Dans une taverne [Libre]

Quand le bateau était arrivé à Ydril, Matador ne s'était pas attardé dans le port. Il ne fallait pas qu'on se voit. Quoiqu'il y ai relativement peu de chances que quelqu'un puisse le reconnaître. Cela faisait plus d'un ans que Matador n'avait pas remit les pieds en terrain humains. Rabattant un grande capuche grise sur sa tête, dissimulant ainsi son visage, en partie tout du moins, il avait traversé le port sans lever la tête du sol. Gardant les yeux rivés sur les pavés.

Une fois arrivé dans les ruelles étroites, et sombre, de la ville. Il s'était permit de relever la tête, regardant autour de lui afin de pouvoir se repérer. Cela faisait très longtemps qu'il n'était pas revenu ici, mais rien n'avait changé. A la première rue sur sa gauche, il tourna, puis la secondes sur la droite, et de nouveau pa première sur la gauche. Ensuite, il descendit un petit escalier qui le consuisit droit dans une taverne en sous sol. C'était un taverne qu'il avait fréquentée quand il avait été banni. il savait que le gerant n'était pas homme à poser des questions. Surtout quand il y avait un peu d'argent à la clé.

Quand il fut installé, et qu'on lui eu apporté une bonne bière humaine, il se détendit un peu. Il demanda à gérant s'il avait une chambre. Il savait que dans ce lieu, les chambres était bien souvent dans un sal état, sans fenêtre, du fait qu'elles étaient en sous-sol, mais elles étaient surtout discrètes.

Quand la chambre fût réservée, il attendit. D'ici quelques minutes, il y aurait surement plus de client. Il pourrait alors peut être parler un peu, et prendre la température du pays.

Matador vit entrer un homme qui ne semblait pas comme les pauvres ivrognes qui occupaient la tavernes. Il semblait être plus grand, et semblait ressembler plus à la noblesse. Etrange... un noble dans un lieu pourrissant tel que celui-ci, ne devait pas être monaie courante. Mais encore moins courant, devait être le fait d'avoir deux hommes pouvant appartenir à la noblesse, de quelque peuple que ce soit, dans se trou merdeux. Matador n'étant pas non plus habillé de manière à le faire totalement ignorer, savait que les trois ivrognes les regardaient tout deux.

Un instant, Matador croisa le regard de l'homme, ou peut-être de l'elf, et comprit qu'il se posait surement les même questions que lui même. Qui était cet homme, et que faisait-il ici? était-ils un danger l'un pour l'autre? Devaient-ils ouvrirent la discustion? Pourquoi le feraient-ils? Autant de questions qui resteraient sa réponses, si personne ne faisait le premier pas. Mais comment? Pourquoi? Dans quel but?

Matador vit l'homme vider sa chope, et fit instantanémment de même. La bièrre était immonde bien sur. Et le fait que l'homme s'en rendit compte atestait du fait qu'il devait être de plus noble extraction que le rifiants présents. Il adressa un sourire à l'homme et lui dit.

Immonde n'est-ce pas? Rejoignez moi donc, j'ai dans ma poche un certain elixir d'une contrée lointaine, nous en boirrons un verre ensemble!

L'homme répondit à son invitation par une autre. Venant s'asseoir à sa table, l'homme lui dit qu'il avait lui même une bouteille d'un très bon cru. les deux hommes sortirent donc chacun leur bouteille. Mais ce n'était pas cela qui avait interpellé Matador. C'était que l'homme venait de lui donner le nom de l'homme qui avait la charge de la garde du roi. Ce n'était pas une petite information.

Servant un verre de son elixir, celui qui venait de la villes sous les glaces de la mer nordique, à l'homme, puis s'en servant un a son tour, il s'adossa dans sa vieille chaise crasseuse et porta un regard interogateur sur l'homme. Arrborant un petit sourire, Matador leva son verre en direction de l'homme et lui dit.

A la gloire de cet homme!

Il bu son verre Cul sec, et se resservit.

Je me prénomme Matador. Et vous quel est votre nom? Vous ne semblez pas faire partie du commun des mortels?

Enchanté de faire votre connaissance Aranel.

L'homme n'avait pas voulu de son elixir... Soit! Tampis pour lui. Il passait sans nul doutes à côté de l'une des boissons les plus exquises que Matador ai jamais bu. Et il fallait bien dire que du temps où il était le premier conseiller du Roi Ultuant, il avait bu des crus mémorables. Mais jamais aucun n'avait été aussi fort en intensiter que celui qu'il buvait actuellement. Quoiqu'il ne doute pas un seul instant que le cru de l'homme, de Aranel, soit des plus fins, il était pourtant sur que le sien s'était plus.

