Vuzlyn Zolond, Obok Senger 2ème Ost [Terminée]

Vuzlyn Zolond

Nom/Prénom : Vuzlyn Zolond
Âge/Date de naissance : 535 ans, né en 481 : X
Sexe : Masculin.
Race : Drow.
Faction : Puy d'Elda.
Alignement : Loyal Mauvais.
Liens notables :

• A servi avec Kerath,
  
• A servi avec Malag'eyl Zuhak,
  
• A servi avec Aegnor Kezz' Taazmodesh,
  
• A servi avec Urgoll'Ven,
  
• Voue un immense respect et admiration à Krish Al'Serat.
  

Particularité : Le corps de Vuzlin est tatoué à 80%. Seuls son cou, son visage et son crâne sont dépourvus de tatouages. Ses deux bras portent des tatouages en hommage à Uriz pour le bras droit, et à Zhak’Bar pour le bras gauche. Son évolution au sein du second Ost se trouve dans son dos, tandis qu’un immense dragon, emblème du second Ost, trône au milieu de sa poitrine.


Métier : Obok Senger du 2ème Ost.
Classe d'arme : Corps à corps.

Possessions & Equipements :

Vuzlyn possède une armure faite sur mesure, financée par ses propres fonds, acquis grâce aux siècles de service qu’il a accumulé au sein du second Ost. Pillages et autres vols aidèrent grandement. L’armure est faite de plate, du heaume aux bottes, et d’un noir de jais. Parfois, lorsque ses fonctions lui demandent de se présenter l’Olath Blada, ou devant le Triumvirat, ou encore devant les divers prêtres qui forment la hiérarchie militaire et religieuse de l’armée du Puy, cette armure est remplacée par une armure de cuir, bien plus légère, au plastron d’acier, le tout, drapé d’un manteau de cuir tanné par les siècles. La possibilité d’alterner entre les deux armures fait que Vuzlyn peut à la fois choisir d’être correctement protégé dans les formations défensives, ou plus leste et plus à l’aise – ce qu’il choisit généralement – et faire preuve d’une grande souplesse, d’un grand sens de l’athlétisme et d’une plus grande liberté et rapidité de mouvement.
Pour poursuivre avec son équipement, il possède une épée longue, parfaitement équilibrée, à la poignée faite de cuir et d’un fil d’argent, aussi tranchante qu’un rasoir et suffisamment résistante pour transpercer de part en part, un Elfe Sylvain en armure de cuir. Il possède également un grand et large bouclier qu’il sait aussi bien utiliser pour se défendre que pour déstabiliser un adversaire patenté.

Enfin, et pour terminer, Vuzlyn possède une certaine quantité d’esclaves au Puy, et une demeure où vivent les membres de sa famille. L’endroit est confortable pour une demeure Drow, et bien qu’il préfère être au campement du second Ost s’entrainer, manœuvrer, il faut bien retourner chez les siens de temps à autre.


Apparence :

Vuzlyn possède toutes les caractéristiques physiques du Drow. Il est grand, et doté d’une musculature qui serait surdéveloppée pour le commun des mortels, incroyablement travaillée pour ses pairs. Fils de Tarklyn, ancien Streea Jabbuk du deuxième Ost tué lors d’une des innombrables batailles Drows contre leurs cousins à la peau pâle, descendant d’une lignée de Streea et d’Obok des armées du Puy, devenir militaire de carrière au sein du 2ème Ost fut une évidence, bien plus encore que pour le commun des Drows. Eduqué dans la violence de son père et les châtiments corporels, il suivit avec assiduité les entrainements militaires et s’astreint depuis plusieurs siècles à une hygiène sportive extrêmement stricte. Des heures d’entrainement quotidien, une maîtrise de son corps parfaite, des réflexes exacerbés et une maîtrise des arts martiaux, l’aidèrent à forger ce corps d’athlète à la force dantesque digne d’Uriz lui-même.

