Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios

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Arsinoé Sathrian
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MessageSujet: Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios   Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios I_icon_minitimeDim 11 Oct 2015 - 17:16

Une rue passante de Naelis, derniers jours de Verimios

— De la délicatesse, bon sang ! Combien de fois dois-je le hurler pour que vous compreniez ?

Dans l’animation bruyante de la rue, chacun fut surpris d’entendre assez distinctement la voix gonflée de contrariété qui s’élevait d’un petit équipage occupé à décharger quelque chose d’une voiture à cheval. Deux hommes dont le physique les plaçait d’office dans la catégorie des truands qualifiés soulevaient un grand coffrage de bois, sous le regard attentif, mais furieux, d’une petite femme rousse enroulée dans un grand châle brodé. Et quand on y regardait de plus près, c’était bien ce petit bout de dame que tout le monde ou presque dépassait d’une bonne tête qui ne cessait de houspiller et d’aiguillonner l’équipage affairé qui transportait plusieurs panneaux à l’intérieur de la cour d’une maison noble douillettement nichée derrière ses hauts murs. C’était presque drôle à observer : rien, pas même la trogne balafrée des hommes de main ne semblait réussir à la faire baisser d’un ton, et pour cause. Le prix de ce qu’ils étaient occupés à manipuler avec trop peu de soin à son goût surpassait de loin tout ce qu’ils pouvaient posséder et on aurait sans doute aisément vendu une paire d’entre eux pour acquérir l’une de ces pièces.

— Aélis, ne reste pas dans leurs pattes, voyons !

Cette fois, ce fut une blondinette de quinze ans qui fut la cible des foudres de la maîtresse, et l’adolescente s’empressa de s’écarter du passage pour se mettre à l’abri derrière Arsinoé. Deux autres jeunes gens de son âge, la mine affairée, courbaient le dos en attendant que passe l’orage : quand Arsinoé Sathrian était dans cet état-là, elle balayait tout sur son passage, et ils le savaient bien pour subir ces tempêtes à intervalles réguliers. Au bout d’un moment, on finissait sans doute par s’y accoutumer... Fort heureusement pour tout le monde, cela ne durerait pas et bientôt, chacun pourrait revenir à ses activités normales.

On soufflait et grognait, ça et là : autant les domestiques d’Arsinoé avaient l’habitude du caractère de leur patronne, autant les pauvres gars qu’on avait réquisitionnés pour aider au déchargement des œuvres qu’elle livrait n’avaient pour leur part rien demandé et les circonstances eussent-elles été toutes autres, ils lui auraient volontiers fait ravaler ses récriminations à grand renfort de batte à clous. Ils n’étaient pas assez chèrement payés pour se faire houspiller par une donzelle boiteuse, ça non. Pour couronner le tout, la précieuse cargaison qu’ils devaient porter était lourde comme un âne mort, et plus que difficile à porter dans une rue aussi passante. On bloquait la circulation depuis un moment déjà, mais il était impossible d’aller plus vite en soulevant ces grands panneaux...

Des éclats de voix se firent soudain entendre lorsqu’une altercation débuta quelques mètres plus loin et Arsinoé fendit la foule comme un brise-glace, toutes jupes dehors, pour exposer le fond de sa pensée au charron qui patientait depuis trop longtemps à son goût. L’homme faisait le double de son poids et la dominait de la tête et des épaules, mais la peintre ne se démonta pas, et pas seulement parce qu’elle pouvait compter sur la présence placide, mais dissuasive de l’un de ses gros bras juste à côté d’elle. Voyant venir quelque chose d’intéressant, l’agitation de la ruelle s’apaisa un peu, au milieu des charrettes coincées, des gamins qui couraient, des gens affairés ça et là auprès des étals et de tout le peuple grouillant à faire on ne sait quoi dans une ville d’Estrévent. Ce n’est pas parce que la circulation est bloquée depuis des heures qu’on ne peut pas profiter d’un peu de distraction, après tout.

Arsinoé claudiqua dignement dans la boue et les détritus qui jonchaient le sol pour se planter face à celui qui leur cherchait noise : les poings sur les hanches et la mine furieuse, on se serait presque attendu à voir ses cheveux se hérisser sur sa tête comme le pelage d’une chatte en colère. Malheureusement pour les spectateurs, tout cela tourna fort court, car la peintre n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche : derrière elle, un des hommes eut le tort de s’intéresser d’un peu trop près à ce qui allait se passer, posa un pied mal assuré dans une flaque traîtreusement placée et dérapa jusqu’à perdre l’équilibre.

