Lyrah [Terminé]

Identité

Nom/Prénom : Lyrah
Âge/Date de naissance : 24 ans, an 992 du Xe cycle
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Faction : Ithri'Vaan
Alignement : Loyal Bon
Liens notables : Trois frères aînés, tous bien plus âgés qu’elle.
Particularité :


Métier : Danseuse, officiellement, même si son talent sert généralement à attirer l’attention des victimes de ses frères. Voleuse, lorsque ceux-ci lui demandent.
Classe d'arme : Aucune

Possessions & Equipements :
Hormis quelques tenues aux couleurs chatoyantes, Lyrah ne possède pas grand-chose. Thae, son frère aîné, lui a bien offert une petite dague, mais sans jamais lui apprendre à l'utiliser, aussi, celle-ci ne peut avoir qu'un effet dissuasif auprès d'un agresseur… Du moins, si celui-ci manque de détermination.

Seuls ses bijoux ont de la valeur. Marchande, pas sentimentale, évidemment, puisque ceux-ci ont été volés comme le reste. Accessoires d'apparats qu'elle n'utilise que lors de ses représentations pour briller davantage.

Apparence :

À la regarder évoluer ainsi, marchant dans les rues,  les mains dans son dos, l'on imaginerait aisément que Lyrah est une jeune femme insouciante, comme pouvait l'être sa mère. Ses grands yeux curieux semblent se poser partout à la fois, tandis que ses lèvres s'étirent en un sourire perpétuel.

Ses tenues habituelles, celles qu'elle porte en dehors de ses représentations sont assez simple, mais souvent de couleur vive. Elle aime le jaune, le rouge, le marron, des couleurs chaleureuses qui ne manquent pas de souligner son teint hâlé, presque doré.

C'est une jeune femme gracieuse et gracile, comme toute danseuse qui se respecte. Mais si sa silhouette a beau être fine, on remarque facilement sa musculature d'acrobate qui laisse facilement imaginer son agilité. Ses formes, sont féminines, sans être exagérées pour autant et correspondent parfaitement à sa carrure.

Malgré son visage quelque peu allongé, entouré d'une épaisse chevelure noire, ses traits sont particulièrement doux. Ses yeux en amande, bordés de longs cils noirs approfondissent son regard. Mais si celui-ci peut-être qualifié de sombre, ce n'est que pour la couleur de ses prunelles quand leur expression inspirerait plutôt une douceur insoupçonnée ou un amusement bien évident.  

Son nez fin, légèrement retroussé et sa bouche en forme de cœur, lui donneraient presque un air enfantin si le reste de sa personne n'inspirait pas une féminité bien assumée.

• Taille : 1m65
  
• Couleur des yeux : Noirs
  

Personnalité :
Quand on la voit, toujours souriante avec cette expression enjouée sur le visage, l'on imagine bien des choses au sujet de la jeune Lyrah. Insouciante, inconsciente, naïve voire même stupide, mais pourtant, il suffit de prendre le temps de creuser un peu pour comprendre qu'il n'y a rien de plus faux, quand bien même s'échine-t-elle à ne rien montrer.

C'est en réalité une jeune femme bien plus intelligente que son apparence ne peut laisser paraître. Ses regards, particulièrement expressifs, en disent généralement long sur ses pensées, même si elle préférera toujours ne montrer que le côté superficiel de sa personne. Il s'agit-là d'un jeu depuis longtemps travaillé, pas pour user de manipulation, non, ce n'est pas dans sa nature, mais c'est sa manière à elle se protéger.

Redoutant les pertes et l'abandon de manière générale, Lyrah veillera toujours à renvoyer l'image que les autres attendent d'elle, quitte à mentir. C'est un miroir, ni plus, ni moins et elle agira ainsi tant que vous n'aurez pas gagné sa confiance. Et pour cela, il vous faudra user de patience, car la belle se méfie de tout et de tous. Si elle est observatrice, c'est justement parce qu'elle redoute constamment le pire, en même temps qu'elle ne peut s'empêcher de s'émerveiller devant tout ce qu'elle peut trouver de beau ou de simplement attendrissant. Sa peur viscérale de l'abandon et le conditionnement familial, la poussent naturellement à rester distante avec les autres. Ne vous y trompez pas, Lyrah peut sembler accessible, mais ne l'est point. La danseuse ne parlera jamais d'elle avec franchise. Elle ne se confiera jamais à vous, même si, au contraire, elle peut être une oreille attentive.