Ma profession?

Que dire? Il avait été conseiller du roi Ultuant, mais il avait été banni par ce même roi. Ce qui avait achevé de le rendre indésirable dans le royuame de Diantra. Il devait peut être dire qu'il était marchant? Mais si Aranel lui demandait des détails, il ne serai certainement pas capable répondre de manière convainquante.

J'ai travailler à la cour du roi Ultuant, dans le temps. Mais il y a maintenant quelques temps, je suis partis de mon côté, afin de voyager, et d'apprendre un peu certaines coutumes du monde. Je puis vous affirmer que je reviens changé, et autrement plus sur de moi qu'an m'en allant!

C'était pas très clair, mais il n'avait aucune raisons de lui endire plus, tant que lui n'avait pas fait un peu tomber le masque de son côté.

Et vous Aranel? que faites vous dans la vie. Et parlez moi un peude se qu'il sa passe dans le royaume de Diantra. Cela fait tellement longtemps que je suis absent.

La réaction d'Aranel fit sourire Matador. Ce jeune noble, semblait penser que Matador était de retour avec un plan déjà tou prêt dans la tête. Mais il se trompait. Jaimais Matador n'avait pensé qu'il rencontrerai deux hommes aussi interressant, aussi rapidement à son retour dans les terres humaines. Il avait rencontré les deux hommes qui allait surement pouvoir jouer un rôle important dans le début des opérations.

Mon cher Aranel, sachez que je suis aussi comblé que vous face à vos propos et a votre empressement à me demander si j'ai déjà tout prévu, si ce n'est pas se que vous avez dit, pardonnez moi!

Il prit sa ressppiration et choisit avec prudence ses mots. Il ne tenait pas à rebuter un des premiers hommes quq'il rencontrait et qui àtait susseptible de le suivre.

Je n'ai pas de plan. pas encore tout du moins. Mais les pièces se mettent en place dans ma tête. Il semblerai que certaines organisations soit prête à suivre la marche, mais je ne dirrait rien de plus tant que je ne serai pas sur de leur soutient.

Un temps.

Quand à se que je voudrai voir à la place... Je ne vous cacherai pas que lors de mon "renvoi" pour incompétence, j'ai eu une chance considerable. La peine pour pour trahison, comme vous le savez surement, est là mort. J'ai tenté de séduire la princesse afin de prendre le contrôle du royaume.

Un autre temps.

Peut-être que c'est la meilleure des choses à faire... Je suis volontaire pour offrire au peuple humain et aux autre peuples un monde de liberté et de choix, de droit et de lois claires qui garantiront le bien être de tout un peuple et de tout ceux qui voudrait se joindre à cet empire de la liberté. QU'en penssez vous Aranel? Est-ce là le genre de monde que vous immaginez? et si tel n'est pas le cas, qu'entrevoyez-vous?

Matador écouta avec attention tout se que disait Aranel. Il avait des avantages. Il était influant. il était important. Il était dangereux. Il pouvait se révéler un apuis de taille, comme il pouvait se révélé un danger qui pouvait se retourner contre Matador à tout moment. Matador se doutait qu'il n'en ferai probablement rien, mais on était jamais trop prudent.

Mais il fallait admettre que Aranel avait des plan plour le moins interressant. Il fallait en tenir compte, mais il ne fallait lui laisser penser qu'il avait la primeur dans la direction des opération. Il fallait, de manière subtile, sans se le mettre à dos, lui faire entendre que ses plans étaient très bon, mais qu'il n'était pas possible de les utiliser dans l'immediat.

Nous ne pouvons pas agir trop vite Aranel. La création d'une armée est en effet une étape obligatoire, mais dans la dernière partie du plan. La première partie, consiste à faire régner un climat d'insécurité sur le royaume. il faut que la famille régnate, sente qu'elle perd le contrôle, mais sans qu'elle sache d'où lui vient cette impression. Il faut que la population est peur, et qu'elle en veuille au roi de ne rien pouvoir y faire. Vous comprenez se que je veux dire?

Il laissa le temps à Arane d'assimiler ses paroles.

De mon côté, je vous avoue que j'ai tout de même quelques petites ébauches de plan. J'ai notament avec un pirate, qui est, ou qui va être en négociation avec le roi de pirates. Avec un peu de chance, d'ici peu nous aurrons les pirates de toutes les mers de notre côté.

Il y aussi cette femme assassin sur qui je suis entrain de faire mon enquête. Elle semble être très douée, et je pense qu'elle ne serait pas contre quelques contrats d'une envergure telle que celle que nous pouvons lui proposer. peut-être m^mem qu^'elle pourra nous donner quelque une des ses conseurs. Pour peu quue nos fond s soient suffisant.