L’instant de la chute s’étira comme un dans un infini presque silencieux tandis que Arsinoé frôla la syncope en regardant le coffrage de bois basculer, glisser des mains de celui qui le tenait encore, et tomber au sol dans un long craquement sourd. De la paille s’échappa de la fissure, et une seconde plus tard la peintre retrouva bien assez de souffle pour hurler une bordée d’injures savamment formulées qui vouèrent aux gémonies l’infortuné porteur, sa descendance et son ascendance sur douze générations au moins. L’effet fut malheureusement quelque peu gâché par la vague d’exclamation et les quelques sifflets moqueurs qui fusèrent de ceux assez proches pour assister à la scène. L’agitation redoubla, après cela, car il fallut autant relever le fautif que s’assurer de l’intégrité du précieux chargement, tandis qu’on s’impatientait de nouveau de tous les côtés.

— Allez tous au diable, pesta Arsinoé en se baissant pour inspecter la catastrophe. Et toi, ne reste pas là, aide-moi donc !

Elle avait lancé cela à une petite silhouette à l’extrémité de son champ de vision, croyant qu’il s’agissait de Pietro, l’un de ses plus jeunes apprentis.

— Es-tu devenu sourd, garnement ? Apporte-moi de quoi calfeutrer ça, tout de suite !

Ce disant, elle se tourna vers lui, et s’aperçut tout aussitôt de sa méprise : certes, la taille était la bonne, mais de toute évidence, ce n’était pas au garçon qu’elle s’adressait, mais à un nain d’allure d’autant plus curieuse que la peintre n’en avait guère croisé au cours de sa vie. Les nécessités de la courtoisie ne furent pas suffisantes pour adoucir l’attitude de la jeune femme, et elle se contenta de se fendre d’une révérence bancale, la mine pincée.

— Oh, fit-elle; pardonnez, messire. Je vous ai pris pour l’un de mes feignants d’apprentis.

Elle le dévisagea de bas en haut, ce qui ne prit guère de temps compte tenu de la petitesse de l’individu, puis eut un vague geste dans sa direction.

— Mais puisque vous êtes là, ne vous privez pas pour donner un coup de main si le cœur vous en dit. Comme vous le voyez, toute aide sera la bienvenue.
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MessageSujet: Re: Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios   Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios I_icon_minitimeLun 12 Oct 2015 - 3:31

Un périple pour la recherche d'informations commença à la suite de tout ce qu'il avait traverser chez les nains. On l'avais écouter, juger, compris et surtout aider, mais ça n'avais pas été suffisant pour Zaraz, qui voulais de réelle réponse. Les conseils d'aller errer dans les citée naine l'avait rapprocher de beaucoup de souvenir, mais pas assez pour se dessiner un plan ou se donner une idée de ce qu'il aurait voulût très exactement choisir pour tout reconstituer. Toutefois, tandis qu'il avait été près de ses ancienne terre, il avait trouver des anciens registre et journal de bord parlant de Naelis, comme étant une des ancienne terre visité il y à de cela plus d'une décennie, ce qui piqua la curiosité du jeune nain. Par sa barbe et celle de ses compagnon, il ne pouvait que jurer qu'il aurait beau tenter de résister, il aurait très envie, malgré la séparation que ça engendrerait d'avec les terres naines. Il prit donc à des heures très tardives, la peine de se remplir un sac avec provision, armes, vêtements et surtout alcool. Il allait faire un périple seul dans des terres inconnues et croiser qui sait combien d'humain, d'elfe ou même de Drow! Il s'assura que ses haches étaient affûtés pour le combat, ainsi que son armure polie et prête.

Malgré qu'on lui ai attribuer une chambre pour dormir, il prit la peine de prendre sa plume pour gribouiller lentement une lettre à Kaz, ainsi que ses compagnon de guerre et surtout à Lyora, pour lui dire où il était partit. Il voulait à la fois en découvrir sur son père qui ne semblait pas être le Thane dont il avait cru toute ses années, mais aussi pour savoir si il pourrait en apprendre plus sur Lyora, qui sait. Tout indice qui pourrait l'aider, serait la bienvenue quand même, ainsi il pourrait jouer à l'enquêteur et aborder les intrus dans la rues. Enfilant son sac sur ses épaules, il prit la peine de réjouir une dernière chopine de bière fraîche pour la longue route qu'il l'attendait. C'est enfin lorsque les rayons du soleil commencèrent à montrer leur bout de nez, que Zaraz commença son long périple vers Naelis. Il quitta le village nains sous les ronflements de ses compères en gardant le menton haut et fier et s'attaqua à ce voyage qui allait lui durait presque 10 semaines à pieds.

