Sorne [Kata]

Identité

Nom/Prénom : Sorne, dit Pied-de-corbeau.
Âge : 27 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Peuples Libres
Alignement : Loyal Mauvais
Liens notables :

Particularité :

Métier : Guerrier et chef de clan
Classe d'arme : Corps à corps

Possessions & Equipements :
Son clan vit dans le pays de Skógr non loin de la grève de Mitfell. Une contrée remplie de valons boisés et où la lumière du jour ne perce que rarement l'épais manteau d'épine des conifères. A la belle saison, lorsqu'il fait plus chaud, Sorne et les guerriers du clan partent à la recherche de raids chez les autres clans ou chez les fers-vêtus d'Oësgard et de Serramire.
Ses seules autres richesses sont le fruit de ses rapines, sa maille usée et ses armes ébréchées : un scramasax et une belle une épée à deux mains, volées aux fers-vêtus après les combats menés contre eux ; et plus particulièrement à un chevalier dont le blason arborait un calice... Son bien le plus précieux est un torque en or, qui marque son appartenance à la tribu des Fellings.

Apparence :

• Taille : 1m80.
  
• Couleur des yeux : Des yeux vairons : un iris bleu et l'autre marron.
  

Sorne est un Wandre, comprenez : un sauvage. Le jeune homme n'en arbore pas moins un visage fin et gracieux, la pommette des joues saillante - signe d'astuce, l'œil ouvert et intelligent, et le nez finement dessiné. Comme la plupart de ses semblables, il est de grande taille et tout en muscles, avec une épaisse chevelure noire et inculte, qui ondule sur ses tempes et ses épaules. Deux mèches tressées tombent de part et d’autre de son visage et ses yeux vairons peuvent mettre mal à l'aise les étrangers, mais chez les Wandres on parlerait plus volontiers d'une "marque" des dieux. Superstitions. Peut-être, examinant l'angle de la mâchoire et la courbe de la bouche, un œil physionomiste, attentif aux manifestations de l'âme surprendrait-il une certaine dureté froide.
L'aiguille qui a percé sa peau a aussi laissé des traces. Des tatouages bleus ornent son torse, ses épaules et ses cuisses musclées. Des spirales et des nœuds d’éternité partent du poignet pour s’étendre le long de son bras, sur son torse, sa gorge et sa joue et son épaule. Ils sont le signe de son appartenance à la société des guerriers.
Un corps finement sculpté à force de courir par monts et par vaux, couvert d'une broigne et portant son barda sur le dos. Il porte un bracelet à oves creux à sa cheville droite, en fer et non pas en simple cuivre pour signifier que son rang et son prestige de guerrier sont élevés. Le seul autre bijou qu'il porte est le torque en fils tressés d’or passé autour de son cou. Ses membres couturés de cicatrices témoignent aussi d'une vie au grand air. Une vie pour le moins agitée : l'homme ne passe pas inaperçu hors des Wandres.


Personnalité :
Le Wandre est un être fougueux au tempérament emporté, peu diplomate et qui n'aime pas passer par quatre chemins pour exprimer son avis. Primesautier, nerveux, orgueilleux et querelleur, Sorne est un jeune homme taciturne et aussi un peu fol. D'un naturel réservé et peu bavard, l'histrion murit ses projets avec discrétion. Dans les rapines et la guerre, il a trouvé l'enivrante et dangereuse fusion de l'aventure et du sang. Les sournoiseries l'écœurent et sa fierté ne connait pas de limites.
Il lui faut parfois quelques séances d'humilité et de pardon pour se remettre dans le droit chemin, mais il est toujours sociable en bonne compagnie. Lorsque le clan se réunit autour du grand feu, il exerce son don pour la poésie à la façon des Skalds : ces merveilleux conteurs qui vont de clans en clans, échangeant leurs histoires contre une maigre pitance et un foyer temporaire, le temps d'une halte.

Capacités magiques :
Votre texte ici

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Histoire

Au commencement, le monde appartenait aux ténèbres et ne connaissait ni le soleil ni le jour... Dans cette nuit éternelle, les anciens racontent que la lune et les étoiles n'existaient pas... Cependant toute sorte de bêtes, d'oiseaux et de créatures vivaient déjà sous le règne de la Mère des Voix, du Père des Montagnes, du Grand Tourteau et d'Osa, la Mangeuse d’Hertis, de celui du Grand Cornu, de la Femme Eplorée et de leurs nombreux enfants...

C'était un temps béni que chantent encore les Skalds avec leur harpe, au coin du feu. Un temps de légendes, depuis bien longtemps révolu... Un temps où n'étaient pas encore apparues les hordes de Gobs et la grande créature ailée crachant du feu.

