Chevalier Airy de Clairval

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Airy de Clairval
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Airy de Clairval


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MessageSujet: Chevalier Airy de Clairval   Chevalier Airy de Clairval I_icon_minitimeLun 7 Juil 2014 - 20:57

Nom :  de Présinon / de Clairval

Prénom : Adeline / Airy

Âge :  25 ans

Sexe :  Féminin (Masculin pour la plupart des gens)

Race : Humaine

Faction : Péninsule

Particularité : Travestie en Chevalier, cicatrice en travers de l'arrête du nez.


Alignement :  Loyal Bon

Métier : Chevalier, garde rapprochée.

Classe d'arme : Corps à corps (Une épée à une main et parfois un écu)


Possession :


Sa famille ne possède aucune terres réellement. Le père d'Adeline, William de Présinon, est un cousin de la matrone des De Clairssac. Sa famille vit donc parmi eux. En revanche, ils ont un joli manoir familial, qui a vu naître et grandir Grégoire et Adeline, et un étable. Aux alentours, des grandes plaines et des champs, où les enfants ont souvent joué ensemble, avec leurs cousins De Clairssac également.


Équipement : 

Habituellement, son armure ! Plaques en acier la recouvrant de la tête au pied, protégée par une cotte de maille près du corps pour offrir un confort correct, et des vêtements classiques se portant en dessous. Elle n'a pas grand chose d'exceptionnel, aucunes armoiries autres que celles de la famille De Clairssac, pour laquelle elle offre ses services.

Elle possède aussi un équipement léger, tel qu'un plastron de cuir et des bottes de cavalerie, servant pour tout ce qui est hors du travail, pour ses moments de pause ou lorsqu'elle quitte son poste (ce qui se fait rare). La version peu utilisée de cette tenue sert aussi aux défilés ou autres réunions avec des gens importants, tels que ceux la noblesse. Concernant son arme : une épée à une main qui appartenait à son père. Un peu émoussée, elle l'a fait reforgée quand elle a rejoint Jérôme. Une très bonne prise en main et un équilibrage parfait.

Dans des occasions encore plus rares, comme des dîners ou des réunions de famille, ses attributions peuvent l'amener à porter des vêtements féminins : des robes, des corsets, des bas, des talons... Sans oublier quelques artifices et fards qui la rendent bien entendu méconnaissable à son identité masculine, sans oublier de camoufler cette vilaine cicatrice sur sa joue qui ne sied guère à une jeune femme. Mais il est rare qu'elle apprécie cet accoutrement, voire elle le supporte difficilement.


Description physique : 

« Le Chevalier de Clairval ? Ma foi, oui, il est plutôt bel homme ! Du moins si vous aimez comme moi les jeunes garçons dans la fleur de l'âge... Quelle élégance, quel charisme ! Il est bien loin de certaines brutes qui forment ses rangs. Toujours rasé de près ; enfin, on dit qu'il est imberbe. De toute manière, on dit pas mal de choses sur lui. Beaucoup pensent qu'il n'a pas qu'un penchant pour les femmes... ! » 

Une noble de la baronnie d'Etherna


« Malgré tout mon amour pour elle, je n'ai jamais trouvé que ma fille était réellement une belle femme. Et je ne parle pas là de sa mine rêveuse qui m'agaçait au plus au point. Non, elle n'était pas si bien faite pour concevoir. Qui plus est, vu sa négligence quotidienne, rien n'aurait pu améliorer ce fait. »

Elena de Présinon, mère d'Adeline


Adeline est loin des standards de beauté de son époque : grande, avoisinant le mètre soixante-quinze, à la fois fine et carrée, elle n'aurait pas été des meilleures parties pour construire une famille. Une taille un peu trop droite, des épaules trop larges, un menton pointu, pas de courbes de rêve comme une chute de rein digne des nobles dames... Pourtant, l'humaine recèle tout de même un peu de féminité. Des lèvres joliment courbée et rose, dont la texture ressemble à celle d'un grand coussin dans lequel on aime se prélasser. Des grands yeux bleus, très expressifs, entourés de cil garnis et longs. Des hanches pas trop larges, et de longues et fines jambes, mais plutôt bien musclées : un de ses atouts pour les passes d'armes. Et, une poitrine qui, si elle n'est pas bien opulente, a le mérite d'exister, et d'être plutôt ronde ; par ailleurs, celle-ci se cache aisément sous quelques bandages bien serrés.