De longs cheveux blancs tombant jusqu’à la poitrine, un visage angulaire, des yeux rouges, une musculature travaillée dans le roc, et une attitude chaotique. Son regard est aussi aiguisé que celui d’un aigle observant sa proie, mettant mal à l’aise n’importe lequel de ses subordonnés, et terrorisant ses adversaires. L’absence d’émotion sur son visage en quasi toute circonstance, font de lui un individu difficile à cerner, dont les réactions sont impossibles à prévoir. Si on ajoute sa tendance à rentrer légèrement son visage dans ses épaules, et à regarder son adversaire en baissant légèrement le visage, il a l’air d’être l’engeance du Chaos et de la guerre. Si vous le voyez dans une telle position, ne clignez pas des yeux : vous risquez de manquer une décapitation vitesse éclair. Il est donc aussi dangereux qu’il en a l’air, et sa hiérarchie, autant que ses subordonnés, aiment à le savoir à leur côté lors des batailles, tant son aura et son efficacité furent prouvées à maintes reprises.

• Taille : 2,01m.
  
• Couleur des yeux : rouge.
  

Personnalité :

Un véritable chien de guerre. Voilà ce qui peut résumer la personnalité de Vuzlyn. Eduqué depuis ses plus jeunes années à l’art de la guerre, destiné par un héritage guerrier et militaire professionnel, à intégrer les prestigieux Ost de l’armée du Puy et à en prendre le commandement un jour, élevé par un père violent aux règles liberticides, Vuzlyn devint, au fur et à mesure des années, un combattant d’excellence. Parallèlement à cette excellence martiale, il s’intéressa aux arts de la tactique militaire qu’il maîtrisa rapidement, connaissant à la fois les forces et les faiblesses des armées du Puy tout en sachant bénéficier des avantages et des inconvénients du terrain d’opération. Il est à la fois un excellent soldat et un fin tacticien.
Tel un chien de guerre, Vuzlyn est violent, hargneux et cruel, possède une appétence pour le carnage et le massacre – des non croyants et des races inférieurs – sans en ressentir aucune forme de pitié ou de remord. Il est également fidèle aux ordres et à ses supérieurs, ainsi qu’aux siens, exécutant toutes les manœuvres demandées, réalisant les missions les plus difficiles et n’hésitant jamais à prendre part aux combats les plus âpres. Ses multiples cicatrices témoignent d’ailleurs de cette férocité au combat. Il faut plus d’un coup de lame pour le mettre à terre.
Enfin, il voue un plaisir malsain face à la douleur. La douleur des autres, mais aussi la sienne. Souffrir est, pour lui, un puissant catalyseur à son efficacité au combat. Chaque blessure qu’il s’inflige ou qui lui est infligée, n’est autre qu’une source de jouissance perverse développant sa hargne et sa future violence et sa bestialité.

Cette façon d’être et de faire lui viennent non seulement de son éducation, mais surtout, de sa dévotion pour Uriz, le dieu de la guerre qu’il vénère en de nombreuse occasion, que ce soit en se dépassant soit même qu’en faisant tout son possible pour que sa Flamme soit jugée digne d’atteindre le Nahali là où reposent les élus et les portes flammes. Il respecte et craint Uriz, et sa dévotion n’en est que plus grande encore. Aussi, il vénère Zhak'Bar, le dieu des cataclysmes, comme la plupart des soldats du IIème Ost, et, afin de satisfaire aux divinités et à ses croyances, n’hésite pas à se mutiler, à combattre, et surtout, à sacrifier quoi que ce soit ou qui que ce soit.


Capacités magiques :
Non initié.

