Urlryn Jar'x - Obok Senger du 3e Ost

Prénom/Nom : 

Urlryn Jar'x

Âge :

880 ans, la quarantaine d'apparence.
On parle quand même d'un elfe qui a vécut  une grande partie de sa vie à l’extérieur depuis qu'il a embrassé une carrière militaire, qui a affronté des déluges bibliques, des déserts brûlants, des tempêtes de sables, de neiges et pour  ainsi dire, tout ce que le monde offre de climats hostiles  à la vie. Ce genre de choses  marque, même si l'on est un drow.

Sexe : 

Masculin

Race : 

Drow

Particularité : 

Un tatouage rouge sur le visage. Plusieurs cicatrices lui barrent le visages de  part en part, témoignant des nombreuses campagnes auquel il a participé.

Alignement : 

Loyal mauvais, il est réputé pour son sens de la guerre et la cruauté qu'il est capable de mettre en oeuvre envers ses adversaires ou un subordonné  incompétent.

Métier :

Obok Senger du IIIe Ost

Classe d'arme :

 Corps à corps/Cavalier. Vétéran de très nombreuses campagnes, c'est un guerrier accomplis, un escrimeur de talent et  un cavalier émérite, mais il a tendance  à garder ses capacités pour lui pour mieux surprendre ses ennemis, drows ou autres. Son arme de prédilection est un marteaux de guerre en acier noir qui se manie aussi bien à une qu'a deux main. il à également un sabre de cavalerie au cas ou, ainsi qu'une dague à la ceinture.

Possession/Équipement : 

Amassées depuis un demi millénaire, les possessions de Jar'x nécessitent l'emploie d'un  esclave dont l'unique tache est de répertorier et entretenir ces dernières. Amassés au fils des pillages, ces archives de guerre s'étendent sur toute une aile de sa demeure au Puy, ou il prend des "vacances" entre deux manœuvres et/ou batailles .

Il possède plusieurs armures complètes qu'il met selon l'occasion, sa préféré étant son armure de cérémonie, une armure de plate , en acier entièrement peinte en rouge et finement  ouvragée. Dans la vie courante, il porte en général une cotte de maille d'acier sur ses vêtements, puis un manteau plus fonctionnel qu'autre chose. Pour se battre, il utilise un sabre de cavalerie à lame courbe, une belle pièce d'acier ouvragée et mortelle, ainsi qu'un marteau de guerre "brise crâne"
Il possède également une chevalière en argent aux armoiries de sa famille.  

 Description Physique:

En commençant par l'aspect général du personnage, disons que la première chose qui frappe, c'est sa taille. Deux mètres dix, quatre vingt quinze kilos. Bien proportionné pour sa taille, mince, il entretient sa forme par l'exercice de l'escrime dès qu'il le peut.
La seconde chose qui frappe, c'est que contrairement à la plupart de ses semblable, il possède  une peau d'une couleur gris sale, qui lui donne un air maladif, décoloré.
Musclé, il l'est, ce qui, de toute façon, est conseillé quand  on passe sa vie à combattre, toujours sur les routes. La vie de soldat lui permet de cultiver  une bonne forme physique, qui s'en ressent dans sa démarche et sa façon d'agir. Souple, félin, sa démarche est assuré, ses gestes secs, précis, concis, tout en économie. Le tout complété par un port de tête et une attitude royale, il émane de lui une autorité naturelle, qui, si  elle ne suffit pas, peut  être complété par quelques gifles bien sentit.
Son visage, quand  à lui, semble taillé au couteau. Des  yeux rouges, encadrés de cernes grises,  des pommettes saillantes, un nez comme un bec d'aigle, un front haut et des  lèvres fines qui semblent figées dans un rictus moqueur. Si toutefois vous vous attardez sur cette même tête, vous remarquerez  à coup sur sa coupe de cheveux légèrement atypique. Coupés très court sur les cotés, ses cheveux forment  une crête qui court depuis sa nuque jusqu'à sont front. Habituellement, il laisse retomber cette mèche de cheveux en bataille sur son visage, mais il lui arrive aussi de la coiffer en arrière, pour pouvoir enfiler son heaume, ou bien encore coiffer en chignon sur le sommet du crane, selon son humeur. Toutefois, il ne saurait être taxé de coquetterie, et le dernier drow à lui avoir fait la remarque mange encore sa nourriture avec une paille.