Toutefois, il semblerait que la véritable beauté d'Adeline se dévoile une fois l'armure et l'épée équipées. En effet, le Chevalier dégage une certaine aura, empreinte de militarisme, lorsqu'elle est ainsi habillée en homme. Bien évidemment, quelques petites retouches sont nécessaires à sa transformation : un peu de maquillage pour renforcer ses sourcils, un joli nœud dans la nuque qui retient ses cheveux blonds mi-longs. Mais le subterfuge sait se faire subtile, et c'est sans aucun mal qu'elle change de sexe. L'une des choses les plus difficiles pour elle à camoufler serait sans doute sa voix qui, si elle est assez grave pour une femme, reste trop haute pour un homme. Grâce à quelques cours de chant, elle est cependant arrivée à mieux la positionner, et à lui donner un côté un peu plus "réaliste". Ce qui n'empêche pas cependant les rumeurs de circuler, comme l'absence de mue.


Description mentale : 


Honneur, loyauté, devoir. Des mots d’ordre qui conviennent sans doute parfaitement à des hommes d’armes, et peut être beaucoup moins à une femme. Pourtant, c’est bien sur ces mottos qu’Adeline base sa philosophie de vie. Cultivée, fine stratège, si la demoiselle arrive à se faire passer pour un homme, c’est aussi parce qu’elle connaît très bien le milieu masculin, sans pour autant verser dans le pilier de bar et la brute ignare. Ayant été élevée dans les hautes sphères militaires, sa manière de se tenir, de parler et d’évoluer est tout à fait à cette image, avec une légère élégance qui est sans doute particulière à son statut de femme.

Cependant, il y a bien une seule chose à laquelle le Chevalier tient plus que tout au monde, c’est sa liberté. Si cela peut paraître contradictoire avec son sens du devoir, nous parlons ici de liberté de choix. Elle ne serait fidèle et loyale que si elle l’a choisi de son plein gré, sauf quand l'ordre vient de plus haut. On peut également qualifier la descendante de Présinon de garçon manqué ; ou tout du moins, elle ne porte aucun intérêt aux commérages, vêtements, mise en beauté, et bien d’autres domaines qui sont considérés comme appartenant à part entière au sexe faible. Mais ne vous avisez pas de rabaisser une femme devant elle, vous risquez sans doute de vous faire fortement réprimander. Et une demande de duel n’est jamais loin lorsqu’il s’agit de défendre la veuve et l’orphelin.

La réputation d'Airy auprès des femmes est celle d’un beau gentilhomme, tout à fait charmant, voir même séduisant. Il n’est en effet par rare de voir le Chevalier au bras d’une belle jeune femme, et de la courtiser avec la plus grande galanterie du monde ; Adeline est complètement hétérosexuelle, mais aime jouer de ses charmes (et jouer de bien d’autres manières différentes, il semblerait en effet que certaines de ses payes se soient un peu dispersées dans les jeux d’argents et dans la boisson…), en plus de confirmer ainsi sa position d’homme. Elle espère bien cependant échapper au mariage qui, si elle en comprend les tenants et aboutissants, lui donnerait sans doute l’impression d’étouffer ; elle se complaît à avoir divers partenaires plus ou moins ponctuellement quand elle ''redevient'' femme, et n’envisage aucune relation à long terme, qu’elle soit d’ordre amoureuse ou par pur intérêt.


Histoire : 


Acte I, Scène I.