Lyrah ne cherchera jamais à nuire aux autres. Elle vole, c'est un fait, néanmoins, c'est un mode de vie qui lui est difficilement acceptable. Pour se faire, la jeune femme essaie de se convaincre que les objets ravis à leurs propriétaires leur étaient inutiles, qu'ils n'avaient aucune valeur sentimentale pour eux… Une manière de se voiler la face rendant ainsi l'inacceptable bien plus tolérable.

La danseuse agit souvent de cette manière afin de ne pas avoir à affronter la réalité. Elle souffre, constamment, à cause de la perte incomplète de son jumeau. Pour Lyrah, Kelhen est forcément vivant, elle le sent… Elle ressent le manque, cette sensation de vide, un trou béant qui ne demande qu'à être comblé et qu'elle ignore volontairement. Sa douleur, elle l'apaise en la dissimulant sous une épaisse couche de mensonges et de faux-semblants sur fond de grands sourires.

Volontaire ou non, la danseuse a l'injustice en horreur. C'est d'ailleurs probablement la seule chose susceptibles de la faire réagir avec franchise.

Capacités magiques :
Aucune

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Histoire

Delyah était danseuse et une acrobate hors pair. Elle appartenait à la troupe de saltimbanques nommée “les fils des flammes”, en référence à leurs nombreux cracheurs de feux qui animaient chacun de leur numéro. La compagnie traversait jadis, royaumes et principautés pour divertir le peuple entre deux conflits. C’était une femme insouciante qui aimait profiter de chaque instant que les dieux lui offraient, sans réellement se poser de question. C’est ainsi qu’elle rencontra des dizaines d’hommes, dont quatre d’entre eux devinrent les "pères" de ses enfants.

Lyrah et Kelhen, son jumeau, naquirent durant une nuit d’été de l’an 992 du Xe cycle. Après avoir mis au monde trois garçons, bien des années auparavant, Delyah accueillit les nouveau-nés comme un présent, un précieux cadeau des dieux qu’il lui faudrait chérir. Le teint hâlé des nourrissons, leurs cheveux aussi noirs que l’étaient leurs yeux, ne laissaient aucune place au doute quant à l’identité de leur père, même si cela ne lui importait peu. La danseuse avait élevé seule chacun de ses enfants et elle entendait de continuer ainsi.

Très tôt, les jumeaux, inséparables, furent initiés à la danse, au funambulisme et autres acrobaties que le public aimait tant. Comme ils s’amusaient à les regarder voler dans les airs, côtes à côte, petits acrobates passant d’un trapèze à l’autre avec une aisance déroutante pour des enfants aussi jeunes. Comme Delyah était fière de ses deux derniers, comme elle les admirait tous les deux, pendant que ses trois aînés, ces bons à rien, s’adonnaient à leur activité préférée. Celle qu’ils pratiquent toujours et qui leur rapportait plus que la solde gagnée par les saltimbanques de la troupe. Voler leur était tellement plus simple, et tellement moins dangereux que le jeu des membres de la compagnie. Combien de leur compagnon avaient succombé après une mauvaise chute ? Aucun d'eux n'avait éveillé de talent particulier, ils n'étaient point artistes et encore moins acrobates, leur place était donc à faire au sein de cette communauté si fermée… Enfin, jusqu'à ce que les dieux ne se manifestent.

