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 A la découverte de nouvelle sensation ( solo)

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Louve Noire
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Louve Noire


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MessageSujet: A la découverte de nouvelle sensation ( solo)   A la découverte de nouvelle sensation ( solo) I_icon_minitimeMar 2 Aoû 2016 - 21:24


6e jour de la 8e Enneade de  Verimios de l'an 8 du 11e cycle

Après des longues Enneades de voyages, de marche et d’épuisement, Lyarra était à la dernière journée de finir sa vie d’antan et rentrer dans une nouvelle vie en tant que fervente dévoué à Othar. Rochenoire était son dernier point d’arrêt et le nouveau foyer pour sa fille. La ville était impressionnante par ses innombrable forge et la montagne menaçante qui montrer les épreuves que Lyarra devra affronter. Cette région était intrigante avec la curieuse envie d’explorer les environs.

O grand jamais la guerrière n’avait songé de rentrer dans un ordre religieux. Elle était fervente d’Othar en tant que simple mercenaire, mais rentrer dans un culte, cette idée était impensable. Au départ, son désir était d’être une Mercenaire riche, s’émanciper et être une seconde Vieux loup. Peu à peu, sa vie avait prédit autre chose et le culte d’Othar était mieux approprié pour Lyarra. On ne verra pas une future mercenaire riche et mal vue aux yeux de tous mais une Guerrière dévouée à son Père de Bataille. Sa voix était beaucoup plus noble. Son choix de partir à Amblère permit d’avoir cette opportunité et prendre une orientation plus méritante. Kairn était là pour montrer qu’elle méritait sa place dans un lieu dédiait, permettant la mettre en valeur en tant que personne à part entière. Sa drogue qui la fit plonger dans ses rêves l’avaient perturbé qui a permis de reprendre le rôle maternel et de rentrer dans sa voie. Il était certain que la guerrière avait fini d’errer, d’être indécise et se chercher une raison d’accomplir une tache. Othar permettait d’existait, de créer des défis. La guerrière ne pouvait pas vivre sans un défi et surtout être marqué dans les annales.

Cependant, elle ne pouvait pas oublier son nouveau rôle de mère, plutôt, son rôle de paternel en version féminin. Le lien entre Elia et Lyarra étaient un lien qui se construit de fil en aiguille. Elle aimait son enfant, c’était véridique et son cœur restait inchangé mais ne posséda aucun don maternel. Elle n’était pas comme Elisabeth, Lyarra était trop masculine dans sa tête et son choix de vie ne conviendrait pas pour son enfant.  Ainsi, Lyarra avait préparé durant le voyage aux éventuels séparation et retrouvaille pour éviter à son enfant de trop souffrir de son manque de présence. Après une longue réflexion la ville était approprié pour voir sa fille plus souvent et rassurer sa mère de cœur. Elle n’était qu’à une demi-journée du monastère.

La journée fut calme, reposante pour Lyarra. Au temple de Néera, elle s’occupa de sa fille, s’amusant avec elle et discutant avec sa mère. Les deux femmes se rapprochèrent, Elisabeth ne se permettait plus de changer de voie son enfant. La prêtresse demeura fière de Lyarra et de refuser de vivre en tant que Mercenaire comme Vieux loup. Au moins, la prêtresse se rassura que sa fille eût trouvé une voie honnorable et pria pour ses futures victoires et réussite.

Kairn, le moine guerrier se permit de rentrer dans le monastère en attendant son arrivé au sein du Monastère. Il décida de laisser un peu de liberté, connaissant son envie de solitude et de se détendre avant le jour venu. Elle pouvait choisir une nouvelle fois de renoncer à cette voie et être proche de son enfant. Cette pensé effleura son esprit…Mais, ses efforts auront été veine.

En fin de journée, au coucher du soleil, elle profita pour sortir et errait dans la ville dans une totale solitude. Elle prévenait sa mère de ne pas l’attendre pour manger, mais, elle avait un toit pour dormir. Elle avait toute une soirée pour se détendre, draguer, voir prendre du bon temps avec un homme ou des hommes…Depuis combien de temps, elle n’avait plus fait ? Plusieurs Enneades.

En traversant les multiples rues de la cité, elle s’arrêta dans une taverne très animée. Elle vit au loin de nombreuse personne sortir et rentrer. La taverne semblait accueillir les hommes fortunés jusqu’au bas peuple. Elle arrangea légèrement sa tunique de lin et son pantalon noire, son épée à deux mains était accrochée à la lanière de la ceinture. Lyarra marcha en direction de l’endroit animé.

