Nom/Prénom : Adhémar Pavia de Systolie
Âge : 25 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Particularité : Ambidextre.
Alignement : Neutre.
Métier : Noble et Régent d'Ydril
Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Son arme la plus redoutable est la parole, dont il use avec un art consommé
pour blesser ses ennemis dans leur cœur plutôt que dans leur chair. Mais le régent d'Ydril possède d'autres armes, de fer celles-ci, une armure légère faite de disques de métal et ornés de cuivre, cousus à la manière d'écailles sur du cuir. Un bouclier rond. Afin de lutter contre le soleil brûlant d'Ydril, il porte des robes flottantes vivement colorées, qui recouvrent les pièces métalliques de son armure, toujours dans le même esprit, un casque traditionnellement enturbanné de soie.
Son arme de prédilection est la pique, courte ou longue, de jet ou non selon l'occasion. Il possède aussi un arc à double courbure, à la manière des cavaliers syhars et un cimeterre, plutôt qu'une épée.
En tant que fils cadet d'une puissante famille, Adhémar a hériter du fief familial de Mirabel, ainsi que des places, domaines et revenus y adhérent.
Description physique :C’est le parfait noble Ydrilôte. Des traits réguliers, avec une magnifique crinière de cheveux noirs et un visage qui parait impitoyable. La première chose que l’on remarque c’est qu’il est élégant, très élégant même. Son teint mat augmente la profondeur de son regard noisette qui fait frissonner de plaisir toutes les femmes qu’il regarde. Son visage et son cou sont fins, ses pommettes hautes et le menton pointu. Ses yeux sont d’un sombre luisant et pâle, à l’instar d’un loup.
Adhémar est l'Ydrilote typique, ses origines ne laissent absolument aucun doute, quant à son appartenance à la famille des Systolie. Son teint mat typique des habitants du midi, des cheveux longs et noirs comme l’ébène, les yeux foncés comme le jais, il a un visage harmonieux qui attire généralement le regard. Des sourcils expressifs surmontent ses yeux sombres, il a un nez droit qui affirme son caractère, ainsi que des lèvres bien dessinées se mariant à merveille avec une mâchoire bien présente. En résumé, il possède un visage séduisant et harmonieux, mais l’expression presque hostile qu’il affiche en permanence à de quoi calmer les plus vives
ardeurs. Adhémar se sert souvent de son regard pour imposer sa manière de penser aux autres, lorsque ses courtisans se chamaillent, il suffit d’un regard du prince pour qu’ils se taisent aussitôt, il a beaucoup d’atouts physiques de commandement et ne se prive pas de se servir de ce que la nature lui a si gracieusement donnée.
Ydrilote, il a le physique typique de ces ancêtres, réputé lestes et sombres, olivâtres de teint ils sont plus bronzés que les habitants des autres royaumes, mais néanmoins beaucoup plus mat que leurs cousins d'Ysari. Adhémar ne fait pas exception, il est d’assez grande taille, environ 1m78 à 1m82 pour une carrure en accord. Excellent combattant à la lance comme tous ces ancêtres, cavalier passionné, il a développé des muscles en conséquence, mais cela ne fera pas pour autant de lui un exceptionnel combattant à l’épée comme son frère ainé, Kalgar. On remarque immédiatement ses origines lorsqu’on le croise dans la rue ou en voyage, comme lorsqu’il parcourt les mers pour le commerce et le négoce. Quoi qu’il en soit, personne ne mettrait en doute ses origines, il est l'Ydrilote par excellence, et son caractère ne sera pas là pour contredire ces faits ! Il est certainement celui qui ressemble le plus à ses ancêtres des trois enfants qu’ils sont ; Kalgar, Edgar et Adhémar.
