Norian Hartebrot. [Terminé]

Identité

Nom/Prénom : Norian Hartebrot.
Âge/Date de naissance : 21 hiver, an 997 du X cycle.
Sexe : Masculin.
Race : Humain.
Faction : Péninsule.
Alignement : Loyal Bon.
Liens notables : Gabriel d'Esclimont, Adélina de Lourbier, Mélusine Pintacle, Aubry Lourbier, Charles de Lourbier.

Particularité : Taille au dessus de la moyenne, carrure forte.


Métier : Chevalier.
Classe d'arme : A distance : Lance

Possessions & Equipements :

Masse d'arme, bouclier, lance, armure intégérale (Heaume, cuirasse etc.), un cheval, dague.

Apparence :

• Taille :Un mètre quatre-vingt-onze.
  
  
• Couleur des yeux : Brun
  
  Norian à opté pour une coiffure simple et courte pour être à l'aise quand il porte son heaume. Sa couleur de cheveux est uniforme à ses yeux, d'un brun tout à fait commun. Il apprécie quand sa barbe est rasée de près, non que l'idée que d'avoir une belle parure capillaire le rebute, mais comme pour les cheveux cela serait trop gênant une fois son casque équipé.
  
  Comme le nom d'Hartebrot le suggère (pain dur) d'apparence on pourrait croire que ce ventre est mou, que nenni ! Depuis son enfance il développe son physique de façon assidue, son penchant pour la nourriture l'aura quand même offert un double menton qui trompe souvent sur sa condition physique. Mais une fois son armure enfilée, ce détail étant caché à la vue de tous, il en devient assez intimidant par sa grande taille et sa carrure forte.
  
  Son corps ne présente aucune marque distingué, ses mains possèdent des marques dues à l'entraînement intensif et régulier. Des cicatrices de petite coupure, des cloques sur la paume guéri depuis peu par exemple.
  
  

Personnalité :

Personnage jovial par nature, il aime faire des plaisanteries parfois un peu lourde, mais sans jamais la moindre d'once de méchanceté. Il rend service sans demander son dû après la tâche accompli. Fier et courageux chevalier, il n'est pas du genre à fuir une confrontation ou un défi qu'on lui lance. Néanmoins, il déteste perdre des vies bêtement parce qu'on trouve lâche de sonner une retraite quand la bataille n'est pas à notre avantage. Norian n'est pas quelqu'un de très raisonnable quand il s'agit de nourriture ou de même de boisson. Il tient bien l'alcool, néanmoins une fois bien arrosé celui-ci à la langue bien pendue sur tout et n'importe quoi. À tendance à ne rien comprendre au seconde degré, ce qui laisse parfois ce petit blanc malaisant. Une insulte à son encontre n'aura aucun effet, celui-ci étant habitué depuis sa tendre enfance à cause de sa carrure hors norme. Par contre, envers une personne en qui Norian porte de l'estime ceci revient presque à signé son arrêt de mort.

Capacités magiques :
Aucune

Histoire

L'an 997, une vie pour une autre.

La naissance d'un enfant à la carrure imposante en cette froide nuit d'hiver à Wacune. Les premiers pleurent du bambin calmé par la berceuse fredonné de la mère, exténuer d'avoir donné la vie. Caressant la tête du nouveau-née d'une extrême délicatesse, celle-ci s'endormit paisiblement pour son repos éternel.

Le père de Norian ayant toujours vu celui-ci comme le responsable de la mort de sa bien-aimée ne profite pas au jeune enfant. L'idée de l'abandonné dans les bois ou de jetée le berceau dans la rivière traversant la forêt fut nombreuse. Un soir, les verres accumulés fini par lui faire sauter le pas. Il use d'un simple panier et d'une couverture pour dissimuler l'enfant endormi à point fermer. Une fois la forêt atteinte, il s'enfonce jusqu'à y rencontrer une rivière qui la traverse. Il dépose le panier à la surface de l'eau, le laissant à la dérive alors qu'il retourne en direction de son chez-soi, sans jamais se retourner pour contempler une dernière fois l'enfant qu'il abandonne sans réel regret.

En aval du court d'eau, un chevalier en armure faisant une pause pour abreuver sa monture remarque l'objet flottant, malgré l'absence de bruit pouvant indiqué la présence du nourrisson il eut comme l'envie irrésistible de s'en saisir. Quelle fut sa surprise de voir un enfant toujours endormi à point fermer dans ces conditions.

