Tel est pris qui croyait prendre. [Entité]

« Laissez passer ! Laissez passer ! vite ! Laissez passez ! Bougez-vous de mon chemin ! » Cria un cavalier galopant à tout allure dans les rues de la ville. Cet homme était l'un des deux messagers qui étaient parti avec l'expédition à la recherche de gisements.

Lorsqu'il arriva enfin dans la cour du château, il ne tarda pas à bondir de son cheval et à se présenter aux gardes.

« Je me nomme Albérik, je suis l'un des messagers de la Dame de Lourmel, j'ai une missive urgente à lui transmettre. »

Les gardes le laissèrent entrer après l'avoir formellement reconnu. Il se précipita ensuite dans le hall, accélérant le pas pour arriver à son objectif.

Là, se trouvait Maélyne, assise avec Céodred à régler des détails. Elle leva la tête et vit son messager arriver plutôt pressé.

« Albérik... vous voilà enfin. » Lui dit-elle un peu agacée d'avoir attendu deux jours de plus après son rapport.

« Ma Dame, l'expédition n'est pas encore revenue. Ils ont deux jours de retard. Un groupe est parti à leurs recherchent, mais ils ne sont pas encore revenus non plus. Nous craignons qu'il soit arrivé un malheur. Nous allions envoyer un deuxième groupe quand l'un des soldats revint. Voici une missive qui vous est destiné. »

La lettre était scellée, et le messager épuisé. Il semblerait qu'il ait dû se hâter bien plus vite que d'habitude pour faire sa livraison. La Dame reconnu le sceau qui scella la lettre. Lors de sa lecture son visage se décomposa.

Maélyne se leva soudainement de son siège et demanda de préparer son cheval. Elle voulait se rendre sur place et au plus vite.

Trois avant-postes furent crées suivants les emplacements de recherche. L'un d'eux était la destination de la Dame.

Une fois sur place, il y régnait une tout autre ambiance qu'au château. Désordre, aucune organisation, des personnes qui couraient partout...

Soit, Maélyne se rendit dans sous la tante principale pour aller parler avec le responsable. Il s'avérait que le groupe n'était plus revenu depuis maintenant 72heures. Qu'un premier groupe était parti à leurs recherches mais qu'un seul en était revenu.

La Dame voulait voir cet homme et elle fut dirigée vers la tante où les soins furent prodigués.

L'intéressé avec les vêtements déchirés et de multiples griffures partout sur le corps. Cela horrifia la Dame qui préféra sortir. Il était clair que quelque chose s'était passé.

C'est alors que la foule criât victoire lorsqu'ils aperçurent le groupe d'expédition revenir au loin... Maélyne pressa le pas pour aller les accueillir.

