Duncan du Lys - Conseiller de Jérôme de Clairssac

Nom/Prénom : Duncan du Lys
Âge/Date de naissance : 31 ans ( Naissance le 7 Verimios de l'an 976 du 10ème cycle )
Sexe : Mâle
Race : Humain
Faction : Péninsule
Particularité :

Alignement : Chaotique Bon
Métier : Conseiller politique de Jérôme de Clairssac, diplomate & émissaire personnel, Seigneur et Chevalier du Lys.
Classe d'arme : Corps à corps & Défensif.

Équipement :

Les biens de Duncan peuvent être répertoriés dans plusieurs catégories, bien que certaines prédominent. En tant que chevalier, l'héritier du Lys dispose d'une armure solide de plates au teint légèrement pourpre à dominance havane. Les épaulières, imposantes, sont parcourues et reliées entre elles par des fils d'or. Serties d'un rubis par pièce, elles soutiennent une cape carmin tombant jusqu'aux genoux. La ceinture ainsi que les boutons, bien qu'en ayant la couleur capable de tromper un œil non expert, ne sont pas faits d'or. Le fourreau ainsi que la garde de sa lame font écho non seulement aux couleurs de l'armure, mais également à sa grâce. Cette épée, Duncan sait certes la manier : néanmoins, bon bretteur, il n'excelle pas non plus dans cet art. Repousser l'adversaire et parer est l'unique chose qu'il sait faire, tuer n'étant pas dans ses habilités. Des fines bottes de cuir, remplaçables par des cuissots et des bottes de plates, viennent compléter cet ensemble. Armure d’apparat, conçue pour l'esthétique et non la pratique, cette dernière trouve néanmoins de quoi la remplacer en temps de guerre : bien que les spalières demeurent, le plastron est troqué par une cuirasse en plate orné de léger fil d'or, sur lequel trône une bavière articulée.

Mais si Duncan dispose d'armures, de beauté ou d'hostilités, il ne lui sied guère de les porter. En effet, Duncan dispose de tenues digne du rang des personnalités qu'il souhaite côtoyer : à ce titre, bien que son « armure » pourpre soit son premier choix, il peut aisément adapter son accoutrement aux situations. Ainsi, des chemises, céladon, azur mais aussi safran, ornent sa garde-robe. Il est vrai que Duncan peut être considéré comme une victime de la mode, attachant à ses atours la même importance à ces derniers qu'à l'apparence dans la société dans laquelle il est né.


Description physique :

Les expériences passées de Duncan ne l'ont pas pour autant rendu caractéristique, au point de le reconnaître au premier coup d’œil - si tant est que sa petite réputation le lui permette. Fort d'une éducation chevaleresque, son corps fut, dès son plus jeune âge, la proie des sévices de son apprentissage. Écuyer puis à son tour chevalier, l'homme de la parole ne dispose pas d'épaules sculptées dans les falaises d'Arkan. Capables de soutenir une armure, elles n'en sont pas à leur premier combat, mais elles ne peuvent espérer rivaliser avec celles d'un homme bercé par les chants de la guerre. Mesurant un petit mètre quatre-vingts pour environ soixante quinze kilos, la corpulence du Lys est convenable sans être opulente.

Son corps n'est d'ailleurs pas celui qui inspirerait les chants des bardes : svelte sans pour autant être dénué de muscle, on ne supposerait pas que le Chevalier du Lys en soit un. Clairement plus accoutumé aux tenues soyeuses et à la quiétude qu'offre un feu brûlant dans l'âtre d'une cheminée de château, le torse et l'abdomen de Duncan n'arborent nulles cicatrices ou défaut apparent. Ses mains ne sont pas celles d'un fermier ou d'un guerrier, les ongles soignés témoignent du peu de temps passé sur les champs de Mars. Quand à son visage, ovale et simple, ferme mais capable de grand charme, il est celui d'un homme habitué à user les tranchants des mots plutôt que celui des épées. Ses différents sourires sont le prolongement littéral de ses yeux, dont la couleur semble avoir été dérobée aux plus hautes cimes de l'Anaëh. Une crinière blonde lisse comme l'eau vierge d'un bain chaud, est rejetée la plupart du temps jusqu'aux confins de sa nuque, dégageant son front et dévoilant aisément la jeunesse relative qui se dégage des traits.