Il avait prononcé cette phrase de manière toute à fait claire, avec un regard évocateur en direction d'Aranel Il était évident que Aranel et quelques autre nobles pouvainet donner le côté finacier de l'entreprise.

Il faut commenr doucement, il ne se passera surement pas grand choses dans les prochains mois, mmais si nous préparons bien notre coup, si cette atmosphère d'insécurité et de colère grimpante envahit le pays, nous serons sur la bonne voie, et le choses sérieuses pourront alors commencer. Est-ce que cela vous convient Aranel? Nous mettrons vos plans a éxécution, mais pas tout de suite. Ils ne seront que la cerise sur le gâteau.

Alors là! c'était le plus bel exemple de l'homme qui n'avait rien comprit... Matador ne voulait pas tuer le roi... Il voulait lui faire comprendre qu'il ne contrôlait plus rien. il voulait le plonger dans un panique digne des plus grandes peurs. Il ne voulait pour rien au monde que le roi soit tué de manière si futile.

Mon cher Aranel! je rois que nous ne nous sommes pas compris!

Dit Matador en éclatant d'un rire jovial en servant lui aussi un nouveau verre.

Il ne s'agit aucunement de tuer le roi. Je parlait d'engager ses assassins dans le but de frappe chirurgicales précisent! Le but, étant que le roi voit ses hommes les plus fidèles dissparaitre autour de lui. Il ne doit bien entendu pas y avoir de mort inutiles. Mais cela peut contribuer à faire monter la panique dans les masures, dans les bourgs jusque dans les châteaux fort. Plus personnes ne doit se sentir en sécurité, pas même les hommes hauts placés sur qui le roi se repose. Il faut que le roi puisse se sentir vulnérable, mais qu'il dispose de moins en moins de ses forces d'actions.

Matador regarda Aranel dans les yeux avec un nouveaux sourire.

La pire torture pour un roi est de voir son royaume sombrer dans la démence, et de ne rien pouvoir y faire.

Matador bu un nouveau verre dûne seuletraite, en écoutant se que disait Aranel... Il était fou... Il était dangereux. S'il avait des idées pareilles trop souvent, il pouvait faire capoter toute l'opération. Prenant un air soudain très sérieux, Matador dit.

Le drows... Aranel vous n'y pensez pas sérieusement... Les drows sont sans nul doutes les ennemis les plus dangereux, les plus puissants, le plus nombreux que nous avont en diantra... Il est impenssamble de les laisser rentrer dans nos lignes... Nous ne pourrons pluas faire sortir, et nous seont roi d'un peuple asservit... Est-ce bien là se que vous voulez?

Il laissa un temps de silence.

Non Aranel. Laissez la peur faire son travail. je vous garantit que dans 6 mois au plus, nous pourrons passer à l'action. Enttendu?

Bien bien bien... il ne faudrait pas en espérer plus. il allait falloir composer avec les vue de cet homme. Bien que Matador n'ai jamais pensé faire de concessions, il semblait qu'il devrai s'y résoudre. En partie en tout cas. Il fallait trouver un solution de faire bien les choses. Ce qui se passait, révélait que dans une entreprise telle que celle-ci, on ne pouvait pas s'attacher au gens. Aranel aurait son utilité, mais une fois qu'il aurait fait les choses telles qu'il devait les faire, il faudrait l'éliminer. Avec un sourire, Matador dit.

Quand à moi Aranel, je ne peux pas être d'accord avec une idée qui risque de plonger le royaume dans la guerre. Je ne suis en aucun cas prêt à laisser les drows entrer dans le pays.

Voilà qui était clair. Maintenant, il fallait être diplomate. Se montrer conciliant.

Je ne pense pas que la peur soit à mettre de côté. Se climat d'insécurité, doit suinter du pays. On ne doit pas savoir d'où il vient. il faut qu'il soit abstrait. ne laissons pas le peuple, les nobles et encore moins la famille régnante voir sa source.

matador se servit un nouveau verre, et en versa un a Aranel. Il le leva et dit.

Il est important de savoir qui fera quoi. Il est également important que nous puissions être clair avec nos alliés. Il faut que vos armée sachent que je travail avec vous, et moi, de mon côté je ferais passer le message. Vous vous occuperez des paramètre des armées, et des nobles. moi, je m'occupe d'avoir les pirates. J'embaucherai tout de même cette femme assassin, et nous déciderons ensemble de l'usage que nous en ferons, la prochaine fois que nous nous verrons. Marché conclut?