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Histoire

Vuzlyn naquit en l’an 481, d’un père Streea du second Ost, et d’une mère de bonne lignée pour les Drow. Ainé de la fratrie, il développe rapidement une appétence pour la douleur et le combat, une attitude belliqueuse, prompt à se battre, et un physique que d’aucun dirait prédisposé aux arts martiaux. Son père, violent, n’hésite pas à apprendre lui-même à Vuzlyn, l’art de se battre, l’endurcissement à la douleur, la dévotion pour Uriz puis, un peu plus tard, pour Zhak'Bar. Comme n’importe quel Drow, il passe ses trente premières années à satisfaire aux demandes de son père et de ses pairs, n’hésitant que très rarement à faire ce qu’on lui demande de faire. Il est élevé de manière à devenir, comme son père, et son père avant lui, un membre du second Ost, un guerrier cruel, sans pitié, méthodique et implacable. Aussi est-il forcé de s’entrainer en conséquence, subissant à la fois des exercices physiques, des séances d’endurcissements, et l’entrainement à l’épée et au bouclier. Afin de s’assurer du caractère impitoyable de Vuzlyn, son père estime que « pour maîtriser son arme et l’utiliser face à l’ennemi, il faut d’abord l’utiliser contre soi et lui rendre hommage, ainsi, Uriz bénira ta lame et tes actions, et Zhak’Bar lui-même marchera dans le chaos que tu sèmeras. » Pour parfaire l’illustration, le père de Vuzlyn le mutila à de nombreuses reprises, par des coups d’estoc et de taillades, des coups de poings renforcés par la garde de l’arme, et bien d’autres encore qu’il est inutile d’indiquer ici.

L’adolescence fut la période la plus douloureuse et changeante pour Vuzlyn. A l’instar de ses pairs, les hormones, les changements physiques, les pulsions, les idéaux, se développèrent et s’encrèrent tout au long de ces soixante-dix années de développement. D’élève, il devint maître. Maître dans la violence, maître des arts martiaux, maître de la douleur et du sang. C’est à cette époque que l’enseignement prodigué par son père, puis repris par les différents Drows responsable de son instruction, portèrent leurs fruits. Il ne respirait plus que pour devenir militaire professionnel, porter à son tour l’armure du second Ost et semer mort et désolation dans son sillage. Si, au début, il ne se tenait guère au courant de ce qui se déroulait en dehors du Puy, sinon grâce aux longues périodes d’absences de son père mobilisé au front, il ne tarda pas cependant à connaître le monde extérieur lorsqu’il devint cadet, dix ans durant, au sein d’une des cinq académies du Puy d’Elda, dans l’endroit que l’on nomme « Le Labyrinthe ». Ne rechignant jamais à aucune mission d’intendance, il démontra rapidement à ses supérieurs ses capacités et ses prédispositions, tant à la violence qu’à l’endurance et l’exigence physique. Il fut très vite relayé à des missions de troisième et de secondes lignes qui, si elles ne correspondaient pas encore aux désirs et attentes du Drow, lui permirent de voir beaucoup de choses de très près, notamment la politique du second Ost : pas de prisonniers, pas de pitié, pas de survivants.

A l’issue de ses dix années de cadet, il fut tout naturellement incorporé au second Ost au grade de Sargtlin. Il prêta serment, au dieu de la guerre et au dieu du Chaos, et reçu alors ce qui serait l’unique marque d’approbation de son paternel : une tape sur l’épaule. Satisfait d’avoir ainsi éduqué son fils, et heureux sans doute de l’avoir sous ses ordres – pour peu qu’un Drow puisse effectivement être « heureux » - Vuzlyn devint un soldat et un Drow à part entière. Ses traits se figèrent, son regard emprunt de violence et de cruauté, se fit connaître de ses pairs et de ses supérieurs, et il pu pleinement démontrer l’étendue de ses compétences, d’abord physiques et guerrières, mais, à n’en point douter, son intelligence sera également considérée à sa juste valeur.

Il participa alors à différents combats, offensives et guerres, notamment celle qui devait être la dernière de son paternel. En 570 du dixième cycle, il est Sargtlin dans les rangs du second Ost lors de la Bataille des Deux Couronnes, contre les Péninsulaires, qui vit alors s’asseoir la suprématie Drow sur Naélis. Plus tard, en l’an 700, il participe au siège d’Alëandir en tant que Veldruk. La manœuvre est habile, et le subterfuge visant à attirer les Elfes de l’Anaëh dans une embuscade, permet au gros de l’Ost de se lancer à l’assaut d’Alëandir et d’en faire le siège. C’était évidemment sans compter sur la dévotion et la hargne des traîtres à la peau clair, qui réussirent à mettre en déroute le contingent Drow, non sans peine et sans pertes. Alors qu’il venait d’envoyer son contingent accueillir comme il le devait un escadron d’Elfes, Vuzlyn tomba né à né avec le cadavre de son paternel, tué au combat d’une flèche habilement plantée au travers de son crâne à la chevelure argentée. Ne ressentant que peu d’émotions, Vuzlyn fut cependant transit, ne pouvant plus bouger. Une flèche vint alors trouver son flanc droit. Chancelant mais point abattu, il maintint sa position et fut capable d’envoyer d’autres Elfes au jugement des dieux, avant de battre en retraite, comme lui ordonnèrent ses supérieurs.

