Kholl’Phétaïr, Drow, mais avant tout mercenaire

Identité

Nom/Prénom : Kholl’Phétaïr
ge/Date de naissance : 309 ans, il est né un jour de Karfias de l’an 700 du Xe Cycle.
Sexe : Masculin
Race : Drow
Faction : L’argent Aucune, bien qu'il travaille principalement en Ithri'Vaan
Alignement : Chaotique neutre
Liens notables : Aucun à priori.

Particularité : Ancien soldat du IV Ost eldéen, ses anciens frères d’armes pourraient le reconnaître, les autres seront interpellé par sa race lorsqu’il se trouve hors d’Ithri’Vaan. Pour tous, ses quelques cicatrices attireront certainement l’attention si dévoilées, ou bien les deux tatouages présents sur l'intérieur de chaque avant-bras.

Métier : Mercenaire
Classe d'arme : Corps à corps (Épées droites et bâtardes, cimeterre, maniement d’une seules ou deux de ces armes en simultané)

Possessions & Equipements :
Il possède à l’heure actuelle peu de choses dans ce monde. Il est vêtu d’un plastron de cuir bouilli. Ce plastron s’accompagne d’un pantalon et de bottes pareillement armés ainsi que de gantelets renforcés par une double couche de cuir durci. Cet équipement n’offre pas une résistance et une protection aussi impénétrable qu’une armure de plate mais lui permet une grande liberté de mouvements.
Il dispose à sa ceinture d’une épée droite en acier d’un côté et d’un cimeterre de l’autre, ce dernier étant une sorte de souvenir de sa vie de soldat sans pour autant être celui qu’il portait alors.
Voilà pour ce qui est de l’attirail du Drow.

Apparence :

• Taille : 2m
  
• Couleur des yeux : Rouges
  

Sans déconner, vous pensiez que ça allait suffire ? D’accord la description physique ce n’est pas la partie la plus importante à mes yeux mais tout de même, ça mérite de s'épancher un peu plus tout de même.

Nous avons donc à faire à un Drow solidement bâti, grand même pour un membre de son espèce et doté d’une carrure qui force le respect. On pourrait presque penser que son corps tout entier a été façonné pour le combat, bien que cela résulte en grande partie de l’entraînement rigoureux et constant qu’il s’inflige. Sa grande taille en revanche est parfaitement héréditaire, bien que pratique pour intimider un adversaire elle constitue parfois un désavantage lors de combat dans des lieux restreints.

Mais revenons à de la description. Son visage, qui sera la partie à mémoriser si vous souhaitez le reconnaître sur les chemins, arbore deux yeux d’un rouge très pâles. Certains le considère de fait comme un aveugle, avant de se rendre compte que sa vue va on ne peut mieux. Ce regard sévère est surmonté d’une chevelure d’un blanc plus que caractéristique des elfes sombres. La longueur de cette dernière varie au fil de ses envies ou de ses besoins mais est, pour l’instant, plutôt longue et laissée la plupart du temps détachée. En revanche, si vous le voyez attacher le tout en une queue de cheval sachez qu’il va y avoir de la danse et que le ballet risque d’être plutôt sanglant. Enfin, pour rester dans le thème de la pilosité, il ne porte aucune barbe par nature comme par envie car bien qu’il soit imberbe cela l’arrange.

Pour terminer, et bien que nous ayons déjà parlé de son équipement un peu plus haut, parlons un peu des tenues qu’il portera et dans lesquelles vous seriez amenés à le croiser. En fait ce point-là sera le plus rapide à traiter. Il ne se sépare jamais de sa tenue de combat, considérant qu’il pourrait avoir à se battre n’importe où, n’importe quand. Même pour se présenter à ses clients il ne la troquera pas pour un pourpoint ou un quelconque autre habit plus “présentable”.

