Nom/Prénom : Cech Jack, plus connu dans les rangs de l’armée comme Silent Jack.
Âge : 25 ans
Sexe : Masculin
Race :Humain
Particularité : Rien de bien compliqué, il est sourd. N’ayez crainte, il lit très bien sur les lèvres. Son surnom lui vient de l’époque de son recrutement dans l’armée.
Alignement : Communauté de la Lumière
Métier : Soldat de l’Ordre du Librium / membre d’une organisation d’orphelins appelée le X
Classe d'arme : Corps à corps / Défense
Équipement :>Une une épée batarde avec une lame d'un mètre de long, forgée par un ami Nain qu’il porte toujours à la main et dont il maitrise parfaitement le maniement . Outre la garde dorée et le losange écarlate,symbolisant l’enseigne du forgeron, au milieu de la lame, des inscriptions runiques sont gravés sur cette dernière disant : « Lame utilisable par les sourds ». Jack la fit graver après qu’un de ses collègues lui ait habilement demandé si son handicap ne l’empêchait pas de manier une épée à deux mains. Les plus observateurs pourront aussi remarquer que de l’autre côté de la lame, un petit X à était gravé.
>Une armure légère en métal lui permettant une protection minimale tout en gardant une grande liberté de mouvements. Elle est toujours cachée sous une longue veste marron. De plus, en souvenir de ses camarades d’orphelinat, il entoure les protections des avant bras de fil barbelé. Ainsi, s’il est désarmé, il peut toujours utiliser ses avants bras pour lacérer le visage, les aisselles ou les parties intimes de ses adversaires.
>Ironiquement, sa surdité est sa meilleure défense. En effet, comme pour les autres personnes privées d’un sens, les autres sens de Jack se sont développés afin de combler le manque. Ainsi, à l’instar d’un aveugle bien entraîné, il n’a pas besoin de son pour se battre. Il peut « sentir » les attaques d’où qu’elles viennent -même dans le dos- et les esquiver au dernier moment. Bien sûr, tout cela lui a demandé des années d’entraînements.
>Une bourse contenant un peu d’argent, quelques allumettes, une aiguille et du fil, pour recoudre les plaies en cas d’urgence et une fiole d’alcool à 95°, distillé par un autre ami nain, qui lui sert à désinfecté ou à avaler puis recraché dans les yeux des ennemis.
Description physique :Entraîné depuis son plus jeune âge au maniement de l’épée, Jack possède un physique athlétique. Mesurant six pieds de haut et pesant prêt de deux cent dix livres, c’est un beau bébé tout en muscles, même si ses derniers ne sont pas vraiment visibles, du moins sous la pile de vêtement qu’il porte en permanence. Ses muscles lui permettent de développer une force nécessaire pour soulever son arme à une mains et leur forme peu volumineuse lui font garder une maniabilité de mouvement ainsi qu’une certaine souplesse. Marqué par ses multiples entraînements et les bêtises qu’il faisait avec ses camarades de l’orphelinat, son corps est jonché de cicatrices et il connait l’histoire de chacune d’entre elles, ou presque. Habillé de son armure intégrale, des gants jusqu’aux bottes -sauf le casque- argenté et dorée, à laquelle il a rajouté un pagne écarlate, sans oublié les fils barbelé au avant bras qu’un ami lui forgea, il est toujours prêt à croisé le fer. Encore une fois, les plus observateurs pourront remarquer que des petits X ont été gravées sur quelques parties de l’armure. Il porte aussi une longue veste de voyageur en cuire marron qui lui permet d’avoir une certaine classe, de cacher sa bourse et ses protèges avant bras modifiés. Au niveau du visage, rien ne laisse apparaître la surdité de Jack. Pas de cicatrices, pas de pavillon manquant, pas de saignement constat des oreilles. Son visage est donc très commun. Il a des cheveux châtains descendant sur la nuque et séparé en deux par une raie sillonnant le centre du crâne. Afin de se donner un petit air baroudeur, il se laisse volontiers pousser une barbe de trois jours qu’il rase quand elle commence à demander trop d’entretien. Ses yeux couleurs noisette sont perçants et, surtout, allier aux trois autres sens -eux aussi plus développés que la moyenne- pour combler son manque d’audition, créant ainsi un « sixième sens » lui permettant de vivre presque normalement, d’être une fine lame et un bon combattant à mains nues. D’ailleurs, il bien souvent obligé de dire à ses interlocuteurs qu’il est sourd pour que ses derniers lui parle en face pour qu’il puisse lire sur leur lèvre. Bien sûr, il lui a fallu des années entières de travail acharné pour arriver à un tel niveau. En tant que bon épéiste, il est ambidextre.