Fort de ses réussites et de sa vaillance, de sa cruauté et de sa propension à suivre tous les ordres, y compris les plus difficiles et dangereux, Vuzlyn fut nommé Streea Jabbuk d’un des régiments du second Ost, en l’an 800. Il passa ainsi de nombreuses années à servir ça et là, où ses supérieurs jugeaient bon d’employer ses compétences. Il continua également à s’astreindre à une vie stricte faite d’épreuves physiques et d’entrainements, ne s’interrompant que pour entrainer les recrues ou retourner au front.

Sous les ordres de l’Obok Kerath, il participe à la première invasion d’Oësgard, en Péninsule. Il s’illustre alors de nombreuses fois, tant durant les combats que pendant les réunions de l’état-major, n’hésitant pas à mener lui-même des raids sur l’ennemi ou à étudier le terrain, afin de dessiner et proposer des plans à ses supérieurs, parfois extrêmement détaillés. Il sait ainsi tirer parti du terrain, de la météo et des forces et faiblesses de son adversaire. Mais toutes ses machinations ne suffirent pas à percer la ville lorsqu’une force combinée d’Hommes et de Nains parvinrent jusqu’à Oësgard, pour en lever le siège dans de grands combats. Ne faisant aucun prisonnier, et destinés à tout détruire sur son passage, Vuzlyn isola plusieurs groupes ennemis et les massacra purement et simplement, empoisonnant des puits, tendant des pièges mortels sur la route de la retraite, et piégeant aussi des habitations, n’hésitant pas à déstabiliser les fondations de telle sorte que, une fois reprises par les Humains, celles-ci s’effondrent sur eux, dans une dernière bravade.
Il prend également place dans les rangs de l’Ost lors de la bataille de Fort Ellyrion. Il s’illustre encore une fois comme le Drow ayant « massacré quatre-trois Elfes en une attaque », comprenez qu’il mena son régiment dans un accrochage aux abords du fort, comme seule la guerilla Elfique sait en produire, et que, en tête de ligne, il fit usage de ses habiletés pour laisser éclater sa rage et ses pulsions. Un Drow de son régiment écrivit :

On vit alors le Streea en pointe de l’attaque. Plaçant son grand bouclier sur le devant, et l’estoc de sa lame pointé vers l’ennemi, il entra en collision avec des traîtres qui étaient sortis de leurs lieux d'embuscades, et en fit tomber plus d’un. Son bouclier lui servit alors de masse, de palissade et d’arme secondaire, alors qu’il se protégeait des coups de lames et qu’il frappait le visage d’un traître impétueux de bouclier, l’acier bombé brisant le nez et la face du condamné, dans un fracas immonde. Il décrivit alors une rotation sur lui-même, disparu sous son bouclier alors qu’une volée de flèche allait l’atteindre, et se releva furieusement, tranchant la gorge d’un autre traître croyant saisir sa chance. Une nouvelle fois, il fonça sur un adversaire, bouclier en avant, et alors qu’il entendait les cris de traîtres s’en venant dans son dos, il fit un tour sur lui-même, lame en avant, à une vitesse vertigineuse, et trancha nombre de gorges sans qu’aucun ne put faire quoi que ce soit pour éviter la lame vengeresse. Subissant malgré tout l’impact d’une flèche chanceuse trouvant sa jambe, il l’arracha sans faillir et, ses soldats l’atteignant, reprit l’offensive.