Elena de Clairval se balançait doucement sur une vieille chaise à bascule, qui grinçait à chacun de ses mouvements. La lettre de sa soeur à la main, elle regardait les flocons tomber silencieusement sur le gazon déjà recouvert de fines perles de neige. " Quelle idée de se marier à un Nordiste ! " relisait-elle sur le papier jauni. Il était vrai que pour une jeune femme de la campagne du sud de la Péninsule, le climat et les paysages étaient tout autres ici. Mais c'était peut être aussi un peu pour cela qu'elle s'était décidée à accepter William de Présinon pour époux. Il était venu dans sa petite campagne, là où les lavandes dégagent leurs effluves dès que le soleil commence à poindre derrière les nuages. Il fût autant séduit par le décor que par les femmes. Et la jeune femme, qui s'ennuyait dans ces champs où il ne se passaient rien, où elle avait été promise au fils du propriétaire d'à côté, avait vu une réelle opportunité quand cet homme de petite noblesse était tombé éperdument amoureux d'elle. Voilà qu'elle allait pouvoir goûter au plaisir d'être près d'une grande ville, et de profiter de l'agitation d'Etherna ; mieux encore, elle pourrait faire partie d'une noble famille, et pouvoir aller parader. En tant que maison affilié aux De Clairssac de par des liens de cousinage, renforcés également avec divers accords et mariages, les Présinon étaient très présents sur la scène. Elle pourrait occuper une place toute particulière dans ce nouvel environnement. De quoi faire rêver une jeune campagnarde. Et sa famille était fière de la voir s'unir aux Présinon. Elle, elle s'était vite accommodée au froid et à l'humidité. C'était un sacrifice nécessaire, et elle se consolait fort bien avec ses nouvelles toilettes, maquillage et autres coiffes qu'elle commandait régulièrement à un marchand de nouveautés.


Acte I, Scène II.

On toqua doucement à la porte, et un petit garçon, dont le visage avait encore les rondeurs de l'enfance, s’avança prudemment. Il avait la blondeur des cheveux de son père, et déjà dans son regard une curiosité et une intelligence brillait. Un signe qu'il était bien le nouveau fils Présinon. Il s'approcha prudemment, regardant le ventre rebondie de sa mère comme on regarde un trésor. Peut être aurait-il un petit frère, quelqu'un qui pourrait s'amuser avec lui. Ce fût tout comme.

Acte II, Scène I.


L'acier tintait, et s'entrechoquait dans la cour du petit manoir de plaisance des Présinon. La terre remuée avait formé un petit nuage de poussière, qui ne semblait pourtant pas déranger le moins du monde les deux adversaires. Un pas chassé, un brisé paré en quinte, puis une contre attaque en couronnée. Le plus jeune déstabilise l'autre, qui, par malchance, heurte de la botte un cailloux qu'il n'avait pas vu, et se retrouve au sol. L'épée du vainqueur le pointe encore, alors qu'il finit par éclater de rire. 

« Eh bien grand frère, tu commences à te rouiller ! »

Grégoire, malgré son ego masculin évident, ne pouvait guère en vouloir à sa petite soeur. Entre eux, tout était perpétuellement une compétition. A celui qui courrait le plus vite, qui était le plus endurant, qui maniait le mieux l'épée. Une petite guerre qui pourtant, se jouait toujours fairplay, et qui ne les empêchait aucunement de s'aimer, et parfois même de s'allier pour faire les quatre cents coups ensemble.

« Je suis un peu trop endormi, vois-tu... » dit-il en se relevant et en époussetant sa large chemise blanche.

Adeline gonfla les joues. Du haut de ses 9 ans, elle n'aimait guère que son frère n'avoue pas une défaite. Jeune, et pourtant pleine d'ambition. Elle leva les yeux vers le cadran solaire qui était installé plus loin sur le mur de la maisonnée. Bientôt 15h, l'heure de son cours de diplomatie et de politique. Une éducation d'homme, donnée avec grand soin par William lui même, qui avait vu dès les premiers jours le fort caractère de sa fille, et qui la souhaitait intelligente, cultivée et prête à se battre. Une vision révolutionnaire de la femme qui ne plaisait pas beaucoup à son épouse.

