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 L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre]

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Richard, le Marquis Marcy
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MessageSujet: L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre]   L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre] I_icon_minitimeSam 27 Mar 2010 - 23:10

Jour de pluie, jour de joie, assez incertain. Il n'était en tout cas pas inopiné que ce jour était celui d'un jour assez banal dans une ville tout autant; Diantra, jour de mauvais temps, Diantra jour de vie. Le Marquis Marcy, à son accoutumé passa de son hôtel à l'un de ses endroits les plus occupés, son salon de discussion habituelle quelques rues plus haut.

Ce dernier animait par sa propre personne était ouvert à tous, se déroulant dans une bâtisse qui appartenait à Richard. Sur deux étages, le bâtiment nommé par les habitants, l'hôtel des philosophes, ressemblait à une sorte de petit amphithéâtre, l'entré donné directement à la salle principale, qui organisé en deux mouvements. D'abord les bancs qui étaient la plupart du temps incomplet, et au fond un promontoire ou quelques intellectuelles assis sur des chaises discutaient ou enseignaient. L'étage du bâtiment, accessible par un escalier au fond de la salle, donnait à un petit salon où se déroulait des discussion à réseau fermé, soit entre intellectuelle.

Ce jour là, Richard avait convié deux de ses amis, pour un enseignement portant sur la nature de l'homme et plus particulièrement le comportement qu'il devrait adopter vis à vis de ses semblables. Arrivant un peu avant le début de l'enseignement, il y trouva déjà quelques personnes l'attendant, outre Melphus de Pontignac et Alexandre d'Asmont, ses deux amis philosophes avec qui il enseigneraient aujourd'hui, il y avait quatre autres personnes, deux habitués, une femme qu'il n'avait encore jamais vu, et un homme qui ne parlait jamais, mais que Richard soupçonné d'être ici pour surveiller ce qui était dit, soit envoyé royale, soit de la religion.

Rapidement la salle se remplit, et le début de l'enseignement arriva. Assis au centre du promontoire, Richard commença donc à parler.

-Qu'est ce qui est plus beau et plus riche que l'or me demanda hier un homme venant des marches, un commerçant à qui l'âme semblait tourné exclusivement vers l'accumulation de bien dorées. En effet, me dit-il, nous vivons tous les uns avec les autre pour faire de l'argent, et en aucun cas pour aider l'autre.

L'homme n'avait pas tort en un sens, vu qu'il le pensait et vivait ainsi, pourtant je me pris à essayer de lui dire qu'il n'en était pas ainsi. En effet, si nous vivons exclusivement pour amasser de l'or, et que l'homme est fait pour cela, comment vivaient ils avant que l'or soit inventé, et comment s'expliquerait les liens non monétaires.

Il y a une histoire parlant judicieusement ce cela. Un homme, riche voyageur passant de contré en contré, arriva un jour devant un paysan qui en haillons semblait bien pauvre par rapport à la richesse de l'homme à cheval. Ce dernier s'enquit de sa destination auprès du pauvre. Ce dernier l'informa alors de son village et lui indiqua la route, mais ajouta qu'il devrait faire attention, gare on vole beaucoup de chevaux dans le coin. Souhaitant parler un peu plus, l'homme au cheval lui demanda donc comment cela était possible. Et le pauvre lui raconta alors qu'il avait eut sa monture de dérobé par quelques malfrats venant du nord, et qu'aujourd'hui il se retrouvait pauvre sans pouvoir utiliser sa monture pour aller de marché en marché vendre ses produits comme il le faisait jusque là. Chose étrange, l'homme voyageur et riche, descendit de sa monture, et la donna au pauvre, on se contentant de dire, que le vol était ainsi réparé.

Cette histoire n'est sans nul doute qu'un conte, pourtant elle porte à réflexion. Sur deux points si j'ose le dire, tout d'abord que l'homme est son propre pire ennemie, puisque le pauvre fut volé par un autre homme, mais aussi sur l'état d'homme. Le riche voyageur n'étant en aucun cas responsable du vol, pourtant par son argent, il se sent lui même être responsable et redevable de quelque chose au paysan. Protéger le pauvre étant l'une de ses missions, et voyant qu'il a échouer, il répare le vol, alors. Mais dans ce cas, comment la relation entre homme peut être définit ?


Richard se tu et parcourra l'assemblé du regard avant qu'un homme se leva et se mit à parler. Les salons de discussion publique se déroulèrent ainsi. Après qu'un thème et un sujet soit posé, l'assemblé interrogé ceux qu'on nommé « les Col Blancs » car tous portaient une écharpe blanche autour du cou, symbole de la philosophie.

-Mais ainsi, vous voulez dire que tout vol et crime est de la responsabilité de la noblesse ?


L'homme qui avait parlé était un bourgeois vivant près de l'Hotel Marcy, vivant dans le faste grâce à son commerce de porcelaine qui marché plutôt bien.

-Non pas exactement, mais que tout crime et acte mal est la responsabilité de l'homme, qu'il soit tête couronné, ou juste paysan, il lui incombe la tâche de veiller sur son prochain, et quand il échoue, la responsabilité lui retombe alors dessus. C'est en cela, que l'homme doit tendre à aider autrui et non à vivre pour soi même.