Description mentale :S’il y a bien une chose qui doit être soulignée dans la mentalité de Jack, c’est bien sa force de caractère. Il a affronté la mort de ses parents, puis sa surdité, l’intensité des entraînements pour devenir un bon combattant, sans jamais avoir de doutes ou se plaindre. Cette détermination fait presque de lui un homme sans peur. La plupart des gens pense d’ailleurs qu’autant d’attitude positive ne peut être dut qu’à la grande naïveté dont peut faire preuve Jack. En effet, il n’est pas vraiment subtil et montre volontiers sa simplicité et son ignorance sur beaucoup de domaines, comme la politesse, la noblesse ou les femmes. Pour séduire ces dernières, il utilise souvent les méthodes qu’un de ses camarades d’orphelinat Traka lui avait apprit quand il avait dix ans, inutile de préciser le nombre d’occasion qu’il a manqué. En parlant de l’orphelinat, il faut savoir qu’il considère tous ses pensionnaires et son personnel comme sa famille et qu’il fera tout pour le protéger. L’orphelinat fut pour lui le lieu de son apprentissage de la vie à la dure, du respect de son prochain et des méthodes vicieuses à utiliser en combat. Il est aussi membre d’une organisation créée à l’intérieur de l’orphelinat lorsqu’il était gamin et connu sous le nom -ou plutôt de la lettre- du X. Le but de se groupe, qui recrute toujours aujourd’hui au sein de l’orphelinat, est inconnu mais il semble plutôt difficile. Cette guilde, que les mauvaises langues ne pensent qu’être un jeu pour gamins, est très importante pour Jack et ses coéquipiers étant entré dans le X, même encore aujourd’hui. D’ailleurs, avant et après les batailles, il fait souvent le signe de l’organisation -un X fait avec les avant bras, les mains, les doigts ou tout le corps-. Autre trait de caractère qu’il a développé dans l’orphelinat Traka, c’est la tendance à foncer dans le tas et de tout faire pour remporter la victoire. L’utilisation de fil barbelé ou de liquide craché dans les yeux sont des enseignements venant tout droit du directeur de l’orphelinat. Du point de vue de sa surdité, Jack la vit plutôt bien, disant que déprimer ne ferait que gaspiller la courte vie qu’on lui à accordé. N’étant pas né sourd et ayant apprit à parler avant de le devenir, il n’a pas de problèmes d’élocutions. Quand on lui demande comment il arrive à se battre, il aime répondre qu’il se bat en écoutant le silence. Une phrase énigmatique que peut être même son auteur ne comprend pas, mais elle rajoute une petite part de mystère au personnage de Jack, qui cache bien plus de choses que l’on pourrait le croire.