 Description psychologique:

Rares sont les chefs de guerre qui peuvent se targuer d'avoir atteint un tel niveau de responsabilités en partant de la base. Suscitant autant la ferveur que la haine par ses comportements. Si il est aimé de ses troupes, c'est parce que comme eux, il à subit la pluie, la boue, le froid mordant, le soleil brûlant et les vents qui assèchent la gorge, la faim, la soif, les marches forcées et la mêlée féroce, dans le tumulte de la bataille qui n'est qu'une succession de combats individuels. De la terreur la plus abjecte à l'exaltation de la victoire jusqu'à là honte de la défaite et la retraite. Non vraiment, rien ne  lui fut épargner.
C'est cette expérience, qui, au fil des grades de plus en plus élevés, firent de lui un commandant attentif à ses soldats sans être laxiste. C'est un chef minutieux, méticuleux et méthodique dans sa façon de gérer un combat et plus généralement un Ost de guerre au complet. Cela lui à permit, au fil des siècle, de disposer d'un sens tactique instinctif, une façon de "sentir" la bataille, en somme.

S'étant extrait de la fange avec violence et ambition, il n'a jamais caché son envie d'accéder au haute sphère de la société drow, l'armée étant le seul moyen pour un roturier de s'élever au delà de sa condition. Au fils des années, avec une patience infini, qu'il élève personnellement au rang de valeur, il à intrigué pour favoriser son accession à des postes prestigieux, les obtenant parfois de manières retords mais aussi par sa valeur au combat.
C'est un personnage qui entretient sa bonne image auprès de ses troupes, mais qui comprend parfaitement la frontière entre les grouillots de premières lignes et les  officiers supérieur. Il lui arrive, la veille d'un évènement  important, de les haranguer, leurs distillant un discours propre à faire vibrer leurs cordes sensibles.  
Sortie du rang, il éprouve moins de mépris pour les guerriers, fussent ils de basses extractions, mais éprouve une profonde aversion pour les magiciens, diplomates, politiciens, mais aussi la noblesse en place, les esclaves, les gens serviles en général, les lécheurs de culs et les gros qu'il considère tout juste comme un mal nécessaire.

Des années de combats ont un peu éloigné Urlryn des  intrigues du Puy d'Elda, et si il  aime toujours être à l'écoute des potins et des intrigues, il reste un spectateur distant aux luttes de pouvoirs  interne mais se délecte volontiers de la disgrâce d'un autre, entre deux banquets et une orgie bien sentie.

Histoire

Lerg.

Des premières années de sa venu au monde, Urlryn garde peut de souvenirs. C'est qu'après huit cent ans, on fais du tri dans sa mémoire. Une impression de chaleur, un foyer stable (selon les standards drow), une ou deux comptines ou il est question d'esprits mauvais qui mangent les petits drows qui ne se couchent pas assez tôt (chanter par son père). Si des données plus historique vous intéresse, sachez que Urlryn est le descendant d'une  longue  lignée de forgerons talentueux aux services des riches familles du Puy, qui comme on le sait, n'aiment pas se salir les mains. Son père, maîtres de forge, possédait une  liste de client prestigieux au sein des familles les plus haut placées du Puy et était réputé pour la qualité exceptionnelle de ses créations. Il forgea l'armure de plusieurs Senger et personnalités haut placés. La famille Jar'x vivaient donc  à l’abri du besoin au seins de la petite bourgeoisie du Puy.
La famille Jar'x forge le métal depuis deux millénaires et les mâles de la famille sont artisans de père en fils, à quelques exceptions près. Le père d'Urlryn, un drow imposant appelé Tarlyn, avait brièvement fait  parti du troisième Ost dans un régiment de piquiers avant d'être blessé lors d'un rais en Anaëh. Mutilé, il ne doit sa survie qu'à son talent à façonner le métal, des compétences de valeurs qui lui permette de mettre sa famille à l’abri.
Sa mère, quand à elle, est l'héritière d'une grande famille d'esclavagistes ruinée et tombée en disgrâce à force d'intrigues entre clans marchands. Durant toute son enfance et son adolescence, le jeune Urlryn sera complètement écrasé par cette femme nostalgique de sa richesse d’antan, triste, acariâtre, colérique. C'est sans doute ce qui, lorsqu'il passa à l'age adulte, le motiva à mettre plusieurs centaines de kilomètres entre sa mère et  lui en s'engageant dans l'armée.

