmenés durant la guerre civile. Les fidèles de l’ancien roi d’Oesgard y stationnait encore et revendiquait toujours leur suzerain, mais pas de doute qu’avec une armée forte de mille hommes, leurs intentions seraient revues à la baisse. Nulhadon était la plus excentrée des trois cités se trouvant dans le sud de la Sgardie et il ne lui fallut que quelques jours de chevauchées avant de l’atteindre. Le voyage c’était tout d’abord fait en compagnie du reste de l’armée puis il avait poursuivi seul en tête de ses troupes, de son armée.

Le chemin c’était fait dans un silence relatif. Les hommes avaient cessés de parler et les officiers abordaient les différents plans pour un éventuel siège. Mais le siège n’était pas sa priorité. S’il pouvait négocier avec cette cité presque en ruine, il le ferait. Ainsi, il éviterait de perdre des hommes inutilement et il pourrait se vanter d’avoir été le plus rapide des trois.

Mais la donne changea lorsqu’il arriva tout prêt de la cité. Effectivement, on apercevait plusieurs brèches colmatées à la va-vite sur les remparts. Mais tout avait été fait en sorte pour que leur tâche soit la plus ardue possible. Il ne faisait aucun doute que les quelques poignées d’hommes attendaient sagement sur les créneaux. Des pieux avaient été posés en bas des murs et un calme suspicieux planait étrangement. Tandis qu’il touchait le petit ruban bleu de sa tendre Castielle, il donna ses ordres et ses hommes établirent aussitôt un petit campement provisoire pour préparer le siège. Il regarda les choses se faire de loin, ses officiers attendaient à ses côtés sur leurs montures. Son cousin lui adressa un petit sourire et ils se mirent en marche vers la grande porte de Nulhadon.

Ils étaient cinq cavaliers à s’avancer en montrant qu’ils venaient pour parlementer. Si les défenseurs décidaient des les assaillir de flèches, aucun doute que la petite armée perdrait ses principaux commandants et n’aurait d’autre choix que de repartir la queue entre les jambes. Mais son culot et son impétuosité l’empêcha de rester sans attendre et c’est ainsi qu’ils arrivèrent à la porte. Plusieurs têtes apparaissaient ici et là en haut des créneaux, l’air complétement incrédule tandis que lui était totalement impassible et arborait un petit rictus narquois. La grande porte s’ouvrit et trois hommes semblant être des officiers s’approchèrent d’eux à pied. Préférant parler d’égal à égal, Oschide descendit de sa monture et s’avança d’un pas assuré vers celui qui avait le plus l’aspect d’un lieutenant ou de quelque chose du genre. L’air grassouillet et amoindri par l’alcool, l’homme d’un certain âge ouvrit les hostilités.

-Rebroussez chemin, vous ne trouverez rien ici ! Partez pendant qu’il en est encore temps !

Oschide s’empêcha de rire à gorge déployée et ne fit que rendre un petit sourire à l’homme.

-Malheureusement, je crois que cela ne va pas être possible. Voyez-vous, vous avez quelque chose qui m’intéresse et je souhaite m’entretenir avec vous avant que des choses tragiques vous arrivent.

-Ce n’est pas en menaçant que vous obtiendrez ce que vous voulez, répondit le lieutenant avec un zeste d’assurance risible, je n’ai qu’à lever un petit doigt pour qu’une centaine de flèches vous transpercent !

-Et bien, je m’engage à ne plus vous menacer si vous vous engagé à faire de même, cela vous fera économiser une centaine de flèches.

Le lieutenant ne répondit pas, semblant attendre la suite.

-Votre ville est en ruine, vos murs s’effondrent, deux jours seront suffisant pour la prendre et la mettre à sac. Alors écoutez mes propositions ou la mort s’abattra sur votre cité et je ne pourrais pas retenir mes hommes.

-Crachez votre venin alors, qu’on en finisse !

-Fort bien, dit-il d’un ton toujours aussi assuré et sec, Une armée de dix milles hommes nous précède, nous ne sommes que les premiers. L’armée royale ainsi qu’une force odélianne arrive et autant vous dire que tous les hommes contre l’unique Roy Bohémond 1er seront exécutés ou brûlés ou torturés…Mais ce n’est pas ce que je souhaite pour vous.

Il avait menti sans vergogne sur l’armée qui les précédait, mais de toute façon, cet homme ivrogne qui semblait commander ne paraissait nullement au courant. Il en eut d’ailleurs la certitude lorsque celui-ci se pinça les lèvres en entendant ses paroles. Comme quoi, il y avait toujours du bon à placer un rapide mensonge perdu dans la vérité.