Histoire :I. Détails sur l’orphelinat Traka et le X Créé il y a trois cent ans, l’orphelinat Traka est une institution connue à Lante. Terrain de passage de multiples voyageurs et commerçants itinérants, la ville de Lante fut aussi un endroit propice où abandonner les enfants non désirés ou les orphelins sans famille. Malgré toute la bonne volonté des maisons de cultes, la plupart de ses enfants se retrouvait obligé de vivre dans la rue. Parmi ses jeunes enfants apparut, il y a cinq cent de cela, un enfant nain du nom de Traka. Il passa une enfance extrêmement dure et pénible, dormant par terre et faisant des travaux les plus rebutants pour manger. Un jour, il fit la rencontre d’un soldat nain qui le prit sous son aile, l’entraînant dur pour devenir un bon combattant. Quand le garçon eut l’âge autorisé, il entra dans l’armée. Petit à petit, il grimpa les échelons jusqu’à devenir un général connu parmi le peuple nain et craint par ses ennemis. Pendant cent ans, le général Traka l’Orphelin mena de grandes batailles, dirigeant l’infanterie naine d’une poigne de fer et arrivant à ses fins grâce à une astuce hors du commun. Après avoir perdu une jambe lors d’un de ses combats, il prit sa retraite de l’armée et reparti pour Lante. Là-bas, il créera l’orphelinat qui porte son nom. Avec sa femme, Loril la Terrible, Il y accueillit tous les enfants abandonnés par les voyageurs, sans distinction de race, leur offrant un toit, une éducation -parfois insolite- et un but dans la vie. En effet, jusqu’à l’âge de se qui équivaut à dix ans chez les humains, les enfants vivent en permanence dans l’orphelinat, apprenant à lire, écrire, compter, à se défendre et faisant des corvées. Puis, une fois leur dix années (ou plus) passée, les enfants les plus aptes à se débrouillé sont envoyés en apprentissage chez différentes personne en relation avec l’orphelinat. Selon leur choix, ils pouvaient devenir un apprenti bûcheron, mage, commerçant, druide ou encore artiste. Bien sûr, les enfants pouvaient toujours revenir à l’orphelinat quand il le souhaité. Ceux qui restaient pouvaient, quant à eux, subir l’entraînement militaire de Traka jusqu’à leur majorité où, généralement, il signait dans l’armée. D’autre encore se risquait à étudié avec Loril pour plus tard, gérer un orphelinat. Plus tard, avec la première génération d’orphelin devenue adulte, l’établissement put s’agrandir, accueillant des enfants de tous Miradelphia. Un autre orphelinat Traka à même ouvert ses portes à Diantra, la capitale humaine. Parmi les apprentissages insolites que l’on peut noter, il y a l’utilisation de protège avant bras entouré de fil barbelé -on reconnait d’ailleurs les anciens de l’orphelinat à ce qu’il porte sous leur vêtement-, la façon de cracher du liquide afin d’inonder la totalité du visage d’un ennemi ou encore comment lancer du sable dans les yeux. Autre détail intéressant de l’orphelinat, l’âge de chaque pensionnaire, même ceux dont on connait le date de naissance, est remit à zéro et calculé depuis la date d’entrée dans l’établissement, en ajoutant la mention « plus de » juste avant. De plus, leur anniversaire est célébrer lors de la date anniversaire de la création de l’orphelinat. Ainsi, chaque enfant a des cadeaux le même jour, pas de jaloux.
À l’intérieur même de l’orphelinat Traka, où régnait une discipline naine, se créa une branche dissidente appelée le X. Son origine vient d’un garçon humain et de sa sœur qui ne pouvaient supporter le ton autoritaire de la femme de Traka, Loril. Femme très gentille avec les enfants, tant qu’il respecté l’ordre de l’établissement. Durant tout leur séjour à l’orphelinat, la fratrie mena la vie dure à Loril. Ils enchaînèrent bêtises et blagues, signant leur méfait d’un simple X. En effet, les deux enfants ne savant ni lire, ni écrire, ils dessinèrent une croix. Petit à petit, d’autres enfants aux aspirations anarchiques rejoignirent le duo, finissant par créer une petite guilde dans l’établissement que Traka et Loril nommés avec verve, le X. À la nuit tombée, au lieu de dormir, le X se réunissait dans le grenier de l’orphelinat, parlant des bêtises qu’il pouvait faire pour le lendemain ou mettre au point un plan secret que seul les membres connaissent. Ils profitèrent aussi de ses réunions pour codifier des règles enfantines que devait suivre chaque membre de l’organisation et qu’ils appelaient des conseils -nom beaucoup moins moche que règle-. Les plus célèbres étaient :
-> De se saluer entre membres en faisant le signe X avec une partie de son corps.