Dalharen.

Le dixième cycle de Miradelphia est une période tourmentée de l'histoire Drow. Née en l'an 129 de ce cycle, il à grandit dans un climat de guerre permanent au sein du Puy, alternant entre départs et retours des osts victorieux (ou pas), préparations militaires intenses, défilés, et commandes à la forge d’où montaient continuellement la clameur du martèlement de l'acier. Quand il le pouvais, le père d'Urlryn l'emmenait voir les défilés militaires. A l’émerveillement suscité par la vision des colonnes de soldats marchants au pas, et celle des Sengers (plus rare) dans leurs armures de cérémonies, l'air fier, irradiants d'une puissance quasi surnaturelle, il sut qu'il s’engagerait dans l'armée.

En attendant d'avoir l'age légale, il rongea son frein. L'adolescence du jeune drow fut légèrement chaotique, ce qui revient  à parfaitement normal selon les standard des sombres. Il commença, sous la houlette de son père, à s’entraîner à l'escrime, avec assiduité et talent, il maîtrisa très vite les bases de l’escrime, de la lance et du bouclier, tout en commençant à fortifier son corps en travaillant durement pour aider son père au travail. Dès qu'il fut en âge de parler, il entra dans un conflit  permanent avec sa mère, qui aurait souhaiter qu'il fasse carrière dans le C'nros. Mais il ne se manifesta pas chez lui une seule petite  parcelle de pouvoir quelconque. Dès lors que l'on pu confirmer qu'il ne  possédait pas de dons pour cette matière, elle l'accabla de son mépris, le considérant comme un crétin tout juste bon à mourir dans une bataille. Gardant pour lui sa frustration, il s'immergea dans son apprentissage sommaire, sans oublier de s'épanouir. Non tenu de parfaire son éducation, le jeune drow se forgea  une réputation dans la rue, là ou seul le plus fort ou le plus intelligent peuvent l'emporter. Du haut de ses deux mètre dix, il mit un terme aux moqueries d'une façon expéditive. C'est dans la rue qu'il rencontra un jeune drow qui devait devenir son ami (chose rare) et premier lieutenant dans dans un demi millénaire. Ce jeune drow, légèrement plus jeune, du nom de Nym Kyud, qui avait, nous le verront par la suite, bien des qualités et une capacité  innée à se mettre dans des situations incroyablement merdiques. C'est pour fêter son arriver dans l'institution qu'il se fait tatouer le visage.

Spoiler:

Les parents de Nym était tanneurs, dans un autre quartier populaire du Puy. Ses géniteurs, moins nantis que ceux d'Urlryn, avait laisser Nym se développer seul dans la rue dès qu'il eu l’âge de marcher. Petit, pour un drow, il apprit à marcher vite, puis à courir, enfin à grimper et  à sauter. Sa petite taille et une souplesse naturelle étant deux atouts de poids pour éviter de prendre une racler, ce qui ne manquait pas d'arriver souvent.
Comme ils devinrent peu à peu inséparable, ils passèrent les grandes étapes de la vie ensembles, première cuite, première pipe à tabac,premier vol, première relation sexuel (pas entre eux, est il utile de préciser), etc etc.
Pendant  quelques années, Urlryn eut une liaison avec l'une de ses cousines, avant que le père de celle ci ne découvre l'affaire et ne manque de le tuer, l'obligeant  à se cacher durant des jours, ravitailler en nourriture par Nym qui était trop heureux de pouvoir se payer sa tête. Il y eu de nombreuses occasion de rire, de courir, de souffrir et de se venger, de séduire et voler.

La voie du guerrier.

Le jour ou Urlryn s'engage dans l'armée, il commence la rédaction d'un journal, sorte de fourre tout regroupant des  impressions, des événements, des idées, des réflexions . Il annotera fidèlement son journal au cours des années suivantes, jusqu'à en faire une véritable chronique du IIIe Ost. Grâce au relation de son père, Urlryn intègre l'armée avec le rang de Kyorl au sein de la cavalerie lourde de l'Ost, un poste et un grade qu'il va garder pendant cent cinquante ans. Il à quatre vingt quinze ans à ce moment là.

