Sélim, l'Ombre [Ombre du Chaos]

Sujet: Sélim, l'Ombre [Ombre du Chaos] Dim 25 Jan 2009 - 10:47

{ Prénom ~ Nom } Selim Zea
{ Âge } 140 ans mais je n'en parais même pas 26..
{ Sexe } Masculin
{ Race } Elfe
{ Particularité } Ma peau qui m'a souvent valu d'être un rebut. Elle est encore plus blanche que celle d'un cadavre gelé. Mes lèvres, mes mains... Aucune couleur autre que du blanc et du gris très clair.Malformation génétique surement... J'ai une cicatrice qui me barre le dos également.

{ Alignement } Enfant du Chaos
{ Métier } Ombre
{ Classe d'arme }A distance & corps à corps

{ Équipement } A l'intérieur de mes bottes sont cachés 2 couteaux de lancer, à ma ceinture je porte une grande dague de bonne facture. Ce sont les seuls armes qui me suivent partout. Lorsque je chasse où dans d'autres occasions je prend mon arc et mon carquois, je ne connais pas l'origine du bois, mais il est à mon image : blanc. Une arme magnifique sculptée. Je sais me servir d'un sabre mais n'en porte jamais.

{ Description physique } Mon corps est lumineux.. bien trop lumineux à mon gout, voilà une des raisons pour laquelle je porte toujours du noir. La deuxième est pour témoigner de mon deuil envers mon frère et ma soeur. La troisième parce que le noir est la couleur de la nuit. Alors, soit. Mes vêtements seront nuits et ma peau lune. Ma peau est semblable à celle d'un cadavre gelé. Blanche. Dénuée de la moindre couleurs hormis le gris de mes lèvres. J'assume désormais cette différence, ne me rend elle pas aussi mystérieux que le sourire de mes lèvres ? Et j'aime le mystère... Etre différent m'a pourtant tellement fait souffrir avant. Mon corps est bien bâti, fin et souple comme ceux des elfes. La musculature sèche de mon corps provoquée par un entraînement régulier n'en reste pas moins impressionnante. Sans compter que je mesure 1m92. Une paire de bottes d'équitation, un pantalon moulant de cuir noir, une chemise - noire-, des gants et une veste tombant jusqu'à mes hanches et ne se fermant que par un bouton au niveau du cou sont mes seuls vêtements. Si nous partions de bas en haut vous verriez maintenant un long cou blanc et un visage anguleux taillé à la serpe. Aucune douceur, seulement empreint de sauvagerie. Mes lèvres fines se tordent souvent en un sourire en coin qui n'augure jamais rien de bon. Qui a dit que les elfes n'étaient pas sadiques et cruels ? Mes yeux sont d'un bleu très clair, rare sont d'ailleurs les gens à me regarder dans les yeux. Dommages... Ils pourraient y lire le grand livre de toutes mes émotions. Autour de mon visage tombent de longues mèches blanches immaculés, plus ou moins longues. Mèches irrégulières qui cachent mes oreilles effilés. J'en viens à souhaiter qu'elles n'existent pas. Me rappelant éternellement ma honte de ce peuple... Un rebut. Je n'étais que leur rebut.

{ Description mentale } Ma façon de penser ne tient qu'en quelques maîtres mots : Folie, Vengeance, Mensonge, Séduction et Illusion.
Folie à cause de mon impulsivité et de ma fougue. De toutes les émotions contradictoires qui s'agitent en moi et me rendent incontrôlable et dangereux. J'apprends à maîtriser mon corps et mes envies mais lors de mes ratés, seuls le sang peut satisfaire ma folie. J'ai beau dire, il manque dans mon corps un coeur. Le deuxième mot est vengeance. Vengeance mon coeur doit être vengé, car le seul moyen pour combler le trou dans ma poitrine est de tuer ceux qui l'ont crée. Puisque la vengeance soulage l'âme et le corps. Parce que la vengeance est provoquée par la haine et que c'est le sentiment le plus fort au monde. L'amour ne fait que servir les dessins de la folie et de la haine. L'amour renforce le trou dans les poitrines et bloque l'épanouissement. Plis communément, l'Amour avec un grand A ne fait que rendre vulnérable là où la haine vous rend invincible. Le troisième mot est mensonge. Pourquoi mensonge ? Je n'ai jamais désobéis à un ordre, jamais oublier une promesse. Je n'ai aussi jamais dit la vérité. La vérité fait mal et c'est toujours le cas. Je suis un expert dans l'art de détourner les mots, face à moi mesurez vos dires.. Et puis accomplir un acte ne signifie pas de ne pas une faire d'autres en même temps. On peut vous demander d'arrêter de respirer, mais votre coeur, lui, bat toujours. Et puis, mentir n'est que la plus belle façon de donner sa propre vérité. Le quatrième mot est séduction. Pour combler mes manques j'aime que les gens parlent de moi, qu'ils déblatèrent et illusionnent. J'aime voir mon reflet dans les yeux des femmes que je souille sans qu'elles ne s'en rendent compte. J'aime voir le rebut que j'étais brillé plus fort que toutes les étoiles de la nuit. Mon côté mystérieux, mon sourire en coin ou mon aire hautain, qui serais-je pour vous ? Voilà pourquoi. Pourquoi le mot illusion est le cinquième. La lune prend une apparence différente pour chacun d'entre nous. Je ne suis que le reflet de ce que vous voulez bien voir.. Même votre meilleur ami vous décevra. Pas moi puisque je suis le reflet de ce que votre âme veut voir. Mais évidemment ce ne sont que des mots, venez me découvrir vous.

