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 Protectorat de Malereg

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Sapientia
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MessageSujet: Protectorat de Malereg   Protectorat de Malereg I_icon_minitimeDim 9 Nov 2014 - 20:05


Malereg



Géographie et vue d'ensemble

Malereg, littéralement Epine d'Or, est ainsi dénommée en raison de la flore présente sur les îles qui la composent. Les arbres qui y poussent sont essentiellement des bouleaux, des tilleuls et des mélèzes, ce qui fait qu’en automne l’île prend une teinte dorée qui vaut toute les œuvres façonné à partir du métal précieux. De plus, les tilleuls remémorent cette coloration lors de leur floraison au printemps. Un autre arbre, également présent sur cette île, garde quant à lui des feuilles à l’éclat de l’or pendant tout le printemps, où il arbore de petites fleurs blanche, et tout l’été, avant de céder sa place à un feuillage couleur de bronze pour l’automne et l’hiver. Il s’agit du Laurenorn (littéralement «chêne d’or») qui n’a jamais poussé que là et en Linoïn. Leur bois d’une qualité supérieur font que, aujourd’hui, ils ne demeurent plus que sur les îles de Malereg, et ce depuis le troisième cycle. Il s’agissait des premiers arbres abattus dans ce qui deviendra Aduram et jamais ils n’y repoussèrent.

Malereg se divise en deux îles principales. La première peut être vue comme étant la citée en elle-même et porte d'ailleurs le même nom. L’île d’Ondolaure, la seconde sera considérée à part. C’est donc sur la première île que se regroupe les demeures des Elfes de la cité, même si au fil des siècles, la ville s’est étendue sur la rive Ouest du lac. A l'origine, Malereg n'était pas totalement et constamment habitée. La cité était un lieu de rassemblement et surtout un refuge en cas de problèmes majeurs. Beaucoup de demeure étaient donc souvent inhabitées, leur propriétaire préférant s’en aller dormir dans la forêt. Mais, il y a quatre cycles, les Elfes dit de Pierre commencèrent à élire domicile durablement dans ces constructions. Ce changement s'est fait progressivement, si bien qu'il existait encore au huitième cycle quelques rares familles qui perpétuaient ce mode de vie.

Malereg est en fait un agréable dédale de chemins, où la roche immaculée de l’île est apparente, d’arbres millénaires, de construction en pierre intégrées au mieux dans le paysage, de pavillons, de bancs et des quelques temples édifiés aux quatre dieux venus après la Mère, dont le temple siège sur l’Ondolaure. Outre les demeures et les temples, on y retrouve aussi une place «couverte», non pas par un toit mais par l'entrelacs des branchage, appelée Thara-pata, qui signifie littéralement "carrefour". C’est un lieu de rencontre, de discussion et de troc très prisé.

Quant à Ondolaure, elle voit le troisième palais elfique à avoir vu le jour après celui d’Aléandir. A cette époque, les Elfes étaient encore très respectueux de la forêt qui les entourait. Tout a donc été fait pour que les constructions s’harmonisent au mieux avec la nature de l’île. Les Elfes avaient à leur disposition un joyau qu’ils n’auraient jamais osé souiller. Aussi quand on traverse le Tellaram, on arrive sur un chemin pavé de blanc, enfuit sous quelques feuilles mortes, et bordé par les arbres spécifiques à ces îles. De nombreux chemins s’en séparent pour desservir les différentes sections de cette terre sacrée. Et à un moment, comme par enchantement, on se rend compte que l’on vient de pénétrer dans le palais, dans un hall pour être précis. Un hall presque à ciel ouvert, dont les murs sont recouverts d’un étrange lierre à la fleur pâle et à la feuille vert tendre, liserée d’or. Ses piliers ne sont autres que des troncs de Laurenorn dont les branchages et dont le feuillage en constituent la voûte.

Au fond de ce hall, se trouve la salle du trône, bâtie en marbre blanc dont les murs s’élèvent presque aussi haut que les cimes des arbres, et pourtant ne les dépassent jamais vraiment. Cette salle très aérée et lumineuse, dont les piliers blancs ornés de feuilles d’or, sert à la fois de salle du conseil, de salle des doléances et de salle de réception. Les Elfes de Malereg préfèrent, selon la tradition, se réunir dans une clairière dédiée aux fêtes, au printemps, en été et en automne, quand le temps le permet, pour se réjouir, plutôt que sous les toits qui leur cachent la lumière du soleil, de la lune et la lueur des étoiles.