Été Karfias 224,

« Ai été reçu aujourd'hui en vu d'un recrutement, signé un contrat et  percevoir mon matériel. J'ai fait mes adieux à mon père qui semblait fier, je crois. J'ai vaguement entendu ma mère maugréer contre la soldatesque, dans la mesure  ou ça fait des années que je me retient  de lui mettre mon poing dans la gueule, par égard pour mon père, justement, je suis blindé, je crois qu'aucun de mes supérieurs ne pourra être pire que ça. »

« Une partie des nouvelles recrues défilent au Puy avant de prendre la route de le campement d'été. J'ai réussit à intégrer un escadron de cavalerie. Le kyorl qui nous commande m'a tout l'air d'être un ivrogne bon à rien, et ses hommes (mes "camarades") ont l'air d'apprécier le fait de ne pas faire grand chose, des fainéants. Je tuerais ce crétin pour prendre sa place dès que  possible, je n'aime son air supérieur.  »

« Nym à réussit à se faire engager malgré sa taille, dans une section d'éclaireur, un boulot qui devrait convenir  à un fouineur compulsif qui laisse traîner ses oreilles là ou il ne faudrait pas, je suis content, au moins je peut compter sur quelqu'un ici. J'ai vu des tête connus parmi les nouveaux, des gosse du quartier, comme moi.Nym à l'air ridicule sur sa monture, je pense que sous sa tunique, il pisse le sang.»

Automne Favrius 226,

« Je suis Kyorl, et l'autre loche repose au fond d'une marre pieds et poings liés. J'ai réclamé sa place et défier les membres de l'escouade de m'en empêcher, j'ai du en occire  un trop vaniteux pour me laisser le commander. Cela n'a pas été sans mal, j'ai une vilaine estafilade sur la joue droite, Nym m'a proposé de désinfecter ça avec de l'alcool, mais contrairement à lui, je ne recherche  pas la souffrance gratuite.»

« je n'ai jamais eu aussi froid, ni chaud. A l'extérieur, le beau temps est une maîtresse capricieuse qui ouvre rarement ses bras. Hier , une  pluie battante à transformer le sol en limon visqueux dans lequel s'embourbe le ravitaillement. J'ai proposé mon peloton pour aider les chariots et le responsable de la  logistique, un Veldruk dont j'ai oublié le nom, a eu l'air d'apprécier. Cela n'a pas plu aux cavaliers, obligés de marcher, et j'ai du hausser le ton. Maintenant, c'est sur, ils me détestent, mais comme on dit chez la piétaille « ça leurs fait le cul » 

« J'ignore comment, et je ne veut pas le savoir, mais Nym à réussit à dégoter deux bouteilles d'une liqueurs ambré que nous avons bu à la faveur de la nuit, ça à l'air de rouler pour lui, il commence à se muscler un peu. »

Hiver, Verimios 235,

«  L'eau gèle dans les gourdes, la nuit, il faut se serrer près des montures  pour profiter de la chaleur. La nourriture est fade, c'est une terre stérile  ou rien ne  pousse, les chasseurs sont rentré bredouilles, je les aient engueulés. Heureusement, il ne neige pas »

«Il neige {illisible}»

« Ma patrouille a été accrochée par des sauvages humains , nous les avons  mis en déroute sans difficultés. Pourquoi ? Je l'ignore, les sauvages de la Zurthanie échappent  à toute logique. Leur attaque désespérée est sûrement poussée par la faim, j'ai envoyé un cavalier rapporter l'incident au gros des forces stationnées à trois jours de marche. Nous avons monté  le campement sur une petite butte de terre d’où l'on peut tout voir. Un de mes cavaliers ma dit qu'il pouvait cuisiner l'un des  humains pour améliorer l'ordinaire. Il ma  montré comment préparer le corps. Les entrailles de l'humain sentaient la merde. Je lui ai demandé si l'on ne risquait pas d'attraper une saloperie mais il m'assure qu'une fois cuit, le risque est nul. Nous avons déposer les entrailles et tout ce qui ne se  mangeait pas à une centaine de mètres du camp pour attirer les prédateurs loin de  nous. L'humain à produit vingt kilos de viande, nous avons tout fais cuir et mis ce que nous ne  mangions pas dans du sel pour plus tard, quoi que avec ces température, je doute que la viande faisande avant ce foutu printemps qui se fait attendre.La viande était bonne, un peu filandreuse,et cela manquait d'épice, mais dans notre situation , nous avons  mangé jusqu'à ne pu pouvoir se  lever. »

