Mensonges et Séduction

¤ Nom/Prénom :
De Scylla Soren

¤ Âge :
Vingt-cinq belles années.

¤ Sexe :
Je tenterais de l’humour, je vous dirais qu’il est à sa place. Je chercherais à vous répondre, je vous expliquerais que ma mère a mit au monde un mâle dans toute la splendeur du mot. Et non, je ne vante aucunement une quelconque mesure.

¤ Race :
La plus belle, l’humaine. Notez que c’est comme tout : la race est superbe, mais pas par tout ses représentants.

¤ Particularité :
Mes cheveux et mes yeux, qui possèdent la couleur de l’argent baigné d’un éclat lunaire. Toute cette poésie mièvre pour vous signifier la singulière teinte de ces attributs, simple résultante d’un caprice de la génétique.

¤ Alignement :
Neutre. Mais si les femmes qui la défendent sont jolies et pas farouches, je peux bien défendre une cause, quelle qu’elle soit.

¤ Métier :
Menteur, séducteur et maître d’arme de mon propre style, celui de l’hirondelle.

¤ Classe d'arme :
Corps à corps, rapière pour ne pas faire dans l’originalité.

¤ Équipement :
Rapière donc, assez simple et à garde italienne. C’est une œuvre de maître-forgeron réalisée à grand frais (et divers troussements de la fille de l’armurier). De bonne qualité, sa seule particularité et de porter les armes de ma famille, le « S » barré d’une plume et d’un sabre sur le bas de la lame, au dessus de la garde. Légère et efficace, d’une longueur d’une mètre vingt de la pointe au manche.

¤ Description physique :
Vos yeux vous feraient ils défaut pour que vous me demandiez à quoi je ressemble ? Un peu de sérieux... Soit, je veux bien jouer le jeu, après tout. Mettons de l'eau dans notre vin, vous et moi. Je vous parle et vous m'écoutez avec attention, qu'en dites-vous ?

Tel que vous me voyez, je pose mon regard bleu azur sur vous depuis mon mètre quatre-vingt quinze. Quelques quatre-vingt cinq kilos bien répartis sur un corps que j'ai dessiné par l'effort. Le sport sous de nombreuses formes, dont les duels à l'arme blanche et nombre de corps à corps avec de charmantes représentantes de la gente féminine. La maîtrise de quelques mouvements que j’ai moi-même développé me permets d'entretenir une hygiène de vie plus que correcte. Je crois que ma ligne de conduite respecte plus où moins consciemment quelques principes, mais peu importe notre sujet n'est pas là, n'est ce pas ?

Mon visage est agréable à regarder, pas vrai ? Des traits fins quelques peu efféminés pour certains, un regard argenté et perçant surmontant un nez droit et discret… Bref, je fais plutôt « délit de belle gueule ».

Mes muscles joliment ciselés roulent sous ma peau légèrement hâlée par le soleil, sans que cela soit trop exubérant. Je n'aime pas m'exhiber inutilement. Mes cheveux sont d'une curieuse couleur, caprice de la génétique humaine. Grisâtres argentés, je les ai longs jusqu'au épaules. Parfois, je les noue en un élégant catogan à l'aide d'un ruban de soie, mais j'aime aussi les laisser libres. Une mèche où deux tombent parfois sur mon visage, me donnant un air élégant. Je prends soin à choisir mes tenues. Toujours élégant et présentable, quelle que soit la circonstance. L'élégance est un point important, selon moi. Prendre du temps pour ses vêtements est un critère de premier jugement pour le premier contact, toujours plus où moins décisif. Et puis pour conquérir quelques cuisses aptes à rapidement s’ouvrir, autant être présentable, non ? Mon style semble sortir parfois d'un siècle passé, mais pourtant vous me trouverez toujours...Disons.... Dans l'air du temps. Je prends soin à me vêtir de façon à pouvoir bouger librement. Le plus souvent, je porte un gilet de cuir sur une chemise bleue.

Oh, oui... A ma ceinture, vous ne serez certainement pas sans voir la rapière qui bat contre ma cuisse. Superbe arme tout à fait fonctionnelle, dont j'ai une bonne maîtrise. Je la scelle dans son fourreau selon les circonstances, mais jamais elle ne me quitte.

