arrivée à Diantra et pause dans ses explorations [libre]

Aï a fini de traverser la grande plaine d'Atral, séparant la ville de Diantra de la forêt d'Aduram. Elle s'est enfin décidée à terminer le deuil de son père et a récupéré son ancienne tenue, maintenant un peu trop petite pour elle. La chemise blanche qu'elle porte maintenant est trop moulante et laisse apercevoir un décolleté bien trop plongeant. Aï soupire.

-Même si c'est trop, ça pourra toujours m'être utile...

Elle redresse la tête et passe les portes de la ville, qui est la capitale des hommes. Presque immédiatement, l'atmosphère change de ton. L'air calme de la plaine, traversée par seulement quelques charettes, dirigées par les personnes qui entrent ou sortent de la ville, se change en air pollué par le tabac fumé par les voyageurs, la senteur des soupes s'échappant des fenêtres des tavernes et la fumée s'élevant au-dessus des tois des maisons. Aï s'arrête quelques instants au milieu d'une rue, cernée de tous côtés par des personnes, seules ou accompagnées, marchant sans but précis. Un homme la bouscule soudainement, l'air pressé, faisant tomber son chapeau. Aï ne voit pas tout de suite le couvre chef de l'homme à ses pieds, trop occupée à se masser l'épaule.

// Il m'a pas loupé, ce mec ! //

Elle reprend sa route, mais se prend les pieds dans un bout de tissus. Elle regarde par terre, pour voir ce qui a manqué de la faire trébucher, et voit un chapeau tel qu'elle n'en a jamais vu. C'est une sorte d'ovale en cuir, assez haut de forme. Elle n'imagine vraiment pas quelqu'un porter ça, tellement elle le trouve laid.
Aï se retourne pour essayer de trouver l'homme qui l'a percutée et le voit s'éloigner plus loin, tourner dans une ruelle, toujours aussi pressé. Elle décide de le suivre, étant généreuse de nature, et ainsi lui rendre son chapeau immonde. Elle le prend avec elle, non sans retrousser le nez, et court rejoindre la ruelle.

// Mince !Un cul de sac... Je l'ai pourtant bien vu s'engager ici. //

Aï regarde un instant autour d'elle, pour voir si l'homme pressé n'a pas changé de direction pendant qu'elle ramassait son chapeau. Elle décide de s'engager quand même dans la ruelle, pour chercher une quelconque porte dans laquelle l'homme aurait pu s'engager.
Bingo !
Une petite porte en bois, d'apparence vieille et très usée, est dissimulée derrière un vieux drap qui pendouille négligement. Ne nombreuses fissures s'étendent de la serrure à divers endroit dans le bois massif, signe qu'elle a été souvent forcée. Ce doit être pour ça que le drap devant a été mis en place. Piquée par sa curiosité naturelle et intarissable, Aï décide d'entrer.

La porte s'ouvre très facilement, malgré le fait qu'elle soit dissimulée aux passant ordinaires et qu'elle soit si abimée. En entrant, Aï voit ce qui peut être l'intérieur d'une auberge ordinaire, mais ce sont les cients qui laissent à désirer, physiquement parlant. Ils ont tous, ou presque, un chapeau vissé sur le crâne ; ceux qui n'en ont pas ont un foulard noué en cache nez, ou les cheveux tellement longs et crasseux qu'ils leur cachent le visage. Il y en a quand même quelques uns qui n'ont ni chapeau, ni foulard, ni cheveux gras, mais ils sont au moins quatre. Impossible pour Aï de savoir qui est l'homme pressé qui l'a renverrsée. Elle se dirige vers le bar et s'asseoit sur un tabouret libre, non sans attirer les regards : elle est la seule femme présente en ce lieu.

// Peut-être qu'il y en aura au moins un qui pourra m'aider... //

Aï ne sait pas vraiment d'où lui vient cette idée, mais elle veut à tout prix savoir si tous les Dows sont semblables, emplis de haine, assoiffés de sang, ou bien s'il y en a au moins un ou une qui peut s'associer aux elfes sylvains, ou aux humains. Elle a pourtant entendu parler de "demi elfes" ou "demi drows", mais n'en a jamais rencontré aucun. Le patron du bar choisit ce moment pour faire son apparition et demander le traditionnel :

-Qu'est-ce que je vous sers ?

Sa grosse voix bourrue fait sortir Aï de ses pensées. Elle remarque, évidemment, que le patron ne la regarde pas dans les yeux, mais ne s'en formalise pas ; elle a l'habitude. Sa grosse poitrine est tout autant un inconvénient qu'un avantage.