Maintenant nous avons fait le tour… Quoiqu'à bien y réfléchir il nous manque une petite partie de sa description physique. Bien sûr elle n’est pas primordiale car il paraît peu probable que vous soyez amené à découvrir ces parties-là de son corps. Je parle bien sûr des cicatrices et tatouages portaient par le mercenaire. Comme je l’ai expliqué un peu plus haut, il porte en effet des stigmates de sa vie de soldat ainsi que ceux de la dévotion des eldéens à leurs dieux. Pour faire un inventaire rapide desdites cicatrices, elles ne sont déjà qu’au nombre de trois : une résultant d’une flèche venue se loger juste sous sa clavicule gauche, non loin de la jointure de celle-ci à l’épaule du guerrier, la seconde sur l’omoplate droite et résultant d’un coup de hache. Enfin, la dernière et la plus impressionnante de ses traces est celle qu’il porte au niveau du flanc droit. Il s’agit d’une morsure de Makragnos l’ayant bien amoché. On distingue les traces de dents qui sont présentent aussi bien au niveau des abdominaux que dans son dos et forment un tracé irrégulier et assez impressionnant. Bien que la blessure soit bien refermée et ne soit plus qu’un mauvais souvenir, on imagine assez aisément l’état dans lequel le soldat devait être alors que celle-ci était encore béante...

Personnalité :
Vous vous en doutez, il a hérité une certaine proportion de sa personnalité de son ethnie et du traitement tout particulier des drows dans le Puy. Néanmoins il se distingue de la plupart de ses congénères par son absence de fanatisme. Non pas qu’il ne soit pas pieux, il vénère comme il se doit les deux divinités qui lui fournisse du travail et par conséquent de quoi se nourrir et possède bien un ou deux tatouages en l’honneur de ces derniers, mais il n’est pas aussi extrême que la majorité des eldéens.

Enfin, il ne l’est plus, ou plus de la même manière. Bien sûr comme tout Drow, et particulièrement comme tout soldat eldéen, il fut très pieux, observant à la lettre les enseignements d’Uriz. Il tuait les ennemis du Puy pour faire honneur à son dieu, il punissait  et étriper car c’est ainsi que le duo divin réclame son dû. Mais à force de combats, ce n’est plus tant la ferveur religieuse qui l’anima qu’une ferveur purement guerrière, le frisson de la bataille, l’incertitude de la survie dans un combat, la tension dans l’air et l’excitation lors d’un affrontement. C’est ainsi qu’il finit par reconsidérer le message d’Uriz, pour lui combattre et faire la guerre n’était pas une façon de rendre hommage au Dieu de la Guerre, ce même Dieu avait créé celle-ci pour distraire les êtres vivants, les forcer à se surpasser et finir par atteindre un idéal guerrier.

Nous abordons ainsi une autre facette importante de la personnalité du guerrier, son obsession pour le combat. Seule activité ayant de l’intérêt à ses yeux, il vit chaque combat comme un sport, comme un moyen de se dépasser et d’atteindre un stade toujours supérieur dans la maîtrise de ses armes et de l’art de la guerre. Son ambition est seulement de pouvoir continuer à se battre et de ne tomber raide mort que contre un adversaire plus puissant encore. La gloire lui importe peu, pas plus que les distinctions, les montées en grade ou même les responsabilités, il laisse cela à ceux qui les désirent ardemment.

Pour parler un peu plus de ce qui le caractérise, c’est une personne pragmatique, il ne fait que ce qui lui est bénéfique, là encore un trait hérité de sa race. Hormis cela, il est attiré par l’argent pour ce que ce dernier peut lui apporter, à savoir la possibilité de se déplacer, de survivre jusqu’au prochain combat ainsi que l’achat d’un meilleur équipement.

Bien qu’obsédé par le combat, il n’est pas pour autant antipathique et vous pourrez toujours tenir une discussion avec lui si cela vous chante. Bien sûr il mettra plus ou moins d’entrain dans ladite discussion si ce que vous dites est intéressant pour lui d’une quelconque façon.

Une dernière précision à son sujet. Il n’est pas susceptible ni à cheval sur son image ou son honneur. En revanche gardez bien à l’esprit qu’il adore se battre alors ne lui donnez pas une bonne raison de vous taper dessus en l’insultant ou en jouant à tester ses limites. Vous pourriez vous en sortir avec, pourquoi pas, un ou deux os brisé et votre orgueil à ranger au placard.