¤ Description mentale :
Après mon corps, je dois vous parler de mes méninges ? Soit vous êtes curieux, soit c'est un interrogatoire en règle. Soit... Admettons que je suis d'excellente humeur et que j'ai envie de vous faire la discussion. Où alors c’est que la pénombre me cache que vous êtes une femme dont le regard me dévore dans l’espoir d’obtenir mes faveurs. Ma foi, nul besoin de savoir comment je pense dans ce cas là, pas vrai ?

Pour commencer, sachez que je suis quelqu'un d'assez fier. Je ne m'abaisse pas au niveau des paysans qui constituent le plus gros de notre race. Et je ne suis pas de ceux qui pensent que les autres races nous valent largement. Les hommes ont dû s’imposer pour être sur le devant de la scène de ce monde, et je suis fier de ce que mes ancêtres ont accompli. A nous de perpétuer cet héritage pour faire éclater à la face des elfes et autres nains. Ne lisez pas dans mes paroles une forme de racisme. Je ne suis pas « si » chauvin et je sais reconnaître la valeur d’un individu en faisant fi de son bagage génétique. Je ne tiens pas une seule personne responsable des actes de toute une race, par exemple.

Et puis si je dédaigne les autres races, comment mettre dans mon lit les femmes les représentant ? Soyons sérieux !

Vous l’aurez compris, j’aime la femme avec un grand « F ». La plus belle religion, c’est celle de l’amour charnel. Je dois avoir un côté Grand-Prêtre… Je suis amateur des aventures d’un soir sans conséquences aucune, mais je respecte pourtant mes partenaires. Ce n’est pas parce qu’une damoiselle vous ouvre ses draps qu’elle doit être tenue pour femme facile où catin ouverte.

Mentir ? Où ! J’aime et je le fais avec aisance. Racontant mille histoires incroyables et parfois invraisemblables. Pour arriver à mes fins en racontant ce que les gens veulent entendre, mais aussi pour mon plaisir personnel. J’aime raconter des histoires et tenter de les faire vivre. Mythomane ? Oui et non, je ne crois pas nécessairement ce que je raconte.

Curieux, non ? Je dois vous sembler un peu... Indécis, indistinct. Je le conçois parfaitement, rassurez vous. Mais si vous prenez le temps de vous intéresser à moi, peut-être comprendrez vous mieux ma façon de penser ? Aurez-vous seulement cette patience ?
J'accorde beaucoup d'importance au savoir-être et au savoir-vivre, que je place en haute estime. Et ne croyez pas que je ne me mêle qu'aux gens de la classe sociale à laquelle j’aspire à appartenir officiellement... Non, je sais parfaitement que les plus belles perles se trouvent aussi dans les pires endroits. Et je ne crains aucunement de me salir pour aller à leur rencontre.

Je parais hautain et inaccessible, mais je ne suis aucunement un cœur de pierre. Si je devais dominer, ce serait par autre chose que la force... Je pourrais même tomber amoureux, si l'occasion se présentait. Enfin, il faudrait vraiment que cette femme sache me combler.

J’accorde beaucoup d’importance à mon style de combat, que je passe le plus claire de mon temps à développer. J’aimerais qu’on finisse par reconnaître la qualité de mes mouvements envolés et gracieux, qui sont à même de surprendre l’opposant. Le style de l’Hirondelle, reconnut par toutes et tous ? C’est mon rêve, oui. J’aimerais l’accomplir en me trouvant un (et de préférence une) élève pour le transmettre. Je reste persuadé que mon art pourra m’ouvrir les portes de la noblesse à laquelle j’aspire. Mais je ne suis pas stupide et reste parfaitement conscient que d’autres moyens pourraient m’ouvrir quelques portes. Et ma foi, tant pis pour les voies que j’emprunterais. Qu’il soit homme où démon, je suivrais celui qui pourra me faire accéder à mon rêve.

L’amitié, l’honneur… Ce sont là des valeurs que je possède et que je respecte. Même si ce n’est pas flagrant au premier abord, c’est vrai.

Provoquer ma colère peut avoir de lourdes conséquences, sachez le bien. Je peux être un animal enragé pouvant se montrer plus sournois qu'un serpent. Ceci dit, avant d'en arriver là, votre chemin serait bien long.

J'accorde assez facilement ma confiance, mais pas mon pardon. Tenez le vous pour dit.

¤ Histoire
Un nom ne fait pas tout, qu’il soit à particule où pas. Si vous avez uniquement connaissance de mon nom complet et de mon aspect général, vous pourriez facilement penser que je suis issu d’une quelconque lignée respectable mais discrète car peu influente.

