Un belle journée pour s'enfuir [ Libre pour une personne]

Deux heures... deux heures déjà que j'attendais ici, debout, les chaînes au cou et aux poings, une douleur lancinante dans le dos dûe aux nombreux coup reçu les jours derniers. J'avais été puni, puni par les Drow pour avoir montré une nouvelle fois ma volonté ee leur tenir tête. Et c'était pourquoi mon dos était rouge, rouge sang, me brûlant. La douleur me donnait la nausée, et voir mes compagnons esclaves, parfois de vieux hommes courbés et plein de rhumatismes, me rendait triste au plus profond de mon coeur. Certes, je n'aimais pas les hommes, mais ici, ils étaient réduits au rang de bestioles, moins bien traités encore que les chevaux qui tiraient des fois les charettes. Parmi les esclaves, l'un d'eux pleurait de chaudes larme, suppliant les deux gardes de lui donnait à manger... J'avais envie de lui dire d'arrêter, de se taire, pour lui éviter des châtiments pire que la mort. Pourtant, un mur invisible m'empêchait de lui parler, de lui adresse la parole. J'étais le plus ancien de tout les esclaves ici, et j'avait pris l'habitude de la fermer, au risque de devoir tirer seul la charrette pleine de nourriture, pendant que les autres esclaves mangeaient le peu de pain qu'on leur donnait.

Nous étions tous là, à attendre l'éventuelle arrivée des Drow chasseurs qui étaient partis traquer les nombreuses bêtes sauvage. Comme à leur habitude, ils avaient choisis quelques esclaves pour tirer le lourd chariot qui permettait de transporter les cadavres puants des animaux sauvagement exécutés, chassés par des monstres sanguinaire et sans pitié. Comme d'habitude, j'avais été choisi par les Drow pour transporter la viande. Ces temps-ci, j'avais l'impression qui voulaient que je craquent, mettaient mes nerfs à rude épreuve, voulant me voir mourir sur les routes... Pourtant, j'étais toujours là, présent, depuis plusieurs années déjà. Des années à observer leur comportement, à regarder comment ils vivaient, et comment ils progressaient socialement et militairement. J'en connaissait presque autant sur les Drow que sur les hommes et les Elfes, et cela me dégoûtait. Je détestait les hommes, n'appréciait guère les elfes, mais avait un dégout profond pour les Drow. Si je pouvais, je les élimineraient tous, si je pouvais, l'égorgerais ces gardes et si je pouvais, je libèrerais les esclaves...

Mais je ne peut pas. Ces chaînes m'empêchent de me mouvoir, bouger mes doigts ensanglantés usaient la plupart de mes forces et les gardes qui avaient été laissés ici étaient tellement armer que tenter quelque chose était complètement impossible. A chaque mouvement, les gens avaient peur pour leur vie, craignant que ce qu'ils avaient fait ne déplaise aux Drow et que ces derniers désident de les écarteler, ou de les brûler avec les animaux. Je m'abandonnait dans un demi-sommeil quand:

Citation :

« Reste qui tu es, et vit, vit pour ceux qui ont péri sous la lame de ces sales Drow... Venge-nous, et vis bien, mon fils... »

Ce phrase me sortit de mes songes comme un fouet claquant dans les airs. J'entendais cette phrase comme si quelqu'un à côté de moi la soufflait sans arrêt... Je regardais à gauche et à droite tout en sachant pertinemment que c'était de ma tête que venais cette voie... Ma mère... C'était ses dernières volontés, je m'en souvenais comme si c'était hier. Et je réagi presque instantanément. Je m'écroulai alors, sous les yeux des deux Drow et sous le regard effrayé de mon voisin de transport.

-Light Light.... Light répond moi!! Au secours, aidez le!

Les deux Drow grognèrent. C'était un grognement simililaire à un rire, mais beaucoup plus grave et effrayant. Ils s'approchèrent près de moi, me premier mettant son visage à quelques milimètres du mien. Son souffle chaud passait dans ma nuque et il dit:

« Fausse alerte... Il est juste inconscient... Il est résistant ce demi-elfe... Deux mois qu'on essaye le faire céder... Et rien!!! Il est toujours là, ce batard... Rah je peux pas le supporter et si ça ne tenait qu'à moi, je le tuerais! Mais ce n'est plus qu'une question de temps avant qu'il....

N'eut il pas le temps que finir sa phrase que sa gorge fu tranchée, par une lame acérée sortant de mes phalanges. Il tomba sur le sol, mort, répendant à mes pieds une tâche rouge vif. Le deuxième réagit presque instantanément, s'approchant de moi à grands pas. Il allait m'atteindre lorsqu'un des esclave le fit tomber d'un coup de pied. La masse corporelle du Drow ajoutée au poids de son armure l'entraîna vers l'avant et il se planta sur la lame dépassant de ma main. Il était mort, sans avoir eût le temps de le comprendre, la tête transpercée par mes lames. Il tomba sur le sol, le corps inanimée, mais j'eus le temps de lui subtiliser les clefs des menottes géantes qui me liaient au chariot. Je délivrai les autres, me remerciant avec les larmes aux yeux quand soudain, l'un des esclave déjà libre hurla.

-LES DROWS! ILS REVIENNENT!!

Effrayés, la plupart des anciens serviteurs des monstres courrurent vers une éventuelle cachette. J'allais en faire de même quand la voix de ma mère résonna de nouveau dans ma tête... Je devais la venger, quoi qu'il advienne... Et ces Drow allaient me permettre d'accomplir ma vengeance, attendu depuis si longtemps...

Je les regardaient courir vers moi, armes à la main et cadavres sur le dos. Ils étaient une dixaine tout au plus, ce qui me donnait une maigre possibilité de victoire. J'avais compter, et 9 d'entre eux n'étaient pas revenus. A croire qu'ils étaient tombés sur quelque chose de plus fort que du simple bétail. Peut-être que la chose ou la personne qui avait tué les Drow était encore là. T si s'était le cas, je priais pour qu'il me vienne en aide.

Alors que le drow allait enfoncer son épée dans le ventre de Taraënia, l'homme qu'elle venait d'aider vint tuer le drow. Elle souffla de soulagement mais se n'asseya pas, elle savait qu'ils ne devraient pas tarder à côté de ce camp, de cet ex-camp pour l'instant...
Celui qu'elle venait d'aider s'affala sur la branche, il avait l'air épuisé. C'était un jeune homme, un peu plus vieux qu'elle, les cheveux blanc avec des reflet bleue claire et mis-long. Elle remarque que c'était un demie-elfe: il était plus musclé qu'un elfe mais moins qu'un humain.

-Pour l'instant, il faut s'en aller, ils ne tarderont pas a envoyer d'autre gardes en ne vous voyant pas renvenir. Pour la dette, vous n'en avez aucune envers moi, vous l'avez vous-même accomplie quand vous avez tuez se drow.

Voyant que le jeune demie elfe était très fatiguer, elle siffla deux fois et son cheval se presenta en dessous d'eux. Elle tendit la main au demie-elfe pour l'aider a se relever.

-Mon cheval vous portera si vous êtes trop fatiguer mais on ne peut rester ici...

L'elfe lui souria, après tous il fesait comme il voulais. Elle descendit majestuesement de la branche pour retomber sur le dos de son cheval qui s'y trouvait en dessous. Elle prit la crinière de celui-ci et lui fit aller au pas.
Puis les drows arrivait, il était beaucoup plus nombreux qu'avant. Elle fit passer son cheval au trôt tout en gardant un oeil sur l'homme qui la suivait.

-Vous êtes sur que vous ne voulez pas monter, sa irait peut-être plus vite...

Elle trouvait qu'il avait l'aire mal au point et avait dis ça s'en vouloir l'offenser. Elle se dirigea vers un endroit où elle savait qu'elle pourrait semer les drows qui étaient en train de les chercher de vue, il ne tarderais pas a les trouver, et il fallait prendre de l'avance pour pouvoir s'en debarrasser et c'est pour ça que sur le même cheval elle et l'autre personne irait plus vite...

J'étais parti devant, marchant. Je me sentais enfin bien, l'air frais pénétrant dans mes poumons et me permettant de continuer à avancer, aux côtés de la jeune femme qui m'avait aidé. J'avançais auprès de la jeune elfe, qui se dressait fièrement sur son destrier. Je profitais de chaque bouffée d'air, profitant du calme de la forêt. Calme qui allait bientôt être rompu par l'arrivée imminente des hordes Drow voulant ma mort, et sûrement celle de l'elfe. Cela me fit comprendre qu'il fallait se presser, et que j'allais pouvoir profiter de ma liberté après m'être totalement enfui d'ici. Je jettais un regard derrière moi pour voir l'avancée des créatures assoiffées de sang.

-Vous êtes sur que vous ne voulez pas monter, sa irait peut-être plus vite...

"Vous avez raison, il vaut mieux déguerpir d'ici. Je me laisserais aller une fois loin de ces monstres!"

Je montais sur son cheval quand j'apercus un Drow qui courrait dans notre direction. Son air menaçant me fit trassaillir. Je n'avais pas ressenti ça depuis longtemps, et je ne comprennais pas pourquoi j'avais ce sentiment de peur... Peut-être car j'avais repris goût à la vie...

"On y va!"

[Post vraiment pourrav, j'ai honte de moi... Mais j'voulais poster pour que tu puisse répondre]

[Désolé pour le retard, un manque d'inspiration, tu peux prendre tout ton temps, je suis pas trop pressée :D ]

Taraënia fut contente de voire que le jeune homme se resigna à monter sur son cheval. Elle fit d'abors aller son cheval au galop, mais aparement, il était un peu plus lourd que se qu'elle avait prévu et le cheval n'allait pas très vite. Voyant qu'un drow s'approchait dangereusement de eux, Taraënia fit ralentir son cheval pour être sur qu'il n'y aura pas d'accident et se retourna pour tirer une flèche dans le coeur du drow. Celui-ci tomba mort, les autres drows se raprochait de plus en plus du cheval. Confiante elle mis son cheval au galop et sans se retourner elle se dirigea vers la où la forêt était plus dense. Malheureusement, les drows avaient eu la bonne idée de se servire eux aussi d'arcs et la jeune elfe du slalomé pour eviter ses flèche qui étaient assez bien visé, il faut l'avouer...
Taraënia fesait donc tous pour eviter ses flèches et au bout d'un bon quart d'heure, elle réussi enfin a semer leurs poursuivants. Elle fit ralentir son cheval, sans baisser sa gardes, les drows pourraient quand même les retrouvé et l'elfe ne voulait pas encore avoir a leur faire face. Elle se rapela alors de l'elfe, enfin elle pensait que c'était un elfe, qui était sur son cheval.

-Vous allez bien?

Et oui, il était peut-être tant de savoir comment il allait, après tout, il avait quand même été là durant toute la fuite!

-Je m'appelle Taraënia et vous? sa fesait longtemps que vous étiez dans se quand?

Taraënia essayait d'établire une discussion, car voyant qu'il n'y avait plus de drows, elle commençait un peu à s'ennuyer...

Je m'étais forcé à monter sur le cheval, afin de ne pas retarder la jeune elfe. Malheureusement, mon poids ajouté au sien ne faisait que ralentir le cheval et nous avançions plus lentement que prévu. Les Drow nous rattrapèrent rapidement, nous talonant et tentant désespérément de nous désarçonner. Ces derniers faillirent d'ailleurs me faire tomber à de nombreuses reprises mais heureusement la jeune femme devant moi contrôlait très bien son cheval et ses flèches trouvaient souvent leur cible, apportant la mort chez nos poursuivants. Plusieurs fois, j'avais vu les flèches passer près de mon visage et j'avais du utiliser mes lames et mon agilité pour les empécher de trouver leur cible. Rapidement, nous arrivâmes à les semer, ou plutôt, la jeune femme réussit à les semer. Je n'avais fait que repousser quelques flèches. La fatigue me prit alors que nous nous éloignions enfin et un flèche dans l'épaule me reveilla soudainement, déclenchant chez moi une douleur atroce. Un liquide rougeâtre coulait sur mon bras, liquide chaud et au goût métallique. Le sang coulait de la fente qui venait de se faire et ne dûs la bander avec le tissu qui servait de manche à mon habit. Rapidement, le sang arrêtà de couler, ce qui me rassura. Nous avions enfin semer les Drow, et nous descendîmes de la monture, afin de se reposer un peu. La jeune femme restait sur ses gardes, s'attendant à une éventuelle arrivée des ennemis. Je m'adossais à un arbre quand la discussion s'engagea.

-Vous allez bien?

- Ca pourrais aller mieux... Ne vous inquiêtez pas c'est un peu profond, et avec tout ce que j'ai enduré, je risque pas de me plaindre. Et vous, vous n'avez rien?

Je lui sourit légèrement, et je lui était reconnaissant de m'avoir sorti de ce pétrin. J'allais enfin profiter de ma vie.

-Je m'appelle Taraënia et vous? sa fesait longtemps que vous étiez dans ce camp?

-Plusieurs années... Je ne les compte plus tellement ça fait longtemps... Mais je vous remercie de m'avoir sorti de là. Je ne m'en serais jamais sorti seul. Au fait, je m'appelle Light...

Je levais la tête vers les cieux, cachés par les branches des hauts arbres qui se dressaient dans la fôret.

- Ne vous inquietez pas, ils ne reviendront pas, dis-je en soupirant. Ils vont être trop occupés à compter leur pertes et même si un ou deux de ces êtres malveillants essayaient de venir, on aurait aucun mal à en venir à bout... Vous comptez faire quoi à présent?

Taraënia n'avait même pas remarquer que le dénomé light état blessé. Elle laissa partir son cheval comme elle avait coutume de faire a chaque fois qu'elle avait fini de le monter. Elle pensait que ce que disait l'homme devraot être vrai: les drows ne reviendraient pas vers eux, ou alors ils ne les retrouveraient pas.
Le jeune homme s'était adossé a un arbre. La flèche n'avait pas l'air de lui faire mal mais si il ne fesait rien sa blessure risquait de s'agraver. Elle piocha dans un des deux sac qui pendait a la selle du cheval qu'elle avait retenu avant qu'il s'en aille et pris des fleurs bleues éléctrique. Quand il lui demanda se qu'elle allait faire, elle lui répondit:

-D'abors, il faut vous soigner même si sa ne vous fait pas très mal. Il ne faut pas que ça s'infecte parce que sa pourrait vous coûter la vie... Je vous previens sa risque de faire mal.

Elle attrapa la flèche et avant même qu'il ne réagissa, elle la retira d'un coup sec. Puis elle plaqua sa main contre la plaie pour qu'il ne perde pas beaucoup de sang. La blessure était quand même assez profonde même si on pouvait penser le contraire. Ensuite, elle arracha la tige d'une des fleurs et plaqua le coter de la fleur où était la tige contre la plaie. Le liquide bleu qui en sortait entra dans la plaie et la desinfecta. Et pour finir, elle decrocha le ruban qui tenait ses chevaux, celui-ci était assez large et grand, et elle banda la plaie en l'utilisant comme un pansement.
Elle avait apris tous sa grace a une vieille amie de sa mère qui lui avait enseigner les bases de la médecine.

-Et vous, vous comptez faire quoi maintenant?