Capacités magiques :
Aucune.

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Histoire

Chapitre premier, enfance et éducation eldéenne.

C’est pile en l’an 700 du X Cycle que vit le jour le fils d’une maître d’arme personnelle d’une puissante famille eldéenne et d’un père Veldruk. Ainsi, Kholl’Phétaïr fut élevé par sa mère pendant la toute première partie de sa vie, comme plus ou moins tous les Drows par ailleurs. La particularité étant que, du fait du métier de sa mère, il reçut très tôt un entraînement très spécifique au combat, très spécifique mais aussi très dur, il reçut son pesant de coups et apprit à la dure à s’endurcir et à encaisser. Avant même de subir l’éducation imposée à tout jeune Drow, il savait se battre selon plusieurs techniques de corps à corps, aussi bien armées qu’à l’aide de ses seules mains. Il se montrait plutôt doué, et travailleur. Enfin nous dirons plus précisément qu’il se donnait à fond pour progresser dans le domaine du combat, voulant toujours aller plus loin.

Cette amour du combat lui est venu avant même de bénéficier de l’entraînement de sa génitrice, mais bien en la voyant travailler avec le fils de la puissante famille, âgé alors d’une quarantaine d’années de plus. Les mouvements fluides, la tension qui planait lorsque la mère battait platement son élève pour lui apprendre l’importance des placements, de la garde, tous les concepts inhérents à la survie dans un combat. Il était peut être à l’époque plus fasciné par les talent de la maître d’arme que par la complexité de cet art. Néanmoins, il tomba bien amoureux de cette science et du nombre de variantes possible, dépendant presque exclusivement de la situation et des deux combattants. C’est sans surprise qu’il prit l’entraînement militaire plus qu’au sérieux une fois en âge et devint bien vite un très bon élève. De plus, bénéficiant de cours supplémentaires grâce à sa mère, il était à cet âge la fierté de ses parents, le voyant déjà gravir les échelons plus vite qu’eux même ne l’avaient pu.

L’enseignement religieux et plus particulièrement le culte d’Uriz avaient une place très importante dans la vie du jeune combattant. Evidemment la religion a une place prépondérante au sein même de la société eldéenne, mais sa passion pour le combat plaçait forcément le dieu belliqueux à une place toute particulière dans la vie du noireau.

Chapitre second, l’éternel sans-grade.

C’est sans grande surprise qu’une fois ses 100 ans révolus, il s’engagea dans l’armée eldéenne. Malheureusement pour lui, la soif de conquête commence déjà à s’essouffler et il ne participe même pas à la campagne en Anaëh. Au lieu de cela, il est assigné au IV Ost, chargé de pacifier, et surtout, de maintenir le calme et l’ordre en Ithri’Vaan. Bien sûr il sera volontaire pour chaque mission entraînant un affrontement, que ce soit contre des bandits, des rebelles ou même des créatures menaçant le commerce, les récoltes, et plus particulièrement l’approvisionnement de l’Ost en ressources importantes.

Grâce à ce volontariat systématique, Kholl’Phétaïr put faire ses preuves et se vit ainsi offrir quelques promotions et gains de rangs. Cependant être un décideur ne l’intéressait nullement, aussi refusait-il systématiquement toute promotion qui lui était proposée. Bien sûr il était considéré comme une bizarrerie au sein de l’armée et l’histoire finit par arriver aux oreilles de ses parents. Ceux-ci ne comprenaient guère les choix de leur fils pourtant si prometteur. Ils tentèrent de comprendre le jeune Drow, de le convaincre de gravir les échelons le plus vite possible, car c’est ainsi que fonctionne la société, que la reconnaissance vient avec le grade. Il resta pourtant inflexible et ne répondit même pas à la totalité des lettres qu’il reçut. C’est sans grande surprise qu’il finit par ne plus recevoir de nouvelles, sachant le tort que causaient ses choix à ses parents.