- Vêtements : Niveau vestimentaire, il n’a pas tellement le choix, de par son statut de Régent. Il porte donc les habits des nobles de son rang, et il ne les quitte que de temps en temps afin de revêtir son armure pour s’entraîner ou partir en bataille. Il est extrêmement simple de qualifier son style vestimentaire, riche, luxueux et impressionnant, ses habits sont réalisés à partir d’étoffes et de soieries, ce qui est extrêmement fréquent dans ce pays, mais qui sont très recherchés par delà les mers. Il apprécie d'ailleurs les couleurs vives et les belles étoffes et, d'une manière générale, tout ce qui peut attirer l'attention sur lui. A Ydril son apparence est donc tout à fait normale, bien que riche, soignée et recherchée. Mais dans d’autres royaumes, il passe aisément pour quelqu’un de très exotique. Adhémar étant habitué depuis toujours à vivre vêtu de la sorte, il porte ses habits avec aisance et facilité.
Description mentale :Encore une fois, Adhémar est un sudiste typique. Adhémar a le sang chaud, une véritable susceptibilité d'écorché tel que l'on en prête aux Ydrilotes et qui lui cause souvent de nombreux ennuis, son caractère querelleur et fanfaron n'arrangeant rien. Par exemple il suffira d’une allusion mal placée, où d’une insulte cachée sur son pays où un des membres de sa famille pour que le noble ne provoque le malheureux qui a osé dire une telle chose, en duel à mort. Très confiant en ses capacités de combat à la lance, le sire n’hésite pas à se servir de ses talents, par conséquent il n’aura aucun mal à provoquer un simple chevalier d’un autre duché en combat à mort, même s’il est le régent et le seigneur d'Ydril, pour l’honneur, le statut civil n’a plus d’importance !
Malgré ce gros défaut, qui est vu comme une qualité par les Ydrilotes, Adhémar est un très bon seigneur. Équitable et réfléchi, il règle les petits
ennuis quotidiens et les éventuelles disputes entre famille, et ce sans jamais se plaindre. Le régent essaye donc de ne pas trop laisser sa nature Ydrilote reprendre le dessus dans certains moments, et s’il a de fortes tensions personnelles avec certaines familles ou personnes, il essayera de prendre le dessus et de faire au mieux pour le bien de son peuple. Il croit en ce que son père lui avait dit lorsqu’il était enfant, que le royaume passe avant ses intérêts personnels, il ne regrette donc pas de laisser passer quelques petits embêtements personnels au profit d'Ydril. Mais là s'arrête ses cas de conscience ; en dirigeant d'Ydril qu'il est, le "Royaume" s'arrête... et bien, aux frontières d'Ydril. Encore que pour chacun de ses habitants, Ydril ne connait aucunes frontières de par delà les océans.
Il a deux visages, l'un pour le peuple, et l'autre pour sa vie privée, comme n’importe quel suzerain. Quand il reçoit les doléances il est juste, impartial jugeant la situation et la réglant le plus justement possible. Quand elle est inextricable alors il se montre ferme et impartial. C’est un homme bon, en qui inspire la confiance, malgré les rumeurs qui courent à son sujet. Il est facilement moqueur, mais avec esprit et il s'attaque surtout aux personnes dont il estime qu'ils se prennent un peu trop au sérieux. Conscient de son charisme, il a encore en commun avec son frère Kalgar l'impulsivité et la faculté de se faire aimer.
L'on raconte des choses étranges à son propos. On murmure qu’il n’est pas
aussi bon que cela, et qu'il aurait empoisonné son frère pour prendre sa place, mais bien sûr il n’y a aucune preuve d’une telle chose. On raconte aussi qu’avec ses concubines il sait se montrer charmeur, enjôleur et dur lorsqu’elles ne font ce qu’il désire. Sa réputation est sulfureuse puisqu'il a engendré de nombreux bâtards.
