Marchande de Viande - Ari

Nom/Prénom : Shallat Assunudadnud
Âge/Date de naissance :  478 ans, née le 10 ème cycles en l'année 529, au mois de Karfias, la 3ème semaine, le 7ème jours.
Sexe : Féminin
Race : Drow
Faction : Ithri'Vaan
Particularité : Surnommée ironiquement la « Bien-Aimée » par ses employés « La Vipère Sanglante » et par ses esclaves, simplement « Maîtresse » ou « Pitié ». Ses ami(e)s ? Voyons, soyons sérieux ...

Alignement : Chaotique Mauvais
Métier : Marchande d'Esclaves.
Classe d'arme : Fouet (Corps à corps), Magie (Néophyte de l'Immatérielle)

Possession/Équipement :  Shallat est une femme aimant le luxe, ainsi que la luxure. Elle s'habille majoritairement en conséquence, peu importe la situation. Robes légères, bijoux clinquants, elle n'hésite plus depuis bien des années à montré sa richesse ainsi que son corps digne des plus grandes muses de Thaar. Nous ne comptons pas non plus sa demeure, un manoir, légèrement décrépie, récemment repris par la Drow à un ancien marchand ne payant pas ses dettes … Elles possèdent de nombreux esclaves, bien que le turnover dans ce genre de métier est relativement conséquent. En moyenne, elle possède un bétail d'environ 1000 à 2000 têtes lors des plus grandes demandes de ses clients. Que ce soit ce  qu'elle aime appeler des « Condamnés » qu'on retrouve dans les carrières, des putains mal dégrossies, des courtisanes de luxes aux gladiateurs prenant la mort comme une douce amante, voilà ce que vous trouverez chez Shallat et bien plus encore, si vous y mettez le prix ...

Description physique : Ses yeux brillent comme les plus beaux grenats, sa peau couleur de cendre ne souffre d'aucune imperfection. Sa bouche, pulpeuse et provocante, invite les pauvres mortels aux tentations les plus vils. Ses cheveux teints couleur améthyste pourrait lui donner une allure étrange, mais, cela ne fait que la rendre plus exotique. Sa poitrine, gonflée et fière, attire le regard des hommes ou des femmes comme les abeilles dans un jardin fleuri. Son ventre, fin et musclé, mériterait d'être embrassé, sa croupe, si sensuelle et charnue, mériterait d'être visitée et ses jambes, longues et fines, sont aussi douces que la soie. De quoi mettre en appétit toute créature mortelle ou immortelle, d'ailleurs. De nombreux bijoux d'or et de pierres précieuses parcourt son corps, de la tête aux pieds, jusqu'à ses cheveux. Elle a une démarche décidée, sensuelle et arrogante, mais cela n'a rien à voir au fait qu'elle possède tout un contingent d'esclavagiste à son service. Elle a constamment sur elle un fouet et si vous croyez qu'il s'agit d'une simple décoration, vous vous trompez lourdement ...

Description mentale : Cruelle, bestiale et dépravée, elle aime sa vie faite de frasques, de stupres et de sang, sans compter que son commerce lui permet d'assouvir ses plus bas instincts. Elle est incroyablement fière d'être ce qu'elle aime appeler une Marchande de « Viande » et elle n'hésite plus à organiser des fêtes somptueusement dépravées pour essayer de s'élever de son rang social. Car oui, cette beauté est d'une ambition sans limite. Elle c'est élever toute seule de la fange des grouillots du IV ème Ost par sa ruse, son sadisme et également son corps. Très imbue d'elle même, elle se considère comme la plus belle femme d'Ithri Vaan et ne supporte pas la beauté des autres, ou du moins, la beauté qui lui fait obstacle. Elle veut que tous les hommes et toutes les femmes la regarde, l'admire, l'envie …

Capacités magiques : Elle découvre son affinité avec l'Art. Elle compte trouver un(e) mage pour apprendre ses secrets. Quitte à lui arracher de force ...

Histoire : 
J'écris ses lignes pour ma Bien-Aimée, la plus sublime femme de tout Ithri Vaan et au delà, je parle bien entendu de la magnifique Shallat Assunudadnud. Ma Maîtresse est née dans les faubourgs de Sol'Dorn. Sa génitrice était une courtisane, vendant son corps pour survivre. Son géniteur, quant-à lui, était sans doute un soldat du IV ème Ost. Sa mère s'occupa d'elle jusqu'à ses trente ans et n'hésita pas à se débarrasser de sa progéniture (comme beaucoup de mères prolétaires drows). Elle appris à survivre dans la rue, volant les moins doués, parfois au risque de se faire battre. Elle agressa également les plus vigilants, toujours pour survivre. Car après tout, la survie n'a aucun prix, n'est-ce pas ? Puis ma Maîtresse découvrit les joies du corps et de la Luxure. Ayant dans la société daedhelique des formes plus qu'avantageuses, elle compris rapidement qu'elle pouvait utiliser de ses charmes pour obtenir des faveurs. Comme le dit si bien ma Bien-Aimée : Offre ce que les gens souhaitent et tu fera fortune.