« Tu vas être en retard... » souffla Grégoire.

« Jamais ! » répondit-elle du tac au tac, alors qu'elle se mettait à courir sur les escaliers de pierre.



Acte II, Scène II.


L'été s'achevait, et la lumière d'automne commençait à jaunir doucement les feuilles. Le regard dans le vide, Adeline semblait éteinte. Sa respiration, si elle était assez régulière, était visiblement entravée par un corset bien trop serré pour elle. La longue robe bleu qu'on lui avait enfilée ce matin aurait pu être beaucoup plus flatteuse si elle avait sourit. Pour l'instant, elle ne donnait l'impression que d'être dans une cage.


« Bon sang, tu es encore à la fenêtre ? Allez ressaisis-toi ! Et arrête de rêver. »

Le regard de la jeune femme glissa brièvement sur sa mère, qui semblait une nouvelle fois obstinée à lui faire quelques activités de danse, ou autre broderie qu'elle détestait tant. Depuis la mort de son père, Elena avait décidé de reprendre l'éducation de sa fille en main. Plus d'épée, de combat ou de chevauchée. Plus de militarisme. Adeline se devait d'être une véritable femme, un bon partie qui saurait briller sans éblouir, être présente comme s'effacer. Devenir digne d'un bon mari.

La blonde descendit doucement du rebord en pierre et se présenta à sa mère dans une jolie courbette. Il fallait qu'elle se prête au jeu, et qu'elle prouve sa bonne foi. Et pourtant, ce soir, elle ouvrirait à nouveau le coffre qu'elle avait soigneusement caché dans un pan de mur. Elle sortirait son équipement, dont sa belle épée, et irait arpenter les rues du village près de la demeure. Elle redeviendrait Airy.

Acte III, Scène I.


Airy ferma doucement la porte de la salle de réunion. Soufflant un bon coup, elle peinait toujours à croire les quelques minutes qui s'étaient écoulées quelques instants auparavant. Quand on lui avait remis une lettre, lors d'un petit détour près de la frontière des Lantes, elle avait sincèrement hésité à se rendre chez les De Clairssac pour une entrevue avec son cousin, comme l'indiquait le papier, qu'elle n'avait plus vu depuis qu'il avait commencé son écuyage à Odélian. Si elle avait tout d'abord cru à une plaisanterie, le cachet et le messager qui portait les armoiries des De Clairssac ne lui avait guère laisser le choix de croire en une invitation officielle.

Ils avaient donc réussit à mettre la main sur elle. Après 6 ans de fugue en compagnie de Sigmund d'Aspremont, un ancien Chevalier proche de sa famille qui l'avait pris sous son aile comme son  parrain, des hommes de main avaient fini par retrouver Adeline. Ils avaient été commandités par sa mère premièrement, puis par Jérôme. Adeline pensait qu'Elena devait toujours beaucoup en vouloir à sa fille, qui était partie la veille de son 16ème anniversaire. Prenant les chemins de traverse, se terrant dans des auberges modestes, vivant de mercenariat pendant une année avant de rejoindre l'armée en tant que Cavalier sous une fausse identité. La jeune femme avait mené une vie fort agréable qui, si elle était mouvementée, était des plus plaisantes selon elle : souvent envoyée pour escorter les convois, que ce soit de marchandises ou d'Hommes, elle avait fait bonne impression, avec un sens du devoir infaillible, et une efficacité certaine au combat. Puis, elle s'était retirée pour flâner à nouveau, vivre d'aventure, parcourir la campagne fièrement pour apporter son aide à la population en détresse. Car la guerre à proprement parler ne l'intéressait pas. Un champ de bataille sanglant n'était pas ce qu'elle désirait comme avenir. Enfin, quoiqu'il en soit, tout ceci ne fit qu'améliorer la réputation d'Airy de Clairval.