La troupe se trouvait à Diantra lorsque le voile s'abattit sur le continent. C'est donc la lumière de Néera qui vint mettre fin à cette existence si simple et si chaleureuse. Delyah se trouvait sur le trapèze quand la lumière de la déesse aveugla les habitants. Privée de son sens le plus utile et déstabilisée par cet éclat inattendu, l'acrobate lâcha la barre et vint s’écrouler sur la petite place qui les accueillait ce jour-là. Mais personne n’y prêta attention, puisque l’effroi s’empara du public qui, en fuyant, n’hésita point à piétiner le corps de la danseuse encore chaud. Les jumeaux n’avaient que sept ans, lorsqu'ils assistèrent à cette scène . Main dans la main, ils observaient le corps sans vie de leur mère, ils n'étaient plus que deux petits être abandonnés et qui le seraient bien plus encore en ce mois sombre, perdu dans le temps. Si vous lui demandez aujourd'hui ce que la jeune femme a retenu du "voile", Lyrah vous dira simplement que nul miracle et nul mort étrange n'a su trouver écho en son âme et son cœur et n'a pu l'affecter autant que ce moment. Cet instant interminable où son attention de petite fille se focalisait entièrement sur le corps inanimé de sa mère. Elle pourrait aussi aisément vous décrire son état de délabrement après avoir été mainte fois piétiné par les fuyards sans omettre le moindre détail macabre... Cette bien sombre image qui lui apparaît encore, chaque nuit, depuis ce jour et à jamais. Tout le reste, elle ne l'apprit que plus tard et toutes ces nouvelles aussi incroyables furent-elles, ne firent que renforcer le sentiment d'une profonde injustice qu'elle ressenti alors et qu'elle ne cessa jamais de nourrir jusqu'à ce jour.

Beaucoup de saltimbanques de la troupe disparurent, morts ou bien en fuite, personne ne le sut jamais et personne n'en avait rien à faire. Leur vie venait de changer, prenant un tournant pour le moins inattendu et toute la fratrie le savait. Leurs compagnons de toujours s'évaporèrent, les uns après les autres sans rien dire, comme si toutes ces années passées ensemble n'avaient jamais compté. Dès lors, “Les fils des flammes” n’étaient plus, ne restaient donc plus que les enfants de la danseuse, perdus dans cette cité inconnue qui leur avait tout prit … Mais le malheur et la malchance de cette famille brisée ne s'arrêta pas là. Car, au moment où le soleil réapparut enfin, après cette nuit interminable, Lyrah eut la terrible surprise de ne pas trouver à ses côtés le petit Kelhen avec qui elle partageait sa paillasse.  Évidemment, la petite fille voulut partir à sa recherche immédiatement. Son jumeau était tout pour elle, la moitié d'elle-même... Plus que son frère, il était son âme soeur... Néanmoins, ses aînés eurent une toute autre idée bien plus simple, bien moins épuisante. Ils décidèrent de reprendre la route sans se soucier de la disparition de leur benjamin ou même du désespoir de sa jumelle. “Une bouche de moins à nourrir” dirent-ils lorsque la gamine eut l'idée de protester. "C'est une aubaine"...

Ils retournèrent en Estrévent, plus particulièrement vers Thaar, “la cité aux mille promesses” comme leur mère aimait l’appeler. L'endroit même où Lyrah et son frère avaient vu le jour et dont la gamine ne savait rien. La fratrie s’y établit, vivant un temps dans la rue où Lyrah faisait la manche pendant que ses frères vidaient les poches et les pichets de vin.

Le temps passa ainsi, et Lyrah devint une ravissante jeune fille. Elle n’avait jamais cessé de danser, profitant de la moindre mélodie jouée par un barde de passage pour se laisser aller à ses souvenirs d'enfance. C’est d’ailleurs ainsi, en voyant la foule se rassembler autour de la jeune fille que ses frères élaborèrent leur nouveau plan de carrière. Kalel, le cadet, savait jouer de la flûte et connaissait quelques airs entraînants sur lesquels Lyrah pourrait danser aisément… Ne restait donc plus qu’à en voler une, puisqu’ils n’avaient pas les moyens d’en acheter.
Et voilà comment la petite troupe “sans nom et sans terre” vit le jour. Hélas, la plupart du temps, leurs spectateurs s’avéraient être des plus pingres. Faire les poches, subtiliser quelques bourses, toutes aussi vides que les leurs, ne leur rapportait pas assez pour nourrir, loger quatre personnes. Voyager coûtait cher, il leur fallut donc rapidement trouver un autre moyen de gagner de l’argent.