Une terrasse au sol couvert d’herbe et de bouton d’or prolonge la salle du trône du coté Est de l'île. Celui-ci se présente sous la forme d'un à-pic, comme si la Mère avait décidé de la trancher d’un coup sec avec une lame. De la même roche blanche que le reste de l’île, elle prend une teinte dorée lorsque le soleil levant en frappe les versants. La colline Sud, celle des résidences, est creusée de nombreux balcons d’apparat dont les appartements des hauts-dignitaires sont pourvus. Finalement, deux escaliers creusés dans la roche descendent en contre pas. Ils mènent au temple de la Mère, la dernière chose qui tombera si la cité est prise. Une terrasse à environ un arpent au dessus de l’ondée, couverte d’herbe verte et tendre où croît un gigantesque chêne. Ces bords ont été sculptés pour encore ajouter à la magnificence du lieu sobre, qui est pourtant un véritable joyau. Il regarde à l’est et domine les eaux argentés du lac.

De part et d’autre de la salle du trône, s’élèvent deux collines. Sur la première, la plus élevée, située au Sud, s’élèvent les demeurent des résidents du palais, les appartements conçus pour les invités et ceux de l’Intendant et du Protecteur. Il n’est pas rare d’y voir des arbres poussé au milieu d’une chambre ou d’un couloir. Le palais ayant été construit de manière à respecter la nature et à ne jamais devoir en abattre un seul. Au sommet de cette colline, s’élève enfin une tour au dôme doré à l’or fin qui permet de voir toute la vallée et toute l’étendue du lac. Celle-ci, dit-on fut conçue pour permettre aux plus puissants mages de la cité de la défendre quelque fut l’emplacement du camp ennemi. Mais ça fait bien longtemps que cela n’a plus été nécessaire. On la nomme la Tour Termalion, le même Seigneur Protecteur qui avait bâti le rempart. Fort peu d’Elfe connaisse son secret…

Sur l’autre colline, les bâtiments se font plus solennels. Salles des gardes, lieu de recueillement, bibliothèques, salle d’entrainement à la magie et autres bureaux d’érudits. Mais à son sommet se tient une des merveilles du monde Elfique: le Jardin Intérieur des Ealas. Un lieu de haute magie d’après la rumeur, qui dit qu’il protégerait la cité de son influence bénéfique, mais cela n’a jamais été démontré. Et malgré l’atmosphère qui y règne, les mages seront sans équivoque, le lieu n’est pas magique au sens académique du terme.

Il regroupe six arbres, un pour chaque Eala, d’essences différente, avec au centre de ce cercle, une sculpture qui date des temps anciens, faite d’une étrange résine verte à laquelle s’agrippe en toute légèreté et sans exagération quelques plants de lierres et de vignes. Lorsque le Soleil atteint son zénith, aux solstices ou aux équinoxes, les rayons du soleil en frappe sa surface et éclair d’une lueur émeraude irréelle le Jardin. Cette lueur est alors visible à plusieurs lieues à la ronde.

On peut enfin noter la falaise qui termine en à-pic l’île d’Ondolaurë comme si les dieux eux même avaient décidé de la couper en deux. Elle voit se dresser à ses pied le temple de la Mère et se termine sans trace de récifs dans le lac Tindanen. La roche y est d’une blancheur pure qui fait qu’à l’aube la falaise semble se métamorphoser en or pur et ceint le temple d’une couronne à nul autre pareil, d’où le nom de Kyrïa Amaurë donné à la Mère.



Défenses et protections.

Pour ce qui est de sa protection et de son accès, la cité possède de nombreuses défenses, naturelles et moins naturelles. Pour y accéder, il faut avant tout passer la forêt, ce en quoi réside la première défense. Celle-ci est renforcée au Nord et à l’Ouest par des plateformes d’observation réparties de manière assez aléatoire. Les villages Elfes étant plus nombreux au Sud et à l’Est, région ayant moins souvent été attaquée au cours de l’histoire du Protectorat, ils assurent la défense des arrières de la cité en cas d’infiltration des bois.