Description mentale :

La maison du Lys a inculqué à leur héritier des valeurs qui, bien que peu respectées, sont nobles et vertueuses. Né dans un cocon familial restreint et protecteur, Duncan ne fut que tardivement exposé à la violence du monde extérieur, et aux désillusions qu'elle apporte. Il a appris le caractère sacré et inviolable du serment, de la loyauté indéfectible qui est dû à son seigneur. Néanmoins, dans un monde où les rixes sont nombreuses et souvent sanglantes, il se fit sa propre idée d'une servitude infaillible : très tôt, Duncan comprit que l'honneur et la bonté, qualités ô combien louables, ne sont pas toujours les meilleures voies pour l'efficacité qu'un serment engendre. A ce titre, Duncan apprit à mettre de côté ce qui était bon sur le court terme...pour privilégier ce qui l'était sur le long.

Néanmoins bon, il n'éprouve aucun plaisir à devoir faire du mal pour ce qui bien. Il s'affaire à dresser les limites entre le bien et le mal, agissant toujours pour le bien, mais par des moyens et des voies qui peuvent parfois semer la confusion sur ses intentions. Étonnamment ou pas - ce choix là vous revient - Duncan est pieux. Élevé dans un foyer religieux, il a hérité de la ferveur spirituelle de ses parents, priant les Cinq. En conséquent...que dire d'un Homme prêt à se livrer à un massacre pour le bien d'un peuple ? Comment considérer celui qui admet que le sacrifice d'une minorité prévaut sur le bien général ? Mais que retenir de celui qui s'y livrerait, puis saurait se livrer à des génuflexions devant un autel, sûr de son acte, persuadé d'avoir bien agi...Hypocrite ou pragmatique, encore une fois, ce choix vous revient.

La famille du Lys n'a cependant pas su transmettre à Duncan certaines de leurs valeurs, comme la relation vis à vis des autres peuples de Miradelphia. Alors que la coutume est de mépriser Elfes et Nains, et de haïr les Drows, Duncan n'émet pas d'avis particuliers à leurs sujets. Il reconnait le mérite de l'armée Sombre, loue le Premier Peuple de ne pas livrer bataille sur leur sol, et prend en pitié le Petit Peuple pour la ruine qui s'est abattue sur leurs demeures. Il demeure admiratif devant la combativité des Nains, et voue un culte sans faille à l'érudition des Elfes, dont la capitale accueille l'un des plus grands centres d'apprentissages du monde - bien qu'il n'y comprenne rien à la magie. Toutefois, Duncan demeure radical envers certains concepts que ce monde a vu naître : impitoyable envers ceux dont les orientations sexuelles laissent à désirer, ainsi qu'envers les félons et les traîtres, il peut faire preuve d'une cruauté rarement atteinte.

Capacités magiques :

Aucune

Histoire :

Le flux et le reflux des vagues de l'Olienne, calmes aux premières lueurs du jour, glissaient sur les étendues de sables bordant la baronnie d'Etherna. Ces dernières, seulement troublées par la faible végétation qui fleurissait à leurs lisières, s'étendaient sur des centaines de mètres, parfois surplombées par quelques récifs rocailleux dont le temps et l'eau de l'océan leur firent prendre la forme d'arches sinistres. Un œil exercé aurait sans doute remarqué la mousse qui, irrémédiablement, entamait son ascension sur les presque menhirs. Sur la plage de sable fin, quelques caisses de bois vides, fissurées par les aléas des tempêtes, constituaient l'unique leg perdu de probables contrebandiers. Le vent matinal de la mer, selon certains, disposeraient de propriétés curatives.

Le rituel matinal de Ducan laissait certains perplexes. Sa garde, demeurée au sommet du sentier tortueux qui menait à la plage, le regardait en contrebas, s'affairant aux cents pas. D'élite, certes...mais réduite : Six hommes, tout au plus, armés et protégés comme une garde se le doit, mais c'est bien là toutes les forces dont la famille du Lys disposait. Cette dernière n'avait jamais prétendue à devenir une grande force militaire. Ni d'aucune autre forme d'ailleurs. Les Lys ne s'étaient que très rarement engagés militairement dans les conflits qui avaient ébranlés la baronnie dont ils dépendaient. Les années de gloire de la famille étaient révolues, et à présent, ils jouissaient des richesses amassées, grâce au commerce ou à l'élevage des bêtes dont ils disposaient. L'or ne coulait pas à flot, mais cela était suffisant pour eux. Quand à Duncan...l'or lui était bien égal. Que vaut l'or si l'on ne vit pas pour le manier ? L'héritier du Lys n'était actuellement préoccupé que par une chose : la guerre qui faisait rage.