Au début, Lyrah se contentait de danser pendant que ses frères s'affairaient. Mais, rapidement, ses aînés exigèrent d’elle beaucoup plus… Oh, pour cela, ils n’hésitèrent pas à jouer de manipulation, l’effrayant volontairement en évoquant les diverses atrocités qu’une jeune fille seule et abandonnée pourraient subir en ce monde inhospitalier. Ils lui laissèrent même le choix : le vol ou la prostitution ? Évidemment, ils veillèrent à lui expliquer que la deuxième solution serait la plus simple, la plus rentable, mais aussi la plus difficile et dégradante pour elle. Et enfin, pour ajouter une petite note positive à ce bien sombre tableau, ceux-ci lui firent la promesse de tout faire pour retrouver son jumeau pour ensuite vivre une existence bien plus honorable que celle-ci.

S'il ne s'agissait pas de ses frères, de sa famille, de son sang, Lyrah ne les aurait probablement pas écoutés et certainement pas suivit dans ce choix de vie qui lui déplaisait tant. Détrompez-vous, la jeune femme n'était point aussi naïve que ses frères le croyaient, voilà bien des années qu'elle ne croyait plus à leurs histoires, consciente que celles-ci n'avaient pour but que de la manipuler en la retenant auprès d'eux. En réalité, le traumatisme du voile, de la perte de sa mère, de son jumeau, l'avaient tant marqué, que la danseuse redoutait l'abandon par-dessus tout. Ses frères, aussi peu honnêtes soient-ils, étaient tout ce qui lui restaient en ce monde. Et quoi qu'il lui en coûte, elle avait depuis longtemps décidé de les suivre.

En soi, leur plan était des plus simples : La jeune femme dansait, comme si de rien n'était, pendant que le cadet jouait tout en observant l’assistance. Durant ce temps-là, quand toute l'attention de la foule se portait sur le numéro de leur sœur, les deux autres faisaient le tour, cherchant dans leur victime parmi les spectateurs, passant du regard de Kalel à la cible qu'il avait désigné… Une fois celle-ci dénichée, l’un d’eux la suivait jusqu’à sa demeure pour noter son emplacement sur une carte. Pendant ce temps-là, le dernier, s'occupait à délester les badauds les plus radins de leur bourse, pas toujours aussi légère qu’ils auraient aimé le faire croire.

Quelques jours plus tard, lorsque le calme de la nuit se faisait leur complice, la petite troupe se rendait sur les lieux de leur prochain crime. Au fond, la tâche était plutôt aisée pour la jeune Lyrah. Les larcins coulaient dans ses veines tout comme l'agilité restait profondément ancrée dans ses muscles. L'adolescente, ne rencontrait aucune difficulté pour s’introduire, en silence, dans une maison, souvent en passant par les toits. Entrer, subtiliser quelques objets avant de sortir, le tout en toute discrétion… Facile, rapide… Ils n'avaient ensuite plus qu'à reprendre la route le lendemain et recommencer le même manège ailleurs. Il lui suffisait de voler peu, un objet, certes de valeur, mais qui semblait oublié par ses propriétaires parce que rangés dans un tiroir, dans un coin, dans une boîte contenant plusieurs bijoux, plusieurs pièces. Leurs victimes mettraient plusieurs jours avant de s'apercevoir de leurs disparitions et aucun d'eux ne faisaient le rapprochement entre ces vols et la petite troupe qui se trouvait déjà loin.

Néanmoins, mieux valait pour eux de revoir régulièrement leurs plans pour ne pas trop attirer l'attention. Ils décidèrent même de cesser les petits vols, quand Ren, l'aîné, se fit surprendre juste avant que sa main ne se pose sur la bourse qu'il s'apprêtait à subtiliser. La cohue qui s'en suivit leur laissa un goût bien amer, puisque le petit voleur en perdit son œil droit au cours d'une bien brève rixe qui fut heureusement stoppée par l'arrivée de la garde. Kalel, en grand manipulateur, réussit à faire innocenter son frère… Enfin, contre quelques pièces. L'expérience leur fit réaliser bien des choses, à la moindre erreur, ils deviendraient cibles à leur tour. Aucun d'eux ne savait se battre, après tout… Ils comprirent alors qu'il leur faudrait user de bien plus de prudence.