Seul, vêtu d'une tunique de laine légère bariolée de vert et de bleu, nouée autour de la taille par une fine cordelette en lin, un homme avançait sans bruits, tenant par les rênes son petit cheval, effleurant les herbes et écartant doucement les fougères de ses mains pâles.
La bise, légère mais mordante, qui souffle entre les grands pins des contreforts des Hortles et des monts Umenasts gifle sa peau. Mais il n'en a cure. Il parcoure les derniers lieux qui le sépare de son but sous la conjonction de la lune et des étoiles et pénètre dans une clairière, jusqu'à une cascade bercé d'un chant cristallin.
Là, au beau milieu des arbres, perdu dans la végétation, on entend sauter les poissons dans l'eau claire et limpide d'un torrent de montagne.
L'homme laisse sa monture et s'avance jusqu'à une plage de galets, descendant en pente douce dans le lit du cours d'eau et ôte sa tunique maculée de boue.
Les enfants ne naissent que pour grandir, disaient en souriant les vieillards.
A sa naissance, Sorne avait d’abord été confié à la garde des femmes. Il y avait développé une curiosité toujours plus grande pour le monde qui l’entourait, celui des Dieux et des Déesses que représentaient les statues de pierre érigées ça et là de par les landes et les forêts. A six printemps, il avait apprit les secrets de la terre, écoutant les oiseaux qui sifflaient dans les arbres et apprenant à reconnaître le chant clair de la grive, celui du pinson et le cris de buses et des rapaces, puis à les imiter. On lui apprit à compter, à nommer les ruisseaux, à reconnaître l’âge d’un arbre et la peur des dieux. Et quand chanta dans son cœur le murmure des rivières et des sources d'eau, il sut que toute vie participait du même règne : celui du Père des Montagnes et de la Mère des Voix, assistés des autres dieux et déesses. Et qu'il communiait au même cœur où battait l'univers.  
Son clan vivait dans le pays de Skógr non loin de la grève de Mitfell. Une contrée remplie de valons boisés et où la lumière du jour ne perce que rarement l'épais manteau d'épine des conifères.
D'aussi loin qu'il se souvenait, il avait toujours été un enfant curieux. Prompt à patauger dans les ruisseaux et les combes, à courir les chemins ou à importuner les pâtres, avant de se musser dans les premières rixes venues. Un enfant débrouillard, en somme. Et plutôt dégourdi, plaisantaient les anciens. Si bien qu'à ses treize ans, on lui avait apprit à chasser et on l'avait initié aux tâches de la communauté, tandis qu'à quinze, il découvrait la chaleur de l'étreinte d'une femme. Enfin, on l’avait envoyé s’entraîner avec les autres adolescents du clan. Une vie de labeur, mais un labeur heureux...
Là, au milieu du roux vif des épicéas dégoulinant de la sève printanière qui enflait en eux, parmi les clairières et les fondrières, le jeune homme avait été initié au maniement du gourdin, de la fronde et de la lance. On lui avait enseigné le maniement de la hache, qui pouvait briser des membres et fendre des crânes d’un seul coup, mais dont le métal en fer était rare à trouver. On lui avait enseigné l’art de la chasse, qui est comme chacun le sait, pour tout homme, un bon entrainement pour la guerre. A seize printemps, il avait tué son premier boeuf wandrais : un vieux mâle dont les immenses cornes étaient venues orner la demeure de ses parents.
Englué dans le limon d'une rivière, le solitaire se trouvait prisonnier dans la boue noire et collante tel un oiseau de proie qui se serait sottement laissé attrapé par une pieuvre... et tiré vers un fond d'un noir d'encre. Une cible en apparence, mais une créature acculée est toujours plus dangereuse qu'un gibier qui fuit. Lorsqu'il est acculé, le boeuf wandrais fait usage de ses cornes, qui peuvent se révéler des armes redoutables et vend chèrement sa vie...
Son premier trophée.
C'était ce jour-là que la Malenuit était apparut dans le ciel. Celui-ci s'était embrasé de mille feux d'abord, puis la lumière du jour et de la lune avaient laissé place à une obscurité angoissante. Les ombres s'étaient fondues les unes dans les autres, comme si les ténèbres avaient été un liquide noir et sirupeux dont se nourrissait les esprits de la forêt. Les Fellings vénèrent la nature... et elle le leur rend bien. Les sages de la tribu et les shamans en avaient tous déduis qu'un profond bouleversement était à attendre. Mais lequel ? Nul ne l'avait su dire alors. Ni pour quand exactement il surviendrait.
Mais de tout cela il n'avait cure : l'heure était à l'insouciance. Dans une contrée aussi sauvage et hostile que les Wandres, on apprend vite à relativiser les soucis et les tracas quotidiens. A quoi bon vivre, sinon ? Il avait grandit auprès de ses compagnons Ulf Barbe de Soie, Harald à la Belle-Chevelure et le Briseur-d'os et livré ses premiers raids à leurs côtés.