Ces actes héroïques et sa férocité au combat, déjà connus et loués de tous, agrandirent encore sa renommée dans les rangs Drows, y compris auprès de ses supérieurs. Fidèle, dévoué, prêt à tout, on lui colla bien vite une image de guerrier implacable, de tacticien émérite et de chien de guerre cruel. Uriz lui-même le protégea sans doute lorsque, au sommet de la bataille du Fort Ellyrion, la puissance magique développée par les arcanistes Elfes et les mages du C'nros s'assembla pour former un nœud magique. Cette création fortuite ne provoqua qu'un immense déluge de magie, qui fit des ravages dans les rangs des Drows et ceux des Elfes, provoquant nombre de morts brutales et horribles, détruisant le lieu, le réduisant à l’état de ruines fumantes. Vuzlyn essuya rapidement cette défaite d’un revers de la main, trouvant en cet échec un signe de la puissance des dieux et de leur bénédiction, encourageant les Drows a être plus cruels et plus violents encore.

Puis arriva le Voile, et son lot de désolation, de questions, d’instabilité. Les complots et les morts diverses, conduisant à la formation de Triumvirat, puis au retour de Roi, et un retour au Triumvirat… Vuzlyn, fidèle et dévoué, vécu assez mal cette époque de changements. Il participa à la reprise d’Abyssea aux fanatiques du Chao, et fut ensuite cantonné aux alentours du Puy, ne quittant ses lieux de cantonnement que pour se rendre chez lui, en sa demeure, pour voir son épouse et ses enfants qui, soit dit en passant, subissaient une éducation similaire à celle qu’il avait reçu jadis.
Il participa ensuite aux différentes purges des contestataires. Une mission qui lui allait très bien, puisqu’elle lui permettait d’étancher sa soif de mort, de violence et de destruction, tout en formulant un soutien sans faille à ceux qui gouvernaient et à ceux qui commandaient. Loin des tumultes politiques, Vuzlyn se contentait d’être un guerrier, et un guerrier implacable. Sa réputation, déjà présente depuis plusieurs siècles et étoffée par de nombreux actes de courage et de destruction, créèrent autour de lui une aura de prestige guerrier, et nul doute qu’il était très respecté, que ce soit par ses pairs, par ses subordonnés et par ses supérieurs qu’il servait du mieux qu’il pouvait.

L’apparition du Dragon Rouge à Nisétis fut vécu comme un signe par Vuzlyn, un signe divin indiquant aux Drows fanatiques, courageux et dévoués, aux plus cruels et plus féroces, qu’ils étaient sur la bonne voie, et qu’il fallait, maintenant reprendre la quête de la vengeance. Car Vuzlyn, comme tous les autres Drows, aspirait à la vengeance des siens contre les traîtres à la peau clair, depuis qu’ils furent trahis aux temps jadis. Comme eux, il désire détruire l’Anaëh toute entière, et satisfaire ainsi la vengeance divine d’un peuple, dans la mort et le sang. Son fanatisme est alors ravivé, et il met toute sa force, sa maîtrise et son intelligence, au service de la cause Drow, visant dorénavant le poste d’Obok du second Ost.

Une ombre vint cependant noircir le tableau, lorsqu’en l’an 17 du onzième cycle, lors de la mise en place du siège de Sol’Dorn, un prisonnier fut fait par Kerath. Contraire aux missions de l’Ost, ce prisonnier, qui, de surcroit, aura emmené les troupes de Kerath dans un piège, et qui parviendra ensuite à s’enfuir, aurait normalement dû mourir dans d’atroces souffrances. Cette erreur d’appréciation doublé d’un manquement aux préceptes de l’Ost, créèrent de vives tensions dans les rangs de l’Ost, qui furent difficiles à réprimer. L’offensive menée par Kerath ensuite, faite de nombreux dangers et prises de risques, permirent d’apaiser ces tensions et ces sources de questions, alors que l’Ost fut témoin de la férocité de l’Obok en place. Vuzlyn, fidèle à lui-même, ne prit aucunement part à ces tensions, gardant pour lui ses positions quant aux erreurs de Kerath, continuant son œuvre de destruction aux environs de Sol’Dorn.