-Une pinthe de bierre, s'il vous plait.

Les hommes présents dans l'"auberge" l'ayant entendue ont tous tiré une tête étonnée. Une femme qui vient dans cette auberge, mais également qui boit de l'alcool ! C'est du jamais vu...
Et oui, bien qu'elle ne boive pas si souvent que ça, Aï tient particulièrement bien l'alcool. Elle pose le chapeau ramassé par terre sur le bar, à côté d'elle, attendant de voir s'il appartient à quelqu'un présent dans cette pièce, ou si n'importe qui peut lui donner des informations sur une nouvelle exploration qu'elle ne tardera pas à faire. Son passage à la ville de Diantra est juste pour glaner des indices et se reposer quelques jours, après quoi elle repartira si elle ne trouve pas quelque chose de plus intéressant d'ici-là.

Elle replonge dans ses pensées, sa pinthe à la main, sans même s'apercevoir qu'un homme s'est assit à côté d'elle.

Spoiler:

Aï remarque que l'homme changea de ton. Il passa de l'étranger timide et seerviable, poli, à celui de chef sur de lui qui dirige tout, et un peu trop fier de lui-même. Une deuxième chose qui énerve Aï, généralement. Mais pour l'instant ça ne fait que deux, elle ne va donc pas lui en tenir compte. C'est généralement à la troisième qu'elle dit haut et fort ce qu'elle pense des gens qui l'énervent ; pas forcément méchamment, juste pour prévenir qu'elle n'est pas une femme qui se laisse diriger et marcher dessus. Elle n'était pas aventurière pour rien.

Vous comprendez que je ne suis pas quelqu'un à fréquenter...Je voyage sans arrêt et la garde ne supporte pas que je sois en ville...En tout, je tiens à vous dire que la peur ne me ronge que lorsque j'ai devant moi des tonnes de drows...Croyez moi, lors de l'assaut d'Ydril, j'ai eu beau en éliminer, c'est comme de la mauvaise herbe : ils reviennent à la charge avec autant de rage...

Enfin bref oubliez...Si vous voulez dormir dans un endroit plus sur, et je vous comprend, je pourrai vous conduire à une auberge dans les quartiers modestes de la ville...

// Mais pourquoi me dit-il ça ? //

Aï passa rapidement en revue les choses qu'il lui avait dites, et les réponses qu'elle pouvait donner sans être incohérente. En résumé, l'homme en face d'elle n'était pas quelqu'un à fréquenter, il voyageait contre l'avis de la garde et aimait se vanter. Aï eut un frisson imperceptible. Qui lui garantissait qu'elle serait plus en sécurité avec lui qu'avec n'importe qui dans cette taverne, bien qu'elle soit des plus sales et des plus louches ? Cela l'inquiétait d'autant plus que personne n'était venu leur parler depuis qu'il était enté et, bien que la porte soit dans son dos, elle ne l'avait pas entendue s'ouvrir une seule fois depuis le départ des gardes. Elle se calma, ferma les yeux une demi-seconde, et répondit à l'homme à sa gauche.

-Si vous dites vous mêmes que vous êtes quelqu'un de louche, qu'est-ce qui m'encourragerai à poursuivre cette discussion ? Bien qu'elle avait encore une fois un sourire innocent en parlant, elle laissait sous-entendre qu'elle n'avait aucune confiance en cet homme. Elle continua. Enfin... Je ne suis pas une guerrière, juste une archère, au cas où.

Aï pointa de son pouce l'arc et le carquois attachés dans son dos, mais n'attira pas l'attention sur le poignerd fixé à sa ceinture pour avoir comme avantage l'effet de surprise si quelque chose dégénérait. L'homme à côté d'elle se focalisa s'un l'arc et ne remarqua pas le fourreau en cuir. Aï voulut reprendre une gorgée de sa pinthe, mais elle était vide. Elle soupira et fit un signe au patron pour lui dire d'approcher.

-Une autre, s'il vous plait.

Elle se retourna vers son interlocuteur.

-Et avec accent sur de vous, comme si vous aviez l'habiude de commander, qui me garanti que l'endroit dans lequel vous voulez m'emmener n'est pas aussi louche, voir plus, que celui-ci ?

Il lui demanda ensuite pourquoi elle ne restait pas longtemps, et elle lui expliqua vite fait la raison de son passage rapide.