-> De régler les conflits internes par un bras de fer.
-> Que le X n’est jamais de chef.
-> De ne jamais trahir un autre membre du X.
-> De se rallier à la bannière du X quand le moment sera venu de lancer le plan secret.
Bref, des règles d’enfants qui firent les beaux jours de l’orphelinat. Seulement, les membres du groupe grandirent et durent partir de l’établissement pour mener leur vie d’adulte. Avant de se quitter chaque membre fit la promesse de suivre les conseils du X jusqu’à leur mort. Pour ne pas oublier, certains se tatouèrent un X sur le corps. Depuis, les membres du X original qui avait choisi de travailler à l’orphelinat Traka ou dans un autre recrutèrent de nouveaux membres et l’histoire se répéta jusqu’à aujourd’hui. Maintenant, on compterait plusieurs centaines de membres du X partout dans Miradelphia. Membre de tous âges inférieurs à trois cent ans, de toutes races et de tous sexes. Tous relier par un seul but et une seule lettre, le X.
II. Une petite enfance explosive Né il y a plus de vingt cinq ans dans une famille d’herboristes itinérants, le petit Jack Cech nageait dans un bonheur simple. Accroché au dos de sa mère durant sa première année, il était une attraction dans les marchés de Miradelphia et un argument de vente inattendu. En effet, nombre de vieilles grand-mères, venant cherchées des herbes pour leur tisane, tombaient sous le charme de l’enfant, leur faisant acheter un peu plus qu’elle ne voulait. Une parade qui fonctionné aussi avec les nains. Bien que n’étant pas un peuple tourné vers la médication par les plantes, beaucoup de nains se laissèrent tenter, histoire d’aider ses parents à lui offrir une enfance descente. Grâce au coup de pouce du nourrisson, monsieur et madame Cech purent augmenter leurs économies afin d’ouvrir une boutique dans une ville. Au milieu de l’année suivante, Jack commença à marcher, gardant une bouille qui faisait fondre les mamies, tout en faisant très mal à ses joues –d’où vient cette manie de pincer les joues des petits enfants ?-. Les affaires continuèrent donc à être florissantes pendant plus d’un an et demi, permettant, finalement, l’achat d’un pied à terre et d’une vraie boutique.
Seulement, le pactole accumulé par les Cech attira les convoitises. Non pas celle des brigands, que nos herboristes itinérants savaient éviter avec brio, mais par d’autres marchands jaloux de leur réussite. Parmi eux se trouvait un alchimiste alcoolique connu sous le nom de Fredrik le manchot. Cet humain avait une réputation peu reluisante. La poudre à canon qu’il vendait était de piètre qualité et très instable, le privant d’une main. Connaissance des Cech, Fredrik était au courant de leur bonne fortune et il leur vouait une haine sans pareille. Un soir, dans la ville de Lante, alors que la famille partait voir un festival, le manchot décida de piéger leur chariot et leur voler leur argent. Seul problème, le père de Jack, en bon voyageur, avait prit soin de cacher ses économies ailleurs que dans son étale. Fou de rage et complètement saoul, l’alchimiste décida d’attendre le retour des Cech pour les faire parler, s’assaillant sur les barils de poudres prévu pour le piège. Quand les herboristes revinrent, il menaça la femme et l’enfant avec un couteau. Cependant, c’était sans compter sur le courage de la mère de Jack, qui désarma son agresseur à coup de poireaux -premier objet qui lui tomba sous la main-. Toutefois, il ne faut jamais sous-estimer la colère d’un ivrogne. D’un geste incontrôlé, il frappa la femme violemment, s’attirant les foudres du père. S’en suivit une bagarre désordonné qui fit tomber une torche sur les barils de poudre. En un éclair, un simple souffle de chaleur, l’existence de Fredrik, et des parents de Jack furent emportées, projetant violement ce dernier contre un mur de pierre. Attiré par l’explosion, les autorités arrivèrent en nombre, découvrant le carnage et le seul survivant, un enfant de trois ans nommé Jack.