« J'ai du mal à dormir, j'ai été échangé quelques mots avec la sentinelle, nous avons écoutés les loups dévorés le reste de l'humain. Quelque chose de plus gros les à mis en fuite. Il fait trop noir pour voir quoi que ce soit, peut être un ours ?

«  J'ai vu les empreintes, c'était bien un ours, selon la taille, c'était  une créature monstrueuse, au moins trois mètres de haut sur ses pattes arrière, j'ai bien envie de le traquer et le débusquer mais je dois poursuivre les patrouille le long du fleuves, dommages, cela aurait été un combat superbe. »

Printemps, Barkios 305

« Le temps file et les accrochages avec les elfes d'Anaeth (qu'Uriz les maudissent) se multiplient, il y à une activité  nouvelle au seins de l'Ost, un nouveau Senger est arrivé ce matin et nous  à fait une harangue pour le moins assez longue. J'ignore ce qui est arriver à l’ancien Senger, une rumeur dit que sa famille est tombé en disgrâce et qu'il à été écarter du pouvoir.  Comme tout les nouveaux Sengers, il va vouloir se démarquer par  une offensive de grande ampleur. La tension monte, nous sommes tous excité par les combats à venir. Le vent du Nord apporte avec lui les  odeurs de la forêt, qui n'est plus très  loin de nous. Nous stockons des vivres, nous affûtons  nos lames et nos esprit en vu de la bataille. »

« Marche forcé toute la journée, les cavaliers sont  partis devant le gros des troupes, la forêt se présente à nous à l'horizon. Les cavaliers ont formé  une très longue file et nous longeons une étroit défilé  pour approcher sans se faire voir, Nym et les éclaireurs sont  parti il y à trois heures à pieds. »

« Nous sommes tous silencieux, caché derrières une série de collines, l'infanterie va engager la bataille d'un moment à l'autre. On entend seulement ici la rumeur des combats, nous attendons le signal pour fondre sur leurs arrières et les tailler en pièces. Je suis nerveux mais je n'en montre rien. »

« Par Uriz ! Je suis en vie ! J'ai vécu les instants les plus extra ordinaires de ma vie. Nous avons reçu le signal et nous nous sommes  mis en mouvement.  J'avais les mains tellement serrées sur les rennes de ma monture que j'en avais des crampes. Nous avons fondu sur les elfes sur leur flanc droit.  Il y en avait des milliers. Les deux armées était comme deux taches essayant d'avaler  l'autre, sombre pour nous, nimbée de lumière  pour eux. Tout à parfaitement fonctionné, et l’Ost Elfique s'est montré un adversaire à la hauteur. Quand la situation à mal tournée, ils ont formés des carrés et certains  ont réussit à rompre l'encerclement pour se réfugiés dans le forêt, nous en avons tués beaucoup dans leurs fuites. J'ai tué un capitaine elfe, un combattant formidable dont chaque coup était mortel, il semblait danser sur le champ de bataille. Je lui ai mis un carreau d'arbalète entre les omoplates et j'ai mis pieds à terre pour l'achever. Nous avons fait quelques centaines de prisonniers. »

Été, Verimios 527

« Je croit que je n'échangerais cette vie contre rien au monde actuellement. Mes drows me respectent, même si ce ne fut pas sans  mal. Bien des Senger se sont succédés à la tête de l'Ost et beaucoup de nouveaux visages ont remplacés les anciens. Depuis ce matin, je suis Veldruk des cavaliers lourds, j'ai fait envoyer un courrier à mon père pour l'informer officiellement de la nouvelle, cela  lui fera plaisir. J'ai du batailler pour avoir ce poste, il n'y en avait qu'un  de disponible et j'ai fait  joué mon ancienneté, quand cela n'a pas suffit, j'ai fait  jouer mon sabre, et tout le monde à été d' accord. »