Face à la taverne, elle vit l’emblème de l’établissement, puis, le nom « la bourse vide ». A cette idée, Lyarra se mit à rire. Le nom de l’établissement laissait entendre les diverses connotations et sous entendue et comprit rapidement la raison de la forte affluence du lieu. Derrière l’auberge, des femmes offraient des services de luxure. Le sexe était un bon moyen de finir riche car le monde était guidé par trois chose : le pouvoir, le sexe et la nourriture. Elle le savait car les sociétés humaines étaient régies de cette façon qu’importe les cultures.

Elle rentra, découvrant une énorme salle peuplait de diverses hommes et femmes. A droite, elle vit des tables alignées peuplait de mercenaire, d’artisan, des femmes de petites vertus, des bourgeoises et des marchands. A gauche, elle vit d’autre table et des jeux de tire aux fléchettes et un lieu de spectacle qui fit amusé la clientèle. En face, le comptoir, les tabourets faiblement occupé par les clients. Elle avança droit devant, ne faisant pas gaffe aux mondes qui l’entourait.

S’installant en face du tavernier. Elle quémanda un alcool fort : l’eau de vie. Le tavernier rappliqua avec cet alcool et recevait la somme. Assise, détendue, elle but son alcool fort et se laissa conquérir par la substance. L’alcool avait le don de montrait son véritable caractère. Elle pouvait être colérique, calme oueuse, perverse, gamine voire mélancolique.

Puis, sa solitude fut d’une courte durée. Une femme seule était la cible des loups voulant une louve dans le lit. Le premier loup était un joli blond mais son comportement un peu trop efféminé. Il n’était au gout de cette Louve noire. « Non, pardonnes moi, tu es d’un masculin qui ne me fait pas vibrer. » Le deuxième était beaucoup plus virile, il avait tout pour plaire la guerrière, mais, il était superficiel. Une nouvelle fois, la femme fut frustrée « Tu peux partir, tu m’ennuies déjà. » L’homme répondit en la quittant « Sale Puterelle » Elle fit un geste de main en guise de réponse « Je le suis, oui. Au revoir » Le troisième prétendant répondait au quotidien de la jeune femme. Il était charmant, beau, assez intelligent pour ne pas s’ennuyer. Tout allait bien, cependant, ce dernier joua au jeu et mit un coup d’arrêt à leurs jeux de séduction. Pardonne-moi mais c’était une vengeance et un pari. Sur ce bonne soirée. » Elle poussa un soupire d’exaspération, se faisant avoir par ce dernier. Tant pis, elle préférait boire pour éviter de prendre un homme au hasard et faire ses besoins. Qui sait, aujourd’hui, elle ne pourrait que boire et se contentait de ça..

« Parfois, la soirée n’est pas toujours la bonne soirée, jeune demoiselle »
une voix féminine la sauva de sa futur solitude.

Les yeux de Lyarra se posa sur une femme plus agés. Elle devait avoir une trentaine ou plus. Elle avait une longue chevelure blonde, le regard marron et un sourire espiègle.Elle prit une cruche, servant de la bierre régionale.

« Goutez ça… »
Lya souri, posant les yeux bleus sur son regard noisette

« Je devrais payer…alors, non, je refuse. »
« c’est gratuit. Ça va vous remontez le moral de ne pas trouver de prétendant pour une des nuit sulfureuse » ria-t-elle amusé »
« Un meilleur moyen de vider ma bourse, plutôt, non ? » souri en retour
« Peut-être, peut-être pas. »
« D’où vient ce nom ? La bourse vide…c’est très connoté. »
« Je laisse votre imagination interprétait. Qu’est que vous laisse imaginer ? »

Lyarra se tut un moment, posant son regard sur l’ensemble de la taverne. Elle vit des prostitués en train de chauffer la clientèle, des danseuses et des conteurs. Tout était un moyen de vider la bourse, fauché la personne dans ses plaisirs. Elle sourit un moment tournoyant son verre