« Eh bien, tout dépend de notre avan….cement. » Le nain interpelé avait été coupé dans son explication. Au dehors des cris résonnaient, des cris des terreurs. Dans la tente qui servait de lieu de réception, plus personne ne parlait. On était allez regarder au dehors pour connaitre l’origine de ce vacarme nocturne et l’annonce tomba comme un couperet : Le Kerkrand était ici. Glaïm jura dans sa barbe et lança un regard inquiet à ses compagnons barbus. Lui n’avait jamais été un bon combattant, Narnyl était trop jeune pour avoir réellement conscience du danger, seul Orfrik avait l’air serein. C’était le plus bagarreur de tous et il maniait tout aussi bien sa pioche quand il s’agissait de repousser créature et ennemi que quand il avait à extraire le minerai des parois rocheuses d’une montagne. Glaïm le soupçonnait même d’être plutôt content de la situation, les distractions guerrière de Külm était peut nombreuse. Quoi qu’il en soit il se tourna vers son petit groupe. « Pas de risque insensé, nous sommes ici pour remplir une mission spécifique, pas pour risquer notre vie pour des Umgi. » Narnyl acquis sans rien dire, Orfrik aussi mais il semblait réellement déçu maintenant. Malgré tout, les trois nains avaient déjà leurs lourds piolets en main, prêt à défendre leurs peaux si jamais il le fallait. Glaïm se tourna vers la Dame de Lourmel. «Ma Dame, faite appeler vos hommes, il n’y a qu’une seule solution valable pour vaincre un Kerkrand, il faut se regrouper et former un bloc compact hérissé de lance. Dans le cas contraire, la bête surpassera de sa force tous vos guerriers s’ils décident de l’attaquer en petit groupe. Aussi, pour ses yeux de troglodytes, il fait aussi clair qu’en plein jour, encore une chose qui ne nous avantages pas. » Glaïm réfléchissait à toute vitesse, qu’avez donc était la raison pour que le monstre sorte de sa cachette ? La faim peut être, ou bien simplement l’agressivité lié à la protection de ses enfants. Le Singe des cavernes n’avait pas pour réputation d’être un grand tendre, bien au contraire.  Le nain reprit. « Nous resterons ici, restez aussi si vous le désirez,  nous vous servirons de dernier rempart si le plan ne fonctionne pas. » Le nain dit cela en toute franchise et serra le poing sur le manche en métal de sa pioche. Orfrik vient se placer à coté de lui arborant à nouveau un grand sourire, bien heureux que le chef du groupe n’est pas évincé toute les possibilités de se battre aujourd’hui.

Au dehors, il faisait noir comme dans un four, un très vieux four. Des cris de douleurs raisonnaient déjà dans l’ensemble du frêle camp de fortune monté il y a peut pas les hommes de Lourmel. La bête avançait avec toute la discrétion possible, elle était seule. Les choses-roses étaient délicieux à manger mais coriace quand ils étaient bardés de métal, bien trop dangereux pour sa progéniture. Au détour d’une tente, elle croisa un jeune homme au cheveu roux qui s’immobilisa à sa vue. Il hurla en suite mais il était déjà trop tard. La bête lui fonça dessus, abattant ses lourds poings sur son torse, faisant exploser sa cage thoracique et transformant le hurlement en un gargouillis sanglant. Elle prit soin de dévorer sans tarder les organes encore chauds, source d’énergie qui lui serrait bien utile.

Puis la traque reprit, elle défonça une tente dans un geste de colère, mais celle-ci était vide. Elle se jeta sur la suivante et pu entendre les os craquer sous son lourd poids, un dormeur au sommeil lourd venez de mourir. Puis au détour d’un nouveau chemin elle aperçut des torches. Une chose-rose fonça sur elle, celui-ci était enfoncé dans sa coquille de métal et tenta de la taillader aves son dard. Il la toucha à l’épaule et la douleur lui arracha un cri de rage sauvage. Faisant abstraction de tout, elle saisit l’homme à la gorge et serra de toutes ses forces faisant exploser son crâne comme un vieux fruit trop mûr. Elle gagna deux nouvelles entailles pendant ce temps, mais l’homme était mort et elle pouvait déjà se repaitre de son sang et de sa cervelle.

Puis sur sa gauche, un mouvement attira son attention, il semblait que des hommes étaient entrain de se regrouper. Elle hurla à nouveau tentant l’intimidation avant de se lancer à toute vitesse vers eux.

«Ma Dame, (…) nous avantages pas. »

Frayeur, terreur, angoisse, effroi et horreur. Voilà ce qu’on pouvait ressentir à un tel moment. La Dame entendit à peine ce que le maître nain lui disait. Elle ne pensait qu’à ses pauvres gens, là, dehors. Son regard se perdait, elle se sentait partir avec tous ces hurlements comme bruit de fond.

Une ombre s’approcha en forme d’ovale approcha puis se dessina de plus en plus.

« Ma Dame !... »
« MA DAME ! »
« MAELYNE !!!!! »  Cria l’homme.

Elle revint à ses esprits et vit celui qui lui fit face.