Au fil du temps, la beauté de la jeune femme attira de plus en plus les regards pour bien d'autres raisons que ses talents de danseuse. Aussi, leur vint alors à l'idée d'user des atouts de la belle en louant un peu de son temps, pour quelques représentations plus privées, sans pour autant autoriser que certaines limites soient dépassées. Non pas par respect pour leur chère sœur, mais simplement parce qu'une grossesse déformerait son corps et la rendrait inactive jusqu'à la naissance d'un bâtard dont ils ne voulaient pas… Sans parler du risque de voir leur gagne-pain mourir en couche. Pour cette même raison, ses aînés veillèrent à la tenir aussi loin des hommes que possibles.

Ainsi donc, Lyrah et Kalel se rendaient dans les demeures de quelques bourgeois, souvent de vieux veufs éplorés et pour qui la vie ne représentait qu'ennui et solitude… Et pendant ce temps-là, alors qu'ils étaient tout à fait certains de ne point être dérangés, les deux autres frères s'assuraient l'alléger la demeure de quelques objets. Le bruit qu'ils pouvaient faire était masqué par le son de la flûte. L'attention ne se portait plus que sur la ravissante jeune femme qui dansait au milieu de la pièce et qui veillait à faire participer son hôte afin de lui faire oublier le reste du monde.

Pour l’instant, la fratrie sans nom et sans terre a eu beaucoup de chance… Mais… Pour combien de temps encore ? Seule l'avenir nous le dira.

HRP:

Bonsoir Lyrah!

Pour commencer, laisse-moi te souhaiter la bienvenue sur son forum! J'espère que tu t'y plairas!

Nous avons pris le temps de lire ta fiche, et il y a quelques détails que nous aimerions que tu nous précises;

Lyrah a écrit:

La troupe se trouvait à Diantra lorsque le voile s'abattit sur le continent. C'est donc la lumière de Néera qui vint mettre fin à cette existence si simple et si chaleureuse. Delyah se trouvait sur le trapèze quand la lumière de la déesse aveugla les habitants. Privée de son sens le plus utile et déstabilisée par cet éclat inattendu, l'acrobate lâcha la barre et vint s’écrouler sur la petite place qui les accueillait ce jour-là. Mais personne n’y prêta attention, puisque l’effroi s’empara du public qui, en fuyant, n’hésita point à piétiner le corps de la danseuse encore chaud. Les jumeaux n’avaient que sept ans, lorsqu'ils assistèrent à cette scène qui hante encore les nuits de la jeune femme. Main dans la main, ils observaient le corps sans vie de leur mère, ils n'étaient plus que deux petits être abandonnés et qui le seraient bien plus encore en ce mois sombre, perdu dans le temps.

Le voile, surtout à Diantra, a été un moment énormément marquant dans la vie des péninsulaires. Outre l'incroyable lumière blanche, des miracles sont arrivés un peu partout dans la ville. Des malades qui se trouvaient soudainement guéris, tandis que d'autres meurent. Certes, la mort de la mère de Lyrah a probablement était assez marqué par sa mort, mais cela serait bien que tu décrives un peu plus ce qu'elle a ressenti/vécu à ce moment-là. Je t'invite à lire le sujet juste ici si tu as besoin de plus d'information!

Lyrah a écrit:

La cohue qui s'en suivit leur laissa un goût bien amer, puisque le petit voleur en perdit son œil droit au cours d'une bien brève rixe qui fut heureusement stoppée par l'arrivée de la garde. Kelel, en grand manipulateur, réussit à faire innocenter son frère…

Simplement faire attention, un peu plus haut dans ta présentation, tu mentionnes que son frère s'appelle Kalel et non Kelel...

Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord.

Allez courage! Deux petits trucs et l'on te donne ta couleur!

À bientôt  

Bonjour !

Je viens à la chasse aux nouvelles!
Si tu as la moindre question, n'hésite à nous MP ou à nous poke sur Discord. Si aucun signe de vie n'est donné d'ici le 20 Mars, ta fiche sera placée dans les fiches abandonnées, où il te sera toujours possible de la récupérer si le coeur t'en dit.

A bientôt  

C'est bon pour moi ! Bienvenue en Ithri'vaan petite danseuse

Code:

[Métier] : Danseuse

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Aucune

[Alignement] : Loyal Bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.