« Encore une ? » a marmonné son père lorsqu'il lui a annoncé que le baron, après avoir chassé les conseillers, partait en guerre. Encore. C'était il y a un an. « Fils, les Cinq te tendent la main. Que même les cieux ne puissent endiguer ton ascension à présent que les conseillers ne demeurent plus un obstacle. » Son vieil ancien, bien que ne comptant pas parmi les grands du royaume ou de la baronnie, s'était illustré auprès des feu dirigeants d'Etherna, qu'il avait côtoyé auparavant. On ne pouvait dire qu'ils étaient proches, mais ils l'étaient assez pour s'être un jour appelés par leurs prénoms respectifs. Une telle relation n'était pas passée inaperçue aux yeux du nouveau baron Jérôme qui, lors de son accès au titre de baron, eut donc vent de cette famille. Bien que Duncan et Jérôme ne se soient à proprement dit jamais réellement côtoyés, la famille du Lys traînait dans son sillage une longue tradition d'aide à la baronnie. Ce n'était point une aide primaire militaire ou financière, comme on pourrait s'y attendre. Non, il s'agissait d'une aide administrative : en effet, le Seigneur du Lys, durant ses jeunes années, avait servi la baronnie en améliorant la qualité de ses rouages internes. Qui mieux que la progéniture d'un fieffé administrateur pour conseiller le nouveau baron ?

Levant les yeux vers l'océan, le Chevalier du Lys laissa la brise de l'aube caresser ses cheveux. Voilà trois mois que, au même lieu, un messager livra au domaine une missive, scellée par le cachet du baron. L'ascension préméditée par son père prit plus de temps à se concrétisée, mais à présent qu'elle était effective, ce dernier prit des allures de prophète. Voilà trois mois que de simple châtelain, sans puissance militaire ou commerciale, Duncan du Lys prit place sur le siège de conseiller. Une ascension fulgurante s'il en est, qui ne manqua pas de provoquer jalousies ou moqueries. Le Lys n'était certainement pas le premier choix du baron, pour autant, il fut choisi en dépit de ses « concurrents ».

Duncan s'en retourna, entamant son retour vers le domaine. Il jeta un dernier regard vers la baie avant de s'en retourner, les tours du château du Lys se dressant devant lui. Rapidement, la troupe parvint devant l'entrée, mais ne s'y arrêta pas pour autant. Elle en fit le tour, pénétrant dans les jardins. Là, ils s'arrêtèrent et mirent pied à terre. A cet instant, aucun garde ne fit la moue. Tous descendirent en silence, et ôtèrent leur heaume à plume pourpre. Leur seigneur s'avança lentement à travers les rosiers, fleuris à cette époque de l'année. Avec le soin de ne pas se piquer, il en cueillit une. Après une grande inspiration, il emprunta le chemin dessiné par les architectes des décennies auparavant, rénové avec du gravier fin, vers le mausolée qui se situait vers la fin du chemin.

Peu après son départ, il reçut une missive qui, par les voies de communications sommaires de l'époque, parvint bien tard à son destinataire. Mais son devoir fit qu'il retarda son retour au domaine familial. Lentement, d'un geste solennel, il déposa la rose sur le tombeau. Sans la reprendre, il passa sa main doucement sur les reliefs qui furent gravés par les sculpteurs. Détournant les yeux de la sépulture de son père, il posa les yeux sur celle de sa mère, déjà habitante de ce funeste monument depuis bien des années. Ravalant doucement sa salive, il ferma les yeux, joignant ses mains dans un geste pieux.

« Puissiez vous trouver la paix dans les bras des Cinq. »

Après avoir rouvert lentement les yeux, il s'en retourna vivement, surprenant quelque peu sa garde. D'un geste agile, il remonta sur selle, tirant sur la bride de sa monture. Enfin, d'un coup de talon quelque peu sévère, il envoya sa monture au galop. Il ne vit même pas la servante sortir en trombe pour réclamer que son seigneur reparte après un bon repas. La garde s'ébranla, suivant son seigneur et portant bien haut les bannières : Un fond immaculé et pourpre fleurdelisé et orné de roses à ses coins. La route jusqu'au campement de Haurse-Porc était longue, et Duncan estimait avoir déjà passé trop de temps loin de son seigneur. En armure d’apparat et lame au flanc, le Chevalier du Lys se devait de retourner auprès de son maître : les temps troubles qu'ils traversaient nécessitaient toute l'aide que Duncan pouvait procurer. Qu'importait le passé, et les actes qui furent commis avant la prise en charge de sa commission : l'avenir avait besoin de lui, et il n'envisageait pas le futur du Nord sans y laisser son empreinte indélébile.