Et enfin vint la consécration. Alors que Kerath fut promu et nommé Karliik Glenn, Vulzyn fut nommé comme digne successeur à la tête du second Ost, et prit ses fonctions d’Obok Senger. Au terme d’une cérémonie fascinante et ô combien désirée par le Drow, il reçut l’anneau d’émeraude estampillé du dragon de l’Ost, symbole de Zhak'Bar ainsi que le commandement de l’Ost et la responsabilité du campement, au cœur des Quartiers Généraux des Cinq Ost, où flottent ses étendard vert d’émeraude. La suite de la carrière de Vuzlyn serait aussi sanglante et destructrice qu’elle le fut jusqu’alors, et les plans du Puy quant aux traîtres de l’Anaëh et aux esclaves d’Itri’Vaan pourront compter sur sa férocité, sa cruauté, sa dévotion et son intelligence.

HRP:

Bien le bonsoir, voici un retour de fiche, il ne manque pas grand chose o/

Citation :

Pour poursuivre avec son équipement, il possède une épée longue, parfaitement équilibrée, à la poignée faite de cuir et d’un fil d’argent, aussi tranchante qu’un rasoir et suffisamment résistante pour transpercer de part en part, un Elfe Sylvain en armure épaisse.

Une épée ne permet pas de transpercer une armure épaisse, c'est tout l'intérêt des masses.

Citation :

Uriz lui-même le protégea sans doute lorsque Kerath, l’Obok du second Ost, tenta de former un nœud magique. La manœuvre ne provoqua qu’un immense déluge de magie, qui fit des ravages dans les rangs des Drows et ceux des Elfes, provoquant nombre de morts brutales et horribles, détruisant la ville la réduisant à l’état de ruines fumantes. Kerath, alors adulé d’une certaine manière par l’Ost et par Vuzlyn, inspira une forme de colère alors nombre de Drow perdirent la vie dans une tentative sans doute vouée à l’échec.

Il y a là plusieurs confusions : Kerath n'est pas mage. Le noeud qui survint a Ellyrion n'était pas désiré, mais le résultat d'une accumulation magique non maîtrisée, avec la présence de mages du côté drow et elfe. Un noeud magique a été créé volontairement par Haldren Baenfere, à la bataille d'Eraison. A vérifier si ton personnage put y être (sans mourir) ou non.

Citation :

Il prend également place dans les rangs de l’Ost lors de la bataille de Fort Ellyrion. Il s’illustre encore une fois comme le Drow ayant « massacré quatre-trois Elfes en une attaque », comprenez qu’il mena son régiment dans une bataille rangée, et que, en tête de ligne, il fit usage de ses habiletés pour laisser éclater sa rage et ses pulsions. Un Drow de son régiment écrivit :

On vit alors le Streea en pointe de l’attaque. Plaçant son grand bouclier sur le devant, et l’estoc de sa lame pointé vers l’ennemi, il entra en collision avec les rangs des traîtres et en fit tomber plus d’un. Son bouclier lui servit alors de masse, de palissade et d’arme secondaire, alors qu’il se protégeait des coups de lames et qu’il frappait le visage d’un traître impétueux de bouclier, l’acier bombé brisant le nez et la face du condamné, dans un fracas immonde. Il décrivit alors une rotation sur lui-même, disparu sous son bouclier alors qu’une volée de flèche allait l’atteindre, et se releva furieusement, tranchant la gorge d’un autre traître croyant saisir sa chance. Une nouvelle fois, il fonça sur un adversaire, bouclier en avant, et alors qu’il entendait les cris de traîtres s’en venant dans son dos, il fit un tour sur lui-même, lame en avant, à une vitesse vertigineuse, et trancha nombre de gorges sans qu’aucun ne put faire quoi que ce soit pour éviter la lame vengeresse. Subissant malgré tout l’impact d’une flèche chanceuse trouvant sa jambe, il l’arracha sans faillir et, ses soldats l’atteignant, reprit l’offensive. L’archer fut alors rattrapé puis atteint d’un coup d’estoc, pourfendu de part en part, et achevé par la pointe inférieure du bouclier, dans une mare de sang.

