Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Pierrick Savoran
Humain
Pierrick Savoran


Nombre de messages : 114
Âge : 35
Date d'inscription : 05/11/2009

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  
Taille
:
Niveau Magique : Apprenti
Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine] Empty
MessageSujet: Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine]   Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine] I_icon_minitimeSam 28 Aoû 2010 - 10:45

Nom/Prénom :
Pierrick Savoran
Âge :
23 ans
Sexe :
Masculin
Race :
Humain
Particularité :
Âme damnée des Versmillia, Demi-frère de Faustine d’Escault et Cousin bâtard de Katalina Noblegriffon.
Alignement :
Neutre
Métier :
Homme lige de Faustine de Escault
Classe d'arme :
Corps à corps / Magie

Équipement :

Que peut donc posséder un tel homme ? Finalement bien peu de chose, puisqu’il dépend entièrement des propriétés de son père et que sa vie elle-même n’est pas sienne. Dans ses appartements vides de presque toute fantaisies décoratives, soigneusement rangé dans un coffre en bois de chêne se résume ses possessions. Là, se trouve une dague élégante mais simple, de fabrication naine lui avait-on dit, présent de son père, et son fourreau de cuir et un collier qu’il porte autour du cou dont le médaillon fait d’or suspendu est frappé d’un griffon, seul présent de sa mère encore en sa possession, du moins, c’est ainsi qu’on le lui a présenté. Il y a également un impressionnant coffret dépourvu du moindre motif où sont rangés une bonne quantité de diverses herbes utilisées pour des tisanes, thés mais également poisons.

Description physique :

A l’instar de sa demi-sœur, quoiqu’à des lieues de lui faire ombrage, Pierrick n’est pas homme au physique déplaisant, cela sans doute, il le doit aux goûts de son père en matière de femmes ainsi qu’à ses propres atouts.
De bonne taille et bien proportionné, Pierrick est bien bâti quoique demeurant relativement svelte, travaillé au corps par des années d’entrainements, sans approcher la carrure ou la force d’un soldat, chose qui n’apparait pas bien utile pour les tâches qu’on lui offrit jusque là, l’on n’a pas besoin de rivaliser en force avec un bœuf quand l’on n’affronte jamais son ennemi de front. Son corps est néanmoins parsemé de quelques cicatrices, surtout dans les flancs et au niveau des épaules, souvenirs de quelques échanges tumultueux.
Enfin, son visage est fin, anguleux et harmonieux, une chevelure blonde l’encadrant, rendant le tout agréable à la vue. Il n’a pour l’heure à déplorer aucune blessure sérieuse, rien qui puisse le défigurer ou faire montre de ses activités.

Description mentale :

La dévotion, c’est peut-être ce qui caractérise le plus Pierrick… Dévotion et sacrifice à son père, ainsi qu’à tout membre de la famille légitime, présent ou à venir, jusqu’à que la mort le frappe, ainsi peut-on le voir. Dans son enfance, il était enfant malheureux, aimé de sa mère, c’est vrai, mais rejeté de son père qu’il ne découvrit qu’une fois âgé de sept ans. Depuis ce jour, celui où enfin, son père fit attention à lui, décidant de le prendre avec lui, Pierrick investit son énergie à s’attirer sa fierté, afin qu’à l’image de la réussite de sa demi-sœur, légitime elle, il puisse penser et voir qu’il réussit dans ce qu’il s’est engagé à faire, dans tout ce qu’il entreprend, qu’importe le prix. D’abord dégoûté par ce qu’il fut, quand plus âgé, son père décida qu’il conviendrait mieux d’en faire un assassin, aujourd’hui, il l’accepte bien mieux, adoptant quelques positions vis-à-vis de ses victimes afin de se préserver des pensées et des idées qui pourrait saper tant sa force et sa volonté, mais jamais jusqu’alors, il ne prit plaisir dans l’acte, c’est quelques chose qu’il doit faire, c’est ce qu’on attend de lui, c’est tout.
Foncièrement, il est quelqu’un de bon, attentionné et toujours aimable, sauf quand il est question d’offense faite à sa famille, auquel cas, il peut bien vite perdre son calme, s’appropriant la sympathie des serviteurs et n’éprouvant aucun sentiment hautain vis-à-vis des gens du commun, après tout, il ne vaut guère mieux qu’eux, et il s’est habitué à les côtoyer, pour quelques facettes de son rôle.
A l’égard de sa demi sœur, il n’éprouve pas une once de jaloux, mais plutôt, inculqué lors de son apprentissage, le devoir de la protéger et de servir ses intérêts, quoique ceux de son père prévale… Elle est l’avenir de cette lignée et de ce nom, et lui sait qu’il devra écarter les menaces qui éventuellement pèseraient, mais aussi participer à sa grandeur.
Et bien qu’il refuse de le montrer ou de l’exprimer, de crainte d’être sévèrement réprimandé, il éprouve quelques attirances interdites envers elle, se laissant aller à quelques vicieuses attentions, usant des ombres pour la contempler dans son intimité dans laquelle elle ne cache rien… Parfois apparaît le sentiment qu’elle le sait présent, là, ses yeux se mêlant à ceux des ombres, qu’elle en jouerait même, mais il n’aurait sans doute jamais la confirmation ou l’infirmation de cette idée.