L'homme sous le nom de Roland de la famille Pintacle n'a pu avoir que deux enfants avant le décès de sa femme, lors de l'accouchement de leur second enfant. Les cieux n'ont laissé que deux jeunes filles et aucun garçon comme celui-ci l'aurait voulu. Il vit un signe des Dieux eux même pour avoir fait croiser sa route avec celle de l'enfant. Son choix étant fait, il ramène finalement l'enfant vers la civilisation pour l'élever comme son propre fils.

Le voile, la nuit sans fin.

Voilà maintenant trois ans que l'enfant évolue dans une famille dont le père est chevalier, l'absence d'une mère ne sont pas très remarqués dû à la présence d'une domestique en charge de veiller sur les trois bambins. La plus âgée ayant six ans Natalie, la seconde âgée de trois ans Mélusine et le dernier arriver âgé de trois lui aussi Norian.

Depuis sa tendre enfance le jeune garçon fut inculqué sous les principes de la Déesse Mère. Une foi dont les conséquences ont réagi son caractère à tendance de pourvoir le bien, recherchant même à son bas âge à suivre les Neuf dogme quand bien même certain concept lui échappe encore.

Les deux sœurs de celui-ci semble ne pas accepter le jeune garçon comme un membre de leur famille, laissant devant leur père la bonne figure d'être des aînées aimante de leur cadet, mais en apparence la plus âgé faisait tout pour éloigner sa cadette de Norian.

La nuit se couche sur la péninsule, pourtant au petit matin celui-ci ne daigne pas montrer le bout de son nez. Ce jour tant redouté commence, laissant au début les raisonnements calmer les esprits perturbés.
Encore trop jeune pour comprendre la gravité de la situation, le jeune Norian fut malgré lui affecter par cette longue nuit. À force que le temps passe et que l'éclipse s'impose dans le ciel, l'anxiété de Roland ainsi que de son entourage grandit de jour en jour. Ce sourire habituellement suspendu à ses lèvres disparu peu à peu, malheureusement pour lui les événements prit une tournure de mauvais augure. Une maladie semble avoir atteint sa sœur ainée Natalie. Son père impuissant contre la maladie reste accrocher à son chevet pour lui transmettre des paroles remplies d'espoir, d'avantage pour s'en convaincre que rassurer sa fille mourante. Incapable de prononcé le moindre mot lors de son dernier souffle, Norian prit sa main pour venir la déposer en son creux celui de sa seconde fille ainsi que la sienne.

Ce geste empli de joie le cœur meurtri du père, ceci n'empêcha pas malheureusement de restreint ses larmes toujours à flot sur ses joues.


L'an 5, la famine.

Les résultats de la nuit sans fin ont eu des répercussions désastreuses sur les provisions des dorées alimentaires, le peuple meurt de faim et même les plus chanceuses peines à se nourrir correctement. Ce n'est pas pourtant que les objectifs du jeune garçon son bouleverser, celui qu'aspirer à devenir Page pour suivre la voie de son père adoptif. Sir Roland ayant vu un potentiel naissant en lui fit ce qu'il pouvait en ces temps de crise pour le soutenir, laissant un peu en second plan sa dernière fille. Celle-ci n'apprécie pas ce manque d'attention depuis la mort de sa sœur ainé, laissant crasse sur crasse à Norian pour se venger de cette marque d'affection que lui porte son père.

Incapable de lui en vouloir en cause d'avoir imposé sa présence dans cette famille brisée, il se laisse subir les différentes humiliations sans broncher ni même sans plaindre à une personne extérieure. Au début celle-ci son discrète, de la simple farce de mauvais goût à des coups de coude lors des repas aussi peu fructueux soit-il. Mais en l'absence de résistance, celle-ci prit de plus en plus confiance et les actes de cruauté gratuite s'accentuèrent très rapidement. Au point qu'un accident se produit lors d'un repas où l'absence de nourriture se fit grandement sentir. La jeune fille hurle dans un ultime caprice qu'elle souhaite d'avantage de nourriture, que cette personne assise à côté d'elle ne mérite pas d'être ici et donc de disparaître sur-le-champs. Son père exténué de sa laborieuse journée ne tendue pas l'oreille à cette jérémiade. Furieuse, elle saisit son couvert pour venir le planter dans l'épaule de Norian qui gémit de douleur. Cette fois-ci, le père reporte son attention sur sa fille, mais son visage prit un sinistre faciès qui ne manque pas d'effrayer Melusine.