« Roland ? Est-ce toi ? » Demanda-t-elle.
« Oui, c’est moi. Écoute-moi maintenant. »

Il l’a pris dans ses bras puis la fixa dans les yeux.

« Les nains ont raison, nous devons former une barrière autour de vous. Mais s’il arrivait quoi que ce soit, je t’en prie, fuit d’ici le plus loin possible. »

L’heure n’était pas venue de vous expliquer qui était Roland. Ils avaient grandi ensemble à Outremont avant que la Dame et sa sœur ne soient envoyées à Missède.

« Oui… D’accord. »
« Nous resterons ici, restez aussi si vous le désirez,  nous vous servirons de dernier rempart si le plan ne fonctionne pas. »
« Je …. »

Elle n’eut pas le temps de continuer sa phrase que Roland cria après ses hommes. Il leurs commanda de former un cercle autour de la dame et des maîtres nains. Armés de lances et d’arbalètes.

Ces hommes étaient sur le point d’arriver au campement avec leurs équipements qu’ils entendirent les hurlements. Ils avaient donc pressés le pas pour nous venir en aide.

La bête hurla mais les hommes, quoiqu’un peu effrayés n’abandonna pas leurs formation. C’est alors que le Kerkand se mit à charger vers le groupe.

La Dame, spectacle de cette masse qui se précipita vers eux, était soudain prit d’une peur qu’elle ressentit jusqu’au plus profond de son corps.

« Céodred… » Dit-elle avec une voix tremblante.
« N’ayez crainte, ma Dame. » Répond-il.
« Archers ! » Cria Roland.  « Tirer ! »

Les hommes équipés d’arbalètes tirent en direction du Kerkand. La Dame ne put distinguer le nombre de flèches qui avaient été  tirées et encore moins le nombre qui touchèrent la bête.

« Les Lances ! Lever les Lances ! » Continua Roland.
« Préparer vous au combat ! »

Le combat avait commencé.

Les hommes  ne cédèrent pas à la panique quand le Kerkrand chargea, mais les premières lignes furent prit de vitesse. Les premiers carreaux avaient fusés en direction de la bête. L’Énorme singe des cavernes avait anticipé la chose et c’était protégé grâce à ses larges avants bras. Pourtant certains traits de fer trouvèrent leurs cibles et trois se plantèrent dans son épaule lui causant bien des douleurs. Mais cela n’eut pas pour effet de la ralentir, au contraire elle accéléra sa course, poussée par la furieuse envie de réduire en miettes les hommes qui se dressaient contre elle.

C’est le moment que choisi le nain Orfrik pour intervenir. Il déboucla une hache de jet qui pendait à sa ceinture, une arme peu utilisé par les hommes mais monnaie courante chez les nains. Il prit le temps de viser et lança avec force le kilo de fer qui tournoya dans les airs avant de se ficher dans l’épaule du Kerkrand. Le nain jura de joie, content de son œuvre.

Cela ne stoppa pas la bête car elle arriva enfin à porté des premiers hommes. Dans sa course, elle trébucha et rata lamentablement sa première cible qui eu le temps d’esquiver. On ordonna aux arbalétriers de recharger leurs armes,  mais ces derniers étaient trop occupés à se protéger du monstre qui était sur eux pour penser  à obéir.  Des archers postés aux alentour décidèrent de lâcher leurs premiers traits mais ils eurent du mal à viser correctement et aucune flèche ne trouva sa cible. Les hommes équipés de lance braquèrent leurs armes en direction de l’énorme singe, leurs détermination ne faillit pas, il en allait de la survie de la Dame de Lourmel.