Il prenait son temps et malgré certaines intempérie rencontrer, bien que faire demie-tour aurait parfois été plus facile que de continuer, le jeune nain voulait découvrir le monde. Au fur et à mesure qu'il avançait, il écrivait tout ce qu'il voyait, par exemple, tout type végétatif, les peuples, les habitations, etc. C'est un peu comme noël à quelqu'un qui à toujours cru que seul son peuple était rois dans tout ce vaste univers qu'il se permettait de découvrir. Évidemment, il aurait aimer simplement n'avoir aucun but et de visiter histoire d'en savoir plus sur le système des diverses peuple qu'il croisa. Les nuits était glacial et très solitaire, mais les jours étaient encore parfois chaude et facilement supportable. Ce fût donc toutefois sans surprise, en voyageant sans répit inutile, qu'il termina par rencontrer Naelis, village dominer par les drows. Il refila les pièces d'or nécessaire à l'entrée pour ne pas se faire annoter comme voyageur dans la ville. Il entra donc dans un silence complet, ce qui lui donna l'occasion de se concentrer sur quelques visites guidées dans la ville et ce qui l'entoure en générale. L'architecture, les monuments, la culture et surtout le langage entre eux ne lui était compris que par peu, ce qu'il le poussa à noter ce qu'ils s'échanger.

Ce qu'il n'avait pas prévus par contre, c'était les regards indiscret qui se tournaient vers lui tel des mouche ayant repérer quelque chose qui pourrait dans un décors fleurissant. Il aurait bien aimer leur crier de regarder ailleurs, mais ça aurait été la manière logique de s'attirer aussi les ennuis inutile en ce moment. Pour l'instant, si il pouvait se trouver une auberge pour aller s'asseoir un peu, boire une bière et oublier ce long voyage qui lui avait prit sincèrement toute ses énergies. Toutefois, alors qu'il allait reprendre le pas, une voix de jeune femme se mit à lui crier dessus, au début il cru que c'était un malentendus, fouillant du crâne autour, mais elle insista encore une fois. Elle venait de le surnommer de garnement? Un sourcil se leva tranquillement sur son visage en ressentant lentement son sang bouillir dans ses veines, une rage de nains qui avait horreur des blagues sur sa taille, d'un goût médiocre. Toutefois, lorsqu'elle se décida enfin à porter plus d'attention qu'un simple regard de vitesse, Zaraz pût enfin lire sur ses lèvres l'expression de la rancune de ne pas avoir prit plus de temps, avant de lui hurler des bêtises dessus.

Il prit donc la peine d'écouter quand même la suite de ce qu'elle avait commencer pour savoir, si elle allait s'excuser ou simplement lui crier d'autre chose, qui pourrait lui donner l'envie de lui enfoncer sa hache entre ses deux oreilles à cette humaine. Ils en avaient de drôle de manière,c'était pourtant pas ce qu'il avait lus dans le manuel qui décrivait leur race, mais bon, les années ça change même les plus solidement encré dans leur habitudes parfois. Elle l'avait, disait-elle, confondus avec un de ses feignant d'apprentis. Drôle de manière de voir des gens qui cherche à apprendre. Le nain toujours les bras croiser, porta une mains dans sa barbe, la caressant et de l'autre l'appuya contre son ceinturon en continuant d'écouter la voix de la jeune demoiselle. Un coup de mains qu'elle lui demandait? Sérieusement! Elle venait de s'acharner sur sa taille et maintenant un coups de mains! Il n'était pas de mauvaise foie envers elle, alors il retira son sac qu'il posa du plus tendrement qu'il fût, le lançant de sa mains droite, contre le sol. Raclant sa gorge, il s'avança d'un pas de plus vers la jeune femme et prit la parole.


-Honnêtement, je n'aurais pas crus mon voyage du village nains à ici, accueilli par un coup de mains, mais si je peux me rendre utile, j'en serai plus que honorer très chère humaine.