III. Une jeunesse à marquer d’une croixQuelques heures après l’explosion, après avoir éteint l’incendie et dégagé les trois corps sans vie d’un amas de bois et d’herbes brûlées, les autorités naines cherchèrent à savoir ce qui était arrivé. Ils se tournèrent alors vers le seul témoin de la scène, Jack. Afin de ne pas le brusquer, les nains l’interrogèrent en présence d’amis de la famille, d’autres commerçants itinérants. Cependant, bien qu’il sache parler, l’enfant ne répondit à aucune question. Pensant qu’il avait été traumatisé par l’évènement, les enquêteurs décidèrent de le garder à Lante le temps qu’ils apprennent ce qui s’était passé. Comme à chaque fois qu’ils avaient à faire à un orphelin ou un enfant abandonner, ils allèrent quérir l’aide de l’orphelinat Traka, pour s’occuper d’eux. Ils emmenèrent donc le jeune enfant voir le directeur de l’établissement, Galìn, le fils du fondateur. Ce dernier, toujours prêt à aider la justice, accepta de s’occuper du petit garçon, découvrant qu’un filet de sang, maintenant sec, avait coulé de ses oreilles. Il mit alors peu de temps à comprendre pourquoi Jack ne réagissait pas quand on lui parlait, l’explosion l’avait rendu sourd. Conscient des problèmes que causerait un tel handicap, surtout dans la société humaine, Galìn fit tout son possible pour apprendre à son nouveau pensionnaire à se débrouiller seul. Avec l’aide d’anciens membres de l’orphelinat devenu érudit, le directeur s’occupa de l’éduction du petit Jack. Il lui apprit à lire sur les lèvres et à se servir de ses autres sens autrement. D’après les théories d’un mage, avec de l’entraînement intensif, les sens d’une personne pouvait être utilisé et combiné pour combler l’absence de l’un d’entre eux. Après cinq ans de dur labeur, le directeur et les érudits réussirent à rendre le garçon apte à se débrouiller seul.
Un tel exploit fut un ravissement pour Galìn, mais pas pour les autres pensionnaires de l’orphelinat. En effet, le fait que Jack se retrouvait souvent chez le directeur de l’établissement au lieu des cours commun engendra une rumeur parmi les autres enfants. Une rumeur disant que Jack était le chouchou du patron. Il n’en fallut pas plus pour déclencher les foudres d’un groupe de jeunes anarchique agissant au sein de l’établissement, le X. Durant plus d’une année, les membres du X menèrent la vie dure au jeune sourd, lui faisant des farces en tout genre. Seulement, à chaque fois qu’il tombait dans un piège, le garçon se contenta de sourire naïvement, applaudissant la complexité de certain canular alors qu’il s’était avoir. Pire encore, devant un tel acharnement, voulu entrer dans la guilde, la trouvant classe et amusante. Inutile de dire qu’un tel comportement énerva encore plus les membres du X qui mirent cela sur le dos du retard scolaire qu’il avait accumulé. Afin de le faire craquer, la figure la plus charismatique de l’organisation -du moins à l’époque-, un jeune humain nommé Heat, décida de frapper un grand coup. Il mit au point un plan pour ruiner un dîner de charité où toutes les huiles de Lante seraient présentes et faisant de Jack, l’acteur principal de cette stratégie. Afin de voir les progrès du jeune sourd, Galìn lui donna la lourde tâche de faire le service d’amuse-gueules durant la réception. Profitant de l’occasion, Heat saupoudra le plateau de Jack d’une poudre laxative, rendant tous les invités servirent par ce dernier terriblement malade. Le lendemain, Jack et Heat furent convoqués par le directeur. Celui-ci savait que le sourd n’avait rien fait, mais il pour le prouvait, il devait faire avouer le membre du X. Il fut alors stupéfait, autant que Heat, d’entendre Jack avouer avoir mit la poudre dans les plats. Pour avoir prit la place de son camarade sur le banc des accusés, notre garçon fut condamner à nettoyer les latrines de l’orphelinat pendant un mois. Plus tard, le membre du X lui demanda pourquoi il s’était dénoncé. Ce fut avec un grand sourire que Jack lui répondit :
