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 Mâtirith Aun'galorn

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Ex Mâtirith Aun'galorn
Elfe
Ex Mâtirith Aun'galorn


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MessageSujet: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeJeu 21 Fév 2019 - 17:48

HRP:

Identité
Mâtirith Aun'galorn  Mini_190219063244323850
Nom/Prénom : Mâtirith Aun'Galorn
Âge/Date de naissance : 782 ans / Tariho de la troisième ennéade de Verimios de l’an 233 du dixième cycle
Sexe : Homme
Race : Elfe
Faction : Cités d'Anaëh
Alignement : Loyal neutre
Liens notables :

Particularité :  Sous un voile bleu car nul ne doit voir sa peau.


Métier : Pergaën (Haut-Prêtre de Tari) et Seigneur Protecteur d’Holimion
Classe d'arme : Magie essentiellement


Possessions & Equipements :

La liste des possessions officielle d’un haut-prêtre multi-centenaire est potentiellement longue aussi je vais me contenter de liste les choses plus personelles auxquelles tient Mâtirith Aun’galorn, donc ne pas aborder son voile bleu ou s'est autres possession de Haut-Prêtre.

Tout d’abord la bague qui accompagne la fonction de Haut-prêtre, argentée sans être en argent et sertie de pierres sombres dont l’éclat entre le bleu et le violet est d’un raffinement sobre qui ne flirte pas avec l’exubérance. C'est elle qui lui sert de focalisateur.
Tout au long de sa vie, Mâtirith s'est offert un bijou à chaque montée en grade dans le culte. En se forçant à s'adapter à un nouveau focalisateur, Mâtirith appréciait l'idée de repartir à zéro afin de ne jamais profiter de ses acquis et consolider ses bases. Et c'était aussi pour lui une manière de s'imposer des épreuves devant Tari, montrer que ce n'est pas parce qu'il montait en grade qu'il ne pouvait pas continuer à sortir de sa zone de confort.

Mâtirith à un rapport très intime avec l'eau, aussi jamais il n'a plus s'empêcher d'arrêter  l'une de ses activités favorites, la natation. Afin de ne pas offenser Tari, car nul ne doit voir sa peau, il utilise régulièrement une large cape aussi noire que la nuit, qui lui permet de se glisser hors du temple aux heures les plus sombres, afin de se faufiler jusqu'à la mer afin d'y nager une ou deux heures avant de revenir.


Mâtirith possède également une somptueuse canne en bois blanc, finement ouvragée dont le pommeau est un coquillage étrange à l’intérieur on peut entendre la mer  d'Holimion. Très attaché à sa cité, il apprécie avoir cette canne sur lui lorsque parfois il est amené à quitté la Cité.

Il est par ailleurs resté très attaché tous ses anciens focalisateurs, et garde encore soignement son premier focalisateur ; un petit talisman en forme de goutte d’eau en verre qu’il porte parfois en collier ou en bracelet et qui lui rappelle l’enchantement de ses premières réussites importantes en magie. Ceux qui le connaissent de longue date évoquent parfois un ancien amour perdu, mais Mâtirith déteste s’épancher sur sa vie privée.





Apparence :

  • Taille : 2m20
  • Couleur des yeux : Verts

Les cheveux blonds, presque translucides, il est de taille importante même pour un elfe. Sa silhouette est assez fine, il en paraît presque fragile car il cache bien sa sèche musculature, forgée dans ses longues heures de natation, dans ses larges atours de Haut-Prêtre. Son visage est long, ses traits sont fins, presque coupants. Les pommettes saillantes et les orbites creusés, ses lèvres sont presque inexistantes tant elles sont fines. Ses oreilles sont plus longues que la moyenne et presque décharnées. Mais dans son regard brille une bienveillance chaleureuse. Ce sont eux qui attirent et rassurent, bien plus que le reste de son apparence.  Heureusement car désormais on ne voit plus de lui que son regard.


Car tout cela est  recouvert entièrement du Voile. Le sien, d’un bleu océan, qui laisse à peine paraître ses yeux. Il a pour habitude d'ailleurs de noircir le tour de ses yeux pour ne pas avoir à les cacher, puisque personne ne peut voir sa peau.


Personnalité :

Il veut le meilleur pour pouvoir donner le meilleur ce qui le rend très exigeant et souvent peu satisfait des résultats, que ce soit les siens où ceux des autres, bien qu’il soit naturellement plus dur avec lui-même ou avec les gens dont il se considère proche.

Il ne va pourtant jamais s’emporter et son visage reste toujours très doux, presque figé, sans être inexpressif pour autant. L’expression qu’il parvient le moins à dissimuler en revanche est la lassitude. Lassitude qui le ronge facilement suite un trop plein de sentiments de déception ou de trahison.
Il est réputé pour être une formidable oreille attentive, dotée d’une infaillible mémoire qui plus est. Seigneur d’Holimion apprécié, ses très fins talents de diplomates ont toujours fait l’admiration de ses proches conseillers qui ne peuvent que regretter qu’il « glisse » lentement vers sa fonction de Haut-prêtre et se détache de celle de gardien d’Holimion qui lui prend de plus en plus de temps.

Homme de peu de mots désormais, il s’impose une rigueur infinie afin d’être à la hauteur d’un poste envers lequel il ne saurait avoir plus d’estime. Une pression constante sur ses épaules qu’il s’inflige et vient remettre de nombreuses choses en questions à plus de 700 ans de sa naissance. Il veut toujours en faire plus et aimerait être partout et pouvoir tout faire, mais la prestance de son statut lui impose froideur et détachement. Alors son âme de philosophe discute avec son cœur d’homme de foi, afin de guider une tête pleine d’ambition, trop pour un elfe.



Capacités magiques :

Ses capacités magiques commencent à devenir remarquables à partir de 222 ans lorsqu’il devient prêtre. Aussi, un peu moins de 600 plus tard, il est difficile d’évaluer clairement l’étendue de ses pouvoirs.
Principalement du fait de la conception de Mâtirith de la magie qui pour lui est un don divin. Toute utilisation non essentielle de la magie est donc une dégradation, une forme de gaspillage d’énergie cosmique. Ainsi il s’applique lui-même à ne pas pratiquer inutilement la magie, notamment lorsqu’il s’agit d’entrainement. Son approche repose sur deux piliers.

-D’abord la concentration, qu’il définit plus comme une capacité à faire de l’ordre dans le chaos que comme une capacité à faire le vide. Il estime qu'un excellent moyen de combattre ses instincts primaire et de forger sa concentration est de pratiquer la magie en apnée et il encourage la pratique.