Pour lui toute manière ou code de conduite est inconnue en terre nouvelle, alors il ne sait pas comment ils se surnomme entre eux et comment ils se passe le salut. Il observa autour de lui en regardant les gens de race différente de la sienne, souriant devant ses découvertes et par manière de respect posa la question premier.

-Comment dois-je vous appeler? La dame qui surnomme les nains garnements?

Un rire gras sortit de sa bouche en continuant de caresser sa barbe.
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MessageSujet: Re: Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios   Du difficile transport des œuvres d'art - PV Zaraz, derniers jours de Verimios I_icon_minitimeSam 21 Nov 2015 - 13:53

Arsinoé fixa le nain d’un œil, et un rire sordide filtra de sa bouche quand il lui demanda de quelle manière il convenait de l’appeler. Le moment était mal choisi pour faire de l’humour, mais la peintre ne comptait pas vraiment non plus s’autoriser le luxe de l’envoyer paître sans manières.

— Que votre plaisanterie est spirituelle, maître nain, lança-t-elle d’un ton qui laissait clairement entendre qu’elle ne pensait pas un traître mot de ce qu’elle disait. Je m’appelle Arsinoé Sathrian.

Le ton était sec, mais relativement aimable compte tenu de ce qu’on avait pu entendre jusque là : le nain avait le privilège d’être un étranger et la jeune femme épargnait généralement ses tempêtes aux honnêtes gens qui n’avaient pas l’heur de la fréquenter régulièrement. Du moins, quand il n’était pas manifeste qu’ils avaient mérité châtiment de sa part.

Et puis, parce qu’elle n’avait pas vraiment de temps à perdre en mondanités, la peintre s’intéressa de nouveau à la sauvegarde de son précieux chargement, lequel menaçait de prendre l’eau et les détritus de la ruelle qui auraient ruiné le travail de plusieurs mois. Sans plus de formalités, elle ôta son châle et en enveloppa le coin abîmé du coffrage avant de faire signe au nain de l’aider à soulever l’ensemble pour le tenir hors de cette satanée flaque. On vint leur prêter main-forte, parce que chacun savait que malgré toute l’obstination furieuse qu’elle pouvait y mettre, ce n’était pas avec une patte folle que la peintre arriverait à soulever quelque chose d’aussi lourd, mais personne ne fit la remarque pour éviter tout retour de flamme brutal de la part de l’irascible patronne.

L’apprenti que Arsinoé avait pris pour le nain se montra d’ailleurs peu après, et dans une agitation encore plus grande, on se hâta de terminer le transport des œuvres dans la cour de la maison. Au-dessus de la pagaïe flottait la voix de la peintre qui distribuait les ordres avec une autorité de général en campagne, et vu son humeur, nul ne se risqua à la contredire ou à désobéir.

Il y avait une consolation, néanmoins : Arsinoé était dure et exigeante dans quand elle était dans ces dispositions-là, mais elle payait honnêtement et surtout elle récompensait toujours le travail bien fait. Aussi, pendant qu’ils attendaient l’arrivée du client qu’ils livraient, la peintre fit rassembler tous les ouvriers et les valets dans la cour et leur offrit une provende bien méritée. Elle avait pris avec elle quelques outres de bon vin d’Estrévent qui circulèrent parmi tous les gens, et quelques domestiques revinrent avec des paniers de pain et de viandes qui furent bien vite engloutis par tout ce petit monde.

Clopinant sur sa jambe croche, Arsinoé finit par recroiser le nain qu’elle avait si cavalièrement interpellé plus tôt. L’humeur semblait adoucie, la mine un peu moins revêche, et elle lui offrit en guise de dédommagement un de ces sourires mi-figue mi-raisin qui pouvaient dire tout et leur contraire. Mais elle semblait déjà plus aimable, et comme mue par un léger élan de culpabilité, elle ne tarda pas à s’enquérir du bien-être de l’hôte improvisé.

— Merci pour votre aide, sire nain. Et j’espère que vous saurez pardonner à une artiste ses maugréances de mauvais aloi, je puis être d’humeur très chafouine quand il s’agit de l’intégrité d’un travail qui m’a pris des mois.

Une pause, elle chercha visiblement ses mots, comme si elle n’était pas très à l’aise avec ce type de comportements en société.

— On ne voit pas beaucoup de vos semblables par ici, reprit-elle en s’asseyant lourdement près de Zaraz pour soulager la douleur de sa jambe. Vous êtes ici pour affaire ?
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