Enfin quoi qu’il en soit, il faut reconnaître que c’est un fin esprit, un poète, un vrai diplomate et un stratège hors pair. Son esprit est vif et agile, lui permettant de passer d’une activité à l’autre avec une facilité déconcertante. Il s'adonne volontiers à la lecture, qu'il voit comme un moyen d'exercer son intelligence et il faudrait se lever de bonne heure pour le piéger selon ses conseillers. Il peut se montrer manipulateur, se faisant faible pour mieux pouvoir attaquer ensuite là où ça fait mal. Il a su se faire aimer de la populace et admirer de la noblesse en lançant de gros travaux, notamment la reconstruction du fort de La Vigie, ouvrage fortifié défendant l'entrée du port d'Ydril, le ré-armement des châteaux de la frontière et la construction d'un palais d'été à quelques jours d'Ydril.
Histoire :Hiver de l’an 1181 après la Conquête (hrp: développé plus tard dans le BG d'Ydril :hrp), la seconde épouse du seigneur Sforzar donna naissance à son premier enfant. Après neuf mois d’une grossesse plutôt difficile, elle fut ravie d’être enfin libérée de cette position ! L’héritier fut prénommé comme le père du comte Sforzar, Kalgar, en honneur à cet homme qui avait apprit tout ce qu’il savait à son fils, et en avait fait l’homme qu’il était aujourd’hui. Dame Serala fut ravie de constater l’entrain que son époux avait mis à la naissance de son fils, et dans l’idée d’en faire un preux chevalier comme dans les contes et légendes.
Après tant d’années de mariage avec une femme stérile, le comte espérait simplement avoir un jour un descendant digne de sa famille, et tous les projets qui macéraient dans son esprit furent donc comblés et ravivés lorsqu’il obtint le fils tant espéré. Mais après cette naissance, il délaissa à nouveau sa femme, après s’être montré aux petits soins pour elle pendant toute la durée de sa grossesse, preuve que seul l’héritier mâle lui importait, et qu’il se moquait complètement de son épouse. Pour tout dire, la preuve en avait été faite lorsqu’il avait renié son ancienne femme malheureusement stérile, il ne la considérait même pas comme son épouse, tout simplement comme une contrainte dont il avait hérité, comme s’il avait pioché la mauvaise carte lors d’un jeu. C’était affligeant, aucune femme normalement constituée n’aurait put supporter un tel traitement, sauf peut-être une femme amoureuse, et Dame Serala l’était, aussi surprenant que cela puisse paraître, elle aimait sincèrement son époux et était heureuse du peu de l’attention qu’il lui portait. Ce mode de vie lui convenait parfaitement, et par conséquent elle ne se plaignit absolument pas du manque d’attention de son époux lorsqu’il eu la confirmation que son premier enfant était bel et bien un garçon.
Immédiatement après cela, le comte entreprit de préparer l’avenir de cet enfant, il voulait en faire un véritable chevalier, encore meilleur que lui, et il serait la fierté de sa famille, car après tout le fils premier né était toujours plus valorisé que les autres.
Malgré tout, le seigneur Sforzar craignait l’idée d’une mort prématurée de son fils. Son prédécesseur avait été enlevé par les Sombres et la noblesse n'était pas à l'abri d'une tragédie. Par conséquent, il décida, sans demander l’avis de son épouse, d’avoir un autre garçon. Aux yeux du comte, cette dernière n’était rien qu'une progénitrice bonne à enfanter et à élever ses enfants, elle n’eut donc pas son mot à dire lorsqu’il lui annonça qu’elle devait donner naissance à un nouvel enfant, mâle bien entendu, cela allait de soi. Et visiblement Dame Serala était plus fertile que sa sœur cadette, car un an après, à peine, elle donna naissance à un second fils, Edgar. Deux garçons, le comte était au comble de la joie ! Cet homme qui prônait l’idée même que les mâles étaient nettement supérieurs aux femmes, se voyait père de trois garçons, il était comblé de bonheur ! A partir de ce moment, il ordonna tout simplement à sa femme et aux nourrices de ne pas donner trop d’amour aux enfants, ils devaient rester durs et ne pas se ramollir à cause de l’amour qu’on pourrait leur porter. Ils ne devaient pas être capables de se montrer effrontés envers leur père parce qu’ils chercheraient à défendre leur mère ou quelqu’un d’autre, ils devaient rester obéissants et devenir comme leur père, de bons chevaliers. Une sorte de copie de lui, obéissante, et encore une fois la comtesse ne put refuser. Comment refuser quelque chose à l’homme que l’on aime de tout son cœur ? Impossible, tout simplement. Et elle accepta donc, refusant de donner une quelconque once d’amour à ses enfants, et les prenant très rarement dans ses bras, en fait, elle n’était pas une vraie mère, elle avait simplement donné la vie à ses enfants, mais leur éducation et l'amour qu’une mère devait normalement donner à ses enfants, lui étaient tout simplement refusés.