Mais voilà qu'un simple bout de papier avait remis tout cela en jeu. Sa mère était tombée malade. Elle voulait sa fille à son chevet. Elle avait demandé à son cousin de la faire quérir, sachant qu'elle ne refuserait jamais une invitation de Jérôme, surtout après tant d'années sans s'être vus. Si le cachet de sa famille avait été inscrit, Adeline n'aurait même pas pris la peine de lire la missive, comme pour les précédentes envoyées.

Les quelques jours de cheval qui l'avait séparé de la ville d'Etherna furent très long. Elle ne cessait de penser à sa mère dans cet état. Elle s'en voulait quelque part, pensant que si elle était restée à demeure, Elena n'en serait peut-être pas là.


Acte III, Scène II


« Je souhaite que tu restes à mes côtés ». La proposition était tombée comme un cheveu sur la soupe, une demande à laquelle elle ne se serait jamais attendue. Comment refuser une pareille offre ? Elle avait toujours admirer et aimer son cousin, en plus d'avoir toujours voulu prendre la carrière des armes, comme tous les hommes de sa famille. C'était une opportunité comme il en existait peu dans une vie. Adeline était restée quelques secondes muette, réfléchissant, pesant le pour et le contre de la situation. Puis, simplement, elle décida de s'agenouiller face à Jérôme. Il connaissait tout le potentiel et la maîtrise d'arme dont elle faisait preuve, il se dit qu'il ne serait pas si mal de l'avoir parmi ses conseillers, ses amis, ses bienfaiteurs. Elena étant mourante, qu'allait faire Adeline sans famille ? Grégoire s'était déjà rangé auprès des De Clairssac, c'était son tour à présent. Jérôme pensait sûrement au bien-être de sa cousine qui allait se retrouver orpheline.

Sa mère lui souhaita tout le bonheur possible dans sa nouvelle vie : elle comprit que tardivement que c'était ainsi qu'Adeline était heureuse. Alors, elle lui donna sa bénédiction avant d'outre passer. Ce n'était pas sans pleurs que la jeune de Présinon fit ses adieux à sa mère.


Acte IV, Scène I.


Soupirante, elle savait qu'aujourd'hui était pour elle un jour nouveau. L'adoubement eut lieu peu après la disparition de sa mère. Ainsi, en tant que Chevalier, tout en faisant partie de la garde rapprochée de Jérôme, elle garderait son identité masculine. Elle garderait ce nom d'emprunt qu'elle utilisa pendant ces années : Airy de Clairval.

Adeline était désormais Airy. Voilà qui ne changerait sans doute jamais. Vivre en homme, sans se cacher. Voilà qui lui plaisait grandement ; même s'il faudrait, pour que tout se passe au mieux, redoubler d'attention et d'efforts. Un sacrifice bien petit pour une vie aussi idyllique auprès de Jérôme – seule personne, hormis son frère, à savoir la vérité quant à son identité – et qui se déroule depuis un peu plus de 3 ans désormais.


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MessageSujet: Re: Chevalier Airy de Clairval   Chevalier Airy de Clairval I_icon_minitimeLun 14 Juil 2014 - 8:48

Ca me semble correct :D

Validé, bienvenue pour la deuxième fois (ou plus ?)

Chevalier Airy de Clairval Tampon13

Je pense que tu connais le chemin mais :

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {facultatif}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Et pour nous :

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[Métier & Classe] : Chevalier

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[Classe d'arme] : Corps à corps & Défensif

[Alignement] : Loyal bon
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MessageSujet: Re: Chevalier Airy de Clairval   Chevalier Airy de Clairval I_icon_minitimeLun 14 Juil 2014 - 9:22

Oh Merci May :D I love you

Et seulement pour la deuxième fois Wink
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MessageSujet: Re: Chevalier Airy de Clairval   Chevalier Airy de Clairval I_icon_minitime

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