Histoire :

Garrett de Versmillia est connu pour avoir eu bien des maîtresses au cours des années, avant son mariage aussi bien que pendant, et si certaines de ces histoires n’allèrent jamais plus loin que quelques folies entre les murs d’une chambre ou bien en d’autres lieux insolites, d’autres donnèrent naissance à des bâtards auxquels il n’accorda guère d’attention et aucun ne fut jamais reconnu comme étant le sien.
Pierrick était l’un d’eux, né d’une aventure que Garrett avait eu avec une jeune femme de petite noblesse diantraise, Dolorès de Fonralle. Comme les autres, il fut laissé à cette femme devenue fille-mère et tandis que les années s’écoulaient, il fut marqué de cette absence. Une chose pourtant devait radicalement changer sa situation et les intentions de son père à son égard… La Magie.
C’est à sept ans qu’on découvrit et perçut son potentiel, et ce n’est qu’alors qu’il trouva intérêt aux yeux de son père, car le don est rare, précieux même, et le laisser s’évanouir serait pur gâchis, et ça n’était pas là les intentions de Garrett.

Ainsi fut-il prit à sa mère, sans grand espoir de la revoir un jour, désormais sous l’autorité et la responsabilité de son père qu’il accompagna en Odelian pour y suivre une éducation avant d’entamer ce qui était encore à l’époque une formation visant à exploiter le potentiel.
On lui attacha un tuteur afin qu’il apprenne la lecture et l’écriture ainsi que les manières de la noblesse, mais il fut traité comme un serviteur, lui attribuant le rang de page et son nom, ne le reconnaissant pas comme l’un de ses bâtards et ne souhaitant pas attirer l’attention sur lui. Ainsi, pendant quatre années, il suivit avec rigueur les cours qu’on lui donnait, ne manquant toutefois pas les occasions de sortir, trouvant au dehors une toute autre école, bien loin des fastes de la noblesse.
C’est dans sa onzième année que sa vie prit son tournant décisif… Les discussions allaient bon train pour marier sa demi-sœur, Faustine, au vieux seigneur d’Escault, et cette seule perspective fit naître un tout autre regard et des intentions très différentes à l’égard du bâtard qu’il avait décidé de garder sous son aile… Bientôt, l’espérait-il, sa fille accèderait à un rang de loin supérieur au sien, et les craintes qu’on l’envie, la jalouse, qu’on tente de toutes les façons de lui subtiliser titres et terres firent apparaître un nouveau besoin… Celui d’un outil discret et efficace afin de servir et protéger les intérêts de sa famille, et surtout de sa fille. Il lui fallait un assassin.

Pour ses besoins, il ne trouva pas meilleur idée que d’user de son bâtard de la sorte, car il avait vu dans son caractère ce qui apparaîtrait comme les bases de sa loyauté et de sa dévotion, du sacrifice qu’il exigerait de lui pour les temps à venir. Ainsi, trouvant par de sombres chemins arpentés avec crainte et méfiance, uniquement mus par le désir de protéger sa fille et sa position, il finit par trouver la rareté qu’il désirait trouver… Un maître assassin des plus discrets, autrefois attachés à la Couronne, qui n’apparut à lui que de son propre fait, intéressé par l’idée d’un apprenti possédant le don pour la magie.

C’est ainsi que, des années durant, il fut sans contact, n’ayant que les nouvelles qu’acceptait de lui offrir son maître. Il suivit une formation stricte, succession de discussion ponctuée par des épreuves et des tests de plus en plus éprouvant et mettant à contribution toute son attention ainsi que ses forces. Ainsi apprit-il les nombreuses manières de tuer un homme, mais également celles qui permettent de délier les langues pour obtenir quelques informations sans éveiller les soupçons. On lui transmit la connaissance des poisons, rapides ou lents, mortels ou au effet divers et des remèdes, quand ceux-ci existaient ainsi que de quelques autres recettes revigorantes desquelles il pourrait tirer l’énergie qui pouvait lui manquer.
Son mentor lui trouva un mage des ombres qui accepta de le former dès lors qu’il eut atteint la quinzaine, approfondissant les bases qu’il avait reçu avant le revirement avant de passer à des choses plus sérieuses et à l’enseignement des sorts d’ombres en eux-mêmes, facilité par la grande rigueur et la compréhension vive de Pierrick.
Dans le même temps, il lui fut confié des missions, le meurtre discret de quelques bourgeois mal attentionnés ou bien endetté, sous l’impulsion de son père et sous le regard du mentor qui lui faisait rapport des progrès, après qu’il eut lui-même détaillé son apprentissage et ses actions.