Ensuite, vient la ruine du mur de Termalion. Pour la petite histoire, Termalion était un Seigneur Protecteur qui serait aujourd’hui qualifié d’Elfe de Pierre et qui érigea un mur de pierre dans les trois vallée, Nord-est, Sud-Ouest et Ouest, qui menaient à la cité pour la préservé de toute attaque. A sa mort, le mur a été progressivement délaissé par les habitants qui préféraient le couvert des arbres, les embuscades et les protections naturelles aux fortifications. Mais le travail elfique est bien souvent un des meilleurs qui soit, de par le perfectionnisme de cette race. Aussi, plusieurs cycle plus tard, il existe toujours et peu encore être défendu, malgré les nombreuses failles qu’il recèle. Ces failles se sont naturellement accrues pendant le Voile. La dernière particularité de ce mur est sa régularité. En effet, il forme un arc de cercle parfait qui a pour centre la cité.

Finalement, vient le lac Tindanen, qui est à la fois la dernière ligne de défense et la plus aisée à tenir. Trois voies mènent à la première île sur laquelle s’étend la cité et que l’on appelle Malereg, donc l’Epine d’Or à proprement parler. Le passage originel est le gué appelé Menros, voie d’eau, qui donne accès au Sud. C’est lui qui permit aux elfes de s’installer sur l’île à l’origine. Il a la particularité de n’être accessible que durant l’été et l’automne. Le reste de l’année, les eaux du lac sont trop hautes et les courants trop violents que pour risquer la traversée.

Le passage suivant, sautant de récifs en rochers, est le pont d’Ondoteä, la route des rocs qui va sinueuse jusqu'à la rive Nord du lac. Il est entièrement en bois, ce qui est très rare chez les elfes qui préfèrent se passer de quelque chose plutôt que d’abattre un arbre pour le fabriquer. On ne sait d’ailleurs rien de ce pont ou de sa construction. Il est là, et c’est le principal, puisqu’il évite de faire un grand détour par la terre quand on souhaite se rendre au nord. En cas d’assaut, une des parties du pont peut pivoter pour couper l’accès à l’île par ce coté.

Le dernier des accès et le principal est un pont de pierre qui relie l’île à la rive ouest du lac, la plus escarpée, et rejoint de ce fait les demeures et les ateliers des forgerons et autres artisans qui s’étendent sur cette rive. Cette partie de la cité est séparées du centre historique de la cité pour éviter qu’un incendie ne vienne détruire ce sanctuaire elfique. Par la suite, elle s'est étendue pour accueillir les nouvelles demeures des Elfes qui vinrent grossir la population de la cité.

Le dernier pont partant de Malereg la relie à sa voisine, Ondolaurë, le roc doré. C'est sur cette seconde île, plus petite mais toute en hauteur que se dresse le Palais du Protecteur et ses dépendances, harmonieusement mêlés à la flore et au relief du rocher. La voie qui y mène se nomme Tellaram, le dernier mur, ultime défense de ce qui constitue réellement le centre névralgique ce cette cité.



Voies de communication.

Le Chemin d’Erenthir s’étend en travers de tout le territoire de l’Epine Dorée pour se terminer à Alakyat, le col de l’impétueux, au nord, et rejoindre la grande voie en Aléandir en traversant Almalondë. C’est la voie majeure qui traverse le Nord-ouest de la Prime Forêt.

Elle est rejoint au niveau de Malereg par le Ladmen, la voie des plaines, qui descend vers Eldarinwa et se poursuit vers le Linaeh pour atteindre la porte de l’Anaeh. C’est une route stratégique majeure qui dessert notamment Minyässa et Neunässa, la première et la deuxième ouverture, les deux gués principaux dans l’amont du cours de l’Olyia.

Ces deux routes sont reliés par l’Enedmen, la voie du médian, qui ralliera d’abord l’Harmen, la voie du Sud, qui divise le protectorat de Narándilyë et ira à la rencontre du Chemin d’Erenthir au Nord et rejoindra Daranovar au Sud.

On peut encore citer l’Eitheltea, le chemin de la source, qui mène aux sources de l’Olyia. Et les deux autres cols importants de la frontière Nord, à savoir le Saräyat et le Celumëyat, respectivement le col amer et le col de la marée, ce dernier se trouvant au bord de la mer et l’autre étant le passage du milieu.