Elle vendit donc son corps, sans aucune retenue, comme une vraie istenite. Parfois, ma maîtresse découvrait la souffrance, volontaire ou non. La cruauté envers elle-même et également vers les autres. Très vite, de nombreux drows et humains payaient pour les pires insanités en leur encontre. Fouets, couteaux, chaînes et autres instruments devenaient ses meilleures amies seules amies. Très vite, elle se fit remarquer pour ses performances disons … Hors-normes et devins, aux fils des décennies, une référence dans Sol'Dorn concernant le sado-masochisme. Un Marchand d'Esclaves Thaarie, un humble humain, était tombé amoureux de ma Bien-Aimée. Adepte des relations soumises plus que violente, il offrit un travail beaucoup plus rémunéré que n'importe quelle passe.

Elle appris à se servir du fouet pour apprendre et éduqué les créatures dont elle avait la charge. Humains, elfes, drows et même quelques nains, tous s'inclinaient, brisés, réduis en simples loques de chairs, de sangs et de peaux. Nul torture, nul supplice n'était assez cruel pour briser un esprit récalcitrant. Le Viol ? Une distraction. La Torture ? Une nécessitée. L’Amputation ? Une option … Mais elle avait faim de plus, bien plus que cela. Elle voulait la richesse, le pouvoir, la demeure, les esclaves, elle voulait tout. Peu à peu, son Marchand commença à éprouver de nombreux sentiments pour ma Maîtresse. Envoûtement ou réel sentiment ? Nul ne peut le dire. Il l'a voulait pour épouse, elle voulait sa fortune, il trouvèrent un compromis. En échange de son amour, elle disposerait de ses biens comme elle le voulait. Les notaires lui demandaient à deux fois, étant donné le fait que la jeune drow était … Et bien, une drow. Mais le Marchand n'écoutait guère, cherchant l'amour de sa promise. Chose qu'il n'aura jamais. La Nuit même où l'Humain signa les papiers, un esclave rentra dans sa chambre pour tuer son Maître. Cet esclave, il s'agit de Milkherem Heron. Guerrier venant d'une petite ethnie, les Thamagadissios, une tribu de cavalier du nord de l'Estrevent. Ce guerrier fût très vite le préférer de notre Bien-Aimée, car il était respectueux. Pendant 3 jours et 3 nuits, notre maîtresse lui ordonna de rester assis et de ne pas boire l'eau qui était dans sa gourde. Même sous le soleil de plomb, ce guerrier avait obéit. Et il obéissait toujours. Elle lui ordonna cette nuit là de tuer l'Humain et il le fît. Une fois son méfait accomplis, elle lui ordonna donc d'assaillir ses cuisses …

Elle disposait maintenant d'une petite villa aux abords du Fleuve Oliya, dans le souk de la ville. Elle ne possédait qu'une dizaine d'esclave pour son compte personnel et environ un bétail de 200 têtes. Elle vendait toujours son corps par plaisir ainsi que par nécessité. Elle commença à prêter de l'argent à moins riches qu'elle, demandant des taux exorbitants. Si ils ne pouvaient payez et bien disons simplement que la loi Thaarie est très strict concernant les mauvais payeurs … Peu à peu, elle compris vite que la revente des biens de ses esclaves étaient très lucratives. Malheureusement, de plus en plus de personnes comprirent également que de demander de l'argent à ma Bien-Aimée est bien trop risqué. Alors, elle décida de se lancer dans un tout nouveau secteur de l'esclavage assez mal implanté dans la Cité Marchande à l'époque, les Gladiateurs. Car oui, je vous rappelle que ma Bien-Aimée est âgée de plus de 470 ans, la noble Citée de Thaar n'est pas aussi ancienne que cela  … Elle réussi à rester à flots quelques temps. Les paris et les combats rapportaient, mais c'était bien trop hasardeux pour espérer faire fortune dans ce genre d'activité. Elle a acquis récemment une demeure d'un marchand de vin en ruine espérant se refaire dans un combat de chien. Heureusement pour ma Maîtresse, il a perdu ...

HRP
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