Le voyage qui débutait convia son lot de pensées enivrantes. Le Lys ne put s'empêcher de river ses pensées sur les derniers mois, notamment sur les actes récents qui concernèrent directement son seigneur et maître. Duncan fit preuve d'un grand scepticisme à l'annonce de l'édit promulgué par la régence. Objet de ce dernier, l'allégeance du baron d'Etherna. Les serments n'étaient pas que des palabres dont on pouvait se gausser à souhait, les révoquer ou même les alterner, que ses manœuvres soient à des fins politiques ou stratégiques. Au nom de cette même régence marionnettiste, comment approuver une nouvelle guerre dans le Nord, rendant croissante l'influence de la Capitale, alors même qu'aucun de ses soldats ne verserait la moindre goutte de sang ? Agir en tant que vassal, Duncan respectait cela, et il ne trouvait nul motif à reprocher à son maître. Mais il estimait qu'il n'agissait pas pour la bonne personne. Il y avait bien plus de possibilités à explorer que Jérôme ne le voyait. Et cela, Duncan comptait bien y remédier.

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Très beau et très complet.
Comment as-tu connu le forum ? : En farfouillant sur Google
Crédit avatar et signature : Drakonis
Compte autorisé par : /

Bonjour & bienvenue,

je fais (enfin) le corrigé de ta fiche. Désolée pour le temps :) mais j'ai du faire Belgique-France & France-Belgique xD. (3615 my life)

■ Donc alors petit détail sans importance si l'on peut dire, d'ailleurs, je suppose que c'était pour la tournure : ce sont les falaises d'Arkan et non les montagnes d'Arkan (à changer)

■ J'aimerais plus de précisions sur son ascension en tant que conseiller car comme tu le précises dans ta fiche, votre châtellenie n'a pas de puissance commerciale ni militaire. Ca serait bien de détailler un peu plus en inventant par exemple que la famille du Lys était proche ou s'est toujours montrée loyale, mettre en avant les qualités de ton personnage car on ne connait pas grand chose sur son parcours si ce n'est qu'il fut écuyer et chevalier. Si il était proche de Jérôme etc. En quoi se distingue ton personnage

■ Petite contradiction, si on peut dire, tu dis que ta famille n'a pas beaucoup de sous mais ton personnage possède une armure avec beaucoup d'or dessus et quelques pierres :p (où alors je n'ai pas compris). Où se situe donc le niveau de richesse de ton personnage n_n ?
Les armures d'apparat sont surtout présentes dans le Sud où ils aiment bien montrer qui a la plus grosse. Petit détail : pour les attaches en or, si tu pars au combat avec, ça sera tout sauf pratique.

■ Question à part : Comptes-tu détailler la Châtellenie du Lys dans un post futur prévu à cet effet ?

Conclusion : Très jolie fiche, agréable à lire, avec connaissance de son sujet.

Re =).

■ Donc en effet, j'aimerais que tu détailles un peu. Certes la famille du Lys fut loyale vis à vis de Gaucelm & Eléonore (donc, les anciens barons) et désormais vis à vis de Jérôme mais qu'a fait ton personnage pour s'illustrer des prouesses techniques ? Stratège ? Ami de Jérôme ? Qu'a t-il de plus que les autres ? C'est dans ce sens là que je veux dire :).

■

Duncan du Lys a écrit:

Armure d’apparat, conçue pour l'esthétique et non la pratique, cette dernière trouve néanmoins de quoi la remplacer en temps de guerre : bien que les spalières demeurent, le plastron est troqué par une cuirasse en plate orné de léger fil d'or[...]

Je n'avais pas compris, je pensais qu'il gardait son armure d'apparat et changeait juste la cuirasse. Et puisque ses épaulières, il y'a des attaches en or (c'est bien ça ?). Je voulais juste notifier que c'était pas pratique si jamais tu devais livrer combat. Mais c'est du détail sans importance. Pas besoin d'ajout =).

■ Pour la richesse :

Citation :

L'or ne coulait pas à flot, mais cela était suffisant pour eux.

C'est cette phrase qui a prêté à confusion pour moi. Je pensais qu'il était une famille noble désargentée va-t-on dire. Donc en gros, l'or ne coule pas à flot mais ils vivent largement confortablement.

■ Pour le Bg du Lys, c'est parfait. Tu pourras poster ce bg dans la ZdD (zone de développement). C'est en gros la zone projet des joueurs pour garder une trace de ton passage. On pourra ainsi intégrer ton Bg à celui d'Etherna n_n.

Conclusion : après les détails sur l'ascension de Ducan, je te valide. Pourquoi ne pas en parler avec Jérôme pour trouver des idées croustillantes. =p.

A très vite pour ta validation.

Les modifications me conviennent. Surtout la fin qui fait bien office de prologue comme dans un livre, c'est rondement bien tourné =). On voit qu'il y'a un but etc.

Code:

[Métier & Classe] : Conseiller politique de Jérôme de Clairssac, diplomate & émissaire personnel, Seigneur et Chevalier du Lys.

[Race & Sexe] : Humain & mâle

[Classe d'arme] : Corps à corps & Défensif.

[Alignement] : Chaotique Bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.


J'espère que tu te plairas sur Miradelphia.