Norian se remit à table l'air de rien déposant le reste de son assiste dans celle de sa sœur ainée, bien que celle-ci n'avait sûrement que quelques mois de différence. D'un grand sourire forcé pour dissimuler sa douleur il lui rétorque sans lui en vouloir de l'avoir poignardé l'épaule. "Tu peux finir, je n'ai plus faim." Il s'agit d'un mensonge bien évidemment, mais ce geste attisa d'avantage la fureur de celle-ci, préfère quitter la table fuyant le conflit pour la première fois depuis le début de ce petit jeu mesquin.

L'an 10, une vraie guerre.

Sa formation de Page n'étant plus qu'à une année ou deux se conclure, le jeune Norian fier d'avoir su se démarquer à mainte reprise par son dévouement envers les tâches les plus insignifiante qu'importante, les entraînements et l'apprentissage des valeurs qui forme les chevaliers les plus fervent.
Son père adoptif, chevalier servant la famille de Lourbier eue l'idée de proposer à Norian de l'accompagner à sa prochaine campagne. Ainsi voir de ses propres yeux, une véritable guerre. Incapable de refuser celui-ci se prépare à la hâte pour ce voyage, utilisant ses mains et ses bras pour participer à l'effort de guerre à son échelle. La dernière chose qu'il souhaite est de l'admirer derrière l'ombre de Roland, mais bien de la vivre de lui-même.

Le sang se mêle à la sueur sur-le-champ de bataille, le jeune Page s'occupe de transporter des caisses pour la bataille. Principalement de la nourriture, des armes toute rutilante et d'autre moins due à leur usure. Le camp à l'arrière du conflit, à l'abri de toute source de danger à première vue reste paisible. On peut contempler le relief du terrain, le déplacement des troupes et d'autre chose important que sa formation lui a apprise au fil des années. Il est très utile d'apprendre des schémas, tactique ou autre stratagème pour avoir l'esprit affûté, mais ce sentiment qu'il ressent actuelle est de pâle figure face à cette méthode d'enseignement.

Un soir, Norian eut l'idée de se dégourdir les jambes avant de regagner sa couche. Il prend garde à ne pas trop s'éloigner pour autant, restant dans la lumière des torches pour éclairer légèrement les environs pour alerter la présence d'intrus. Rien à signaler dans les parages, ce qui ne manque pas de décevoir le jeune homme qui ne souhaite que faire ses preuves contre un véritable ennemi et pas un vulgaire mannequin d'entraînement inerte. Il ignore si les dieux ont entendu sa plainte silencieuse, mais lors du chemin dans le sens inverse un détail lui saute aux yeux. Il s'approche de la zone qu'abritent les réserves pour le front, profitant pour se saisir sa masse d'armes qui ne le quitte jamais a même le sol. Un homme vêtu de noir pille sans vergogne la réserve, s'amusant à déverser l'alcool prévu pour maintenir le moral des troupes sur les caisses de matériel.

Norian prit un peu de temps avant de comprendre la situation, un saboteur pour enrailler l'apprivoisement de la ligne du front. Par mégarde il fait du bruit, laissant l'intrus prendre conscience de sa présence. Celui-ci voyant le jeune garçon seul n'hésite pas une seule seconde pour cette ruée sur lui en dégainant son arme pour lui porter un coup fatal. Son corps réagit instinctivement à cette impulsion, comme si le mouvement répété lors des entraînements a rendu ce geste naturel. Au lieu de fuir l'affrontement d'un bond en arrière, Norian eut l'idée d'avancer d'une longue enjambée, son assaillant un peu surpris par son geste ne pris pas longtemps avant de reconsidéré son approche. Le bruit métallique des armes qui s'entrechoque, le frisson à chaque fois qu'il pense être vulnérable au prochain coup, le plaisir de paré avec brio les manœuvres parfois inattendus de son ennemi le comble de joie.

L'échange se termine sur un bond en arrière des deux opposants, leur apnée prolonger lors de cette instance échange se libère enfin. Le garçon souhaite encore poursuivre, mais il retient son ce sentiment égoïste en prenant une grande inspiration avant de hurler à pleins poumons pour avertir tout le camp. L'intrus étant compromis essaye dans une dernière tentative désespéré d'accomplir sa tâche de mettre le feu au ravitaillement. Norian se penche en avant, poussant sur ses orteils de toutes ses forces pour l'atteindre avant qu'il ne puisse accomplir son dessein. Le temps se fige l'espace d'une seconde, quand son arme prit de l'élan pour frapper le visage de l'homme masqué. Il crut voir dans son regard un homme résigné de mourir pour s'acquitter de son devoir. Le temps reprit son cours, le coup fait mouche laissant une gicler de sang éclaboussé la tunique du jeune Page. Ce sentiment d'un mélange étrange entre un profond respect et une angoisse face à une telle détermination le marque profondément au point que parfois, dans des nuits agitées par des cauchemars il revoit ce visage le fixer alors qu'il arme son bras pour lui assigner un coup fatal.