{ Histoire } Je n'eus jamais de "famille". Ou si j'en aie eu une, ce n'était pas un père et une mère aimante. Dès ma naissance j'étais un rebut. Sans doute m'abandonna-t-on à ma naissance aux portes de ce temple de Néera. J'étais une malédiction, l'absence de couleurs de mon corps le prouvait bien. C'était un petit temple humain qui ne roulait pas sur l'or. On s'occupait de nous à la va vite, et notre éducation s'est faite elle-même entre privations et bagarres. J'étais déjà à l'époque un petit garçon fougueux et indomptable. Un jeune fauve blessé... ce qui n'aidait pas à la tolérences des humains à mon égard. J'étais souvent puni pour des actes que je n'avais pas commis, et pour mon sens "différent" de la vérité. La majorité des enfants avaient peur de moi... Sauf deux, Anna et Jérome. Des jumeaux elfes comme moi qui avaient une conception de la vie un peu différente. C'est surement nore race qui nous a rapproché. Leur mère était morte en couche et le père les avait abandonné. J'étais plus vieux qu'eux mais ils sont vite devenus mes meilleurs amis, nous partagions tout ensemble. Le trio infernal. Même sans vouloir le dire, je m'étais attaché à eux. Ce fut ma première erreur. Un jour, lorsque j'avais 45 ans on vint les chercher mais ils refusèrent de partir. Pas sans moi. Je me retrouvais catapulter dans une vie bourgeoise. Après le temple des plaines que j'avais exploré de nuit des millions de fois, pousant lus loin mes limites je découvrais Diantra. La vie bourgeoise. Une femme en mal d'enfant en voulait deux. Elle en avait gagné trois. Malheureusement j'étais son préféré, elle disait en riant que j'étais son portrait exact niveau caractère mais j'ai et j'avais du mal à la croire lorsque l'on voit le personnage. Elle me couvrait d'attentions auquel je m'extirpais difficilement. Je n'étais pas une poupée ! Si Anna aimait ça ce n'était pas mon cas. Je partageais mon nom avec Anna et Jérome mais plus je grandissais, moins je les comprenaient. Asservit par cette femme... je détestais cela. Difficile de se dire que j'ai vécu 50 ans avec eux. Mes "parents" étaient presque gâteux et un jour moururent. Je n'étais pas affligé. Anna semblait inconsolable. J'incendiais la maison après notre départ... Sans coeur.
Et nous voilà à trois sur les routes. Je voulais retrouver mes parents, quoi qu'il m'en coute. J'avais 80 ans.. Mon frère et ma soeur me suivirent. Il me fallut cinq ans pour les retrouver à Aleandir. Oui, la ville de notre peuple était l'endroit le plus probable où les retrouver. Jérome travaillait comme jardinier, Anna était serveuse et je travaillais dans une forge. Nous gagnons juste assez pour vivre.. mon travail me permit d'apprendre à me servir d'armes. Le forgeron ne m'aimait pas mais sa fille si. Elle m'apprit à tirer à l'arc avec une précision inimitable. Elle m'apprit le lancer de couteaux. Et surtout, elle m'apprit les femmes... Mais toutes les bonnes choses ont une fin n'es-ce pas.
Un jour, un homme m'arrêta dans la rue et me proposa de boire un verre. 4 ans que je cherchais mes parents sans les trouver, me demandant si un de mes parents n'était pas un drow. Cette homme était moins beaux que les elfes normaux, j'en conclua donc qu'il était demi. Une fois assis il me dévisagea longuement puis un seul mot échappa de ses lèvres.

- Sélim ?

