Nombre de messages : 59 Âge : 29 Date d'inscription : 15/01/2023
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 706 ans Taille : ~2m Niveau Magique : Maître.
Sujet: Un manuscrit ouvert sous les étoiles Sam 21 Jan 2023 - 20:52
Famille :
Lieux particuliers :
Quatrième-Saison :
Lieu de naissance d’Ameanor et de toute sa famille. Il a passé la totalité de sa vie dans la ville ou ses faubourgs, avant d’entreprendre ses voyages en 20:XI. Plusieurs lieux de la ville lui sont particulièrement chers : le sanctuaire de Kÿria, son ancienne maison familiale, actuellement occupée par Eranor, l’ancienne maison de son maitre et les berges paisibles du lac.
Coromitinwë (Dôme étoilé) :
La demeure d’Ameanor, surnommée Coromitinwë, se trouve sur une colline relativement peu étendue, mais escarpée et d’une centaine de mètres de hauteur. Cette colline est située à une quarantaine de minutes de marche au sud de la ville et son relief la rend difficile d’accès. La colline a une grande diversité de faune et de flore, la rendant d’autant plus inextricable. Un chemin praticable, pavé et renforcé, a été défriché sur le flanc de la colline. Celui-ci serpente jusqu’à une clairière, à environ 90 mètres du bas de la colline, et il faut bien une quinzaine de minutes pour le traverser entièrement à pied. Cette clairière est relativement circulaire, d’une centaine de mètres de diamètre et entourées de proies rocheuses abruptes. Celle-ci monte encore sur une dizaine de mètres au fond de la clairière avant d’attendre le sommet de la colline, et un petit ruisseau d’eau glacée et cristalline y coule. Peu d’arbres ont poussé ici, mais il s’y trouve un grand nombre de fleurs aux pétales tombantes, à la base d’or et finissant sur des reflets argentés.
Le Coromitinwë en lui-même est un bâtiment de pierre circulaire. La pièce centrale est circulaire, d’un diamètre d’une vingtaine de mètres et avec un toit en forme de dôme, culminant à environ cinq mètres de hauteur. Un large trou au centre du dôme fait entrer la lumière dans la pièce, autrement illuminée avec des bougies protégée de verre. De nombreuses étagères servent à stocker un grand nombre de documents dans cette pièce, expliquant la précaution autour des bougies. Mais le point central de la pièce est bel et bien son dôme, remplit d’étoiles et de fines lignes, même si encore inachevé. Il est conçu pour qu’en sélectionnant les lignes correspondant approximativement à la date, il soit possible d’observer une réplique du ciel étoilé au-dessus de Quatrième-Saison. Autour de cette pièce centrale, accessible depuis de hautes portes de bois, se trouvent les pièces à vivre, et, fait peu courant pour des elfes, une chambre unique pour le couple. Enfin, sur la paroi rocheuse, au fond de la clairière, des escaliers sont taillés et un promontoire de pierre au sommet de la colline sert d’espace d’observation du ciel.
Idées et merveilles d’Ameanor : de la magie pour expliquer le monde
Cartographie des étoiles
Résumé succinct : une cartographie du ciel étoilé en fonction des périodes de l’année, encore incomplète. Des étoiles par centaines, ainsi que leur position sur diverses projections de la sphère céleste, sont inscrite sur une suite de cartes. Certaines bougent beaucoup au cours d’une année et ont la mention Astre errant. Quelques corps particuliers, formant comme des structures nuageuses dans le ciel, sont aussi décrits, leur observation ayant été permise par l’utilisation de la magie de la lumière.
Astres particuliers : Ilelya Luinë (Voyageur Bleu, astre errant) : étoile à l’éclat bleuté et ne scintillant pas. Elle a un mouvement rétrograde dont les boucles sont plus éloignées que celles formées par Inore Carnë. Inore Carnë (Cavale Rouge, astre errant) : étoile à l’éclat rougeoyant et ne scintillant pas. Elle a un mouvement rétrograde dont les boucles sont plus resserrées que celles formées par Ilelya Luinë. Le trajet des deux étoiles dans le ciel nocturne est souvent comparé à une danse.
Système planétaire (astres errants)
Résumé succinct : un petit traité proposant la comparaison du calcul de la position d’un astre errant avec l’hypothèse d’une rotation autour de Miradelphia ou autour du soleil, et observant qu’il est bien plus simple de recréer le mouvement des astres errant avec l’hypothèse d’une rotation autour du soleil.
La géométrie de la lumière : comment l’affecter sans la modifier
Résumé succinct : un traité plus conséquent sur les sources de lumière et comment l’image des objets qui nous entoure arrive aux yeux des vivants. Le traité propose ensuite des méthodes couplant géométrie et magie pour modifier la trajectoire de rayons lumineux afin de grandir, rapetisser ou rendre plus nette une image d’un objet sans pour autant la modifier. Vers la fin du traité, des propositions sont faites pour modeler des sorts focalisant la lumière afin d’accroître l’intensité émise par un objet au loin. Néanmoins, beaucoup restent à faire dans l’optique d’améliorer la visibilité d’un objet en rendant sa lumière plus intense tout en ne modifiant pas son image avec le sort utilisé.
Lumière et magie, les forces de l’immatériel
Résumé succinct : le traité d’Ameanor le plus complexe et hypothétique. Il est encore largement inachevé, et beaucoup des sorts utilisés pour l’illustrer sont particulièrement difficiles à lancer. Dans ce manuscrit, Ameanor essaie de déconstruire la lumière afin de la comprendre. Il commence par la compresser et décompresser pour en changer la couleur, jusqu’à atteindre des couleurs invisibles. Il s’en suit des actes bien moins connus dans le domaine de lumineux, impliquant de « tourner » la lumière, de la séparer, de la recombiner ou de l’harmoniser pour obtenir des effets d’amplification ou d’extinction bien inattendus. Cependant, les sorts utilisés pour démontrer ces points sont complexes et encore à travailler : ils ne fonctionnent que sur de petites échelles, demande une compréhension fine de comment utiliser le domaine, et consomment une énergie considérable. Le but assumé du manuscrit reste d’utiliser les propriétés de la lumière ainsi décrites pour expliquer celles de la magie. Néanmoins, la démonstration repose toujours largement sur des hypothèses non vérifiées, dépassant le niveau de compréhension du manuscrit, qui demande encore beaucoup de travail avant d’être terminé.