Environ un an après la naissance du second fils, quelqu’un fit part au comte d’un mariage entre une demoiselle de basse naissance, et un noble, d’une riche famille de Diantra. Cette annonce surprit le seigneur Sforzar, qui vit soudain l'alliance de sa famille à des nobles bien en vu depuis des années, et même si son mariage avec une fille issue d’une famille de seigneurs modestes était une bonne chose, il visait les plus hautes sphères, et rêvait tout simplement de lier sa famille à des seigneurs possédant des maisons suzeraines, comme les ducs de Soltariel... Il répudia donc sa première femme et prit l'héritière d'une branche cadette de Soltariel pour nouvelle femme. Celle-ci lui donna au bout de peu de temps un troisième fils, Adhémar. Et les deux femmes habitèrent ensembles au château.
Les enfants grandirent plutôt bien, pour tout dire, ils étaient comme les enfants des autres familles, excepté qu’ils n’avaient droit à aucun amour de leur mère et des nourrices qui s’occupaient de lui. Kalgar n’était l’aîné que d’une ou deux années selon ses frères, mais pourtant le comte fondait tous ses espoirs sur lui, il voyait là l’occasion de former son héritier du mieux qu’il pouvait, et pour tout dire, il délaissait presque ses autres enfants pour donner toute l’éducation qu’il fallait à son fils aîné. Mais en réalité, Adhémar aurait largement préféré voir son père l’oublier un peu, l’entraînement imposé par le maître d'armes du comte était extrêmement rude, et malheureusement, même s’il n’avait pas trop le choix, Adhémar se montrait un peu trop doué dans ce qu’il faisait. Chaque fois que son père lui apprenait quelque chose, le jeune homme l’apprenait avec avidité dans l’espoir de déclencher une quelconque fierté ou un quelconque amour dans le cœur de son père, mais c’était toujours un homme insatisfait qui lui répondait. Il n'était jamais assez fort, jamais assez droit, jamais assez patient, il n'était pas comme son père en rêvait, et le comte le lui faisait bien sentir, au grand désespoir du jeune garçon qui ne demandait rien de plus que de simplement pour vivre comme les enfants de son âge, comme ses frères par exemple.
Lorsqu’il atteint l’âge de 6 ans, le jeune garçon fut prit comme écuyer par un chevalier protecteur des marches, à l'ouest d'Ydril, sire de Bossera et compagnon d’arme de son père, qui voyait là une bonne occasion d’avoir un écuyer expérimenté. Bien entendu, Adhémar fit de son mieux pour être à la hauteur de cet honneur, et lorsqu’il avait l’occasion de revenir chez lui, le
garçonnet passait tout son temps en compagnie de sa mère, qu'il aimait plus que tout. Mais aussi avec son frère ainé, Edgar, avec lequel il partageait une réelle complicité.