J'ai aquiéssé et il a éclater de rire, visiblement heureux de me retrouver, je lui demanda si il connaissait ma famille. Il a aqiéssé et sans arrêter de me dévisager il m'a raconté mon histoire. Druide, il accoucha ma mère, mais en me voyant mon père prit peur, il dit à ma mère que j'étais mort et demanda au druide voyageur de m'emmener loin d'ici. N'ayant pas de place pour un fils il me donna à un temple en pensant cela mieux pour moi. Malgré qu'il m'aie abandonné je lui étais reconaisant d'avoir changer ma vie. J'étais pur sylvain et mes parents habitaient dans les quartiers pauvres d'Aleandir. Il quitta ma vie comme il y étais rentré mais ma vie me souriait. Je n'en voulait pas à mon père...
Je trouvais ma famille et allait par un matin d'été. Je ne sais pas ce que j'avais espéré, bien trop surement... Toujours est-il que je suis tombé net face à un homme. Il ne me ressemblait pas, oh non. Pourtant, son visage se peint de haine et de surprise, je me souviendrais toujours de ses mots..

- Malédiction.. le démon !

Les derniers mots avaient été hurlés, je n'étais pas le bienvenue ici et je ne m'en rendais compte que maintenant. Une masse compact s'agita autour de moi. La déformation du mot démon s'était faîte toute seul, "démon" était passé à "drow". J'en avais les cheveux et ma peau était trop claire. Ils ne prirent même pas la peine de vérifier. Non, j'étais ce qu'il aurait pu arriver de pire dans les quartiers pauvres. Je fus passer à tabac, certains riaient, d'autres se contentaient de me regarder. J'étais l'un des leurs pourtant...
Pourtant lorsque je me réveilla, Anna pleurait près de moi. Jérome m'avait sorti de là en jouant des coudes. Il m'avait sauvé la vie. Ma première pensée fut : Je ne suis pas un elfe. Cette certitude encrée en moi ne s'évanouit toujours pas alors que je cache soigneusement mes origines. Malgré mes capacités de récupération il me fallut une année entière pour recommencer à vivre. Les bleus avaient disparu, mes os s'étaient réparés mais je devais tout réapprendre. De ce souvenir je ne garde plus qu'une marque visible : une longue cicatrice dans mon dos. Chaque coup est pourtant gravé dans ma chaire et je les ressens toute dès qu'un elfe croise mon chemin. Même si je vivais 1000 ans, la douleur ne s'aténuerait pas. Dès que j'ai pu courir je me suis enfuie, fauve blessé. Jérome m'intercepta dans ma fuite, il ne dit que deux mots..

- Nous t'attendrons.

J'ai couru pendant des heures et des heures, pleurait, saigner, appris, persévérer, pousser mes limites. J'étais redevenu le petit garçon sauvage qui s'enfuyait de l'orphelinat. Cette mascarade dura presque 50 ans, j'apprenais seul à me battre et à survivre sans l'aide de quiconque. Je connaissais les bruits par coeur, je poussais mes limites à la perfection, mon visage changea, il perdit les dernières rondeurs, je devins plus lumineux encore, plus musclé, mystérieux.. il manquait Jérome et Anna dans mon bonheur, pourquoi eux n'auraient pas droit à la découverte. Après maintes réflexions je revins à Aleandir, prenant soin d'éviter le plus possible les elfes. Ce qui dans leur capitale est assez difficile. Anna et Jérome avaient bien changé aussi, j'ai vu briller dans les yeux de ma soeur une lueur nouvelle... Je leur aie raconté le monde. 50 ans d'apprentissage et de voyage, enfin je leur aie proposé de partir avec moi. A l'aube nous quittions Alëandir, la dernière fois que j'y mettais les pieds me concernant.. et la véritable dernière pour eux. J'allais bien plus vite qu'eux mais j'étais comblé. Un lien différent s'est crée avec Anna très rapidement, je l'emmenais quand son frère dormait. Regarder la lune simplement des fois, où selon l'endroit, voir différentes merveilles. Elle savait comment j'étais il y a 50 ans, et comment j'étais toujours. Pourtant elle se jeta inconsciemment dans mes bras, m'offrant corps, âme et coeur. Un cadeau bien trop gros pour moi qui ne lui offrait que mon corps, mon coeur existait-il seulement ? Concernant mon âme, elle était déjà damnée puisque j'étais maudit. Un an et demi passèrent, en secret pour nous. Tous deux contiens que Jérome essayerait de me tuer s'il apprenait que je couchais avec sa jumelle. Une nuit alors que Jérome montait la garde, il hurla. Puis ce fut le trou noir. Je me réveillais dans un cachot, nous n'étions éclairés que par une torche. Anna était encore évanoui, mon premier réflexe fut de la prendre dans mes bras pour vérifier qu'elle respirait. Elle s'est réveillée faiblement et a serré ses bras autour de ma nuque, murmurant mon prénom. Je déposais un baiser sur ses lèvres sans réfléchir. Mon regard se releva vers Jérome, si un regard avait pu tuer, je serais mort. Nous avions déjà la chance de ne pas être attaché, nous étions trop affaiblie pour nous battre et il ne me toucherais pas temps qu'Anna serait dans mes bras. Ce statut co dura une semaine et demie avant qu'on ne nous sortes de ce cachot. Je suivais les discussions autour de moi, voilà ce que nous étions. Des sacrifiés à l'Unique. Mais qui était l'Unique qui leur suscitait un tel respect ? Je fus pris en premier et emmené face à une femme, je lus dans ses yeux l'angoisse, elle avait l'intention de me tuer. A cette évidence je sentis quelque chose de différent, terriblement puissant m'envahir. Je ne resistais pas, allant jusqu'à fermer les yeux pour me plonger dans cette force. Je rouvris les yeux et mes iris bleues se posèrent sur le corps de la jeune femme, sans vie. Tous étaient surpris.. on me libéra de mes chaînes, étais-je libre ? J'appris plus tard que Jérome avait été tué, une première brulure s'ouvrit dans mon coeur, nous étions en conflit certes mais il avait été mon ami 138 ans. Cela ne s'oublies pas... Je revis Anna, inconsolable de la mort de son frère. Je l'ai pris une dernière fois et j'ai arraché son coeur de sa poitrine. Une deuxième blessure s'ouvrit. Je brula son coeur et garda ses cendres dans une minuscule boîte. Pour me rappeler surtout de ne plus m'attacher à personne.