Il existe bien entendu un grand nombre d'autres voie à traver l'Epine Dorée, mais elles sont plus anecdotique et ressemble bien souvent plus à des chemins tracés par les errances des animaux sauvage plus qu'à des routes aménagée par les Elfes. Il est à noter que depuis le Voile, les voies de communication sont plus difficiles à emprunter en Almalondë et en Narándilyë où l'influence de Kyrïa était tout aussi forte qu'ailleurs dans l'Anaeh. Seul le Nord et l'Ouest de Malereg et d'Eldarinwa ont été relativement épargné par cette croissance anarchique de la forêt, un peu comme Lante et Thanor furent épargnées par la colère de Calimenthar.



Politique et géopolitique

La cité de Malereg est dirigée par un Conseil constitué de neuf membres dans ses séances courantes et de douze pour les séances extraordinaires. En affaire courante, il rassemble un représentant de chaque clergé dont l’ascendant dépend directement de leur importance dans le cœur des habitants de la cité. Il est à noter qu’actuellement, si le culte de la Mère reste naturellement le plus puissant, celui de Tyra a dépassé le culte d’Arcamenel qui avait pris son essor suite à la politique de Joy Livian vis-à-vis du dieu, Calimenthar arrive ensuite avec Elenwë en queue de peloton.

Vient ensuite les représentants des quatre grands corps de métiers de la cité. Il s’agit des forgerons, des éleveurs, des guérisseurs, appelé ici Maîtres des plantes, et des soldats. Chacun d’entre eux a sa propre manière de nommer son représentant, si les forgerons en décident dans une assemblée restreinte des plus éminents d’entre eux, les éleveurs préfèrent placer leur confiance en celui qui a à sa disposition le plus grand nombre de têtes dans son élevage. La voie militaire est quant à elle menée par son dirigeant, le capitaine de la Garde d’Ebène, qui veille sur le Protecteur. Les guérisseurs fonctionnent plutôt sous un système de matriarcat basé sur l’expérience.

Les membres supplémentaires en cas de session d’importance sont simplement les représentants des trois autres cités placées sur la terre de l’Epine Dorée. Les relations entre les différentes cités ne sont pas simples mais il en résulte, en faisant la synthèse des différents points, que ces cités sont en quelque sorte inféodées à Malereg. Cette dernière étant de loin la plus importante des quatre, aussi bien de par son histoire que sa richesse, son armée ou sa population.

Le conseil est dirigé par le Seigneur Protecteur de Malereg, nommé par le conseil en séance extraordinaire. Celui-ci détient un rôle d’arbitre, un droit de véto et le pouvoir exécutif de la cité. Pour palier à ses absences pouvant être nombreuses du fait de ses fonctions également étendue à la politique inter-cités et étrangères, le Conseil nomme avec son accord un Intendant. Celui-ci siège généralement au sein de l’assemblée même si il est déjà advenu qu’il en soit extérieur. Cette nomination se fait par le Conseil en affaire courante. L’Intendant assure aussi une certaine forme de régence en cas de décès prématuré du Protecteur.

Pour la composition actuelle du conseil, vous pouvez vous référer au RP suivant: https://miradelphia.forumpro.fr/t18004-une-epine-d-or-hors-du-pied-solo

Au niveau de sa politique extérieur, Malereg entretiens des rapports courtois avec Lante. L’aide apportée à Valek Cri-de-Runes n’est pas passée inaperçue. A contrario, une animosité sans précédent anime le cœur des Elfes envers Almia depuis l’enlèvement et le marchandage aux Drows de l’ancien Intendant. Les Humains sont quant à eux considérer avec un dédain quasi-total et une animosité certaine par les Noss depuis l’abattage de certains arbres durant le Voile à la lisière Ouest de la forêt, frontalière avec Oesgard.

Dans sa relation avec les autres cités, Malereg a des liens privilégiés avec Ardamir depuis son envoi de troupes salvateur au début de l’affrontement avec les Osts Eldéennes. L’anecdote historique veut que le trône d’Ebène ait été pendant tout un temps en concurrence avec le Trône Blanc, cette rivalité a été entérinée par les cycles. Finalement, les rapports avec Holimion sont assez houleux, déchirés entre l’alliance par le mariage du Seigneur Protecteur et sa défunte épouse issue d’une des puissantes maisons de la cité, et le fait que certains le tiennent comme responsable de sa mort. Il s’agit au final d’une affaire plus personnelle que politique, même si elle a tendance à déteindre sur les relations diplomatiques. Les relations avec les autres cités ne sont à ce jour pas explicité.