L’année de ses 14 ans, Adhémar se fit pincer dans le lit de la maîtresse du puissant sire de La Colée, géant de sept pieds de haut, redoutable combattant, brave et courageux, mais également d’une grande cruauté. Un duel s'ensuivit qui, eu égard au jeune âge et à la condition de fils du comte de l'offenseur, devait s'interrompre au premier sang. Une estafilade réciproque suffit donc à satisfaire l'honneur de chacun. Mais si le jeune héritier eut tôt fait de se remettre de la sienne, en s'infectant, celle du sire de la Colée finit par la tuer. Dès lors, il ne se passa que peu de temps avant que l'on ne commence à chuchoter qu'Adhémar s'était servit d'une épée empoisonnée, et bientôt, amis comme ennemis se mirent à le désigner sous le sobriquet de Vipère d'Ydril.
Plusieurs années s'écoulèrent depuis, qui tendirent à rendre sa légende, ou sa réputation, encore plus épouvantable qu'elle ne l'était déjà. Héritier d'une cité de marins et voyageur dans l'âme, il parcourut les cités de Miradelphia, et d'autres encore, s'y formant s'il fallait en croire la rumeur publique, au métier d'empoisonneur voir, toujours selon la rumeur, à des arts plus ténébreux encore. Il avait après cela rejoint son frère ainé, Edgar, dans la recherche du savoir et l'étude des arts, et s'en était finalement lassé. Engagé dans une compagnie de mercenaires ancenois, il avait guerroyé quelques temps au sein des Galants Hommes, avant de fonder sa propre compagnie puis de revenir à Ydril où il exerce en tant que cadet différentes
responsabilités au service de sa maison.
Il c'est depuis fait connaitre par ses nombreuses frasques et penchants ; excellent jouteur, aimant parcourir les tournois, dont il passe être un grand amateur. Mais aussi ses batailles, contre les pirates notamment. Adhémar étant le troisième fils du comte d'Ydril, c'est lui qui a la charge de la défense du port d'Ydril. Ses nombreux duels, ses appétits charnels... Il passe pour avoir coucher avec la moitié des femmes d'Ydril, sans compter celles qui ne sont que de passage et Ydril pullule de bâtards de son crût. Il est réputé pour son intelligence et sa culture ainsi que pour sa passion pour l'astrologie et l'élevage.
En sa qualité de défenseur du port d'Ydril et suite aux récentes attaques de
pirates dans la citée elle-même, chose jamais vue jusqu'alors, le jeune sire Adhémar donna l'ordre à la flotte de sortir en force et de donner la chasse aux bandits des mers. Il a lui même prit le commandement de son navire personnel,
La danse de Zuccabar, mais suite à une très violente tempête,
la danse de Zuccabar fut portée disparue et l'on eu plus de nouvelles du jeune amiral, tout laissant supposer qu'il avait périt en mer. La flotte était dispersée et rentra bredouille à son port d'attache après avoir vainement chercher son commandant. Adhémar est retrouvé miraculeusement échoué sur une plage quelques jours plus tard. Lors de son retour dans la grande citée, il apprend la mort de sa belle sœur, Judith d'Aphel, décédée en mettant au monde deux jumeaux. Avec la mort de leur père, marié neuf mois plus tôt à la dame d'Aphel, les deux enfants deviennent les nouveaux souverains d'Ydril, mais ils sont encore trop jeune pour diriger. Adhémar est est nommé régent et protecteur du comté jusqu'à la majorité des deux héritiers. Désireux d'assoir son pouvoir, il se fait descerné le titre d'Archonte par la noblesse et les notables d'Ydril. Ce titre désigne un personnage puissant, détenteur d'une forme d'autorité publique et lui procure une légitimité auprès du peuple dans son rôle de gouverneur et administrateur du comté.
Il n'a personnellement prit aucunes parts dans la guerre civile qui a ravagée le royaume, Ydril étant trop occupée à ramener le calme après les désordres causés par les pirates. Bien que sa belle sœur ait fait partir des troupes pour venir en aide au roi, celles-ci n'ont pu dépasser les frontières du Duché et l'on susurre à Ydril que la régente de Soltariel, qui n'a convoquée aucune de ses épées, a opposé son véto au passage des troupes.
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Ven 18 Déc 2009 - 11:58