Des gens arrivent armée pour venir en aide à ce hurlement de détresse avant de comprendre que c'est déjà fini, certain continue leur recherche redoutant que celui-ci n'est pas seul. Il crut voir dans son regard un homme résigné de mourir pour s'acquitter de son devoir.

Le lendemain, son père adoptif Roland doit revenir du front, impatient de le revoir pour lui narrer son exploit et admirer son visage fier de lui. Malheureusement, le destin encore bien cruel frappe le garçon. Le chevalier revient vivant, du moins en apparence. Une plaie béante se trouve sur son torse, un drow réussi à le transpercer lors de l'invasion de la ville, laissant le chevalier à l'agonie avant qu'un homme ne le retrouve dans un piteux état. Le temps est compté, extraire le pieu en métal n'est pas une idée judicieuse, à moins que l'objectif soit d'abréger ses souffrances. Norian, désemparé face à une telle scène, oublie même la raison de son impatience quelques minutes plutôt. Se ruant vers son père symbolique, cherchant à savoir comment lui venir en aide. Celui-ci prit la peine de le saluer avec un sourire, cherchant à raccourcir son monologue il en vient directement au but.

"Norian, mon fils. Je sais que notre famille n'a pas toujours su être un endroit accueillant pour toi. Ma fille n'étant rarement tendre avec toi, mais sache que je vous aime autant l'un que l'autre. Si te plaît, prend soin d'elle quand j'aurais..." Roland toussant, il expulse par la même occasion des postillons de sang sur le haut de son armure. "... Enfin, je pense que tu me comprends." Un rire nerveux prit le dessus, une douleur survient ce qui le calme immédiatement. "Je suis fière d'avoir servi la famille de Lourbier, je suis fière de l'homme que je suis malgré mes multiples erreurs, je suis fière d'avoir pu avoir un fils comme toi. Et dis à ma fille que ..." un dernier long soupir s'échappe de sa bouche, ses yeux devienne vitreux et son corps se laisse soudainement allers. Le chevalier Roland Pintacle est mort, ses dernières paroles n'ont pas pu atteindre Norian et dans un silence qui surplomb le camp celui-ci pleure sans émettre le moindre bruit.

De retour avec ses nouvelles, Mélusine la fille de Roland eu d'abord une peine effroyable visible sur son visage. Tout d'abord sa réaction fut de se figer sur place, Norian pense alors devoir subir un déferlement de haine à son égard, d'être l'unique responsable à ses yeux. Mais pourtant rien de cela n'arrive, d'un geste de la main suivi d'un ton froid et sec elle lui intime de sortir de la pièce. C'est ainsi qu'il aperçu pour la dernière fois Mélusine avant son départ pour rejoindre une autre contrée, fuyant son ancienne vie comme la peste et ne prit même pas la peine d'assister a la cérémonie ériger en l'honneur de son père.

Lors de la crémation de son père adoptif, un homme se présente à lui, bien que son visage et son nom soit bien connu de Norian. Il s'agit de Mathieu de Lourbier, seigneur des terres dont il foule le pied depuis son enfance. Il lui demande de s'entretenir en privé avec lui, à l'écart des autres. Étant la personne la plus influente le garçon s'exécute sans discuter. Une longue conversation commence, il partage tout d'abord ses condoléances sincère pour la disparition de son père. Il affirme connaître ce sentiment insupportable de la perte d'un proche, ce qui rend étrangement heureux le jeune homme sans vraiment savoir pourquoi. Qu'un homme aussi important est les mêmes problèmes que lui probablement.

Il aborde un sujet inattendu en lui proposant de le prendre sous son aile, pour lui offrir cette chance qu'aurait du normalement bénéficier son fils. Norian hésite sur l'instant, sa sincérité le poussant à révéler à l'homme présent devant lui son histoire et ses origines discutable. Ce détail insignifiant aux yeux de Mathieu de Lourbier ne fut pas suffisant pour le rebuter sur sa décision de prendre le jeune Page sous sa protection. Que certaines prouesses ont su lui parvenir, ainsi son choix est loin d'être une simple pitié comme Norian a pu le croire au début.