S'étirant voluptueusement, Sorne se défait de la broche qui enchâsse ses cheveux couleur de corbeau et, d'un geste ample, les libère.

Bien qu'âgée de vingt-sept années - un âge respectable dans les Wandres -, les assauts du temps n'ont pas épargné son corps. Quoi de plus normal après tout ? Estafilades et plaies s'y succèdent de part en part. Les balles de fronde des clans voisins, les javelines et parfois les flèches des fers-vêtus ont couturé son corps de cicatrices. Ce sont des marques acquises lors des raids et pour rien au monde il ne les troqueraient : elles prouvent son appartenance à la caste des guerriers, la plus noble et la plus reconnue chez les Fellings. Ici, dans cette terre reculée et sauvage, les compétences martiales et le charisme d'un homme lui apportent gloire et pouvoir d'avantage que sa parenté ou son labeur.

Lorsqu'il est entièrement nu, le gandin pénètre dans l'eau, doucement d'abord, habituant son corps frêle au contact de l'eau glacée. Puis plus gaillardement, plongeant des pieds à la tête dans l'eau claire.
Le jeune guerrier émerge directement sous la cascade et laisse le jet de celle-ci lui masser les épaules et le dos, aspirant à pleine bouche les gouttes rebondissant sur son corps. Il s'abandonne à une longue méditation. Dans un premier temps, les fers-vêtus étaient venus sur les rives de la Grande Mer. Ils avaient fait leur trou là bas, construisant une grande enceinte de bois et de terre, et ménageant des alliances avec certaines tribus de la côte contre d'autres. C'est ainsi que Sorne avait appris les rudiments de la langue des fers-vêtus.... Par la suite, sans vraiment qu'il sache encore pourquoi, ils avaient délaissé l'endroit. N'y laissant que quelques dizaines d'hommes en armes, leurs femmes et leurs enfants... juste avant que celui-ci ne soit attaqué par une importante bande descendue du Sigolsheim. L'assaut avait été sanglant ; il était mené par les redoutables Ulfednars, que les fers-vêtus n'avaient repoussé qu'in extremis. L'assaut avait été vain et les terribles guerriers de Loup-Gris, leur chef, avaient été vaincus.

Curieux, Sorne jette son regard sur les dizaines de petits poissons, étranges et agiles formes argentées qui viennent glisser autour de lui et lui chatouillent pieds et chevilles.

Il voit les couleurs peintes sur sa peau - ses couleurs, celles de la tribu des Fellings -  à la poudre de la fleur de guède, dont il s'induit le visage avant chaque bataille, se diluer dans l'eau au fur et à mesure qu'il pénètre celle-ci plus avant. Ces peintures invoquent la protection du Père des Montagnes et de la Mère des Voix. Puisées dans le limon du Grand-Fleuve, celui que les fers-vêtus appelle Oliya, ou dans l'Olfenin, la principale rivière sillonnant les marais, ces couleurs marquent le passage rituel de l'âge d'enfant à celui de l'âge adulte. Elles indiquent à toutes et à tous son rang dans la société clanique des Wandres. Celui de guerrier et de chef.
A l'arçon de sa selle, il a accroché deux têtes coupées qui en attestent. Celles de deux chevaliers, aventurés dans les Wandres avec une immense armée de leurs compagnons. Les trophées sont récents : l'encolure de sa monture est encore souillée de sang.

Les gouttes de la cascade lui fouettent le visage, ruisselle sur son corps. Une humidité glaciale qui imprègne chaque pouce carré de sa peau, et finit par le réveiller. Sa respiration s'affole, les poumons cherchent de l'air, ses lèvres frémissent sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche. Il se baisse, et sa main gauche fouaille le sable épais, bute sur l'argile et s'en saisit à pleine main.
L'homme porte la glaise à son nez, la respire, la hume, puis l'étale sur ses joues en des cercles concentriques. La chute de l'eau redouble de violence sur le crâne du sauvage guerrier. Sorne ferme les yeux. L'odeur tenace du sang lui revient en mémoire. Le sang, toujours le sang... Tout commence et finit dans le sang. Ce n'est pas par hasard qu'on surnomme cette terre où il habite « la terre des jeunes » : on n’y vit pas vieux.

Au commencement, le monde appartenait aux ténèbres et ne connaissait ni le soleil ni le jour. Et voilà que les ténèbres revenaient.

HRP:

• D’abord, il y a quelques champs/sections que tu n’as pas rempli, j’imagine parce que tu n’avais rien à dire de particulier (par exemple, Liens notables). Peux-tu dans ce cas les laisser complètement vide, plutôt que de garder le texte par défaut ?
  