-Je suis exploratrice, et je suis à Diantra juste pour me poser un peu et peut-être avoir des informations sur un quelconque voyage que je pourrai entreprendre quand je remettrai les voiles.

Aï venait de finir de lui parler et allait porter sa pinthe toute fraiche à sa bouche, que l'homme étrange prononça une phrase qui ne l'était pas moins :

Je suis désolé de ce que je vais faire..

Elle le regarda s'approcher de plus en plus près, sans rien dire, dans l'attente de ce qu'il avait l'intention de faire. Elle fut sans doute aussi surprise que le garde qui les lorgnait, l'air mauvais. Le rouge lui monta aux joues, mais ce n'était ni de la gène, ni de la honte. Simplement de l'énervement. De tous les hommes qu'elle avait embrassé jusqu'à maintenant, elle avait toujours décidé si l'homme en question pouvait oui ou non gouter à ses lèvres. Là, ce mec qui se pointe lui parle depuis dix minutes à peine et se croit déjà tout permis. Elle remblait presque de rage : c'était la troisième chose qui l'énervait su'il faisait. Elle allait répliquer quand il la coupa à nouveau :

Bon j'imagine que votre seul envie à present est de me tué mais c'était le seul moyen de ne pas finir en prison...Car une femme ici pour eux est suspect vous savez ceci ?

Il baissa ensuite les yeux. Et en plus il se permettait de loucher sur sa poitrine ?! Il finit de tenter de se rattrapper avec une dernière phrase. Heureusement qu'Aï n'était pas très émotive, ce soir-là, sinon elle se serait mise à hurler. Mais là, il lui avait suffi d'un peu de temps pour se calmer un minimum, après tout dépendrait de ce que répondrait son interlocuteur.

-Vous dites que c'est pour mon bien ? Ou pour le votre ? Depuis que vous vous êtes assis à mes côtés, personne n'ose nous parler. Je me demander même si vous n'êtes pas pire que la plupart des gens réunis ici... Et puis, pourquoi m'avoir enbrassée ? Non, taisez-vous ! Elle le coupa alors qu'il allait répliquer : elle n'avait pas fini. Vous allez me dire que c'était le seul moyen pour faire s'éloigner le garde ? Foutaises ! Il aurait suffi que vous m'enlaciez, j'aurais compris et joué le jeu. Mais bien sur, vous vous croyez tout permis pour décider de ce que vous pouvez faire de moi. Et bien, même si je ne vais pas partir tout de suite, vous pouvez courir pour que je reste avec vous cette nuit !

Elle se rassit face au bar, attrappa sa chope et la vide d'un trait. Elle entendit vaguement la porte s'ouvrir, mais elle était trop occupée à essayer de se calmer pour y prêter attention.

Peu de temp après que le garde soit sortit, la porte s'ouvrit doucement et un personnage mystérieux entra dans l'auberge, on ne pouvait reconnaitre sa race à cause de sa capuche qui recouvrait son visage et sa cape noir avec un logo au dos qui recouvrait tout son corp et son armure. Il marchait doucement jusqu'au bar. Le monde le regardait avec un regard croche remplit de questions. Il pouvait entendre les murmures des personnes qui étaient habillé d'une facon assez...pauvre. '''qui est-ce?'' ''on dirait la mort'' ''il m'a lair dangereux'' . Et lui, qui avait une cape propre et repassé, qui prennait soin, vu qu'il ne restait que ca comme souvenir.

**Et moi qui voulait me fondre dans la foule, on pourrait me reconnaitre sans problème...** se dit il.

Quand il fut rendu au bar, il apella le barman et celui ci arriva aussitot.

''Je veux une bière ...s'il vous plait'' dit il

Le barman partit et revint avec un verre en vitre remplit d'un liquide jaune foncé qu'on appelait la bière, et discrètement, il prit une pincée de ses épices préféré, la connericine et en mit dans sa bière. Il prit une gorgée et sa gorge commencea à lui bruler abondament, et il adorait cette sensation, comme un drow,et reprit une autre gorgée pour lui redonner cette douleur envoutante. Après ces deux premières gorgées, il tourna sa tête et vit deux humains une femme qui était accoté sur lee bar et un mec qui était derrière lui. Il sentait de l'énervement en elle, sans doute que le mec lui avait fait quelque chose d'énervant. Il n'aimait pas ce défaut des humains de toujours être surprit et énervé. Pour lui, ce peuple était une bande de surénervé qui ne pensent qu'à tuer des drows...ils n'étaient pas si différent de ses semblables qui, eux, étaient sadiques.