Et bien il n’en est rien.

Je suis né dans une rue sale de Diantra, d’une mère paysanne et d’un père qui avait toujours vécu avec pour seul but d’intégrer la noblesse coûte que coûte. Pour cela, il s’était inventé un nom : De Scylla. Mon père n’avait rien de noble, mais faisait tout pour donner l’illusion. Des vêtements éliminés trouvés où volés qui évoquaient de loin un vestige d’appartenance à ceux qui pouvaient se permettre de porter ce genre de parure. Mon paternel passait outre les moqueries et les brimades et avait entreprit de me donner une éducation « de la haute ».

Ce ne fût certainement la meilleure, et elle ne fût certainement pas faite dans les règles de l’art. Mais j’aimais ça. J’aimais voir mon père fier de son fils alors que je m’exprimais avec ce ton bourgeois, que je me tenais devant nos voisins comme si ils étaient issus de la cour de notre souverain. Je m’amusais et j’adorais me prendre pour un de ces enfants nés une cuillère en or au coin des lèvres.

Mère voyait cette éducation d’un mauvais œil, disant qu’il était mauvais de me faire miroiter des choses qui jamais ne seraient à moi. Avait-elle tort ? Oui, car j’avance avec cette idée en tête aujourd’hui encore. Il faut alimenter n’importe quel brasier pour qu’il continue de brûler, après tout. Prétextant être fatiguée de ce cirque, Mère nous quitta pour vivre une autre vie plus adaptée à sa condition.

Père sembla l’accepter durant un temps, avant de sombrer dans l’alcool et de perdre peu à peu la superbe que j’aimais tant chez lui. Finalement, je me détachais de lui pour finir par quitter la maison. J’avais quoi ? Quinze ? Seize ans ?

Une rencontre fortuite avec un duelliste au hasard d’un couchage à la belle étoile me fit faire connaissance avec les arts de la lame. D’après celui qui fût mon mentor le temps d’un mois trop bref, j’avais quelques prédispositions à manier la rapière. Il m’enseigna quelques mouvements de base, me conseillant de développer un style plus personnel pour réellement pour exprimer ce qu’il qualifiait de talent. Prenant ceci comme un défi à relever, je me lançais dans cette quête à corps perdu. Et croyez bien que je dû travailler avec ardeur pour porter mon art naissant à un niveau honorable. D’ailleurs, je ne cesse de travailler, entrainant ma lame pour que jamais elle ne s’amenuise. Rapidement, je compris que je tenais peut-être un moyen de parvenir à m’imposer dans la vie que je convoitais...

Je compris rapidement que ma belle gueule me servirait d’atout dans le périple qui me permettrait de construire ma vie. Il m’était facile de mettre les demoiselles dans ma poche et de profiter de leur naïveté. Au fil des années et des rencontres, j’affinais ma verve et mon parler pour devenir un menteur habile et un séducteur insatiable. Je goûtais à la chair et ses délices et en fit rapidement une drogue, une obsession. Le sexe fût longtemps mon seul moteur, mais je n’oubliais pas pour autant mon but : l’accession à la noblesse. Même si je m’étais égaré en chemin, je n’avais pas perdu de vue les rêves que j’avais toujours partagé avec Père.

Je revins donc à Diantra après avoir voyagé dans l’espoir d’y trouver un moyen d’aboutir à mes fins. Ma rapière était (et reste) la seule possession pour laquelle j’ai travaillé. Je voulais que ce prolongement de mon âme soit une source de fierté et je refusais de voler pour l’obtenir, ayant peur d’en salir l’acier et tout ce qu’il représentait. Bon, je voulais tout de même la virginité de la jeune fille du forgeron pour me faciliter le paiement, c’est vrai.

Je retrouvais Père qui durant mon absence avait sorti la tête de l’eau. Mieux, il avait trouvé une femme de petite noblesse qui s’était pris d’affection pour lui et qui tentait de lui inculquer ce qu’il manquait à sa connaissance de la noblesse pour l’y faire entrer par le biais d’un mariage plus où moins arrangé. La dame avait besoin de compagnie et mon père avait besoin de vivre cette nouvelle vie avant de trépasser. Après tout, il n’était plus de toute première jeunesse. Je n’hésitais pas à lui donner ma bénédiction, cherchant à donner à celui qui avait bercé mon enfance et dessiné ma vie un peu de ce rêve qu’il avait si longtemps caressé.

