Merwyn Séraphin [Noble Déchu]

« Il n'y a pas de gloire à être mort, il n'y a qu'une seule gloire : c'est d'être vivant. »

Nom/Prénom : Père et Mère d'un même accord décidèrent de m'appeler Merwyn. Ma noble famille à pour nom Séraphin.

Âge : Je rentrerais bientôt dans ma vingt-cinquième année.

Sexe : Je suis un homme, donc masculin.

Race : Loin de ces affreux drow, bien plus grand que nos amis les nains mais avec moins de noblesse peut être que nos alliés les elfes, je suis un humain.

Particularité : Bizarrement, mes yeux peuvent avoir un éclat rouge. Quand j'étais petit, je faisais des cauchemars où je me transformais en drow ! Affreux !

Alignement : Communauté de la lumière.

Métier : Je suis le Duc de Serramire depuis la disparition de mon cousin, mais je suis aussi un excellent cavalier prêt à servir dans notre armée.

Classe d'arme : Je préfère le corps à corps même si je suis un très bon archer.

Équipement :

Je possède une épée, une belle épée à la lame d'acier reflétant le soleil. La garde est d'or avec une pierre de rubis. Le fourreau est tout aussi noble. Cette épée fut forgée par des nains dit-on et offerte à mon grand-père, aujourd'hui elle est mienne.

Je possède aussi un arc, celui là par contre a était fabriqué par mes frères humain. Long d'un mètre et puissant, ses flèches à la pointe d'acier peuvent bien vous transpercer le coeur, faites attention.



Description physique :

- Monsieur le duc, c’est l’heure du réveil.
- Merci Jean, Vous pouvez disposer.

Une fois Jean parti, je me lève doucement. Devant mon lit un long miroir y était placé. Allant vers lui, je contemplai ma longue chevelure noire comme la nuit, Mère voulait que je les coupe petit mais bien sur elle n’insista pas devant mon refus. J’arrête de me regarder pour enfiler mes habits du jour, un pantalon serré et un haut noir avec un col tout aussi serré, sur ce haut était brodé des motifs compliqués, arabesques aux fils d’ors, avant de le mettre complètement je ne pu m’empêcher d’admirer ma fine musculature, traçant chaque muscle de mon organisme. Cela sera parfait pour ma séance d’escrime de tout à l’heure. Allant vers ma salle de bain, je m’arrête devant le miroir et prit un peigne pour rendre plus soyeuse ma douce chevelure, qui descendait jusqu’à mis dos en un parfait triangle. Me regardant attentivement, je pu contemplai une nouvelle fois les fins traits de mon visage ! Des sourcils légers suivit de yeux perçant ayant un éclat ambré parfois, on dirait même qu’ils sont rouge mais c’est faux, ne vous inquiétez pas. Un nez ni long ni trop court placer au milieu du visage comme si une main divine l’avait façonné précisément à cette endroit. Et une bouche, s’étirant parfois pour un sourire franc d’un seul côté laissant apercevoir l’humidité de ma dentition parfaitement blanche. Ce visage fait bien rêvé, me diriez vous et c’est vrai. Ah oui, j’aurai presque oublié de parler de mes oreilles ! Tout aussi fine, elles sont presque pointues mais non longue, de loin on aurait sans doute dit un elfe parmi les hommes, un dieu déchu, un ange tombé du ciel. Mais de cela, je ne me vante pas. Je pose mes mains sur mon épée, de longs doigts gracieux et agiles. Et je me tourne pour m’éloigner vers une salle d’entrainement, ma démarche gracieuse et fluide donne sans doute l’impression d’une panthère qui se déplace !

Allant vers la salle d’escrime, des regards admiratif se tourne vers moi pour admirer ma carrure mais aussitôt détourné lorsque je tourne mon regard bienveillant vers mes domestiques gênés. Rapidement, je rejoignis la salle où m’attendait mon frère, je le saluai en inclinant modestement ma tête vers lui et me mit en position.