-Ensuite la compréhension. En tant que Grand-Prêtre il à passé un temps certains à la recherche d'une approche scientifique de la magie divine et favorise l'herméneutique au sein du culte, soit l'art d'interprêter les phénomènes. Il participe d'ailleurs à des recherches sur le principe d'harmonisation lors des rituels, qui consiste à prendre en compte tous les paramètres présent lors d'un rituel afin d'en amplifier les effets en examinant les résultats lors de changement de paramètres, comme sons, odeurs, bruits, mélodie, ambiance, nombre de participants...
Il écrit beaucoup sur le sujet à cette période et envoie même son travail à l'Académie de magie qui lui rend parfois visite afin de d'observer certains rituels et échanger avec lui. Il n'a plus le temps en tant que Haut-prêtre de se consacrer si activement à la recherche, mais il se sert beaucoup de ses anciens écrits afin de mettre en place certains rituels afin de tirer le meilleur des reliques divines pour condamner/guérir/sauvegarder les corps et les Souffles.

Sa renommée en la matière à parfois amené certains pèlerins à venir à Holimion spécifiquement pour le voir officier.


Enfant d'Holimion, Mâtirith est né face à la mer et il a une relation à l'eau qu'il ne s'explique pas lui-même. Il hésite même, jeune, entre aller approfondir ses connaissances en hydromancie et le culte de Tari, mais son désir de rester au sein de cette belle cité et sa foi profonde envers Tari le pousse vers la voie du Voile. Il voit ses talents en tant qu'Hydromancien comme un lien de plus avec la Déesse, et une manière de plus de faire acte de foi devant elle et devant ses cultistes.








Histoire


Chronologie:

- Naissance :  Tariho de la troisième ennéade de Verimios de l’an 233 du dixième cycle
En hiver, le jour où Tari est vénérée. Déesse de l’eau et de la mort, on l’a rapidement pensé destiné à la servir.
Mâtirith est très jeune intimement lié à l'eau, oû il passe la majorité de son temps.

- Le double choix : An 305 du dixième cycle
Mâtirith a alors 72 ans. Il fait le choix de poursuivre un enseignement courant en attendant de pouvoir entrer dans le temple de Tari.  
Jeune, il est sans attaches, peu proche de sa famille et avec peu d'amis, la voie du Voile n'est pour lui aucunement un sacrifice mais une opportunité de se rapprocher un peu plus de cette force qu'il ressent dans l'obscurité de l'eau et qui l'appelle.

- Cérémonie du Choix : An 353 du dixième cycle.
A 120 ans, il change de nom et de prénom. Sa dévotion envers Tari se fait de plus en plus grande. « Gardien de l’âme Du temple à l’eau calme » est la signification de son nom. Il rentre peu d’ennéades après en tant qu’initié dans le temple de Tari.
Son changement de nom achève pour lui de couper les ponts avec sa famille et ses amis d'enfance, afin de se consacrer pleinement à sa vie d'homme du culte. Il ne les repousse pas pour autant froidement, mais c'est avec une chaleureuse tendresse qu'il les laisse derrière lui.

- Voilé : An 455 du dixième cycle.
A 222 ans, il devient officiellement prêtre et change son Voile blanc pour un Voile bleu. Ses avancées en matières de magie sont réellement remarquables à partir de ce moment.
Jeune prodige, il suscite parfois la frustration de ses camarades car il réussi tout en apparence sans aucun effort. Mais c'est surtout qu'il est trop orgueilleux pour montrer ses efforts. Il veut être en apparence parfait pour Tari, comme les Haut-Prêtres qu'il admire et qui le fascinent.

- Bataille d’Uraal et attaque d’Alëandir : An 700 du dixième cycle.
Evénements marquants pour Mâtirith puisque suite à eux beaucoup d’elfes ont marché jusqu’à Holimion pour y mourir. Il a vu là les ravages indirectes de la guerre, qu’il a exécré. Il a été particulièrement touché par le désespoir et la peine profonde que la plupart manifestaient.
Il ne dormi pas pendant des jours afin de pouvoirs être aux plus proches de ces elfes, de discuter avec eux, de les accompagner au mieux vers la fin. Il n'a jamais ressenti jusqu'alors le sentiment d'être à ce point utilise à sa société et sa foi ne s'en fait que plus grande. Mais cela renforce ses idées comme quoi le monde extérieur à Holimion est corrompu.

- Archiviste : An 732 du dixième cycle.
A 499 ans, il devient Archiviste. Sa dévotion au culte de Tari est entière. Il s’intéresse à des sujets plus politiques et sociaux. Il se sait assez proche de son but pour s’autoriser à y penser plus sérieusement.
Après l'épisode de la bataille d'Uraal, Mâtirith veut mieux comprendre le monde exterieur à la Cité et des différences qui règnes justement entre le "dedans" et le "dehors".


- Grand-Prêtre : An 833 du dixième cycle.
A 600 ans, il devient Grand-Prêtre. La disparition de l’ancien lui offre une opportunité qu’il ne peut s’empresser de saisir. Ceux qui seraient tenté de critiquer son ambition, ne peuvent que se féliciter d'avoir un Grand-prêtre aussi chaleureux et à l'écoute de tous, qui travaille énormément pour le culte et pour la ville d'Holimion.


- Prise d’Ellyrion : An 999 du dixième cycle.
Second coup dur pour les elfes qui suit de peu l’empoisonnement du lac d’Uraal. Les pèlerins sont alors plus nombreux et rappellent à Mâtirith la bataille du même lac.
Mâtirth est désormais un bien plus fin observateur politique que lors de la bataille d'Uraal, et il passe beaucoup de temps avec les conseillers pour débattre sur ce qui n'allait pas chez les cités elfes et qui ont causé cette prise. Il ne veut pas blamer comme de nombreux elfes les Noss, car il trouve ça trop facile de rejeter la faute sur ceux qui cherchent à vivre en dehors du système. Cependant il se demande comment il serait possible de mieux coopérer avec eux afin de consolider la société.

- Voile : Fin du dixième cycle.
Les dieux descendent sur Miradelphia et il voit la forêt bouger. Se saisir par endroit des pierres et reprendre un éclat qu’elle avait perdu. Il sent la vie plus présente et plus vibrante que jamais. Il a même l’impression que les eaux sont plus vives.
Cet appel à la nature en temps que présage divin est selon lui un appel à une forme de réunification des elfes, qui doivent faire preuve de plus de cohésion en temps que race, afin de résister aux menaces extérieures. Après tout, la nature, la mort, tout ça ne faisait partie que d'un même cycle.

-  Pergaën : An 6 du onzième cycle.
A 772 ans, la mort du précédent dirigeant du culte le propulse à sa place. En tant que Grand-prêtre il était très proche de la haute prêtresse Hithiel, et c'est l'une des premières fois où il est autant affecté par le poids du deuil. Il interprêtre cela comme un ultime rappel à l'ordre de Tari avant que lui même ne prenne la haute place du culte.
Son discours aux obsèques d'Hithiel est poignant et son maitre mot, "humilité", force le respect.
Il effectue le rite sacré sur l’Ile Voilée d’Holimion et en revient entièrement Voilé. Personne n’a le droit de voir sa peau. Personne n’a le droit de le toucher directement.
Alors qu'il avait progressé tout au long de sa carrière sans difficultés et le plus naturellement du monde, il réalise désormais que cette distance nouvelle les autres, creuse un fossé. Il n’apprécie pas la distance apportée par le voile bleu entre lui et le reste du monde. Du moins il a du mal à s'y faire.  Néanmoins il passe à travers cette frustration et cherche alors à guider la Cité d'Holimion et le culte de Tari dans l'ère post-Voile.


Résumé de son existence:


Mâtirith ne se qualifierait pas lui-même de personnage haut en couleur. 700 années de rigueur marqué par le travail, un travail parfois assez acharné pour un elfe qui n’a jamais su taire la flamme de l’ambition qui brulait en lui. Il a très vite su qu’il voudrait devenir Haut-Prêtre, et il a très vite compris qu’il allait devenir Haut-Prêtre un jour,dès la mort de son futur prédécesseur. Un travail qu'il a toujours eu l'orgueil de vouloir cacher. Pour lui la foi n'est pas un effort, elle est un fait, aussi tout doit sembler facile et naturel.


Et pourtant au cours de sa carrière, jamais il n’a tenté de brusquer les choses. Fin diplomate, il n’aborde à sa carrière sans aucune once de stratégie, simplement avec patience, en profitant de tout son temps libre pour accroitre ses connaissances dans tous les domaines possibles, ce qui fait que très vite on estime qu’il est très mûr pour son âge et on lui prête volontiers quelques centaines d’années de plus qu’il n’a. Mâtirith est intimement persuadé de par sa foi profonde, que si Tari veut de lui, alors il montera, et que les choses sont aussi simples que cela. Il n’avait qu’à être la meilleure version de lui-même en attendant.
Ses quelques camarades, qui le taquinaient souvent car le trouvant trop sérieux étaient souvent abasourdis par ses réponses qui semblaient sortir de nulle part.

-Mâtirith, pourquoi étudies-tu les sciences politiques et sociales désormais au lieu de passer plus de temps à étudier le culte ?

-Parce que le futur gardien de la Cité se doit d’être un fin connaisseur de ces choses-là pour mieux administrer ses hommes.

Encore aujourd’hui cette phrase est resté culte, et si ses détracteurs s’en servait pour dénoncer son ambition, elle plutôt retenue pour montrer son sérieux et sa détermination. D’ailleurs Mâtirith est un homme de peu de mots, mais qui apprécie beaucoup les belles phrases qu’il aime encore aujourd’hui offrir à ceux qui ont la chance de l’écouter.

« Nous sommes la somme de nos connaissances. »
« Savoir n’est pas pouvoir, mais je prefère l’homme qui sait sans pouvoir que celui qui fait sans savoir ».
« L’épaisseur du rempart de la Cité compte moins que la volonté de la défendre. »
« La mort est un pont suspendu entre une éternité et une autre. »
« La mort d’autrui doit nous rappeler notre propre finitude. »



***


Mais le grand tournant dans la vie de Mâtirith, c’est bien lorsqu’il devient le Pergaën. Déjà parce que son ambition se cogne contre le mur de sa propre finitude, « et maintenant ? ».

Aussi, non seulement son grand rigorisme et sa ferveur spirituelle fit comprendre aux voilés qu’il comptait assumer pleinement son rôle de Haut-Prêtre et pas simplement être un homme d'apparat. Mais sa présence auprès des conseillers de la Cité leur fit comprendre qu’il comptait bien assumer son rang de protecteur et faire valoir son avis, surtout sur les affaires sociales. Sauvegarder l’intégrité de la Cité à l’intérieur des murs, et en ces temps de guerres, à l’extérieur des murs. Quid des voilés dans les autres cités ? Quid de la place de la mort ? Quid des elfes en quêtes de réponses et devant affronter le deuil sans accompagnement ?

Le culte de Tari doit avoir une présence auprès des elfes plus importante que jamais. Et il fallait s'assurer que tous les voilés disposaient bien des ressources nécessaires à leurs offices. Et vérifier qu'ils n'étaient pas intercepté par les Noss en cours de voyage...

Lui-même caressait l’idée de passer un temps sur la route afin de nouer des liens avec des importants dignitaires, et mieux comprendre les opportunités que pouvait saisir la cité, ou les menaces qui pouvaient peser sur elles.

A l’aube de l’an 10 du onzième cycle son ambition première, c’était de se s'assurer que les conditions pour que le culte de Tari puisse s'exercer soient bien sauvegardées. Et surtout qu'elle ne soit pas dérangées par par une dichotomie "elfe des villes, elfes des bois". Et pour cela il ne faudrait pas hésiter à prendre contact avec les Noss, peut être rencontrer officiellement leur plus haut dignitaire.





Dernière édition par Mâtirith Aun'galorn le Sam 23 Fév 2019 - 17:52, édité 11 fois
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Artiön Laergûl
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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeVen 22 Fév 2019 - 0:31

• Une bague qui appartienne au personnage pourquoi pas, mais le Haut-Prêtre est déjà distingué par
son Voile, alors en plus avoir une « bague de fonction » n’aurait pas particulièrement de sens.
• Les prêtres de Tari ( en dehors des berceurs ) font serment de ne jamais prendre une vie, ce serait assez étrange que le plus haut représentant du culte « apprécie le combat » et manie l’épée

• « L’un de ses premiers focalisateurs » : Non. Un mage choisit normalement son focalisateur pour la vie, et s’il en change, il doit prendre le temps de s’y réhabituer. Ce serait aller complètement à l’encontre du BG magie que d’avoir un personnage qui les collectionne.
Pour la suite, certains symboles religieux peuvent servir lors de la réalisation de certains rituels. On peut prendre l’exemple du Miroir des Morts, le lac attenant au Temple de Tari d’Holimion, dont on dit que le fond est une entrée vers le Royaume de Tari, et qui du coup est une pièce centrale des plus grands rituels de Semi-Mort et de Guérison des Souffles.

• Utiliser la magie pour se faire une lampe de poche d’un collier n’est pas à la portée de Mâtirith qui est un hydromancien.

• La bague de Tari est actuellement en possession de la Gardienne de Tyra : Katalina Noblegriffon et donc impossible à revendiquer Wink

• Niveau théorie magique, rien n’empêche que Mâtirith ne commence à établir les siennes, mais son apprentissage a dû passer autant ( voir plus ) par la consécration et la prière que part l’enseignement « scientifique », et du coup il serait très très étrange qu’il se soit adonné à l’écriture de traités de théorie magique. Ce serait d’ailleurs d’autant plus étrange qu’en tant que prêtre il aura dû passer de très longues années à apprendre à maîtriser des rituels qui pour nous en tant que joueurs sont en marge du BG magie, et qui pour les personnages relèvent du divin plus que de la science.

• Mâtirith, même en tant que Haut-Prêtre, n’est en réalité pas capable de mêler deux branches de la magie. Certes, en tant que prêtre son apprentissage se sera fait de manière particulière, mais il reste un hydromancien comme un autre. Ce qui lui permet de toucher au Souffle et aux douleurs de l’esprit n’est pas un témoignage de son pouvoir à proprement dit, mais plutôt de sa capacité à réaliser les rituels mettant en œuvre le « pouvoir » du Miroir des Morts et des bassins des lueurs.  

• Quand tu parles de « tourisme spirituel » je pense que la formulation que tu cherches, c’est « lieu de pèlerinage ». Ensuite, il faut savoir que la foi est l’un des piliers de la société elfique, et qu’avec le respect qu’ils vouent à leurs divinités et aux représentants de leurs cultes, il serait très étonnant qu’ils voient dans les rituels de semi-mort une attraction. Seuls se soumettent aux mains des prêtres de la Voilée les elfes qui en ressentent réellement le besoin, et parmi eux ils sont extrêmement rares ceux qui sont appelés à subir les rituels qui appellent à la magie.



Sinon pour ce qu’il s’agit de l’histoire du personnage, on voit que tu as essayé de mettre en application le côté ambitieux de Mâtirith, et de jouer du paradoxe entre ce trait de caractère et ses devoirs en tant que représentant d’un culte… seulement le souci c’est que pour ce faire, tu as totalement distordu l’image d’Anaëh et du peuple Sylvain.

Déjà, le peuple Sylvain est extrêmement pieux, la religion étant l’un des grands piliers de leur société. Chaque Cité possède son propre temple dédié à Tari, et certes, si ces temples font pâle figure devant le Grand-Temple d’Holimion et que les autres Cités n’ont pas le Pergaën, elles restent pour autant loin de nécessiter que les prêtres d’Holimion viennent y « prêcher la bonne parole ».
D’ailleurs, le culte de Tari n’a pas réellement de bonne parole à prêcher, parce que le rôle de ses prêtres est :
- En premier lieu de s’occuper des dépressifs, des malades mentaux, des elfes atteints du mal de l’éternité, des mourants et des morts.
- En second lieu, de tenir les archives ( donc de grands registres de naissances et de morts )
- En dernier lieu d’enseigner la lecture, l’écriture et les mathématiques.

Puis, il ne sert pas à grand-chose pour une Cité elfique de chercher à « étendre son influence » parce qu’en dehors de quelques spécificités, la culture Taledhelle ( donc elfique des Cités ) est uniforme sur toute l’Anaëh, et que les enjeux économiques sont inexistants, pour la simple et bonne raison que les elfes n’ont pas de système monétaire. Si chaque Cité vit en autarcie, c’est parce qu’au sein de chaque Cité, à de rares exceptions près, la participation de toute la population active à la vie de la Cité permet que chacun puisse mener sa paisible existence.

Remarque découlant de la précédente : si le Pergaën / Protecteur d’Holimion se déplace, ce serait plus pour s’enquérir de l’atmosphère des autres Cités, chercher à s’occuper d’elfes qui n’auraient pas eu l’occasion de faire le chemin jusqu’à Holimion ou s’enquérir du climat pesant sur l’Anaëh plutôt que pour partir dans une « croisade. »
Petite remarque au passage : Les berceurs sont peu nombreux. Les mandater en tant que garde rapprochée alors qu’ils sont formés en tant que chasseurs de mage serait gaspiller leurs talents. Les plus grands dangers au sein de la forêt sont les Noss et les bêtes sauvages, et pour s’en prémunir, il vaut mieux s’entourer de soldats ( qui obéissent au Seigneur-Protecteur ) que de berceurs.

Ensuite : les Noss sont des elfes « sauvages » qui ne trouvent absolument aucun intérêt dans les problématiques Citadines, du coup, obtenir d’eux un quelconque « appui » ne rime pas à grand-chose. La raison principale pour laquelle Citadins et Noss se tentent à développer des relations les uns avec les autres, c’est pour s’assurer que les uns ne représentent pas un danger pour les autres:/

Et dernière chose, si on en apprend beaucoup sur les ambitions de Mâtirith, tu ne développes presque rien de ce qu’il a vécu. Comment est-ce qu’il s’est senti quand est venu le jour d’abandonner sa famille pour se consacrer à la prêtrise ? Comment est-ce qu’il a vécu tous les différents rites de passage au sein du clergé de Tari ? Comment est-ce qu’il a vécu les différents épisodes sombres de l’histoire elfique, au cours desquels il a dû voir défiler les morts et les elfes psychologiquement brisés ? Comment se comportait/comporte-t-il lorsqu’en relation d’aide ?
Comment a-t-il vécu le Voile et ses conséquences ?

Et puis ça c’est ma faute, mais du coup, suite à notre fossoyage de vieux RPs, il faudra repousser l’entrée en fonction de Mâtirith en tant que Pergaën à l’an 7, en suite à Hithiel ( que tu peux décrire – si tu la décris – comme beaucoup plus agée que 137 ans )

Pour le coup, je t’invite à jeter un œil aux Bgs sur :
- La Fiche Faction des Cités elfiques, pour avoir une idée générale du jeu elfe
- Le Panthéon Elfique, les Funérailles chez les elfes pour avoir une idée des prérogatives du culte de Tari.
- Ce RP et ce RP histoire d’avoir une idée des rituels dont s’occupe le Pergaën


Voilà Voilà !

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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeVen 22 Fév 2019 - 16:38

Citation :
• Une bague qui appartienne au personnage pourquoi pas, mais le Haut-Prêtre est déjà distingué par
son Voile, alors en plus avoir une « bague de fonction » n’aurait pas particulièrement de sens.
-En magie divine, le rapport à la foi est primordial, aussi je trouvais intéressante l’idée comme quoi le focalisateur allait avec la fonction, puisque les religions ont un goût certains pour les symboles. Loin de moi le désir de changer le BG mais je trouve que c’est une approche intéressante des focalisateurs de magie divine. Après si c’est jugé non pertinent je mets ça de côté.

Citation :

• Les prêtres de Tari ( en dehors des berceurs ) font serment de ne jamais prendre une vie, ce serait assez étrange que le plus haut représentant du culte « apprécie le combat » et manie l’épée

Parce que selon toi on apprend forcément l’escrime pour infliger la mort dans cet univers ? Impossible de la voir comme un sport comme un autre ? Je voulais que mon personnage ait eu l’occasion d’avoir des petites activités annexes au cours de sa vie, et 700 ans c’est long, afin de varier un peu les plaisirs. Mais si ça choque je m’en débarrasse.


Citation :
• « L’un de ses premiers focalisateurs » : Non. Un mage choisit normalement son focalisateur pour la vie, et s’il en change, il doit prendre le temps de s’y réhabituer. Ce serait aller complètement à l’encontre du BG magie que d’avoir un personnage qui les collectionne.
Pour la suite, certains symboles religieux peuvent servir lors de la réalisation de certains rituels. On peut prendre l’exemple du Miroir des Morts, le lac attenant au Temple de Tari d’Holimion, dont on dit que le fond est une entrée vers le Royaume de Tari, et qui du coup est une pièce centrale des plus grands rituels de Semi-Mort et de Guérison des Souffles.


"L’un de ses premiers focalisateurs ": exact j’ai réécrit ce passage mais j’ai oublié de changer cette phrase. Son premier. Puis dans ma logique, un quand il est devenu prêtre, un autre à chaque montée en grade (archiviste, grand prêtre). Je ne pense pas que ça semble déraisonné comme chiffre. Mais si c’est un focalisateur à vie… je m’adapte.

Citation :

• Utiliser la magie pour se faire une lampe de poche d’un collier n’est pas à la portée de Mâtirith qui est un hydromancien.

-Je pensais que faire un peu de lumière ne demanderait pas trop d’efforts à un mage expérimenté, au-delà de sa spécialisation. Visiblement rien que ça c’est trop demandé… Genre les mages n’ont absolument aucune connaissances génériques. D’ailleurs, est-ce que mon personnage, avec son temps dévoué aux culte, peut-il même être hydromancien ? Parce que sinon techniquement sans être passé par l'académie de magie, c’est de l’apprentissage autodidacte et non seulement en tant que Haut-prêtre, il ne pousse pas grand-chose en magie divine, mais en hydromancie, il ne vaut pas mieux qu’une fontaine à eau. Après si vous estimez que le HP et seigneur protecteur d’Holimion ne vaut pas se pesant de cacahouète et n’a pas intérêt à se retrouver seul face à un Noss un peu en colère, c’est votre personnage hein je m’adapte, je veux que le personnage soit cohérent. Du moment que c’est clair… Comme ça je me balade avec des gardes si je me sens en insécurité.

Citation :

• La bague de Tari est actuellement en possession de la Gardienne de Tyra : Katalina Noblegriffon et donc impossible à revendiquer Wink


-la bague de TARI est en possession de la gardienne de TYRA. Cela ne choque personne ? Non ? ALLO ? Genre les deux déesses sont potes et prennent le café ensemble quoi. « Attend t’es Déesse et tu n’as pas de gardienne avec une jolie bague ? Tiens prend la mienne. Mes fidèles ? Ils se débrouillent t’inquiète. ».
Plus serieusement, on m'a soutenu que TYRA ET TARI N'AVAIENT PLUS RIEN A VOIR, mettez vous d'accord svp qu'on puisse s'organiser.

Citation :
• Niveau théorie magique, rien n’empêche que Mâtirith ne commence à établir les siennes, mais son apprentissage a dû passer autant ( voir plus ) par la consécration et la prière que part l’enseignement « scientifique », et du coup il serait très très étrange qu’il se soit adonné à l’écriture de traités de théorie magique. Ce serait d’ailleurs d’autant plus étrange qu’en tant que prêtre il aura dû passer de très longues années à apprendre à maîtriser des rituels qui pour nous en tant que joueurs sont en marge du BG magie, et qui pour les personnages relèvent du divin plus que de la science.

-Pour monter en grade dans les institutions religieuses, il faut généralement faire preuve d’une certaine érudition passant en partie par la recherche. Je ne pense pas qu’il soit curieux de penser qu’un homme d’église ait tenté de mettre son savoir à profit d’une rationalisation de la magie, divine ou non puisqu’en principe, religion et science ne s’opposent pas. Enfin, j'ose espérer que pour un homme de foi elles ne s'opposent pas.


Citation :
• Mâtirith, même en tant que Haut-Prêtre, n’est en réalité pas capable de mêler deux branches de la magie. Certes, en tant que prêtre son apprentissage se sera fait de manière particulière, mais il reste un hydromancien comme un autre. Ce qui lui permet de toucher au Souffle et aux douleurs de l’esprit n’est pas un témoignage de son pouvoir à proprement dit, mais plutôt de sa capacité à réaliser les rituels mettant en œuvre le « pouvoir » du Miroir des Morts et des bassins des lueurs.  

-Je vois. Le BG sur la magie divine n’est pas très profond donc j’ai dû m’hasarder à des interprétations. En fait j’ai l’impression que maintenant la magie divine se résume à faire des « miracles ». Des genres de prières qui causent des phénomènes particuliers en fonction du Dieu, surtout en se servant d'objets ou lieux divins ?
Ce qui veut dire qu’un Haut-prêtre dans le fond en terme de magie divine n’est pas plus spectaculaire que n’importe quel prêtre à la foi vive et importante en matière de magie divine ? Il a juste le droit de pratiquer certains rituels du fait de son statut ? Avant les hauts-prêtres avaient accès à de la magie divine assez puissante. C’est comme ça qu’on en trouve dans certaines batailles importantes comme celle du lac d’Uraal. Si maintenant c’est plus protocolaire, soit, faut le savoir.


Citation :
• Quand tu parles de « tourisme spirituel » je pense que la formulation que tu cherches, c’est « lieu de pèlerinage ». Ensuite, il faut savoir que la foi est l’un des piliers de la société elfique, et qu’avec le respect qu’ils vouent à leurs divinités et aux représentants de leurs cultes, il serait très étonnant qu’ils voient dans les rituels de semi-mort une attraction. Seuls se soumettent aux mains des prêtres de la Voilée les elfes qui en ressentent réellement le besoin, et parmi eux ils sont extrêmement rares ceux qui sont appelés à subir les rituels qui appellent à la magie.

-Oui Holimion en tant que lieu de pèlerinage pour les Elfes en quête de réponses particulières, c’est ce que j’ai voulu dire. Je clarifierais.

Citation :
Sinon pour ce qu’il s’agit de l’histoire du personnage, on voit que tu as essayé de mettre en application le côté ambitieux de Mâtirith, et de jouer du paradoxe entre ce trait de caractère et ses devoirs en tant que représentant d’un culte… seulement le souci c’est que pour ce faire, tu as totalement distordu l’image d’Anaëh et du peuple Sylvain.

Déjà, le peuple Sylvain est extrêmement pieux, la religion étant l’un des grands piliers de leur société. Chaque Cité possède son propre temple dédié à Tari, et certes, si ces temples font pâle figure devant le Grand-Temple d’Holimion et que les autres Cités n’ont pas le Pergaën, elles restent pour autant loin de nécessiter que les prêtres d’Holimion viennent y « prêcher la bonne parole ».
D’ailleurs, le culte de Tari n’a pas réellement de bonne parole à prêcher, parce que le rôle de ses prêtres est :
- En premier lieu de s’occuper des dépressifs, des malades mentaux, des elfes atteints du mal de l’éternité, des mourants et des morts.
- En second lieu, de tenir les archives ( donc de grands registres de naissances et de morts )
- En dernier lieu d’enseigner la lecture, l’écriture et les mathématiques.

Puis, il ne sert pas à grand-chose pour une Cité elfique de chercher à « étendre son influence » parce qu’en dehors de quelques spécificités, la culture Taledhelle ( donc elfique des Cités ) est uniforme sur toute l’Anaëh, et que les enjeux économiques sont inexistants, pour la simple et bonne raison que les elfes n’ont pas de système monétaire. Si chaque Cité vit en autarcie, c’est parce qu’au sein de chaque Cité, à de rares exceptions près, la participation de toute la population active à la vie de la Cité permet que chacun puisse mener sa paisible existence.

Remarque découlant de la précédente : si le Pergaën / Protecteur d’Holimion se déplace, ce serait plus pour s’enquérir de l’atmosphère des autres Cités, chercher à s’occuper d’elfes qui n’auraient pas eu l’occasion de faire le chemin jusqu’à Holimion ou s’enquérir du climat pesant sur l’Anaëh plutôt que pour partir dans une « croisade. »
Petite remarque au passage : Les berceurs sont peu nombreux. Les mandater en tant que garde rapprochée alors qu’ils sont formés en tant que chasseurs de mage serait gaspiller leurs talents. Les plus grands dangers au sein de la forêt sont les Noss et les bêtes sauvages, et pour s’en prémunir, il vaut mieux s’entourer de soldats ( qui obéissent au Seigneur-Protecteur ) que de berceurs.

Ensuite : les Noss sont des elfes « sauvages » qui ne trouvent absolument aucun intérêt dans les problématiques Citadines, du coup, obtenir d’eux un quelconque « appui » ne rime pas à grand-chose. La raison principale pour laquelle Citadins et Noss se tentent à développer des relations les uns avec les autres, c’est pour s’assurer que les uns ne représentent pas un danger pour les autres:/

-Je vois pour le fonctionnement des cités. J’ai eu du mal à comprendre concrètement le fonctionnement géopolitique des cités dans le BG. C’est un peu plus clair maintenant.
-Bien pris pour les berceurs, effectivement ça fait sens.
-Compris pour les Noss. Le BG Noss est un peu pauvre donc j’ai eu du mal à comprendre pourquoi dans la fiche originelle il semblait tenir à un rapprochement avec les Noss. Surtout si c’est juste pour s’assurer qu’il ne va pas se faire attaquer.
Peut-on considérer que les Noss sont la menace principale des cités elfique ? Particulièrement depuis le voile ?


Citation :
Et dernière chose, si on en apprend beaucoup sur les ambitions de Mâtirith, tu ne développes presque rien de ce qu’il a vécu. Comment est-ce qu’il s’est senti quand est venu le jour d’abandonner sa famille pour se consacrer à la prêtrise ? Comment est-ce qu’il a vécu tous les différents rites de passage au sein du clergé de Tari ? Comment est-ce qu’il a vécu les différents épisodes sombres de l’histoire elfique, au cours desquels il a dû voir défiler les morts et les elfes psychologiquement brisés ? Comment se comportait/comporte-t-il lorsqu’en relation d’aide ?
Comment a-t-il vécu le Voile et ses conséquences ?

-Je ne trouve pas pertinent de parler de l’abandon de sa famille pour la prêtrise. Tu l’as dit toi-même, les elfes sont très pieux donc je ne pense pas que soit un épisode particulièrement marquant dans sa psyché, surtout quand on est originaire d’Holimion. Pareil pour les rites de passage, souvent un haut-prêtre a eu un parcours assez exemplaire (du moins c’est à souhaiter), donc rien qui ne relève quoique ce soit de très intéressant sur le personnage et qui sort de l’ordinaire.
En revanche oui effectivement, je vais rajouter une partie sur sa propre vision de l’histoire, ça mérite carrément d’être cité, surtout pour un personnage qui est sensé s’y intéresser !


Citation :
Et puis ça c’est ma faute, mais du coup, suite à notre fossoyage de vieux RPs, il faudra repousser l’entrée en fonction de Mâtirith en tant que Pergaën à l’an 7, en suite à Hithiel ( que tu peux décrire – si tu la décris – comme beaucoup plus agée que 137 ans )
Yes ça me fait plaisir de donner une deuxième vie à mon ancienne collègue de RP.

Citation :
Pour le coup, je t’invite à jeter un œil aux Bgs sur :
- La Fiche Faction des Cités elfiques, pour avoir une idée générale du jeu elfe
- Le Panthéon Elfique, les Funérailles chez les elfes pour avoir une idée des prérogatives du culte de Tari.
- Ce RP et ce RP histoire d’avoir une idée des rituels dont s’occupe le Pergaën

J’ai largement lu la fiche faction des cités elfiques et le panthéon elfique, même si mes connaissances restent à parfaire, mais je te remercie pour les liens des RP, ça viendra effectivement m’aider à approfondir le sujet, et dieu sait que c’est pas toujours facile de les trouver par soi-même.



Merci pour ta réponse qui va dans le détail et l'attention apportée aux nouvelles fiches. Je ferais les modifs après avoir eu ton avis sur les différents points que j'évoque.
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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeVen 22 Fév 2019 - 18:04

Citation :
Parce que selon toi on apprend forcément l’escrime pour infliger la mort dans cet univers ? Impossible de la voir comme un sport comme un autre ? Je voulais que mon personnage ait eu l’occasion d’avoir des petites activités annexes au cours de sa vie, et 700 ans c’est long, afin de varier un peu les plaisirs. Mais si ça choque je m’en débarrasse.

Certes l'escrime peut aussi servir purement en tant que pratique sportive, mais lorsque l'on est l'une des figures les plus éminentes ( et parallèlement l'un des elfes les plus dévoués ) d'un culte portant un regard particulièrement réprobateur sur ce qui touche à l'art de la guerre ( exception faite des berceurs ) que d'entre tous les passe-temps possibles, ce soit l'escrime qu'il ait choisi...

Citation :
"L’un de ses premiers focalisateurs ": exact j’ai réécrit ce passage mais j’ai oublié de changer cette phrase. Son premier. Puis dans ma logique, un quand il est devenu prêtre, un autre à chaque montée en grade (archiviste, grand prêtre). Je ne pense pas que ça semble déraisonné comme chiffre. Mais si c’est un focalisateur à vie… je m’adapte.

Non ce n'est pas particulièrement déraisonné comme chiffre, après l'idée c'est simplement de justifier du pourquoi il se serait embêté à en changer. Changer de focaliseur force un mage à repenser sa manière d'utiliser la magie, et de se réhabituer à ses rituels, donc pas forcément un passage agréable pour quelqu'un qui voudrait se concentrer sur sa progression.

Citation :
Je pensais que faire un peu de lumière ne demanderait pas trop d’efforts à un mage expérimenté, au-delà de sa spécialisation. Visiblement rien que ça c’est trop demandé… Genre les mages n’ont absolument aucune connaissances génériques. D’ailleurs, est-ce que mon personnage, avec son temps dévoué aux culte, peut-il même être hydromancien ? Parce que sinon techniquement sans être passé par l'académie de magie, c’est de l’apprentissage autodidacte et non seulement en tant que Haut-prêtre, il ne pousse pas grand-chose en magie divine, mais en hydromancie, il ne vaut pas mieux qu’une fontaine à eau. Après si vous estimez que le HP et seigneur protecteur d’Holimion ne vaut pas se pesant de cacahouète et n’a pas intérêt à se retrouver seul face à un Noss un peu en colère, c’est votre personnage hein je m’adapte, je veux que le personnage soit cohérent. Du moment que c’est clair… Comme ça je me balade avec des gardes si je me sens en insécurité.

Oui les mages partagent une base de connaissances, mais une base de connaissance théoriques. Une fois qu'il s'agit de passer à la pratique, un mage ne peut jamais s'ouvrir qu'à une seule branche de la magie à la fois ( voir à une seule sous-branche dans les magies de l'immatériel ). La génération de lumière appartient à la sous-branche de la magie de l'immatériel du même nom ( la magie de lumière donc ). En conséquence, effectivement non, quel que soit le talent de Mâtirith en tant qu'hydromancien, ça lui restera inaccessible.
Sinon, les Académies de magie d'Alëandir et de Tethien ne sont pas les seuls moyens de trouver un enseignement magique en Anaëh. Beaucoup de mages elfes ont eu droit à des instructeurs personnels, et les mages sont relativement communs au sein des cultes.

- Le culte de Calimenthar cultive la pratique de la pyromancie
- Le culte de Kÿria cultive la pratique de la géomancie et de la magie de la Vie
- Le culte de Tari cultive celle de la magie de l'esprit et de l'hydromancie
- Le culte d'Arcamenel ( même s'il est particulier ) a un certain attrait pour l'illusionnisme

En tant que prêtre de Tari, et ayant été potentiellement repéré durant ses premières classes comme étant sensible à la magie, et présentant des facilités pour l'hydromancie, il n'y a aucune raison que Mâtirith n'ait pas reçu de la part des prêtres un enseignement magique. Surtout lorsque des mages sont absolument nécessaires dans la réalisation de certains rituels.

Citation :
la bague de TARI est en possession de la gardienne de TYRA. Cela ne choque personne ? Non ? ALLO ? Genre les deux déesses sont potes et prennent le café ensemble quoi. « Attend t’es Déesse et tu n’as pas de gardienne avec une jolie bague ? Tiens prend la mienne. Mes fidèles ? Ils se débrouillent t’inquiète. ».
Plus serieusement, on m'a soutenu que TYRA ET TARI N'AVAIENT PLUS RIEN A VOIR, mettez vous d'accord svp qu'on puisse s'organiser.

D'un point de vue HRP on considère que Tyra =/= Tari et que du coup tout ce qui est dit sur Tari comme ce qui est dit sur Tyra peut être vrai sans qu'une proposition n'affecte l'autre.
D'un point de vue IRP par contre, les elfes considèrent Tyra comme étant Tari, et le Panthéon Pentien comme une perversion par les humains du Panthéon Ilethien ( le leur donc )

La Gardienne de Tyra garde donc aux yeux des elfes sa légitimité en tant que Gardienne de Tari.

Citation :
Pour monter en grade dans les institutions religieuses, il faut généralement faire preuve d’une certaine érudition passant en partie par la recherche. Je ne pense pas qu’il soit curieux de penser qu’un homme d’église ait tenté de mettre son savoir à profit d’une rationalisation de la magie, divine ou non puisqu’en principe, religion et science ne s’opposent pas. Enfin, j'ose espérer que pour un homme de foi elles ne s'opposent pas.

Être d'une certaine érudition est une chose. Être à l'origine de traités théoriques se voulant rivaliser avec ceux d'hommes de science accordant la majeure partie de leur temps à l'étude de la-dite science en est une autre. Que Mâtirith soit en capacité de comprendre des essais de théorie poussés est tout à fait logique. Qu'il soit capable d'en tirer des hypothèses aussi. Mais qu'il ait le temps et la capacité de longuement développer des traités sur des notions qui n'auraient pas déjà été déblayées par d'autres avant lui me semble difficile à défendre. Surtout lorsqu'en tant que prêtre, beaucoup de ce qu'il fait est considéré comme ayant attrait au divin, et donc n'obéissant pas forcément aux règles de la science.

Religion et science ne s'opposent pas, mais chez les elfes, la science saura se coucher devant ce que les scientifiques eux-mêmes considéreront l'apanage des Dieux.

Citation :
Je vois. Le BG sur la magie divine n’est pas très profond donc j’ai dû m’hasarder à des interprétations. En fait j’ai l’impression que maintenant la magie divine se résume à faire des « miracles ». Des genres de prières qui causent des phénomènes particuliers en fonction du Dieu, surtout en se servant d'objets ou lieux divins ?
Ce qui veut dire qu’un Haut-prêtre dans le fond en terme de magie divine n’est pas plus spectaculaire que n’importe quel prêtre à la foi vive et importante en matière de magie divine ? Il a juste le droit de pratiquer certains rituels du fait de son statut ? Avant les hauts-prêtres avaient accès à de la magie divine assez puissante. C’est comme ça qu’on en trouve dans certaines batailles importantes comme celle du lac d’Uraal. Si maintenant c’est plus protocolaire, soit, faut le savoir.

C'est à-peu-près ça oui. Est considérée comme magie divine ce qui relève du miracle. Et n'ont "accès" à ces miracles que d'un côté les Avatars/Gardiens d'un dieu au bon vouloir de la divinité, et de l'autre les prêtres particulièrement pieux à travers certains rituels "testés et approuvés". Sinon, tu prends le problème à l'envers. Si la magie du Haut-Prêtre est plus spectaculaire que celle des autres prêtres, c'est parce qu'il est fait Haut-Prêtre parce qu'il est d'entre tous celui dont la foi et la dévotion sont les plus vivaces et profondes.
C'est un avis subjectif, certes, mais avant, la "facilité" d'accès à des magies surpuissantes transformait trop aisément tout en guerre nucléaire et ostracisait les personnages sans pouvoirs.

Mâtirith en tant qu'hydromancien de talent capable de tirer le meilleur des reliques divines pour condamner/guérir/sauvegarder les corps et les Souffles fait déjà partie du haut du panier. Le souci par contre, c'est que tes réactions me laissent l'impression que tu es à la recherche d'un personnage puissant qui puisse faire démonstration de sa puissance. Et pour ça, Mâtirith en tant que personnalité ambitieuse mais extrêmement mesurée et en tant que Haut-Prêtre de Tari n'est pas du tout le bon personnage.

Citation :
Je vois pour le fonctionnement des cités. J’ai eu du mal à comprendre concrètement le fonctionnement géopolitique des cités dans le BG. C’est un peu plus clair maintenant.
Bien pris pour les berceurs, effectivement ça fait sens.
Compris pour les Noss. Le BG Noss est un peu pauvre donc j’ai eu du mal à comprendre pourquoi dans la fiche originelle il semblait tenir à un rapprochement avec les Noss. Surtout si c’est juste pour s’assurer qu’il ne va pas se faire attaquer.
Peut-on considérer que les Noss sont la menace principale des cités elfique ? Particulièrement depuis le voile ?

Certains elfes déplorent les mauvais rapports entre les deux faces de leur peuple, ni plus ni moins. Mâtirith en fait partie. C'est toujours plus agréable lorsque les tensions au sein d'une famille sont basses, même si ce n'est "que" pour profiter d'une ambiance plus saine.

Sinon, les Noss sont loin d'être la principale menace sur les Cités elfiques. Ou du moins, ils ne sont pas considérés comme la principale menace. Les échauffourées avec les Noss font généralement plus de peur que de mal, et si elles représentent une véritable nuisance pour les Citadins autour des points de contentieux ( les carrières et les mines en particulier ) elles font extrêmement peu de morts, et occupent une place très secondaire dans l'imaginaire elfique derrière un potentiel retour des hordes humaines ou des troupes Drows.

Citation :
Je ne trouve pas pertinent de parler de l’abandon de sa famille pour la prêtrise. Tu l’as dit toi-même, les elfes sont très pieux donc je ne pense pas que soit un épisode particulièrement marquant dans sa psyché, surtout quand on est originaire d’Holimion. Pareil pour les rites de passage, souvent un haut-prêtre a eu un parcours assez exemplaire (du moins c’est à souhaiter), donc rien qui ne relève quoique ce soit de très intéressant sur le personnage et qui sort de l’ordinaire.
En revanche oui effectivement, je vais rajouter une partie sur sa propre vision de l’histoire, ça mérite carrément d’être cité, surtout pour un personnage qui est sensé s’y intéresser !

Même si le personnage considère tous ces passages comme ayant été triviaux, le simple fait qu'il les considère ayant été triviaux en dit en réalité beaucoup sur lui. Certes les elfes sont très pieux, mais très pieux ou pas, devoir mourir aux yeux du reste de son peuple et laisser derrière soi famille et amis, pour la majorité des elfes, cela reste une étape très marquante.

Le pieux n'est pas forcément celui qui trouve l'acte de foi aisé. Le pieux est celui qui fait acte de foi MÊME quand c'est malaisé.

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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeSam 23 Fév 2019 - 13:10

Citation :
C'est que tes réactions me laissent l'impression que tu es à la recherche d'un personnage puissant qui puisse faire démonstration de sa puissance. Et pour ça, Mâtirith en tant que personnalité ambitieuse mais extrêmement mesurée et en tant que Haut-Prêtre de Tari n'est pas du tout le bon personnage.

Mon e-penys va très bien je te remercie. Je me doute que ton jugement est biaisé par ce que tu as dû voir ici mais apprend à faire la part des choses STP.


Mon personnage pourrait être le plus faible d'Holimion jusqu'à Wyslena que ça m'en toucherais une sans faire bouger l'autre. J'essaye de comprendre sincèrement le potentiel de ce personnage qui n'est pas le miens et que je dois parvenir à m’approprier.
Le potentiel magique est quelque chose qui ne doit pas laisser d’ambiguïtés afin que mon personnage ne fasse pas des choses qu'il n'est pas en mesure de faire, surtout au détriment de choses qu'il pourrait faire.

J'ai investi un temps certain sur le BG afin de pouvoir faire du RP de qualité, excuse moi de poser des questions et/ou de faire des propositions.

Si ça vous dérange je peux aussi ne pas prendre ce perso, qui fera éventuellement un bon PNJ, et je pars sur autre chose.

En attendant j'ai edité entièrement ma fiche conformément à nos échanges, bonne lecture.
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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeSam 23 Fév 2019 - 14:30


Citation :
Mon e-penys va très bien je te remercie. Je me doute que ton jugement est biaisé par ce que tu as dû voir ici mais apprend à faire la part des choses STP.

Il ne s'agit pas de pointer du doigt ton e-penis, mais simplement de t'inviter à évaluer ce que tu as envie de jouer. Un personnage puissant qui aimerait flatter sa puissance peut être très agréable à jouer pour quelqu'un sans que cela n'ait rien à voir avec son égo. C'est un trope parmi d'autres, et vu ta manière d'aborder les choses, j'ai simplement voulu m'assurer qu'il ne te plairait pas plus que de jouer le Prêtre mystérieux.

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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeSam 23 Fév 2019 - 15:29

Voilà le problème de fond, les tropes.

J'essaye de cerner les tropes avec lequel je vais RP.
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MessageSujet: Re: Mâtirith Aun'galorn    Mâtirith Aun'galorn  I_icon_minitimeSam 23 Fév 2019 - 19:58

Du tact !

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Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
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