''Vous allez me dire que c'était le seul moyen pour faire s'éloigner le garde ? Foutaises ! Il aurait suffi que vous m'enlaciez, j'aurais compris et joué le jeu. Mais bien sur, vous vous croyez tout permis pour décider de ce que vous pouvez faire de moi. Et bien, même si je ne vais pas partir tout de suite, vous pouvez courir pour que je reste avec vous cette nuit ! '' venait de dire la jeune femme.

il avait faillit se faire prendre par un garde, quelques minutes plus tot et un garde aurait été ici, heureusement pour lui qu'il n'avait pas courut, sinon il aurait sans doute tout les gardes sur lui.

''Les gardes...c'est comme la peste, on doit toujours s'en éloigner...'' dit il

Spoiler:

Aï, s'étant calmée, et ayant demandé ue troisième pinthe au gérant de l'auberge miteuse, elle fit un peu pllus attention à l'individu, car toutes les personnes présentes ici étaient des cas ; sauf elle, bien entendu. Il avait une voix rapeuse et profonde, dans laquelle se mélaient le dégout, la fatigue, la haine, et le sadisme. Elle n'avait encore jamais entendu ça nulle part, bien que ce ton lui rappelle pourtant quelque chose fe famillier...

Son énervement avait fait place à de la curiosité, mais il repartit à nouveau quand l'homme, dont elle ne commaissait même pas le nom, posa un doigt sur ses lèvres. Elle crut tout d'abord qu'il allait encore tenter de l'embrasser et était prête à lui asséner une paire de gifles, maintenant que le garde était parti. Mais quand elle le vit se lever, ses traits se détendirent et elle le suivit de la tête pour voir ce qu'il allait faire. A sa grande surprise, il s'approcha de l'imconnu à la cape méticuleusement repassée, propre, sans un grain de poussière, et comportant un logo qu'elle ne pourrait pas décrire.

Et depuis quand les drows font de l'humour avec la peste qu'ils ont déployés en Diantra...

Aï n'en revenait pas. Elle se souvenait maintenant où elle aait déjà entendu ce ton de voix, et quand. Mais, à l'époque, il ne s'agissait que de murmures, aussi menaçants et captivants que le bruissement des feuilles, mais qui faisait monter l'angoisse dans le coeur de quiconque l'entendait. Aï gardait un tel souvenir des Drows depuis qu'elle en avait rencontré dans la forêt de son enfance, la première qu'elle avait explorée.

Cette seule voix, cette seule apparence, lui avaient fait remonter tous les souvenirs de son père, si bien qu'elle ne parvint plus à bouger jusqu'à ce que l'homme ne prenne à nouveau la parole. La curiosité l'emporta et elle écouta ce qu'il avait à dire à ce Drow manifestement surpris d'être mis à visage découvert aussi rapidement et imprévisiblement.

Voyez messsieurs ceci est un monstre de Sud...Laissez moi le tuer dans la réserve ne prenvenez pas les gardes...Sinon je n'hésiterai pas à vous eliminez aussi ...

Un monstre du Sud... Le tuer dans la réserve... Aï ne voulait pas croire qu'un Drow qui soit venu dans une taverrne fréquentée principalement par des hommes en toute connaissance de cause puisse être mauvais. Elle étaitmomentanément incapable de bouger, ses souvenirs lui restant en travers de la gorge, mais dôù elle était elle avait pu voir l'homme parler à l'oreille du Drow. Elle décida de les suivre, quoi qu'ils en disent, dans la réserve, la curiosité l'emportant sur la raison.

Elle entendit le discours du Drow, et ne put s'empêcher d'être émue. Si seulement elle avait découvert plus tot des Drows qui lui étaient semblables, qi son père avait eu affaire à des Drows comme lui, il serait peut-être encore en vie. Gravement blessé, mais vivant. Et elle avait enfin trouvé un elfe noir qui tuait les siens, pas pour les siens. Ca voulait bien dire qu'il n'éait pas le seul, oui, il devait y en avoir d'autres ! Elle s'agenouilla, sans réfléchir, et lui demanda :

-Es-tu le seul ? Elle poursuivit devant son air incrédule. Connais-tu d'autres Drows qui ne sont pas des tueurs ? Es-tu le seul ?