Description mentale :

Je vais vous parlez de moi de façon la plus objective qui me soit possible. Les gens qui m’entourent voient en moi quelqu’un de généreux, ouvert aux gens et très attentif aux paroles que je reçois. Je ne fais pas de différence entre mes sujets, et équitable lors des problèmes énonçait par les paysans. Je suis aimé, en tout cas, c’est ce que je pense. Pour moi ma famille est un trésor inestimable et je les protégerais même au péril de ma vie et de ma renommée, oh oui je les aime, et aime ma patrie ainsi que l’Humanité. Le courage m’habite, et dans une guerre avenir je me battrai pour faire jaillir le sang ennemi, je me battrai pour éliminer les cafards qui peuplent notre monde bien aimé. Mon père me disait que j’ai du charisme, ce qui est mieux que la beauté, faisant tourner les regards vers moi, des regards admiratif et respectueux et parfois de désir.

Oh bien sur je ne suis pas un être parfait ! J’ai mes propres défauts comme la colère, j’ai appris à la refouler au fond de moi, la modeler pour m’en servir mais malheureusement ce n’est pas toujours le cas et lorsqu’elle jaillit elle fait des ravages autour de moi et je n’en suis pas toujours fier. Mais la colère n’est mon seul défaut bien au contraire j’en ai une énormité qui se terrent au fond de moi, mais parfois en sorte quelques uns comme la rancune et la haine. Rancunier je le suis, parfois ce n’est pas bien méchant comme quand je perds un duel à l’épée contre mon cher frère. Mais la haine ! J’ai grandi dans la haine du peuple ennemi, cette haine s’est développée le long des années notamment quand mon petit frère est mort d’une flèche alors qu’il se baignait dans le lac d’Uraal, cela fait maintenant bien longtemps mais cette rancune mélangée avec la haine me rend plus redoutable pour mes ennemis éternels.

J’ai eu plusieurs aventures, parfois avec des nobles, et d’autres fois non. Pas vraiment des paysans, mais pas non plus des bourgeois. Quand mes parents étaient encore vivants, ils n’en savaient rien et essayer de me trouver une épouse, mais cette quête n’aboutit à rien. Je préférais garder ma liberté et partager des aventures de temps à autres que de m’engager dans la voie du mariage. Je garde sous silence mes nuits partagées, et même mes plus proches « amis » ne sont pas au courant.


Histoire :

L’histoire que je vous raconte est la mienne, ouvrez bien vos oreilles car je ne la répéterai pas une autre fois.

Tout commença un beau matin ensoleillé dans la forêt elfique, une mâtinée de printemps, mes parents étaient en voyage, mon père voulait que Mère change d’air mais visiblement il avait choisi le mauvais moment même si elle était accompagnait d’une sage-femme. Dans le carrosse ma mère accoucha alors que Père attendait dehors avec le reste de l’escorte composait d’une demi-douzaine de cavalier. Bien sur je ne me rappelle pas de cela mais c’est ce que me détailla ma mère bien plus tard. Mère m’appela aussitôt Merwyn et Père accepta de plein gré même s’il aurait aimé me nommé comme son père à lui, Edgard. Le voyage s’arrêta là et mes parents décidèrent de retourner à Serramire. A ce temps là, mon Père n’était pas duc, c’était le frère de Mère. Mais nous avions une demeure près du château ducale et Père était un précieux conseiller pour mon Oncle.

Presque neuf mois plus tard, Mère donna le jour à deux jumeaux qui vinrent agrandir notre famille. De feux jumeaux qui ne se ressemblaient pas tant, une fille et un garçon. A l’époque nous étions à Alonna chez l’oncle de Père qui nous avait invités pour deux nuitées, une nouvelle fois par un commun accord Père et Mère nommèrent les nourrissons respectivement Aurore et Edwyn, et la même nuit naquit deux chambres plus loin Ariana ma cousine paternel mais elle ne vécut pas plus d’une heure et sa mère bien moins. Je ne peux vous retransmettre la douleur de mon Oncle mais il avait tellement mal que Père versa plusieurs larmes avec lui, et Mère pleurait bien plus la mort de son amie et belle-sœur qu’elle connaissait depuis toute petite. Un malheur qui devait suivre un autre, le couple Séraphin ne voulait pas d’une fille car le jour de leur mariage, un peu après la cérémonie, un prêtre leur fit une prophétie. Cette prophétie disait qu’ils auront un jour une fille qui se mariera à son frère ainée, ensemble ils auront le trône de Serramire et feront sombrer le duché dans le chaos. Père rappela ce jour à Mère qui ne voulait pas se séparer de sa fille qu’elle avait porté durant neuf mois mais pourtant après un doux baiser sur le front, elle l’a remit à son mari. Père et Oncle sortirent pour se rendre à une église et déposer le nourrisson sur le perron, Edgar le fit sans se retournant laissant son frère sur place qui voulait prier et prendre du recul, Père accepta son choix et s’en alla vers la châtellenie de son frère.

Mais pendant ce temps, devant les cris du bébé et la cruauté de son frère mais aussi à cause du malheur qui s’est abattue sur sa famille. Mon Oncle prit avec lui Aurore, bien décidé à l’adopter et de faire d’elle sa fille. Mais il fut contraint de quitter son château qui abritait son frère qui risquait de reconnaitre le bébé, au moins pour quelques semaines et il pouvait mettre cela sur le compte du chagrin. Aurore devint Ariana et mon Oncle épousa une noble de la cour et fit passer Aurore pour sa fille qu’il appelait en public Ariana mais lorsqu’ils étaient seuls, c’était Aurore, sans lui expliquer toutefois le pourquoi. Sa nouvelle femme était au courant, et Ariana ne fut pas montrer en public jusqu'à que son âge pouvait prêter à confusion.

Je n’étais pas en âge de me rappeler ces évènements, et pour moi, je n’avais qu’un seul frère Edwyn. Nous étions proche l’un de l’autre et nos parents avaient peur qu’il y est des répercussions car ils voulaient faire de moi leur héritier, et consacrer Edwyn à la religion. Mais bien sur aucun de nous deux voulait que ça arrive. Nous avons grandi cinq ans comme étant de parfais frères jumeaux, mais un jour, un prêtre arriva et le prit avec lui. Une séparation rapide mais qui a laissé sa trace. Je n’avais que cinq ans et j’avais perdu mon compagnon de jeu, même s’il nous rendait fréquemment visite.

Je grandis normalement comme tous les nobles de mon âge. L’été, on m’apprenait à monté à cheval, à me battre à l’épée. L’hiver, j’étudiai les lettres et les sciences notamment les plantes bien que je m’intéresse plus aux animaux. J’apprenais et m’entrainais aux côtés de mon frère, quand il nous rendait visite, c’était un beau jeune homme qui savait même manier l’épée. A mes douze ans, j’appris à me servir d’un arc, d’abord avec un petit et léger puis aux fils des années avec un plus grand et plus lourd. Ma préférence reste pour le léger qui tire plus vite mais certes moins loin. J’avais treize ans lorsque ma première cible fut atteinte par une de mes flèches, pendant une des chasses organisés avec le duc et où j’avais eu le droit de participer, c’était pendant mon anniversaire.

A dix sept ans, naquis un troisième enfant, cette fois-ci mes parents avaient vraiment peur de voir naitre une fille, ce pourquoi pendant de longs mois, ils prièrent Néera et Kyria de leur donner un petit garçon, au neuvième mois naquit alors un garçon, fragile et beau. Personne ne connaissait son destin tragique …

A présent je vais vous raconter les passages important de ma vie. Commençons donc par la mort de mon plus jeune frère tel il m’a été raconté. J’avais vingt et un ans et lui cinq ans. Père lui donna la folle permission de voir le lac Uraal escortait de seulement deux gardes. Avec enthousiasme, il voyagea deux jours s’attardant un peu partout chez les elfes, d’ailleurs même aujourd’hui je ne sus d’où lui vint cette soudaine idée de voyager, il a toujours été très capricieux même si j’étais un modèle pour lui, il devait vraiment m’imiter dans tous les domaines, un jour, je l’ai surpris entrain d’imiter ma voix !
Un peu plus tard dans la soirée, on m’annonça la triste nouvelle ! Pour la première fois, une dangereuse colère vint au monde dans mon être et des envies meurtrières me submergèrent mais malheureusement, je ne pouvais rien faire mais ce jour là, je fis la promesse solennelle de tuer tout drow. Décidant de m’absenter des terres de Serramire et de m’engager dans l'armée de Diantra, pour protéger le royaume des attaques sournoises, je commençais à faire le tour de la péninsule.

Un jour, en visite à Ydril, j'entendis des bruits dans le couloir du château ! Des bruits ressemblant fort trop à des bruits de lames s'entrechoquant ! Pensant que le Comte était en danger, je couru vers l'endroit où je cru entendre les lames. Mais il était trop tard. La fenêtre était ouverte et le comte kidnappé par des drows que j'aperçus par la fenêtre. Je me serai bien sacrifié mais cela n'aurait servit à rien ! Ce jour là, pratiquement sous mes yeux impuissants j'avais assisté au premier raid drow depuis ma naissance. Ma haine s'accrut envers le peuple traitre, mais je ne pouvais que m'entrainer en attendant mon heure. Deux ans, s'était écoulé depuis la mort de mon petit frère quand une autre mauvaise nouvelle arriva. La mort de mon père. Ce jour là, je me trouvais dans les terres de Langehack. J'avais voulu faire la connaissance de la duchesse que j'avais déjà entre-aperçu et que son image me laissai tout en émoie, quand le messager m'aborda. J'avais aussitôt pris ma jeune jument à la robe alezane et je la direction des terres de Serramire. Mon père avait était un homme bon, tout le long de sa vie et même s'il était un peu loufoque de temps en temps, les nobles du duché l'appréciait. On l'enterra dans le cimetière du château ducal. Peu de temps après, ma mère mourut de chagrin, elle ne s'était pas remis de la mort de mon père et avait appris que sa sœur était morte à Diantra à cause de la peste il y a quelque temps, mais surtout à cause d’une maladie incurable.

Mon cousin Unae Rhya nous logea mon frère cadet et moi dans son château, et plus le temps passa, plus l'image de la duchesse de Langehack me hantait. Non pas hanter au sens faire peur, non loin de là, hanter au sens revenir sans cesse ! Serais-ce de l'amour pour une personne que l'on connait de vue seulement ? Peut être. Par une belle journée, je décidai d'aller rendre visite à cette belle héritière lorsqu'un imprévu m'en empêcha une nouvelle fois. Mon cousin, Unae avait disparu ! Sans doute mort, mais ce qui était sur, c'est que l'on le retrouvait plus ! A mon grand étonnement, ce fut moi qui héritai du domaine de Serramire. Tout ses évènements qui se passait juste dans les moments où j'avais l'intention de rendre visite à Ashenie car ainsi était son nom. Serai-ce un signe des dieux ? Seront-ils contre cette rencontre avec elle ?! Non, je ne voulais pas le croire. Je verrai la duchesse plus tard, pour l'instant je devais aller à mon château et m’occuper de mes terres, avant de pouvoir rendre visite à qui que se soit.

Voilà, ce sont les grandes lignes de mon histoire entre ma naissance et le moment où je suis devenu duc.

Citation :

Mais pendant ce temps, devant les cris du bébé et la cruauté de son frère mais aussi à cause du malheur qui s’est abattue sur sa famille. Mon Oncle prit avec lui Aurore, bien décidé à l’adopter et de faire d’elle sa fille. Mais il fut contraint de quitter son château qui abritait son frère qui risquait de reconnaitre le bébé, au moins pour quelques semaines et il pouvait mettre cela sur le compte du chagrin. Aurore devint Ariana et mon Oncle épousa une noble de la cour et fit passer Aurore pour sa fille qu’il appelait en public Ariana mais lorsqu’ils étaient seuls, c’était Aurore, sans lui expliquer toutefois le pourquoi.

Comme je te l'ai déjà dit, ça ne colle pas au niveau de l'âge de l'enfant. Un bébé grandit vite, trop vite pour que l'on puisse confondre un enfant de 6 mois et un bébé d'un an ^^. Donc, il faudrait que tu verrouille un peu ce passage. Tu m'avais dit que ton oncle avait elevé sa nièce a l'abri des regards, dis le, précise nous quand il s'est remarié ( ça a dut être rapide quand même et la nouvelle épouse est forcément au courant que l'enfant n'est pas d'elle ^^) et enfin,voir si ton oncle ne peut pas user d'un subterfuge pour expliquer le différence age /physique du bébé, genre un léger retard par exemple ^^

Citation :

Sa nouvelle femme était au courant, et Ariana ne fut pas montrer en public jusqu'à que son âge pouvait prêter à confusion.

Une petite phrase rajoutée.

Bon, pour moi, say tout bon