Dans un geste de défis, le monstre tenta une nouvelle attaque, il hurla avec rage et tenta de frapper un homme, mais il ne réussit qu’à s’empaler lui-même le bras droit sur un pic dressé. Le Kerkrand se recula, fou de rage, de l’écume coulant de sa bouche grande ouverte. Il semblait sur le point d’exploser. Il prit  de l’élan avant de se jeter sur les arbalétriers paniqués, il les balaya de ses deux bras, se servant de son membre handicapé comme d’une massue. Il en faucha quatre sans qu’ils ne puissent riposter, les tuants sur le coup. Puis la bête s’acharna sur les corps, piétinant les morts en hurlant, elle arracha même le bras d’un homme avant de le lancer dans les airs, le membre sanguinolent retomba à coté de Maélyne. Les survivants de la terrible charge abandonnèrent leurs armes de tir pour se réfugier derrière la ligne de lance.

Le Chevalier Roland choisit se moment précis pour haranguer les hommes. Il ordonna aux lanciers de consolidé la défense en resserrant les lignes, puis il entama un discours court et précis sur l’honneur afin de toucher le cœur des hommes en fuitent, ceux-ci l’écoutent et saisissent épée et bouclier, prêt à repartir au combat. Le groupe d’épéiste arrive d’ailleurs à trouver une faille dans la défense du Kerkrand, ils le blessent à la jambe.

Les nains quand à eux observent la scène sans siller.  Glaïm décida de jouer le rôle de dernier rempart pour la Dame de Lourmel au cas où la bête tue les hommes présents. Le jeune Narnyl lui était tétanisé à la vue du membre coupé qui gît non loin de lui. Orfrik quand à lui se lança en avant en brandissant son bec de corbin qu’il abattit avec force. Le doigt de pied qu’il écrasa arracha un cri de souffrance terrible à la bête des cavernes. Celle-ci réagit brutalement. Elle se jeta de tout son poids sur la marée d’homme devant elle.

Cette action imprévue prit tout le monde de cour. Six hommes disparurent sous la masse de la créature. Quatre d’entre eux périrent, écrasé littéralement, deux autres furent gravement blessé, incapable de combattre leurs armures les avaient sauvés. Les hommes faillirent une nouvelle fois céder à la panique mais aucun n’abandonna sa position.

On  ordonna de contre attaquer dans la foulée et la stratégie fut payante, les hommes ivres de vengeances, réussirent à harceler la bête avec brio et ils lui tranchèrent la jambe gauche au niveau de la cuisse. Le sang éclaboussa l’assemblée,  le Kerkrand tomba à genou dans un râle déchirant. Orfrik crut y voir un signe de faiblesse, il tenta un nouveau coup de pioche mais la bête réagit plus vite que lui et l’envoya volé dans le lointain, sans grand dégât pour le nain heureusement. Le chevalier Roland s’avança alors, il hurla un cri de défis au monstre à l’agonie avant de s’élancer dans la bataille suivit pas ses deux officiers. Son épée écarta avec force le bras de la bête qui tenta à peine de se défendre. Le chevalier plongea sans attendre un mètre d’acier dans la gueule grande ouverte.

Ainsi finit le Kerkrand. De brave homme était mort pour défendre la dame et les nains, mais l’investissement était sauf !

[Combat réalisé avec jet de dés via skype, merci à Maé pour sa participation !]

Le combat s’engagea et Maélyne restait fixée à sa place, spectatrice de cette sanglante rencontre. Elle fut néanmoins horrifiée par le bras arraché du corps qui tomba à quelques centimètres de son pied.

Au final, l’affrontement ne dura pas longtemps mais cela paraissait être une éternité pour la Dame. Elle vit le courage que chaque homme apporta pour abattre cette bête.  Elle était également la spectatrice de la mort de Kerkand, des mains de Roland lorsque ses hommes l’avaient affaiblit.

La Dame reprit son souffle, tremblant encore d’effroi.

« Maélyne, est-ce que tu vas bien ? » Demanda le chevalier.

« Oui… Roland… Oui ça va… » Essaya-t-elle de dire.

Il fallut un certain temps pour que la jeune femme ne reprenne totalement ses esprits. Et lorsque cela arrivait, la nuit était devenue toute noir après l’apparition de nuages cachant la faible lumière venant de la lune. Des torches étaient allumées pour commencer à évacuer les blesser et à trier les corps. La Dame décida que trois jours après l’attaque une cérémonie aura lieu en l’honneur de ceux qui avaient perdu la vie.