J'étais alors ce que je suis maintenant. Je me suis très vite adapté à la cité de l'Unique. A ses règles et coutumes. Enfin, la voilà ma famille.

A peine quelques mois après j'intégrais les troupes de la Main. Une ombre, voilà qui me ressemble bien.. j'appris à devenir le vent, silencieux et invisible. J'appris et j'apprends encore... Je suis libre de mes actes et ici, on m'accepte pour ce que je suis. Après Deux ans au service de Jiv'undus je n'ai jamais eu un seul échec et je lui voue énormément de respect. L'amour rend faible mais la passion brise les limites, et je suis un passionné d'Abyssea et de ses habitants.

A la question "Qui-suis-je ?" je peux désormais répondre "un fils du Chaos".

Sujet: Re: Sélim, l'Ombre [Ombre du Chaos] Dim 25 Jan 2009 - 11:52

Salute et rebienvenue alors ^^

Hum. Que dire?

Ah oui, il n'y a pas d'orphelinat ^^. Dans ce contexte, les enfants sont abandonnés aux pieds des temples, ici en l'occurrence tu devrais avoir été abandonné devant un temple de Kÿria ou bien de Nééra.

Seul souci, si c'est bien à Alëandir, les prêtres n'oseraient jamais confier les enfants à des humains. Je pense même au vu de ton histoire, que tes parents ont pu t'abandonner dans un temple humain, afin que tu sois le plus éloigné possible d'eux. Ce serait là que tu aurais rencontré les jumeaux, qui étant elfes comme toi se seraient très vite liés d'amitié étant donné que vous êtes de la même race.

De plus le fait de vivre à Diantra aura fait que l'enfant aura appris à vivre à la dure auprès des humains. Quant aux jumeaux, pourquoi sont-ils là? Ils ont été abandonnés eux aussi? Pourquoi? Leurs parents sont morts?

Le problème de la peau est intéressant, un elfe albinos pourquoi pas, après tout. Toutefois il faudrait qu'il soit sûr d'être elfe pour rendre l'histoire plus intéressante, ne sachant s'il doit croire qu'il est sylvain ou s'il n'a pas un parent drow, tu ne penses pas? C'est une suggestion, libre à toi d'en faire ce que tu veux Wink

Sujet: Re: Sélim, l'Ombre [Ombre du Chaos] Dim 25 Jan 2009 - 12:40

J'ai édité mais c'est trop long de quelques caractères maintenant alors je reposte ici :

Comment trouves-tu le forum ? : Parfait
Comment as-tu connu le forum ? : je suis aussi Anabelle et Idriss & Isaac. ( autorisation d'Eldis)
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) :
Sakimichan, j'ai demandé son autorisation pour utiliser son oeuvre. http://sakimichan.deviantart.com/

Sinon, j'ai changé pour les orphelinats :

Citation :: Sans doute m'abandonna-t-on à ma naissance aux portes de ce temple de Néera.

J'ai préciser pour les jumeaux :

Citation :

Et j'ai rajouté un messager pour qu'il sache qu'il est pur sylvain :

Citation :

Sujet: Re: Sélim, l'Ombre [Ombre du Chaos] Lun 26 Jan 2009 - 11:04

FICHE VALIDEE Like a Star @ heaven

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
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Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
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Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Amuses-toi bien chère Ombre.

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