Printemps Barkios, ~ 600

« Notre flotte à été vaincu par celle des  humains. Il y à peu de survivants, à peine une douzaine de navires. Uriz nous à t'il abandonnés ? Que devons  nous y voir ? Tout  à pourtant été fais dans les règles, les sacrifices ont été nombreux, les rites ont été respectés, j'ai moi même beaucoup prié. Nym à décider de s'infliger une série de marques  pour ne jamais oublier cette défaite. Ma nouvelle charge m’amène  un surcroît de travail, j'aime ça. »

Hiver, Verimios, ~ 700

«  Nous avons été défait par les elfes près d'Uraal. Les lanciers elfiques nous ont massacrés suite  à un magnifique mouvement de tenaille de la part des elfes. Avant cela, nous avons été cloués sur  place par l'archerie elfique retranchée derrière un fossé hérissé de piques. La Veldruk Katarina, qui commandait  avec moi ce flanc à tenté  un assaut contre ces positions mais elle et ses hommes n'ont pas fait cinquante mètres avant que les archers ne les déciment presque tous. Il n'y avait rien à faire, le Senger est mort, j'ai pris la tête des cavaliers qui me restaient et j'ai couvert  la retraite de l'armée, enfin , la débâcle, par  une série d'attaques rapides sur leurs éléments avancés. Nous avons tué ce bâtard de  haut mage, mais j'ai cru que l'ont ne  pourraient jamais y parvenir, des lanciers elfes avaient formés un carré autour de sa personne et nous avons du tous les tués, aucun ne s'est rendu, malgré moi, j'admire leur courage et leur détermination, à moins que ce ne soit de la stupidité. Ma  monture  à été tué  pendant la retraite, une  lance dans le thorax.  Je suis tombé et j'ai faillit me faire tuer, mais mon agresseur à reçu une flèche dans la bouche, il est mort en gargouillant je ne sais trop quoi, trop occuper à nous maudire tandis qu'il devais se noyer dans son sang. En relevant la tête, j'ai aperçu Nym qui me regardais en souriant, inutile de dire que je n'ai pas finit de payer ma tournée.
Le point  positif, c'est que beaucoup d'officiers sont  mort. »

« Sommes rentrés à nos quartiers, histoire de panser nos plaies et regonfler nos effectifs. Des courriers sont parti pour le Puy dans ce but. Nym vient d'être nommé Veldruk des éclaireurs, cela promet  une  longue  nuit agité et sanglante. »

« Ai été reçu par le Streea Jabuuk qui à prit l’intérim, il me veut dans l'état major, à partir de maintenant, je suis le pont entre la cavalerie et les têtes pensante de l'Ost. J’attends quand même que le nouveau Senger me confirme ça de sa bouche, même si je ne cache pas mon plaisir. »

Automne, Favrius, ~ 800

« Depuis deux mois, nous avons mis le siège devant Nisétis, cette verrue sur notre empire est en passe de tomber. Leurs force de défenses se sont fait hacher menue tout au long de  la route, et  nous avons pu tous constatés comme cette civilisation n'est plus que l'ombre d'elle même. Alors que le gros de nos forces enfonçaient la  porte principale, la cavalerie se tenait  un peu en retrait des combats. Finalement, un éclaireur arriva au galop devant moi. Tout les officiers observaient la bataille depuis la tente du Senger, en sirotant un bon cru. Il nous à brièvement expliqué que deux  ou trois milliers de civile prenaient  la fuite depuis une  porte dérobée le  long de la côte. Nous avons reçu l'ordre d'aller  les massacrer.
Je dois dire que j'ai été plutôt satisfait de cette promenade, j'avais cruellement besoin de me dégourdir les  jambes. Nous avons enfourchés  nos montures, formés les escadrons et nous sommes  parti au petit trot. En arrivant, on à pu les voire, un gros troupeau d'humains fuyant la cité en flamme. Nous les avons chargés et massacrés, ce fut très réjouissant. Il y avait quelques combattant dans le lot, nous les avons tous mis  à mort. Comme nous les avions encercler, nous avons fait des prisonniers, leurs gémissements résonnaient à nos oreilles comme la plus douce des musique. Le Senger semblait tout à fait satisfait et les prisonniers ont été livrés aux mages pour un sacrifice à Uriz. Je croit que l'affront subit à Uraal à été correctement lavé dans le sang et que le dieu des combat est content de nous. La ville à été pillée et ses remparts mis  à bas.