« Chaque chose qui est lié au plaisir, on est en train de vider notre bourse. Bourse vide pour la clientèle, bourse remplie pour vous et vos travailleurs. J’aime bien, c’est amusant. En tout cas, vous avez du monde, votre entreprise n’est pas rien. »
« Remerciez-moi, je suis la tenancière de cet établissement. La patronne. »
« Oh. Permettez-moi d’incliner ma tête en guise de votre réussite. Vous n’avez pas de mari qui vous aide ou vous avez fait tout cela toute seule. »
« Toute seule. Je suis une émigrée de Thaar. La vie de thaar est riche et prospère mais les rivalités sont grandes. LE meilleur moyen de se faire connaitre c’est d’exporter l’exotisme dans un autre pays. Le Médian est un bon endroit pour faire connaitre le spectacle. Je n’ai pas de maris, je ne me raccroche pas aux hommes. Ils sont lassant, parfois, je vois plus des garçons qui jouent les hommes que des hommes. Mon dernier époux, je l’ai fait partir car il était alcoolique et décevant. »
« Il faut mieux être seule que mal accompagné. Je confirme oui. Il y a beaucoup de garçon mais peu d’homme. Je vous rejoins.

Elles sourirent un moment. La tenancière laissa la guerrière en train de boire tranquillement. Lyarra profita pour poser son épée sur le bar. Lyarra se permit de regarder le travail de la tenancière.

La Tenancière fit son rôle de tavernière servant les différentes boissons, les serveuses se furent dicté par la patronne. La femme était capable de gérer son équipe de servante avec douceur et autorité. Elle ne vit aucune réelle prise d’autorité, elle fit confiances à ses travailleurs. Les prostitués déposèrent les soldes de quelques clients, demandant un peu de repos et ou les réservations. Au sein de l’auberge, la troupe était soudée avec une grande esprit de cohésion. Elle vit une fille dans un moment mélancolique avant d’être motivé par la patronne.  

Lyarra se contenta de la regarder un moment. Elle n’avait que ça à faire de toute façon, elle avait juste envie de regarder et d’être agréablement surprise de la demoiselle. Puis, le monde commençait à partir prenant des chambres pour certains ou rentrant dans leurs maisons. Peu à peu, Lyarra se retrouva seule et la tenancière déposa une deux bières. Une pour elle, une pour sa dernière cliente. La tenancière l’aurait demandé de partir mais elle avait envie de discuter.

« Dites-moi…Pourquoi une femme a choisi la voie des armes. Une femme dans cette voie est très mal vue dans cette société patriarcale. Pourquoi avoir choisi cette voie ?  Sauf si c’est indiscret, je peux comprendre » elle s’asseye à côté d’elle, buvant son verre d’alcool.

Lyarra souri un moment, ne rétorquant pas tout de suite, elle buvait une nouvelle fois avant de répondre

« Ma mère était une catin, j’ai vue pendant mon enfance les réactions des hommes envers ma mère. Elle n’était qu’un objet. Il suffit de voir que nous les femmes, nous sommes soumis à la loi masculine. La gente masculine dans la majorité voit une femme fragile et faible. Pourtant, les femmes sont très forte et dans diverses manières. On n’a pas besoin d’avoir une continuelle protection. » Elle balaya d’un geste de la main son discours « pour revenir à la question. Porter une épée, me battre est un signe d’indépendance et de liberté. J’ai soif de défis, de dépassement et surtout m’émanciper. »

« Toute femme avec un tempérament fort cherche à s’émanciper. C’est dans notre nature de ne pas se faire gouverner par la gente masculine. Mais, je n’aime pas les armes, je préfère m’émanciper par l’intelligence. Mais, il faut de tout dans ce monde. »

Elle parlait de leurs vies, de leurs difficultés de réussir dans leurs vies et leurs craintes. Autour d’un feu, elles buvaient, s’enivraient dans leurs alcools partageants leurs rêves et des souvenirs de leurs vies. Dans cette rencontre amicale, en guise de connaissance. Les deux femmes oublièrent leurs méfiances, mais, à une belle rencontre d’une soirée.

Puis, quand la Lune fut si haut. La main de la tavernière se glissa sur l’autre main. Elle sourit, amusée comme une gamine en train de faire une bêtise. LA guerrière la toisa du regard, résistant faiblement à la tentative fougueuse de la tavernière. L’alcool n’aidait pas à résister. Puis, leurs lèvres se joignirent, se collants d’avantage…Le regard de la guerrière marquait une grande surprise avant de se laisser faire docilement.

« Mhhh…..les lèvres alcoolisé est très agréable à embrasser. » souri avant de tirer sur le col de la guerrière. « Viens… »

Docilement, la Louve se laissa guider par la matrone…Se demandant ce qu’elle réserva à la guerrière.



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