-Voilà ce que je vous propose, il fixa l’homme en essayant d’avoir l’air le plus sincère possible, remettez-moi les clés de la ville et aucun mal ne lui sera fait. Aucun pillage à déplorer et aucun viol. En contrepartie, vous vous engagerez à prêter serment au futur comte d’Oesgard et vous m’enverrez cent de vos hommes en guise de bonne foi, qui se battront pour lui.

C’était pour ne pas dire « otage », mais c’était tout comme. En plus, si des hommes de sgardie commencaient à se joindre au futur comte, son image et sa légitimité n’en seraient que plus renforcée. Sans attendre une réponse du lieutenant, Oschide poursuivit donc :

-Je vous laisse quelques jours pour prendre votre décision. Si aucun message ne m’est parvenu d’ici-là, nous prendrons Nulhadon par la force !

-Quelques jours ? vous pouvez nous laisser une éternité, cela ne changera rien. Reprenez vos propositions pour vous. Ne me prenez pas pour âne, j'en ai beaucoup plus dans la tête que vous imaginez et je ne ploierais pas le genou si facilement. répondit le lieutenant qui paraissait tout de suite beaucoup plus intelligent et moins conciliant.

Les mots étaient sec, sans aucune émotion. Le capitaine passait ainsi pour un homme dépourvu de toute compassion concernant la population qui vivait à l’intérieur des murs. On lui avait ordonné de prendre la cité de gré ou de force, il s’y emploierait vaille que vaille. Le lieutenant acquiesça et disparut derrière les portes. Aucun doute qu’il se concerterait avec les notables de la ville pour savoir s’ils laisseraient la cité entre ses mains.

Sans attendre, Oschide reprit sa monture et partit rejoindre le petit campement qui commençait à prendre forme. Les hommes s’afféraient déjà à la construction d’échelles de siège et les ingénieurs donnaient leurs ordres pour la fabrication de quelques catapultes. La chevauchée l’avait harassé quelque peu, pour cette raison, il prit la direction de sa tente qui avait été montée. Il retrouva ainsi la quiétude et le confort spartiate de sa tente et entreprit de se reposer quelque peu.

Plusieurs jours passèrent sans aucune nouvelle, mais alors aucune nouvelle. Les négociations devaient aller bons trains dans la cité, encore et toujours. Mais pendant ce temps là, les échelles et les catapultes furent construits un à un pour se faire menaçant. Mais l'ennemi qui ne s'était pas rendu était très intelligent puisque la brèche du mur avait encore été renforcée. Mais il n'y avait toujours aucune réponse, alors il ordonna  aux catapultes de jeter leurs cailloux qui s'abatirrent très violement sur les murs et creusèrent un peu plus les défense. Et pourtant, la ville ne se rendait toujours pas et au bout d'une ennéade, Oschide commença à trouver le temps long, trop long. Comprenant que la ville ne se rendrait définitivement pas, le capitaine décida de mener plusieurs assauts avec toujours plus de violence, mais il vit des dizaines de ses hommes tomber. Il n'y avait qu'une chose à dire, les sgardiens se défendaient bien et ne laissaient rien. Seulement, leurs forces à eux aussi diminuait avec le temps tandis que ses hommes à lui étaient toujours en supériorité. Les catapultes réussirent alors à creuser une brèche à force de pillonner. Et la cité, se voyant sans plus aucuns moyen de se défendre finit par céder et transmis un message par l'intermédiaire d'un de ses hommes.

C’était un officier qu’Oschide avait envoyé dans la cité pour pouvoir lui transmettre la réponse de Nulhadon. Tout sourire, l’homme fit un résumé de la décision.

-Capitaine, Nulhadon vous cède ses clés ! il reprit son souffle, [color=#99cc00]

-Dans ce cas, dites aux hommes qu’au petit matin, nous rentrerons dans la cité pour nous en assurer et envoyez des missives pour en informer le comte et le maréchal !