C’est ainsi que se déroulèrent les choses pendant les six années qui suivirent, avant qu’il ne soit renvoyé chez lui, avec l’instruction toutefois de venir chaque fois qu’il était demandé par son mentor, et plusieurs fois par semaine par le mage afin d’achever son instruction.
A sa surprise, ce n’est non pas en la demeure de son père qu’il fut introduit, mais dans celle du Seigneur d’Escault, et donc de sa Dame, sa demi-sœur, après un bref séjour auprès de Garrett ou il lui fut expliqué a tâche et sa mission, ainsi que sa mise à disposition auprès de sa sœur. Il devait devenir ses yeux et ses oreilles discrètes, en plus d’être cette main qui assassine et empoisonne.
Il fit ses hommages au vieux seigneur, fit promesse d’allégeance et de dévotion à sa demi-sœur, lui offrant sa vie et ses nombreux talents, se mettant entièrement à sa disposition… Bien sûr, trois personnes se trouvaient à l’abri de ce serment… Son père, le maître assassin et le maître mage, à ces exceptions près, sa loyauté et son obéissance serait sans faille. Il fut installé dans des appartements aménagés et disposés pour lui convenir, offrant un accès à une salle secrète et à quelques couloirs, et dont seule Faustine à présent avait connaissance, et c’est ainsi que démarra sa nouvelle vie.

Et elle ne tarda pas à se servir de son nouvel instrument… Audemont de Escault vieillissant, elle craignait ce qui suivrait et l’ambition de son beau-fils, Marcellin, héritier légitime de ces terres quand le vieux seigneur s’éteindrait. C’est ainsi qu’elle le fit disparaître avec soin l’homme à la faveur d’une nuit… On raconte qu’après une nuit arrosée, il aurait été prit à parti par une bande de brigands et serait tombé d’avoir voulu leur résister. Et si on tenta de faire enquête, cherchant trace et témoignage des dits brigands, ce ne fut jamais possible car ils s’évaporèrent dans la nature.
Elle lui avait ordonné de se débarrasser des brigands, qu’on ne trouve jamais plus leurs traces, et se fut fait à la faveur d’une nuit. La veille, il avait empoisonné les réserves d’eaux et de nourritures à la faveur de l’obscurité, et tandis que les uns après les autres, ils tombaient, il acheva les plus résistants… Il brûla les corps à l’écart de tous villages, laissant les vents disperser les cendres puis enterra tout indice qu’on pouvait attribuer à pareil groupe.

Deux ans passèrent encore et le vieux seigneur mourut, laissant Faustine seule pour gérer les terres d’Escault, ce qu’elle fit avec brio, et dans son ombre demeure attentif son demi-frère, serviable et attentif à la moindre rumeur, au moindre son, autant qu’à la moindre demande et requête, ordre ou exigence de sa sœur.



~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Toujours aussi bien.
Comment as-tu connu le forum ? : Y a longtemps, par un fake surfeur.
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : Vyrhelle


Dernière édition par Pierrick Savoran le Dim 29 Aoû 2010 - 11:29, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Aerandir
En attente de validation..
Aerandir


Nombre de messages : 789
Âge : 39
Date d'inscription : 28/04/2008

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  
Taille :
Niveau Magique : Religieux
Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine] Empty
MessageSujet: Re: Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine]   Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine] I_icon_minitimeSam 28 Aoû 2010 - 10:54

Et si je dis non ? Hein ?! Hein ?!

Mouarf, j'peux même pas.

Walidé, tu connais le sentier a prendre, le premier en partant de la droite What a Face
Revenir en haut Aller en bas
 
Pierrick Savoran [Ame Damnée de Faustine]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Alrunee [Bretteuse, Confidente & Ame damnée d'Aetherya]
» Scarlett Willie Cassel [Âme damnée des Wickham]
» Lorsque la colère est maitresse | Pierrick
» La nuit est si douce en Assar | Pierrick
» La route continue toujours | Pierrick

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Miradelphia :: Où tout commence :: Registre :: Tabularium :: Limbes :: Humains-
Sauter vers: