Arbagon Naïmphras [Garde Royal]

Sujet: Arbagon Naïmphras [Garde Royal] Dim 6 Jan 2008 - 15:19

Nom/Prénom : Naïmphras/Arbagon

Âge : 319 ans

Sexe : Masculin

Race : Elfe sylvain

Métier : Garde royal

Description Physique : C’est un elfe quand même assez grand, environ 1m92, avec la carrure d’un typique d’un guerrier. Il a quelques cicatrices qui vienne des batailles qu’il à mener et une sur son avant-bras qui vient du jour ou il à perdu Shaenel (voir histoire), qui fait presque toute la longueur de ce dernier. Il a un visage qui démontre bien l’expérience militaire qu’il a, tout en étant agréable et chaleureux. Seulement, quand on vient à parler de la mort de Shaenel, celui-ci prend les traits de la souffrance qu’il à vécu et on peut voir dans ses yeux une tristesse qui ne lui ait pas habituel. Ses yeux sont vert, qu’il tient de sa mère, et qui la majorité du temps reste neutre, ne révélant pas vraiment ce qu’il peut ressentir ou penser, il faut un chose particulièrement grave ou pénible pour qu’il démontre quelque chose. Il a aussi les cheveux de couleur cuivrés de son père, qu’il garde court pour soucis pratique.

Il a une posture droite, sans toutefois afficher de supériorité, presque toujours vêtu de son armure. Malgré celle-ci, il garde une bonne souplesse et coordination, du à ses entraînements récurrents. Quand il n’est pas en armure, il porte des vêtements simples et confortables, de couleur vert ou bleu. Quand l’envie lui prend, il lui arrive de se vêtir comme un simple citoyen et de se mêler à ceux-ci pour voir comment se porte le village ou pour aller voir ses parents ou sa sœur. Il porte au cou un collier, dont la chaîne est assez solide pour ne pas briser durant un combat, qui est pour lui la chose la plus précieuse qu’il aille, car il vient de sa défunte amante.

Description mentale : Il est patient et réfléchit. Il pense presque toujours avant d’agir et parler, acceptant toujours les conséquences de ses actions, sans se plaindre ou chercher d’excuse. Il analyse aussi absolument tous les détails qui l’entourent, le sens des paroles qu’il entend, tout. Ce côté de lui peut parfois être terrifiant, car son esprit d’analyse est très développé. Il est aussi très déterminer, ce qui fait qu’il n’abandonne que rarement, mais qui n’est pas nécessairement bon et parfois fait qu’il se concentre sur des choses moins bénéfiques.

C’est quelqu’un de social, malgré la longue période plus solitaire qu’il a eu. Il n’a aucune difficulté à parler avec les autres et bien se tenir, ayant un caractère agréable en général. Il lui arrive cependant de ressentir un besoin de solitude à l’occasion et de s’isoler un jour ou deux, pour finalement revenir comme avant. Quand il se trouve avec des guerriers ou gardes moins expérimenter, il a tendance à rire, mais se n’est jamais pour se moquer, c’est seulement qu’il revoit ses propres erreurs. Il tentera toujours d’aider ceux-ci et jamais de les décourager.

Pourtant en lui se trouve un affrontement intérieur. La haine, la rage et tout ce qu’il à emprisonner en lui pendant son deuil, sont un peu comme un autre personnalité. Dans certaines circonstances, il peut arriver qu’il se laisse complètement sombrer à ce côté de lui, alors il devient agressif, impatient et violant. Quand il revient à lui, il encaissera les conséquences de ce qu’il a fait quand même, souvent celles d’une bataille ou d’avoir dit ce qu’il pensait, alors qu’il aurait du se taire.

Histoire : Keldan et Armyal qui étaient un petit couple heureux, fut comblé par l’arriver d’un fils dans leur famille. Tout deux étant d’ancien militaire, ils avaient fini par quitter l’armer pour avoir une famille et être en mesure d’élever leurs enfants, il en avait maintenant un. Ils avaient une petite boutique qui vendait des arcs, des flèches, ainsi qu’un petite quantité d’épée et d’armure, ce qui suffisait pour faire vivre la petite famille, sans pour autant leur accorder le luxe. Le jeune fils grandit aimer par ses parents et le reste de sa famille éloigner. On remarqua très vite qu’il avait hérité des yeux de sa mère, la seule chose qu’il tenait d’elle, car le reste ressemblait beaucoup plus à son père.

Vers ses 9 ans, son père, ancien soldat, commença à lui apprendre le maniement des épées, le sabre elfique pour ses débuts. Il passait aussi de temps à la boutique de ses parents, s’intéressant beaucoup à cet art qu’était le marchandage. Il s’amusait à analyser les objets pour se faire une idée du prix et regarder les gens négocier le prix des objets, regardant et apprenant. Quand il n’était pas avec son père à l’entraînement ou avec sa mère dans la boutique, on le voyait courir partout avec d’autres jeunes, luttant et se bagarrant pour s’amuser. Il avait un tempérament surprenant, il pensait beaucoup et était très curieux, mais il était aussi attirer par le dépassement de soi physique et le combat.