Elle ressentait en même temps du soulagement et de la déception. Maintenant, elle allait devoir trouver une autre exploration à accomplir, et elle ne voyait pas vraiment à quoi ça l'avançait de savoir que certains Drows n'étaient pas entièrement mauvais, qu'il y avait des exceptions. Mais en même temps, elle était soulagée d'en avoir trouvé un, d'avoir trouvé la réponse à la question qu'elle se posait depuis toute petite. Elle attendait maintenant que les deux mâles continuent à parler, dans l'excitation d'en apprendre plus.

Aros retourna son regard vers la jeune femme,il trouvait qu'elle était un peu jeune pour aimer l'aventure à ce point.

''Connais-tu d'autres Drows qui ne sont pas des tueurs ? Es-tu le seul ?''

quand celle ci se mit à parler, il tourna sa tête vers le mur ou personne se tenait et regarda les pièrres sales sans propreté.

''je ne sais pas si je suis seul ou non, souvent, les drown qui ne veulent que le bien de tout le monde doivent se cacher de tout et surtout de l'armée drow qui recherche ces...erreurs de la nature...souvent, ils sont dans les ruines,dans les montagnes, ou quelque part ou on peut avoir les ressources pour survivre, moi je devais vivre dans la foret ou près de la route de sang, et je pouvais tuer les bandits qui attaquait les rares passants qui passait sur ce chemin.Donc j'avais toujours un peu d'argent ou du fils invisible pour faire mes pièges contre les monstres.'' dit il à la jeune femme

Peu de temp après qui ait finit sa phrase, l'humain redit son mot.

''En tout cas une chose est sur drow tu dois quitté la ville rapidement sinon le mal va s'abattre sur toi et je ne pourrai te protégé...Je ne suis qu'un...humain comme les autres...''

aros se sentit insulté quand il dit qu'il ne pourrait se protéger, il se mit à le regarder avec un regard sombre.

''Ce n'est pas parce que tu es plus fort que moi que je ne sais pas me défendre, et à voir comment le monde réagissent face à un drow...je crois que je vais devoir retourner dans mon abrit dans la foret...'' dit il

Et l'humain ne put s'arreter de parler...avec un ton que le monde disait...tendre...une vois de faible a ses oreilles...

''Les temps sont dur humaine et j'aimerai que tu sois en sécurité pour la nuit...Quand à toi drow je vais faire en sorte que tu sorte de la ville vivant...

Maintenant je vous propose ceci...drow je t'indique une sortie par les égouts de la ville...Et toi humaine tu vas dans l'auberge qui porte le nom de Bouton d'or, là bas si tu veux je te parlerai de notre monde car je ne sais pourquoi je n'es pas envie de voir ce visage vif et doux s'éteindre dans ce temps de malheur...''

Et aros ne put s'empecher de dire son mot,non mais pour qui il le prenait?

''D'après toi...humain...comment pense tu que je suis arrivé dans la ville...je connais les egouts de cette ville comme le fond de ma poche...enfin...expression.Le seul problème...c'est que je peux pas sortir par la porte d'ou je suis arrivé, donc il foudras que tu me fasse sortir de cet auberge avant tout.''

Il prit un de ses couteaux de lancer et se fit un entaille à la jambe. Elle ne coulait pas abondament , mais juste assez pour que du sang en sorte et qu'il ait lair mort.

''tu auras qu'a me faire sortir en me prennant comme une poche de patate'' dit il

Quand l'autre assasin se colla sur le mur froid, il dit encore une phrase...plus courte que toutes les autres qu'il avait dit en ce moment.

''Alors ? Quesque que voulez vous faire jeune femme et monsieur...Aros...''

Aros reflechissa un peu et il se mit à parler.

''ben...mon idée serait que...on sorte tout les trois d'ici...c'est mon idée mais si vous voulez pas vous promener avec un drow...c'est votre choix'' dit il

Aï était heureuse de savoir qu'il y avait d'autres Drows qui n'étaient pas à fond dans le mal, qu'ils ne voulaient pas tous tuer les autres, sauf les Drows eux-mêmes. Elle voulait, évidemment, aller voir ça de plus près, mais n'allait pas le dire maintenant devant eux, sinon les infos éventuelles qu'avait l'homme pour elle risquaient de lui passer sous le nez... Elle écouta ensuite l'échange entre l'homme et le Drow, qui ne s'appréciaient franchement pas, bien que ça n'ait rien d'étonnant.

''je ne sais pas si je suis seul ou non, souvent, les drown qui ne veulent que le bien de tout le monde doivent se cacher de tout et surtout de l'armée drow qui recherche ces...erreurs de la nature...souvent, ils sont dans les ruines,dans les montagnes, ou quelque part ou on peut avoir les ressources pour survivre, moi je devais vivre dans la foret ou près de la route de sang, et je pouvais tuer les bandits qui attaquait les rares passants qui passait sur ce chemin.Donc j'avais toujours un peu d'argent ou du fils invisible pour faire mes pièges contre les monstres.''

''En tout cas une chose est sur drow tu dois quitté la ville rapidement sinon le mal va s'abattre sur toi et je ne pourrai te protégé...Je ne suis qu'un...humain comme les autres...''

''Ce n'est pas parce que tu es plus fort que moi que je ne sais pas me défendre, et à voir comment le monde réagissent face à un drow...je crois que je vais devoir retourner dans mon abrit dans la foret...'' dit il

''Les temps sont dur humaine et j'aimerai que tu sois en sécurité pour la nuit...Quand à toi drow je vais faire en sorte que tu sorte de la ville vivant...

Maintenant je vous propose ceci...drow je t'indique une sortie par les égouts de la ville...Et toi humaine tu vas dans l'auberge qui porte le nom de Bouton d'or, là bas si tu veux je te parlerai de notre monde car je ne sais pourquoi je n'es pas envie de voir ce visage vif et doux s'éteindre dans ce temps de malheur...''

''D'après toi...humain...comment pense tu que je suis arrivé dans la ville...je connais les egouts de cette ville comme le fond de ma poche...enfin...expression.Le seul problème...c'est que je peux pas sortir par la porte d'ou je suis arrivé, donc il foudras que tu me fasse sortir de cet auberge avant tout.
'tu auras qu'a me faire sortir en me prennant comme une poche de patate''

''Alors ? Quesque que voulez vous faire jeune femme et monsieur...Aros...''

''ben...mon idée serait que...on sorte tout les trois d'ici...c'est mon idée mais si vous voulez pas vous promener avec un drow...c'est votre choix''

Elle trouvait que ce stratagème pourrait marcher. Comme ça les clients, aussi louches soient-ils, penseraient qu'il était mort. Comme il s'était entaillé la cuisse, ça pourrait être un éventuel signe de bagarre. Elle donna ensuite son avis :

-J'accepte de passer la nuit à l'auberge, mais vous devrez obligatoirement me dire tout ce que vous savez, toutes les histoires qui pourraient me faire partir dans une nouvelle exploration, quels que soient les dangers ou l'endroit. Et j'irai vous attendre devant cette auberge. Rappelez-moi son nom, avant que vous ne sortiez ?

hp: désolé de revenir après tant de temp, j'ai un très gros problème avec mon ordi et je dois poster a mon école maintenant...donc mes post risquent d'etre un peu petit contrairement a mes anciens.Désolé


Bon d'accord...Nous allons sortir ensemble...Drow tu vas rentré dans cette caisse ...Une fois dedans tu ne bouge plus...Ensuite vous jeune femme étrange vous m'aiderez a porté la caisse...Une fois dehors je nous conduis à une auberge sur même pour les drows...Je préfere que nous restions groupés en ville...

Pour lui, c'étais le contraire qu'il devait faire, il ne devait pas rester dans cette ville sinon il serait capturé dans les dongeons et ça n'en serait finit de lui...mais il embarqua dans la caisse et prit un de ses couteaux pour faire quelques petits trou de ventilation.

'' ils ne paraitront pas vu que la caisse est déja en mauvaise état à l'intérieur'' dit il

Quand la caisse fut soulevé, il sentait que les problèmes arriverait bientot.

**dans quoi je me suis embarqué...**se dit il

[yay enfin il a posté XD]

Quand aros sentit que la boite fut déposé sur quelque chose de dur, il entendit la voix de l'humain

A présent soyez sans crainte lorsque la charrette arrivera dans des hautes herbes et que le vent soufflera plus fort vous pourrez sortir de la caisse...Bonne chance drow...

Aros lacha un soupir désaprobateur, il sentait qu'il allat se faire avoir, la garde est pas si stupide que ca après tout.

''Bonne chance à vous aussi humain, si vous voulez me retrouver, je serai soi sur la route de sans, sous dans la foret de l'aduran'' dit il

Et le chario partit au loin, et passa devant les gardes sans qu'il ne se fasse repérer.Plus tard, il vit de l'herbe haute. Sentant que c'étais sa chance, il donna un coup sur le couvercle de la caisse et sortit rapidement et se cacha dans les heutes herbes...la ou aucun humain le retrouverait.

**enfin libre**se dit il


[finit pour moi, vu qu je ne suis plus dans le village]