Il fut un jour où il faillit périr sans avoir connu de combat digne de ce qu’il cherchait, les campagnes elfiques n’avançaient guère et il était toujours coincé en Ithri’Vaan à mater des révoltes sans envergures et à déloger des bandits s’attaquant aux marchands et aux provisions destinées à l’armée, en somme à participer à la violente répression exercée par le IV Ost. Cette répression constante et intraitable amena chez lui certains changements. Ne vivant jamais de batailles dantesques sa soif de combat et d’affrontements ne faisait que s’amplifier. Devant obéir aux ordres des supérieurs, il ne pouvait choisir ses adversaires, il devait consentir à garder quelques survivants afin que ces derniers deviennent esclaves dans les terres d’origine de l’armée. Tout cela le mena dans une voie s’écartant du fanatisme classique, orienté vers une ou plusieurs figures divines du panthéon Drow. Sa ferveur à lui se tourna de plus en plus vers le combat et l’art derrière ce dernier. Il ne combattait plus tant pour honorer ses dieux que parce que le combat était devenu sa raison de vivre.
Pour en revenir au jour où il faillit mourir, une mission plus palpitante finit par leur être proposé. Un détachement de 50 soldats, 29 fantassins, 20 archer et un Veldruk, allait être dépêché dans l’arrière-pays où une bête monstrueuse avait élu domicile, dévorant les fermiers et le bétail, perturbant l’acheminement de viande pourtant si importante au mode de vie des soldats. Encore une fois, le soldat sans grade se porta volontaire pour terrasser le monstre. Il était alors âgé de 267 ans.

Il n’y avait que très peu d’informations concernant la cible, celle-ci ne laissant jamais de survivant les seules données disponibles étaient la taille des empreintes parfois laissées ou les traces de morsures et de griffures tout aussi terrifiantes laissées dans les quelques dépouilles retrouvées.

Le plus dur une fois sur le terrain ne fut pas de débusquer la bête, celle-ci laissant suffisamment de cadavres et de traces de sang pour pouvoir remonter jusqu’au lieu où elle nichait. Non, le plus dur fut bel et bien de la tuer. Et 50 Drows ne furent pas de trop pour tuer ce Makragnos étrangement agressif. Pour être tout à fait honnête, il surprit même les soldats qui avaient sous-estimés l’odorat et le tempérament de leur cible. Et ils ne tardèrent pas à le regretter lorsque celle-ci, dont la robe se fondait parfaitement à l’environnement semi-boisé, surgit et fondit sur la troupe armée, mettant hors combat 6 fantassins grâce à une charge puissante. Ces 6 soldats ne relevèrent jamais. Le branle-bas de combat fut ordonné dans l’instant et la lutte débuta. Les puissantes griffes et les dangereuses mâchoires emportèrent une dizaine de soldats supplémentaires, leur hôte ne souffrant guère des assauts de flèches qui ricochaient contre l’épaisse carapace dorsale. Seuls quelques braves guerriers en première lignes purent infliger quelques blessures superficielles aux pattes et sur l’abdomen du monstre.

Les rangs des sombres s’amenuisaient alors que le monstre ne semblait pas faiblir. La situation commençait à être critique et il ne restait alors plus que 30 soldats. C’est alors que Kholl’Phétaïr, tentant le tout pour le tout dans ce combat désespéré, lança son bouclier au visage du monstre, ramassa un second cimeterre d’un frère d’arme tombé au combat et fut interrompu dans son acte par les mâchoires venant se refermer sur son flanc droit. Sans l’armure solide fournie par l’armée, il aurait pu dire au revoir à la portion saisie par son adversaire. Au lieu de cela, et avant d’être projeté plusieurs mètres plus loin, il parvint à entamer la chaire de la bête dans le cou, à la base de la mâchoire précisément, ainsi qu’à enfoncer profondément le second cimeterre dans l’œil gauche du Makragnos.

Ainsi se terminait le combat pour sa part, laissé saignant abondamment par le monstre qui fut achevé peu de temps après grâce aux blessures qu’il suffisait d’élargir. Ainsi, de cette expédition ne revinrent que 27 Drows, dont 3 blessés n’ayant pas succombé durant la route, Kholl’Phétaïr compris. Il fut convalescent plusieurs mois avant d’être pleinement remis et ne garda pour seul souvenir de ce combat qu’une cicatrice imposante donnant une idée monstrueuse des dégâts qu’auraient infligé la même morsure sans la robuste armure de l’armée eldéenne.