Comme il grandissait, il finit par choisir ses armes avec lesquelles sont père l’entraînait, optant plutôt pour le combat à deux armes, se munissant de deux épée bâtardes. Sa mère commença aussi à lui apprendre le maniement de l’arc, ayant été une archère durant ses années dans l’armée. Il apprit vite et se révéla aussi bon qu’avec le combat aux épées, faisant la fierté de son père et de sa mère. Il reçu sa première monture, une jument elfique qu’il nomma Kalianne. Ce fut à ce moment qu’il commença ses balades dans le bois, monter sur Kalianne, passant parfois quelques heures dans les bois. Il avait des amis qu’il estimait beaucoup et jamais il ne laissait tomber ces derniers, les aidant quand il lui était demandé. Il avait une petite vie tranquille, comme la majorité des autres elfes de son âge, et il en était bien content.

C’est à l’âge de 55 ans, que la famille se modifia. Arbagon eu une petite sœur du nom d’Eiloa. C’était pour lui une chose des plus agréable et il se promit de veiller sur elle pour ne pas que du mal lui arrive. Il avait continuer sa vie durant ces années et son désir était maintenant de faire partit de l’armée, tout comme ses parents. Il s’entraînait dur pour être sûr d’y arriver, sas oublier de passer du temps avec ses amis. Il en vint à rencontrer une elfe du même que lui, du nom de Shaenel, avec qu’il se lia d’amitier rapidement. Voulant elle aussi entrer dans l’armée, il s’entraînait souvent ensemble, Arbagon meilleur au corps à corps, elle meilleure à l’arc. Puis avec le temps, il arrivait que les deux partent dans les bois, faire des promenades équestres durant le début de la soirée. Il continuait toujours à veiller dur sa sœur, aidant ses parents quand le besoin était. Dix s’écroulèrent et cette journée, il ne l’a pas encore oublier. Il se promenait dans les bois avec Shaenel, dans une promenade habituel. Malgré l’amitier qui les unissait, lui ressentait pour elle un amour qu’il n’avait jamais vécu avant. Il se dirigea vers un cours d’eau, suivit de son amie. Ce fut Shaenel qui brisa le petit silence qui c’était installé.

- La journée est belle et si on s’arrêtait pour profiter du beau et laisser les chevaux boirent?
- Oui, c’est une bonne idée. Ils doivent avoir soif après la longue marche qu’on leur a fait faire.

Ils s’étaient assis sur le bord de l’eau après avoir mit pied à terre. Les chevaux se désaltéraient pendant qu’eux regardaient l’eau qui passait. C’est alors qu’il se décida.

- Shaenel.
- Quoi?
- Il y a longtemps qu’on se connaît et nous sommes bons amis, seulement je …, il regardait l’eau, se sentait trop gêné pour la regarder elle, cherchant les mots pour finir sa phrase.
- Seulement quoi? Elle avait dit cela d’une voix légère, un sourire au lèvres, c’est vrai qu’il hésitait rarement.
- Je … je t’aime.

Il avait dit cela d’une petite voix, craignant un peu la réaction de Shaenel. Il l’avait alors regarder, pour voir qu’elle souriait toujours, mi-amusée et mi-surprise. Durant un instant, le temps était figé, il attendait sa réaction nerveusement. Il fut un peu surpris, mais agréable, quand elle posa ses lèvres contre les siennes. Quand il était entré, ses parents avaient bien réagis, content pour lui. Il s’entendait déjà avec les parents de Shaenel, comme elle s’entendait bien avec les siens. Ils décidèrent d’attendre cependant avec de se rendre au temple pour officialiser leur relation, car il avait encore du temps devant eux, il était jeune et qui sait ce qui pouvait arriver entre eux.

Puis vint l’âge où ils s’enrôlèrent dans l’armée, elle comme archère, lui comme cavalier. Tous deux savaient les chances qu’ils avaient de mourir, mais depuis tout jeune qu’il s’entraînait pour cela et il ne voualit pas renoncer. Il avait maintenant 115 ans et entre temps, sa sœur avait grandit elle aussi. Elle n’avait cependant pas choisie la voix des armes, ni celle de la magie, mais celle du commerce. Comme sa mère, elle passait beaucoup de temps à la boutique et rêvait d’avoir la sienne un jour. Elle était assez vieille pour veiller sur elle-même, mais Arbagon avait quand même un petit pincement au cœur de la quitter, promettant de revenir quand il le pouvait. Durant plusieurs années, il prit part aux guerres dans lesquelles on lui demandait d’aller avec son régiment. Shaenel et lui survivait mission après mission, bien qu’il arrivait de devoir se rendre à un des temples elfiques pour se faire soigner de blessures plus ou moins grave. Quelques années après leur enrôlement, Shaenel lui donna un collier. Sur la chaîne, se trouvait la forme d’un dragon en vol, fait d’argent. Quelques jours plus tard, Arbagon offrit une bague, sertit de quatre petits saphirs.