L’officier hocha la tête en guise d’accord et partit aussitôt prévenir le reste des hommes. Oschide savoura alors sa victoire en se servant une coupe de vin et en faisant appeler son cousin pour trinquer en l’honneur de leur famille. Seul dans sa tente, Oschide arborait un petit sourire de joie lorsqu’il entendit quelqu’un rentrer…



Dernière édition par Oschide d'Anoszia le Mar 27 Mai 2014 - 22:35, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé]   Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé] I_icon_minitimeLun 26 Mai 2014 - 13:29



Rp fait avec Asgeir


Asgeir avait marché durant plusieurs jours dans la colonne d’hommes en armes. Bien sûr, ils n’étaient que de la piétaille et ne pouvaient pas avoir de montures contrairement à tous ces fils de nobles qui faisaient des allers-venus comme pour les narguer. Mais tôt ou tard, les choses se paieraient et il était là pour ça. Infiltré depuis plus d’une ennéade dans la compagnie royale, Asgeir avait appris à connaître ses partenaires et il pouvait d’ores et déjà raconter avec exactitude la vie de chacun comme s’il avait vraiment était l’un des leurs. La plupart était issue des bas-fonds de la cité royale, il ne lui avait rien fait. Avec un peu de temps et de patience, Asgeir aurait pu en faire des adeptes du Karamstra sans problème, mais il n’était pas là pour ça.

Alors qu’il marchait dans les montagnes qu’il connaissait tant, il vit que l’armée s’était divisée en trois. Leurs officiers ne leur donnèrent aucune consigne et ils ne firent qu’obéir. Sa cible, Asgeir l’avait étudiée depuis quelque temps. Il savait qui frapper, mais comment ? il préférait attendre le bon moment pour pouvoir passer à l’action. L’armée se scinda donc et ils ne se retrouvèrent qu’à un millier tout au plus. Des hommes aux couleurs d’une cité du sud marchaient à leurs côtés, tandis que des alonnais avaient également rejoint la troupe. Dans ces alonnais, il savait qu’il pourrait compter sur quelques-uns le moment venu même s’il avait préféré garder ses distances jusque-là.

Lorsque la troupe arriva devant une cité partiellement fortifiée voire presque en ruine à certains endroits, Asgeir reconnut Nulhadon. Il connaissait cette cité et ces environs et il n’aurait aucun mal à s’y abriter le moment venu. On leur ordonna alors de monter le campement en attendant de faire le siège. Les hommes à ses côtés montraient des signes d’impatience pour les uns tandis que d’autres semblaient malades. Le voyage avait été éprouvant et bons nombres des hommes avaient montrés des signes de faiblesse. La marche forcée les avait durement touchés et certains montraient des signes de fatigues évidents. Ces nobles ne pensaient qu’à eux, en plus de se battre pour un faux Roy et pour des faux dieux, ils tuaient leurs hommes sans pitié. Quelle tristesse, pensa-t-il sur le moment avant de sentir la haine monter en lui.

Mais ces nobles étaient partis négocier apparemment, et eux ne furent au courant de rien. De toute façon, Asgeir s’en foutait éperdument de savoir si la ville se rendrait ou non. Lui, tout ce qu’il voulait, était à portée de main et il n’avait plus qu’à se servir. Ses armes étaient prêtes et sa foi lui permettrait de mener à bien sa propre justice et sa propre vengeance. Frapper là où ça faisait mal, tel était son plan pour montrer la puissance du Karamstra même s’il prendrait soin de ne pas divulguer son culte le moment venu.

Et ce moment était arrivé. Le soleil se couchait et il prit la direction d’une tente en particulier. Elle était l’une des plus grandes du campement. Aucuns gardes ne la surveillait car tout le monde étaient bien trop occupés à préparer le futur siège. Asgeir analysa son plan de retraite une fois qu’il aurait accompli sa mission. Avant de rentrer, il eut une pensée en mémoire des héros qui avaient perdus leurs vies pour leur culte, son culte. Un sourire au coin des lèvres, Asgeir rentra brusquement dans la tente et trouva l’homme qu’il cherchait. Celui-ci avait enlevé quelques parties de son armure et ne l’avait toujours pas remarqué.

Il s’avança doucement dans son dos, les lames à la main, mais celui qui se faisait appeler le capitaine se retourna comme s’il attendait quelqu’un. A ce moment-là, Asgeir avait déjà préparé la pointe de son épée en direction du noble et lorsque celui-ci pivota, sa lame pénétra dans son épaule pendant qu’il avait pris soin de mettre sa main sur la bouche pour éviter qu’un cri de douleur retentisse. Il le regarda alors fixement dans les yeux et ajouta quelques mots avant qu’il ne le laisse se vider de son sang.

-Le Roy vous salue !