Été, Karfias 965

« Nous avons un nouveau souverain, le roi Tebryn. J'ignore comment et  pourquoi.  Les Sengers sont en route pour le Puy afin de lui rendre hommage et faire vœux d'obéissances. Le peuple sombre est à nouveau gouverné. Espérons que ce  parvenu se montre à la hauteur, je déteste rendre des comptes  à des  incompétents. »

Printemps, Favrius 995

« Nous avons frappé l'ennemi en plein cœur, dans la péninsule et en Anaeth, maintenant, c'est le moment de partir leurs porter le coup fatal. Je n'ai jamais vu une tel armé rassemblé, tout cela est excitant. »

Printemps, Favrius 997

« Nous avions pourtant tout bien fait, nos alliés se sont  montré à la hauteur en début de  partie mais malheureusement, ce qui devait être une victoire s'est transformé en retraite.  J'ai pris beaucoup de plaisir  à tuer ces petit rats de nains. Incroyable une tel combativité  chez de si petits êtres. Il y avait là un combattant, pas plus d'un mètre soixante, qui maniait un marteau de guerre énorme comme il s'agissait d'une rapière. Il à percuté nos rang avec  une telle force, du jamais vue. Il à mis en fuite un peloton à lui tout seul, chacun de ses coups broyaient jambes et thorax de nos soldat. Il à fallut pas moins de six soldat pour le tuer. Comme si l'histoire n'était qu'un recommencement, nous voilà de nouveau sur les routes, mais en bonne forme, même si j'ai un goût amer dans la bouche. Plus tard, j'écrirais un texte sur cette bataille et les erreurs que nous avons commis. »

« Apparemment, me voilà Streaa Jabuuk , suite à mes hauts faits lors du siège d'Alonna  et des manœuvres de cavaleries qui ont  permis une retraite sur et en bonne ordre. Nym est venu me voir avec une caisse de bouteilles d'alcools variés, nous avons bu toute la nuit, et bien profiter du bordel qui accompagne inévitablement une armée en campagne. »

Été, Verimios, 999

« Avons rasé le fort elfe d'Elyrion, mais pas exploité la victoire une fois de  plus. A croire qu'ont ne sait plus gagner dans ce  peuple. Évidemment, le Senger rejette la faute sur  moi, et je fais descendre, la chaîne hiérarchique fonctionne très bien quand il s'agit de se déchargé des torts.  

Hiver, Karfias 6

« Yutar est en effervescence, pour bien comprendre, il me faut revenir au début.
Je ne sais pas si je dois tout écrire ici, mais au point ou j'en suis, tant pis, je prendrais mes précautions en cachant ce  journal. Dolerian est mort. Nous l'avons fait empoisonner. Ce crétin allait droit  à la ruine. Bien sur, je n'ai pas agit par altruisme. Nous avons patientés durant des années en entrant dans ses bonnes grâces. Je crains que cela n'est servit à  rien. Nous avons volontairement  mis  à l'écart le Streaa Jabuuk Ja'afae, elle est en relation direct avec l'état major du Puy, cette petite prétentieuse carriériste possède des appuis jusque dans la Dothka.
Dolerian mort, c'est évidemment elle qui va récolter les fruits de notre travail. Patience. »

« Ça n'a pas traîner, je dois maintenant  lui présenter mes respects... Je croit qu'elle à comprit pour Dolerian. Des officiers ont été mis  à mort. Si mon tour étais venu, Nym avais pour ordre de déclencher une  insurrection et de la tuée. Maintenant, il faut que je cristallise toute la rancoeur du 3e Ost sur cette moucheronne, Kyil Xuileb. Nos rapports se limitent au strict minimum. »

« Comme TOUT nouveau Senger, nous repartons en campagne, sans doute pour asseoir l'autorité du nouveau chef. J'en ai la nausée rien que d'y penser »

« La forêt, encore. »