Puis, alors qu’il avait eu quelques temps de congé de son service militaire, tout comme Shaenel, il revint chez lui. Quand il arriva, il apprit que sa sœur voulait se rendre dans à Diantra où se trouvait une opportunité de faire son commerce, avec l’aide d’un autre elfe qu’elle avait croiser, qui se trouvait déjà là-bas. Elle voulait aussi qu’Arbagon l’accompagne, car les routes étaient parfois un endroit où des bandits tentaient de détrousser les gens qui passait. Comme de raison, Shaenel insista pour les accompagner, car elle voulait elle aussi voyager un peu. Quand tout fut convenu, ils préparèrent leurs bagages et le lendemain, ils partirent vers Diantra. Tout allait bien, il choisissait des chemins qui était plus sûr et prenait leur temps. Il ne restait plus qu’un jour de cheval, à une vitesse de marche, avant d’arriver et il s’était arrêter pour manger et se reposer un peu. C’est à ce jour que sa vie bascula. Trois bandits surgirent des bois environnant dans l’espoir de ramasser un butin. Tout trois réveiller, Arbagon prit ses épées, Shaenel son arc et Eiloa se dégagea de la bataille. Voyant qu’ils ne voulait pas se laisser faire, les bandit prirent leur arme aussi, un premier fonça sur Arbagon. Il fut facile à maîtriser, mit hors combat rapidement. Une flèche passa au-dessus de sa tête, se planta dans la gorge d’un bandit qui voulait le prendre à revers. Il entendit soudainement une plainte de douleur s’élever et se retourna pour voir le corps de Shaenel tomber, Eiloa la rattrapant avec qu’elle ne touche le sol. Sous la colère, il chargea le dernier bandit qui avait prit son arc au lieu de son épée, le prenant par surprise, le tuant d’un coup d’épée.

Il revint vers sa sœur, pour voir que Shaenel était inconsciente, une flèche dans les côtes. À entendre sa respiration, elle avait un poumon percer et il n’avait pas le nécessaire pour la guérir, il devait se rendre à Diantra au plus vite. Il rangea le matériel et prépara les chevaux rapidement. Quand tout fut près, il fit monter Shaenel sur Kalianne, laissant sont cheval à elle les suivre. Dans un galop assez rapide, ils se commencèrent à parcourir la distance. Après un moment, Shaenel se réveilla, lui murmurant un léger : « Je t’aime », avant de s’évanouir à nouveau. Durant le trajet, il sentit la vie qui la quittait, jusqu’à ce que le corps de sa bien-aimée se repose entière sur lui, complètement froid, vide de vie. Ils arrivèrent après 15 heures, au lieu d’une journée, mais il était trop tard. On rapporta le corps de Shaenel à Alëandir, lui revenant en même temps après avoir dit des au revoirs glacial à sa sœur et son collègue qui avait le magasin avec elle. Retourner parmi les siens, il prit un long moment à faire son deuil, qu’il n’a toujours pas terminer à 100% aujourd’hui. Il fini par se montrer à nouveau, reprenant une vie relativement normal, à deux exceptions. La première étant qu’il ne supportait pas d’entendre parler de sa défunte amante et l’état dans lequel il tombait quand on insistait.

La deuxième consistait en l’entraînement qu’il avait. Il était décider à devenir garde royal. Pourquoi? Il ne savait pas, parce que l’armée ne lui était plus supportable? Parce qu’il cherchait un défis pour oublier sa peine? Peut-être de tout cela. Il passa 130 ans à s’entraîner durement et sans relâche, au grand désespoir de ses parents qui n’aimait pas voir leur enfant souffrir autant. Sa sœur avait bien essayé de le réconforter une fois, mais cela avait mal terminé, alors il l’avait laissé passer au travers de cela tout seul. À l’âge de 260 ans, il atteint un niveau qui satisfaisait les prérequis pour entrer dans la garde royal, ce qu’il fit. De sa volonté et sa persévérance, il se remarqua vite des autres, montrant un avenir prometteur, bien qu’il lui restait d’important chose à corriger et certaines à régler avec lui-même. Il lui fallu attendre d’avoir environ 300 ans avant de monter dans les échelons et maintenant, il est dans la garde de la reine, avec laquelle il s’entend bien. Il fait de son mieux pour s’assurer que celle-ci ne cours aucun risque et pour exécuter les tâches qui lui sont demandé par celle-ci.

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