« J’avais senti que quelqu’un avait mit quelque chose dans les amuse-gueules. Ils avaient changés d’odeur au cours de la soirée. J’aurai pu en parler à la cuisinière, mais j’ai rien dit. C’était nettement plus drôle. » Suite à cette réponse, le jeune sourd fit son entrée au sein du X. S’en suivi plusieurs années d’aventures et de bêtises au sein de l’organisation et de l’orphelinat, liant des liens très forts avec ses nouveau compagnon de guilde.
IV. Le choix des armes Quand il eut plus de dix ans -soit treize ans normalement-, le garçon décida de rester dans l’établissement pour suivre un entraînement aux armes. Etant l’un des plus mauvais en classe, l’armée semblait être l’option qui lui permettrait de protéger efficacement les gens qu’il aimait, tous les enfants de l’orphelinat, le personnel et, évidemment, ses camarades de la guilde. Ayant entendu parler de la menace qui pesait sur les terres de Miradelphia, il ne pouvait rester sans rien faire, surtout que l’avènement des Drows et du Chaos mettrait un frein dans les ambitions du X. Voyant que son protéger voulait embrasser une carrière militaire, Galìn eut d’abord quelques appréhensions à cause de la surdité. Pendant les années qui suivirent ce choix, Jack choisit de manier l'épée à deux mains et s’entraîna plus intensément que les autres. Il savait que s’il voulait être un excellent combattant, il devait allier tous ses sens pour remplacer son ouïe. Il lui fallut une décennie entière pour qu’il apprenne enfin quelques subtilités du maniement de l’épée et du combat à mains nues. Il réussit aussi à développer un « sixième sens » qui lui permettait de sentir une multitude de choses qu’un humain normal ne pouvait pas imaginer. Quand il se sentit prêt pour aller se battre, il quitta l’orphelinat, sans une certaine tristesse, et partit pour la capitale humaine Diantra. Grâce à des amis appartenant au X, il reçu une épée batarde et une armure comme cadeau de départ. Suite à un voyage plutôt amusant, Jack arriva au bureau de recrutement de l’armée humaine. Tout se passa bien jusqu’à ce qu’il révèle aux recruteurs qu’il était sourd. L’un des militaires, perplexe, demanda alors comment Jack comptait se battre s’il n’entendait pas les sons d’un champ de bataille. Ce fut alors avec un grand sourire que l’intéressé répondit :
« Il me suffit d’écouter le silence. »Devant une phrase si énigmatique et avec l’impression qu’on se moquait d’eux, les soldats organisèrent un petit combat contre le jeune homme. L’un d’entre eux tenta de l’attaquer par derrière et pendant qu’un autre attirait son attention par l’avant. Résultat ? Jack désarma les deux hommes sans avoir était touché -précisons que les recruteurs sont souvent de vieux militaires en fin de carrière et plus trop d'énergie-. Impressionné, les recruteurs le firent dans l’ordre du Librium où, depuis deux ans, le nouvellement surnommé Silent Jack, fait ses preuves en tant que protecteur de la veuve et, surtout, des orphelins.
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