Été, Verimios 8

" J'écrit ces lignes durant un de mes rares moment de calmes, je suis forcé d'assister à d'interminables réunions au Puy, l'Ost est en défense de la capital, et je ronge mon frein, une fois de plus. Ici, rien n'est facile, les décisions sont âprement discutées, arbitrées, pour ne pas froisser les différentes factions qui s'affrontent dans ces joutes politique ou je ne me sens guère à ma place. La stratégie à adopté est prise, dès à présent, tout le monde marchera, nous nous battront à la fois contre l'Anaeth et contre les humain dans le nord, en profitant de leurs divisions interne pour les soumettre un à un.
Ce plan est très jolie sur le papier, et à contenté tout le monde, sauf moi. Me voilà gardien d'une bande de dégénérés décadents, inutile de dire que je suis content. Dans ce marasme, j'ai quand même pu apprécier le pragmatisme de Malag'eyl ou bien du Karliik Glenn, mais les militaires obéissent aux impératifs politique, c'est ainsi depuis toujours.
J'ai tout de même bon espoir de les convaincre de laisser le IIIe Ost partir  à la guerre, à ton jamais vue une armée de près de dix milles âmes rester loin du front quand la guerre bat son plein ? La distance elle même met le Puy à l'abris des attaques, et quand bien même on marcheraient contre le Puy,ce qui me semble du domaine du rêve, qui serait assez fou pour s'engager dans une campagne si loin de ses bases ?
Il faut exploiter la chute de fort Ellyrion sans plus attendre, au lieux de tergiverser ainsi. J'enrage, je vais allez tuer quelques esclaves pour me défouler un peu. Nym à disparut depuis deux jours, il vas falloir que j'aille faire le tour des bordels pour remettre la mains sur ce type.

La bonne nouvelle nouvelle, c'est que l'on m'a enfin confirmé dans mon grade de Senger, après deux ans de flottement. Je n'ai pas encore prêté serment officiellement, mais cela viendra en tant voulu. Il va me falloir purger l'armée des derniers officiers rétifs à mon commandement, ce qui est déjà en cours à l'heure ou l'encre sèche sur ce carnet. Bientôt, j'en ferais la meilleur armée du Puy, mais avant, la guerre, encore."

Comment trouves-tu le forum ? : Très Bien
Comment as-tu connu le forum ? : La Tour de Jeu
Crédit avatar et signature : Je n'arrive pas mettre la main dessus

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Toutefois, lorsqu'il est en campagne, l'Obok Senger utilise plusieurs coffres d'apparats pour sa garde robe, un râtelier d'armes et d'armures ainsi qu'une tente immense qui lui sert de quartier général quand les choses sont calmes. Cette dernière, décorée de façons spartiate, se compose d'une immense toile de tente noire et de nombreuse tentures sombres rehaussées de fils d'or pour découper l'espace. Sans compter la literie, les meubles, le trésor de l'Ost, et des centaines d'affaires plus ou moins encombrante (cartes, nourritures, boisson, etc etc) . En général, il suffit de quatre chariots de grande taille et d'une douzaine d'esclaves pour le transport et l'installation.

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La seconde chose qui frappe, c'est que contrairement à la plupart de ses semblable, il possède une peau d'une blancheur laiteuse, qui lui valut quelques succès au Puy avec les femmes de sa race.

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Rares sont les chefs de guerre qui peuvent se targuer d'avoir atteint un tel niveau de responsabilités en partant de la base.

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Si des données plus historique vous intéresse, sachez que Urlryn est le descendant d'une longue lignée de forgerons talentueux aux services de la noblesse, qui comme on le sait, n'aime pas se salir les mains.

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Le père d'Urlryn, un drow imposant appelé Tarlyn, avait brièvement fait parti du troisième Ost dans un régiment de piquiers avant d'être blessé lors d'un affrontement contre une patrouille elfique le long de la frontière plutôt flou entre les deux empires.

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Si sa couleur de peau fut sujette à bien des railleries, elles cessèrent, quand, à la puberté, le jeune drow grandit pour dépasser ses semblables d'une tête.

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Une partie des nouvelles recrues défilent au Puy avant de prendre la route de le campement d'été. J'ai dix cavalier sous mes ordres, plus vieux et aguerris que moi.

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Ma patrouille a été accrochée par des sauvages humains , nous les avons mis en déroute sans difficultés. Que font ils si loin de leurs péninsule ?