L'après Voile

Si le contexte avant le voile n’était déjà pas triste, la situation après la venue des dieux est devenues à la limite du catastrophique. Comme le Sud de la Nanie qui a échappé à la colère de Mogar, cette Terre à la frontière de la forêt a été un peu épargnée par la croissance foudroyante de la végétation qui a rendu la plupart des routes non carrossables et à fait avancé la forêt de quelques centaines de mètres. Ce mal y est même à l’origine d’un bien en rendant à la cité de Malereg sa gloire d’antan par la revitalisation des demeures vivantes et le renouvellement et la croissance des Laurenorn.

Par contre, le schisme idéologique y a fortement dégénéré entre Noss et Elfes de Pierre. Au point, que l’ont pu craindre une guerre civile. Suite aux actions de certaines Noss extrémistes qui voulurent forcer leurs frères de Pierre à quitter leur demeure, le Conseil décréta que les portes de la cité seraient fermées aux Noss. Les modérés, profondément choqués par cette mesure qui leur interdisaient de rendre hommage à la Mère dans son Temple de l'autre coté de la cité, s'en offusquèrent et demandèrent révision. Mais cela leur fut refusé par les Elfes de Pierre devenus par trop méfiants envers leurs frères. Les clans posèrent donc un ultimatum à la cité, la menaçant d'attaque si elle ne retirait pas cette loi abjecte.

Finalement, le Seigneur Adantar rétabli un semblant de situation initiale en rassemblant les conseillers pour soumettre sa candidature en tant que Protecteur. Une fois que ce fut fait, la rumeur coure chez les Elfes, c’est dire à quel point cela est susceptible d’être vrai, que le Conseil aurait eu droit à un sermon virulent de la part du nouveau protecteur, alors que chacun avait sans doute cru pouvoir le manipuler à sa guise. Il prit un mois complet pour remettre les choses dans l’ordre. Si cela n’a pas totalement soigné le mal à sa source, il est au moins arrivé à un statu quo qui ressemble à la situation d’avant l’Eclipse, les évènements en Ardamir et à Elliryon ne furent pas étrangers à ce succès relatif, procurant une distraction de choix.



Vie quotidienne en vrac

  • Les îles sont plutôt à vocation religieuse, politique et résidentielle si on considère les plus anciennes familles. Ces dernières sont le reliquat des premiers clans sédentaires d'importance qui assurait la protection du lieu saint il y a de cela plusieurs cycles. C'est aussi le siège de la transmission du savoir.
  • La cité sur la berge regroupe les corps de métier et les gens du commun, pourrait on dire. Les forges se regroupent le long du lac, pour une raison évidente de sûreté. Les éleveurs de chevaux se tiennent à la périphérie, bénéficiant des clairières alentours pour leurs activités et ayant plus de facilité pour se rendre dans les installations excentrés plus à l'Est, le long du mur de Termalion. Finalement, les guérisseurs occupent des résidences simples parfois agrémentées de jardins ou de serres rudimentaire, selon que leur activité se fasse par culture ou par cueillette.
  • Les soldats suivent quant à eux leur entraînement dans des casernes répartie en différents endroit selon leur spécialité. Les institutions les plus nombreuse étant destinée à former des cavaliers, elles sont en liaison étroite avec les dépendances des éleveurs.
  • Les seuls embarcations autorisées sur le lac sont celles vouées au culte de Tari et donc aux rites funéraires. Si en certains endroits on enterre les morts ou on les immoles, à Malereg, la coutume veut qu'ils reposent dans les eaux froides du lac Tindanen. Les Elfes ne s'y baignent naturellement jamais, même si il s'agit plus d'un tabou que d'une véritable règle.
  • Le temple de Calimenthar est le seul à se trouver sur la rive du lac, son entrée à ras de l'eau n'est accessible qu'après la période de crue due à la fonte des neige et avant les pluies d'automne. Ceci symbolise les périodes moins propices à la guerre. Il existe cependant une seconde entrée pour les offices dédiés à la forge et au travail des métaux.
  • La pierre du pays est majoritairement de type calcaire et de ce fait blanche. Il est également possible de voir apparaître du schiste pour de rare demeure et du grès, ces deux dernière pierres se retrouve dans le temple de Calimenthar. Les carrière se trouve dans les monts des rives Est et Nord du Lac.

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