L'an 11 à 16, une nouvelle vie.

Les années ont défilé, le jeune Page devenu écuyer pour parfaire son apprentissage au côté d'un chevalier. Bien que parfois, il aurait bien voulu voir Roland occuper cette place, il ne se plaint pas de sa situation. Mathieu de Lourbier étant devenu son bienfaiteur, son avenir est dorénavant prometteur.
À cause de son expérience passée avec la famille Pintacle, Norian eut l'idée de garder de bonnes distances avec Adélina la fille du seigneur de Lodiaker. À de nombreuses occasions, leur chemin se croise quand il rend visite à son protecteur dans sa demeure. La politesse étant de mise, il reste malgré tout distant sans pour autant être froid avec la demoiselle. Au fil des années cette scène malaisante disparue, bien que parfois il semble avoir quelques rechutes dans ce comportement étrange.

Sa croissance ne passe pas inaperçu, sa taille démesurée comparé a ceux de son âge ou même d'adulte bien plus âgé, couplé à cette addiction d'apprécier la nourriture et la boisson qui arrondit son visage. En l'absence d'un nom de famille, un surnom fut rapidement trouvé pour se marier avec ce physique atypique. Hartebrot, signifiant littéralement le "Pain dur" à l'image de sa forte carrure d'apparence molle, mais en vérité aussi solide qu'un roc.

Son dévouement est aussi remarqué, autant par ses exploits lors de certains événements. Toujours chaleureux envers quiconque se présente en ami, il laisse ce sentiment de confiance grandir envers une majorité de ses confrères écuyer et même aux chevaliers. Parfois, certain ne l'apprécie guère, son histoire n'étant point méconnu d'avoir été recueillie par un chevalier sous le nom de Pintacle avant de finir sous la protection de la famille de Lourbier. La jalousie, l'incompréhension de certain qu'un gueux se voit devenir chevalier en dérange plus d'un. Néanmoins ce genre de remarque son généralement gardé en messe basse depuis un incident. Un autre écuyer à trainer dans la boue de le nom de son défunt père, munie de ses seuls poings Norian à démolie le visage de celui-ci pour faire comprendre que nul n'insulte la mémoire de Roland ou même de quelque chose à laquelle il tient.


L'an 18, allégeance héréditaire.

Voilà quelques années depuis que Norian porte fièrement le titre de chevalier, son dur labeur fini par payer après tant d'année. Malheureusement pour lui, le destin comme à son habitude lui joua un tour dans les moments les plus agréable de sa vie. La mort de Mathieu de Lourbier parvenu à ses oreilles, ce sentiment enfoui au fond de son âme remontant à la surface comme un vieux cauchemar de son enfance réapparu dans ses rêves paisible.

Le jeune chevalier perdit l'appétit, signe inquiétant en vue de son habitude appétit vorace. Cet homme n'étant pas son père, la peine de sa disparition fut toute aussi grande que le jour où Roland mourra. Dans cette disparition Norian crue apercevoir une nouvelle épreuve pour tester sa foi. Il fut naturellement en colère qu'une telle chose se produire, alors qu'il respecte les convictions de la DameDieu Néera. La colère de Norian n'est pas redirigée envers la Bienfaitrice, loin de là. Ce sentiment néfaste résulte à l'idée de ne jamais pouvoir s'acquitter de sa dette envers l'homme a qu'il doit sa condition actuelle. Lors de longue nuit, un cauchemar récurrent le hante. Quel genre de vie aurait-il eu sans l'intervention de Sir Mathieu. La simple idée pouvait suffire à lui procurer des sueurs froides, ce qui parfois avait le don de lui permettre de n'être jamais imbu de sa personne quant à sa réussite.

Néanmoins, cette lourde dette ne pouvait être effacée de la sorte, la solution lui parvenu comme évidence. S'il ne pouvait pas servir la personne qu'il admirait le plus, il devait employer toute sa force, sa conviction et sa foi envers un seul et même individu. Une personne pour qui Mathieu de Lourbier œuvré déjà pour son bien de son vivant.

Adélina de Lourbier.

HRP:

Il commence à avoir de l'action en Alonna  
Bienvenu sur Mira!    

Code:

[Métier] : Chevalier

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : À distance

[Alignement] : Loyal Bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
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