Père mourut quelques semaines après les noces et fût mis en terre comme le voulait son nouveau titre.

Quant à moi, je me sentais comme perdu. Mes gesticulations dans la vie auraient elles aussi peu d’impact que celle de mon père ? Etais-je destiné à m’éteindre sans avoir brillé ? Durant un temps, je connus un passage à vide. Moi qui étais bon vivant, j’avais perdu le goût des femmes et de la fête et je sombrais dans une dépression qui ne me ressemblait pas.

Puis vint la nuit du masque, qui me remit en selle.

Ce soir là, j’avais décidé de prendre l’air à travers la ville. Je voulais chasser mes idées noires et par habitude, j’avais pris ma rapière. Alors que je me baladais sans but précis, le tintement de lames s’entrechoquant me fit dresser l’oreille. Curieux, je me dirigeais rapidement vers une petite place discrète où se déroulait un spectacle insolite. Une femme masquée croisait le fer avec un adversaire qui semblait peiner à se défaire d’elle. Si l’homme possédait un style grossier sans finesse, la femme au masque elle…. Quelle grâce ! Bien que l’affrontement ne me concernait aucunement, je ne pouvais m’empêcher de le regarder et mon intérêt ne tarda pas à me rendre bien peu discret. Et tandis qu’à la suite d’une superbe botte du Masque l’homme rendait son dernier souffle, je butais contre les ordures qui dévalèrent sur le pavé, me révélant à la gagnante. J’eu à peine le temps de dégainer que déjà elle était sur moi, cherchant sûrement à s’assurer de mon silence.

Cet affrontement fût le meilleur de tous, en ce qui me concernait. Mon style de l’hirondelle se confrontait à un art à la grâce égale et à l’indéniable talent. Si elle où moi avions immortalisé cet échange sur une toile, c’aurait été une œuvre d’art. Nous fîmes jeu égal cette nuit là, et je gage que si elle n’avait pas été pressée par le temps notre duel aurait été bien long. Toutefois, cette garce masquée fît couler le premier sang en me gratifiant d’une jolie estafilade au bras, dont je garde la marque encore aujourd’hui. Ce fût son cadeau d’adieu, car elle fila une fois qu’elle le pût. Je lui criais mon nom, lui promettant de remporter le prochain échange.

Le Masque m’avait fait un cadeau, cette nuit là. Notre combat avait enfin réveillé le véritable moi qui s’était endormi après le décès de Père. A nouveau, je me sentais capable de tout grâce à ma lame. Je devais relever la tête pour porter mes projets et mes rêves à bien. Et je devais transmettre mon art. Parce que je me rendais compte que tout les efforts fournis pour le mettre à jour auraient été bien inutiles si le Masque m’avait passé sa lame au travers du corps.

Il ne s’est passé que quelques semaines depuis ma « rencontre » avec le Masque, et mes projets n’ont pas avancé. Mais de façon volontaire, cette fois. Je sais qu’à présent je dois être prêt avant de me lancer dans quoi que ce soit. Maintenant, je me sens prêt. A moi la Noblesse, les femmes et le vin !

Et à moi ma revanche sur le Masque, dont les yeux verts pénétrants hantent mes entrainements et mes nuits. Ce genre de corps à corps là demande qu’on s’y attarde, voila ce que j’en dis. Et rester sur une défaite, ce n’est pas le style de Soren de Scylla. Garde-toi, Diantra. Garde-toi, Masque. Car j’arrive pour vous prendre toutes les deux !

~~~~~

¤ Comment trouves-tu le forum ? :

Joli ^^

¤ Comment as-tu connu le forum ? :

Second compte d’Alrunee autorisé par Daneva ^^

Whaa j'avais pas encore un tel dragueur à la cour Razz

Superbe fiche ! Je valide le môssieur !

Like a Star @ heaven

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
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Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
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Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Bon jeu , vil séducteur :p

De suite, vil..... Je ne cherche que le bien de mes partenaires, ô ma Reine. Et si votre mari vous ennuie, je me ferais un plaisir de vous distraire, sachez le.

* Lui applique un doux baise-main*

Merci pour la validation.

Grmpf.
Retourne dans ta campagne et rend moi mon hymen !

Moi aussi je suis content de te revoir, Hadji...

Moi j'ai hâte de te (re)voir dans mon lit Soren XD

Et moi à la pointe de mon s.... Arme. :D

héhéhé ^3^

...Soren tourne le dos pour voir?

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