• Dans la description physique, sauf erreur de ma part il y a une contradiction entre la couleur annoncée des yeux (bleu) et celle détaillée dans la paragraphe qui suit (vert).
  
• C’est un peu du détail, mais par égard pour tes futurs camarades de RP, je choisirai personnellement à ta place un couleur qui contraste un peu plus avec le fond du forum ; l’affichage des couleurs est assez dépendantes de l’écran et sur le mien au moins, sa lecture n’est pas très facile.
  
• Comment est-ce que le père de ton personnage apprend que sa mère est tombée enceinte après leurs ébats ? Ce serait bien de le détailler ! (une phrase, pas plus)
  
• Je ne comprends pas comment « les femmes » pourraient éduquer Maloisel sur les questions de la navigation. Il faudrait sans doute un peu mieux expliquer ça.
  
• Vers la fin de l’histoire, tu utilises le présent, alors que le reste du temps tu utilises le passé ; c’est de la forme, mais je le note au cas où tu voudrais corriger ça.
  

• À chaque changement de cycle (tous les mille ans), une éclipse a lieu. On appelle cette éclipse « le Voile » et c’est souvent un événement assez important dans la vie de ceux qui le vivent. Nous sommes dans la 11e année du XIe cycle (souvent noté 11:XI) ce qui veut dire que ton personnage a forcément vécu un Voile… et pas n’importe lequel ! Le passage du cycle X au cycle XI a en effet été joué IRP et, comme on peut s’y attendre, nous ne nous sommes pas contenté d’une petite éclipse de rien du tout à l’époque… L’éclipse a en fait durer 81 jours et pendant toute cette période, les Dieux ont marché sur Miradelphia en prenant possession de mortels. Ta fiche manque un peu de repère chronologique (ce qui n’est pas fondamentalement grave étant donné que tu n’as pas choisi un personnage à responsabilité, ça te permettra d’avoir un peu plus de marge pour insérer des liens), mais celui là va devoir apparaître. J’ai l’impression que ça pourrait avoir été un peu après sa capture (et rajouter une hypothèse possible sur le pourquoi la rançon n’a pas été payée ?)
  
• Il y a un deuxième événement que j’aimerai apporter à ta connaissance ; tu n’es pas forcément obligé de le citer explicitement dans ta fiche (les chances sont grandes que ton personnage ne fut tout simplement pas présent sur place), mais ça a été un événement d’importance dans l’histoire de Meca malgré le peu de PJ impliqués. Dans l’hiver de l’An 6:XI, un drow très puissant a attaqué directement l’île en s’enfermant dans le temple dédié à Éris ; sa puissance a empêché les marins d’y faire quelque chose, mais sa présence a surtout eu comme effet désastreux de pousser les gens présents à se battre en exacerbant leurs colères. Il a fallut qu’Éris elle-même, incarnée en une sorcière amenée par un vaisseau fantôme fait de glace (en tout cas, c’est ce qui se dit) vienne pour l’en déloger (tu peux lire leur confrontation ici). Bref, si ton personnage était présent, tu dois le mentionner dans ta fiche. S’il n’était pas présent, garde en tête que c’est arrivé, ça pourrai peut-être te resservir.
  

Bonjour o/ Désolée pour le temps d'attente, côté staff c'est une période un peu chargée.
Je te transmets les remarques de Kata' - fantôme

Citation :

A douze printemps, il avait apprit les secrets de la terre, écoutant les oiseaux qui sifflaient dans les arbres et apprenant à reconnaître le chant clair de la grive, celui du pinson et le cris de buses et des rapaces, puis à les imiter.

Attention, sur Mira, les saisons vont par cycles de 2 ans ; douze printemps signifient donc vingt-quatre ans. Tu utilises cette expression plusieurs fois par la suite, il faudra y faire attention.

Citation :

S'étirant voluptueusement, Sorne se défait de la broche qui enchâsse ses cheveux couleur de corbeau et, d'un geste ample, les libère.

Intuitivement, j’imagine les Wandrais plutôt utiliser des lacets de cuir; mais on ne va pas se mentir, c’est de l’ordre du détail.

Mis à part ces deux remarques mineures, la fiche est vraiment bien écrite et ça se lit comme du petit lait.

Pour ma part, je n'ai rien trouvé d'autres à redire. Dis-nous ce qu'il en est concernant l'âge, et ce sera bon !

Citation :

Je te transmets les remarques de Kata' - fantôme

Ca ne me semble pas incohérent. Vu le nombre de tribu, il doit y avoir une bonne variété de codes vestimentaires et autres.

Sur ce...

Code:

[Métier] : Chef de clan

[Sexe] : Masculin.

[Classe d'arme] : Corps à corps.

[Alignement] : Loyal Mauvais.

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.