La méthode de combat des elfes d'Anaëh est portée sur la guérilla, ce qui n'est pas un contexte cohérent avec ce que tu décris. Cependant, ce passage illustre aussi un autre point : attention à l'écriture un peu grosbill de ton chien de guerre. A voir comment cela sera en RP, notamment en cas de conflit avec d'autres PJs, mais je préfère faire une piqûre de rappel dès maintenant.

De petits points d'orthographe lié au BG :

Zhak'Bar, pas Zahk'Bar.
Puy, pas puit.
Chaos, pas chao.


Je reste à disposition sur tu as la moindre question.

Citation :

Pour poursuivre avec son équipement, il possède une épée longue, parfaitement équilibrée, à la poignée faite de cuir et d’un fil d’argent, aussi tranchante qu’un rasoir et suffisamment résistante pour transpercer de part en part, un Elfe Sylvain en armure épaisse.

Citation :

Uriz lui-même le protégea sans doute lorsque Kerath, l’Obok du second Ost, tenta de former un nœud magique. La manœuvre ne provoqua qu’un immense déluge de magie, qui fit des ravages dans les rangs des Drows et ceux des Elfes, provoquant nombre de morts brutales et horribles, détruisant la ville la réduisant à l’état de ruines fumantes. Kerath, alors adulé d’une certaine manière par l’Ost et par Vuzlyn, inspira une forme de colère alors nombre de Drow perdirent la vie dans une tentative sans doute vouée à l’échec.

Il y a là plusieurs confusions : Kerath n'est pas mage. Le noeud qui survint a Ellyrion n'était pas désiré, mais le résultat d'une accumulation magique non maîtrisée, avec la présence de mages du côté drow et elfe. Un noeud magique a été créé volontairement par Haldren Baenfere, à la bataille d'Eraison. A vérifier si ton personnage put y être (sans mourir) ou non.

Citation :

Il prend également place dans les rangs de l’Ost lors de la bataille de Fort Ellyrion. Il s’illustre encore une fois comme le Drow ayant « massacré quatre-trois Elfes en une attaque », comprenez qu’il mena son régiment dans un accrochage aux abords du fort, comme seule la guerilla Elfique sait en produire, et que, en tête de ligne, il fit usage de ses habiletés pour laisser éclater sa rage et ses pulsions. Un Drow de son régiment écrivit :

On vit alors le Streea en pointe de l’attaque. Plaçant son grand bouclier sur le devant, et l’estoc de sa lame pointé vers l’ennemi, il entra en collision avec des traîtres qui étaient sortis de leurs lieux d'embuscades, et en fit tomber plus d’un. Son bouclier lui servit alors de masse, de palissade et d’arme secondaire, alors qu’il se protégeait des coups de lames et qu’il frappait le visage d’un traître impétueux, d'un coup de bouclier, l’acier bombé brisant le nez et la face du condamné, dans un fracas immonde. Il décrivit alors une rotation sur lui-même, disparu sous son bouclier alors qu’une volée de flèche allait l’atteindre, et se releva furieusement, tranchant la gorge d’un autre traître croyant saisir sa chance. Une nouvelle fois, il fonça sur un adversaire, bouclier en avant, et alors qu’il entendait les cris de traîtres s’en venant dans son dos, il fit un tour sur lui-même, lame en avant, à une vitesse vertigineuse, et trancha nombre de gorges sans qu’aucun ne put faire quoi que ce soit pour éviter la lame vengeresse. Subissant malgré tout l’impact d’une flèche chanceuse trouvant sa jambe, il l’arracha sans faillir et, ses soldats l’atteignant, reprit l’offensive.

La méthode de combat des elfes d'Anaëh est portée sur la guérilla, ce qui n'est pas un contexte cohérent avec ce que tu décris. Cependant, ce passage illustre aussi un autre point : attention à l'écriture un peu grosbill de ton chien de guerre. A voir comment cela sera en RP, notamment en cas de conflit avec d'autres PJs, mais je préfère faire une piqûre de rappel dès maintenant.

Et un soldat de plus, un !

Code:

[Métier] : Obok Senger du 2e Ost

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Corps-à-corps

[Alignement] : Loyal Mauvais

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