La Dame décida de faire un tour du campement pour aider à repérer les survivants. C’est alors, qu’en détournant le gros rocher, elle vit encore plus horrible scène. Les enfants… Les jeunes palefreniers gisaient, là sur le sol sans vie.  Elle se précipita alors, vérifiant s’il y avait des survivants et c’est en découvrant les enfants morts qu’elle repensa immédiatement à Liam.

« Liam ?.... » Chuchota-t-elle.

« LIAM ?... OU ES TU ? » Cria-t-elle

Elle se redressa et se mit à augmenter son allure, où pouvait donc être le jeune garçon qui voulait devenir chevalier ?

Maélyne arriva à l’enclos réservé à sa jument. Dans un mouvement de panique, elle avait cassé l’une des barrières et c’était probablement enfui. La surprise venait de la découverte d’un corps.  

« Liam ?! Non ! »

La Dame courra dans sa direction, se laissa tomber sur les genoux et retourna l’enfant.
« Liam…. » Dit-elle d’une voix tremblante.

L’enfant avait encore dans ses mains le bout de bois avec lequel il s’amusait à être un chevalier. Maélyne le prit et le serra contre elle.

« Que Tyra veille sur toi. »

Maélyne le serra contre elle, déposant son visage contre le sien. Des larmes de peine lui monta alors aux yeux.

« Pourquoi ? …. » Soupira-t-elle.

La Dame était, inconsolable.

La nuit passa sans que personne n’arbore un sourire. Les corps étaient triés, et les blessés étaient soignés.  La Dame décida de partir en direction de la cavité abandonnée en compagnie du nombre d’hommes restant. L’idée de récolter un quelconque gisement avait complètement disparût de ses pensées. Il fallait y retourner pour essayer d’identifier les personnes disparut. En plus l’un des nains avaient bien spécifié, une mère et sa progéniture. Il fallait donc s’en débarrasser.

Une fois arrivée à la grotte, l’un des deux monstres s’était montré agressif envers l’un des soldats qui n’hésita pas à s’en débarrasser. L’autre fit soigneusement capturé.  La Dame devait encore décider de l’utilité qu’aurait la bête.  Mais là n’était pas la question.

Ils pénétrèrent plus profondément dans la grotte et découvrait de nombreux cadavres pour la plus part dévorés.

« Essayer de les identifier. » Demanda la Dame.
« Je souhaites que tous, sans exception soit honoré. »

« Ma Dame (…) de l’hiver prochain. »

« Très bien. »

Maélyne n’en avait désormais que faire d’un quelconque filon. L’important était de récupérer les morts et de les ramener à leurs familles. L’attaque du Kerkand était encore dans tous les esprits. La jeune femme était encore sous le choc. Elle s’en voulait d’avoir lancé cette expédition.

« Nous (…) nos deux parties. »

« Commencez donc, je vous enverrez les hommes à former. Pour ma part, je vais accompagner les victimes jusqu’à Lourmel. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à en référer au messager. »

La Dame s’inclina alors, les remerciant de leur aide. Il était temps de retourner au campement. Une fois sur place, Maélyne demanda à Roland de prendre les devants pour aller annoncer la triste nouvelle aux habitants de la petite cité.

« Coédred. Rassemble tout le monde. Va quérir des bras supplémentaires au village qui se trouve en contrebas. Nous rentrerons dès que tout le monde sera prêt. »

L’intendant de Lourmel s’exécuta. Il était temps de rencontrer et d’honorer ces victimes. La Dame quant à elle retourna sous sa tente. Il fallût quelques heures pour que des villageois arrivent. Les corps seront transportés sur des civières. Ils étaient recouvert d'un drap blanc et de pétales de fleurs rouges. Tradition Lourmelloise que la Dame n'hésita pas à exécuter.