Les 37 années suivantes au sein du IV Ost ne furent pas réellement remplies, à l’exception du mois qu’avait duré le voile, plusieurs groupes fanatiques humains prédisant la fin du monde troublant l’ordre public, les sombres soldats furent chargé d’un grand nombre “d’arrestations”. De son côté, le soldat n’y prêta que peu d’intérêt, tous semblaient y voir un signe divin et lui ne voyait qu’un ciel sombre comme sa peau. Encore une fois, la seule incidence que cela eut sur sa vie fut l’augmentation de trouble-fêtes qu’il fut chargé de calmer ou de tuer. Il se dit que ce ne fut qu’une longue nuit, une nuit bien agitée, encore plus chez les Hommes pour lesquels un cycle représente pas loin d’une quarantaine de générations alors que chez les siens cela ne dure que trois voire quatre générations. Durant cette nuit tout était gris, plus seulement les elfes sombres, toutes les races virent leur pires côtés éclater au grand jour.

Puis, lors de l’an 4, le morcellement de l’Ost survint et un choix s’offrit au plus si jeune soldat Drow. Il pouvait rejoindre le Puy et espérer une meilleure affectation dans un autre Ost, chose assez peu probable vu les périodes de trouble et d’instabilité, ou alors rejoindre l’un des officiers de l’armée démantelée dans sa conquête de terres et de richesses, ou alors faire le choix de l’indépendance, quitter purement et simplement les rangs et vivre une autre vie. Il se dit alors qu’une vie de mercenaire serait forcément plus chargée en combat qu’une vie sous les ordres de chefs cupides et obsédés par le pouvoir, du moins plus chargée en combats intéressants. Il se dit qu’il pourrait sélectionner avec choix ses combats et ses contrats, peut-être même provoquer la chance, pourquoi pas. Cette idée le séduit, il repensa à la bête qu’il avait tuée plus tôt, une trentaine d’années plus tôt en fait. Bon, il ne l’avait pas vraiment tué et avait failli y rester. Mais il se dit que s’il ne restait pas dans une armée régulière et choisissait le mercenariat il serait libre de se battre quand il le désirait, il ne serait plus obligé de suivre des dogmes et de se plier à un style et un équipement qui ne lui conviennent pas pleinement. Même si cet équipement lui avait sauvé la vie une paire de fois, il n’était aussi libre de se mouvoir qu’il le souhaiterait. Sa décision fut donc prise et dans le tumulte du démantèlement, il put se dérober sans craindre l’accusation de haute trahison.

C’est ainsi que débute le troisième chapitre de la vie de Kholl’Phétaïr, il commença petit, afin de gagner l’argent nécessaire à l’achat d’un matériel adéquat et de gagner un peu de reconnaissance pour ses actes, afin d’attirer l’œil des gros clients offrant des contrats plus intéressants et dangereux.

HRP:

Salut Kholl et bienvenue à toi

Petit passage rapide sur ta fiche pour t'indiquer que je vais essayer de m'occuper de toi au plus vite.
Je te fais un retour sur ta fiche très prochainement !!

À bientôt

Ca y est, j'ai trouvé le temps de lire ta fiche

L'histoire que tu nous présente est intéressante. Le fait que tu ais profité de l'affiliation passée de ton personnage au IVième Ost pour le rendre mercenaire aujourd'hui est astucieux. Et j'ai beaucoup aimé la manière dont tu t'adresses au lecteur, surtout dans la première partie de ta fiche, cela rend la lecture d'autant plus intéressante.

Je ne vais pas tergiverser plus longtemps, tu es validé !
Je te donne la couleur jaune car ton personnage vit depuis longtemps en Ithri'Vaan et il semblerait que tu vas faire au moins ses premiers RPs là-bas.

Code:

[Métier] : Mercenaire

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Chaotique neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des questions, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.