Un homme rentra aussitôt sous la tente, son sourire se changea en une vague grimace lorsqu’il l’aperçut entrain d’enfoncer sa lame dans l’épaule du capitaine. Et pour éviter que celui-ci ne sonne l’alerte, Asgeir lança sa dague avec force. Elle vint se planter directement dans le crâne du jeune homme ayant un air de famille avec sa première victime. Le corps s’étala sur le sol sans faire de bruit et Asgeir retourna aussitôt à l’homme qu’il tuait. Mais le capitaine tenta de se débattre en le bousculant. Asgeir n’eut pas d’autres choix que de sortir sa lame pour achever l’homme, mais son épée ne fit que râper le cou et le visage de sa victime, faisant ainsi jaillir un flot de sang sur le sol.

Trop de temps s’était écoulés depuis son entrée, des gardes finiraient par arriver s’il voulait finir de l’achever. En plus, le cri du capitaine n’avait pu que donner l’alerte, son temps était ainsi compté. Il laissa donc cet homme en train d’agoniser et de se vider de son sang. La mort le prendrait dans quelques temps si elle était clémente, sinon, une horrible agonie attendrait ce jeune capitaine. L’assassin prit alors la fuite en déchirant un bout de la tente arrière et fila droit vers les écuries improvisées pour dérober une monture.

Une fois qu’il fut assez loin du campement, il se retourna et entendit que le camp s’était brusquement animé. Il inspecta alors brièvement son corps pour voir s’il n’avait rien et découvrit un petit ruban bleu qui s’était coincé dans ses pièces d’armures. Ce devait être sa victime qui l’avait perdu lorsqu’il s’était débattu. Asgeir sentit alors le ruban et crut reconnaître l’odeur d’une femme.


Dernière édition par Jesbel de Velteroc le Lun 20 Aoû 2018 - 9:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé]   Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé] I_icon_minitimeLun 26 Mai 2014 - 13:57


Oschide gisait dans une flaque de sang. Etendu de ton son long sur terre, il ne parvenait plus à bouger et voyait le liquide rougeâtre s’échapper petit à petit. Seuls ses yeux étaient restés ouvert et il voyait le corps sans vie de son cousin Aursus en face de lui. Il voyait la fente sur le crâne et le sang qui s’échappait également. Aursus avait aussi les yeux ouverts, mais ils ne fixaient plus que le vide. A l’aide de ses jambes encore intactes, Oschide tenta de s’asseoir tant bien que mal. Son épaule avait été transpercée de part en part et la douleur manquait de le faire déchoir à tous moment.  

Des hommes en armes arrivèrent dans ce lieu d’horreur et prirent tous une mine stupéfaite en voyant leur capitaine se vider de son sang. Avant qu’il ne succombe à la douleur, Oschide essayait de se rappeler les mots de son assassin. Cet homme était un des siens, il était un homme de sa compagnie royale et il l’avait assassiné en passant les salutations du Roy. Tous étaient complétement flou dans son esprit. Il ne parvenait plus à réfléchir normalement, la douleur était devenue trop atroce.

Un de ses officiers vint se mettre à ses côtés pour inspecter ses blessures. Son air paniqué montrait bien le niveau d’effroi qu’il avait à le regarder. C’est alors qu’Oschide se souvint de la discussion qu’il avait eu avec le maréchal et des mots qu’il lui avait prononcés. Il avait clairement appuyé que la couronne se méfiait de son entreprise. Et si quelqu’un avait été mis au courant de cette discussion, pas de doute qu’il eut été une cible première, et le maréchal suivrait.

-Protégez le maréchal ! Tenta-t-il de dire malgré le sang qui encombrait sa bouche, protégez-le !

Ses yeux commençaient brusquement à se fermer même s’il tentait de les garder ouvert. La mort le prenait petit à petit et son agonie ne faisait que commencer. Tout ce qui se passa autour de lui fut alors complétement flou dans son esprit. Les paroles des hommes n’étaient que des échos sans aucun sens et sa vision se troublaient. C’était donc ça de mourir ! Pleins de souvenirs réapparurent alors dans sa mémoire comme des visions instantané et il revit les visages des gens qu’il avait aimé. Perdu dans ces hallucinations, Oschide revit alors ses amis et sa famille, leurs visages disparaissaient un à un devant lui, mais leurs sourires le rassurait. Mais dès qu’il voulait maintenir devant lui un des visages, un autre apparaissait. Il vit Angelina, son amie de toujours qu’il avait pensée morte depuis tant d’années déjà. Rhys apparut à son tour devant lui et tentait de le relever en lui tendant la main et enfin, Castielle, qui laissait apparaître des larmes en le voyant s’éloigner. Il sentit alors une larme couler sur sa joue et sombra aussitôt.
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MessageSujet: Re: Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé]   Nulhadon: des mots et des morts [Pv Terminé] I_icon_minitime

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