Richard se tut, et reporta son regard sur l'assemblé attendant qu'un autre se mettre à parler.
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Kurik d'Erac
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MessageSujet: Re: L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre]   L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre] I_icon_minitimeSam 27 Mar 2010 - 23:42

Kurik Godfroi avait entendu parler réunion de philosophes. Des êtres qui ne faisaient que parler et penser, selon les dires des quelques gens qu'il avait interrogé. On lui avait indiqué un endroit, un hôtel appertenant au maître de cérémonie, Richard, un marquis. Kurik avait décidé de voir de quoi cela parlait. Il était intrigué par les choses qu'on lui avait racontées. C'était des allumés, voilà ce qu'il avait souvent entendu. Pourtant, il avait décidé de jeter un oeil à ces .... Allumés.

Il arriva devant la batîsse, un hôtel chic, quelque peu tape à l'oeil. Il décida de rentrer à l'intérieur. C'était un genre d'amphithéâtre, architecture spéciale pour un batîment de la ville. La pièce, le hall, était rempli, de peintures d'un philosophe dont il n'aurait su le dire, une image abstraite qui devait révéler quelque chose. Il ne s'y interessa pas pourtant, il préféra monter directement à l'étage, celui où "l'enseignement" se déroulerait. Un enseignement sur l'amour de son prochain. Cela promettait.

Au milieu de ses hommes habillés en snob, il était remarquable, un oeil en moins, une arme à la hanche. Celui qui ne l'avait pas remarqué était aveugle, c'était indéniable. Pourtant, Kurik se ficha du regard que certains lettrés lui lancèrent, souvent des regards inamicaux. Il trouva une chaise sur le côté, s'y assit, prit une boisson et attendit. Un homme vint se place au centre du promontoire et tint un discours. C'était sûrement le Marquis Marcy comme les habitants l'appelaient.

Et il commença un long discours :


Qu'est ce qui est plus beau et plus riche que l'or me demanda hier un homme venant des marches, un commerçant à qui l'âme semblait tourné exclusivement vers l'accumulation de bien dorées. En effet, me dit-il, nous vivons tous les uns avec les autre pour faire de l'argent, et en aucun cas pour aider l'autre.

L'homme n'avait pas tort en un sens, vu qu'il le pensait et vivait ainsi, pourtant je me pris à essayer de lui dire qu'il n'en était pas ainsi. En effet, si nous vivons exclusivement pour amasser de l'or, et que l'homme est fait pour cela, comment vivaient ils avant que l'or soit inventé, et comment s'expliquerait les liens non monétaires.

Il y a une histoire parlant judicieusement ce cela. Un homme, riche voyageur passant de contré en contré, arriva un jour devant un paysan qui en haillons semblait bien pauvre par rapport à la richesse de l'homme à cheval. Ce dernier s'enquit de sa destination auprès du pauvre. Ce dernier l'informa alors de son village et lui indiqua la route, mais ajouta qu'il devrait faire attention, gare on vole beaucoup de chevaux dans le coin. Souhaitant parler un peu plus, l'homme au cheval lui demanda donc comment cela était possible. Et le pauvre lui raconta alors qu'il avait eut sa monture de dérobé par quelques malfrats venant du nord, et qu'aujourd'hui il se retrouvait pauvre sans pouvoir utiliser sa monture pour aller de marché en marché vendre ses produits comme il le faisait jusque là. Chose étrange, l'homme voyageur et riche, descendit de sa monture, et la donna au pauvre, on se contentant de dire, que le vol était ainsi réparé.


Kurik crut s'endormir à cet instant, pourtant il resta réveillé, plus par politesse qu'autre chose.

Cette histoire n'est sans nul doute qu'un conte, pourtant elle porte à réflexion. Sur deux points si j'ose le dire, tout d'abord que l'homme est son propre pire ennemie, puisque le pauvre fut volé par un autre homme, mais aussi sur l'état d'homme. Le riche voyageur n'étant en aucun cas responsable du vol, pourtant par son argent, il se sent lui même être responsable et redevable de quelque chose au paysan. Protéger le pauvre étant l'une de ses missions, et voyant qu'il a échouer, il répare le vol, alors. Mais dans ce cas, comment la relation entre homme peut être définit ?

C'était donc ça, un enseignement. Kurik n'était pas prêt à revenir. Tout des mots compliqués, une histoire sur l'amour de son prochain. Kurik avait cru s'endormir mais il était là, à sa chaise. Il était resté pour écouter les paroles du Marquis, de bien drôles paroles qu'il écouta jusqu'au bout.

Un homme se leva, il avait un col blanc comme une grande partie du public, ils avaient l'air stupides mais Kurik se retint de tout commentaires. Une question tout aussi incompréhensible que l'enseignement qu'il venait d'écouter. Le Marquis répondit et c'est là qu'avait décidé d'intervenir Kurik, il fallait payer tous les crimes. Il ne daigna pas se lever et parla depuis sa chaise, les regards se tournèrent vers lui.


Les crimes commis contre les nobles, qui doit les payer ? Le peuple ? Et les contrats sur les têtes des gens aident-ils la populace ? Vous parlez d'amour de son prochain, mais tout meurtre est volontaire et a une cause, non ? Alors à quoi bon le payer ?
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MessageSujet: Re: L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre]   L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre] I_icon_minitimeVen 2 Avr 2010 - 17:57

Richard regarda l'homme qui avait parlé, un homme d'arme au vu de son allure, et de plus au langage désinvolte, il lui rappelait brièvement ses années passé à l'armée. Mais ce dernier ne semblait pas être dans l'armée, peut être un homme de main, ou un métier d'armes indépendant. Ses propos étaient plein de sens, peut être plus qu'il ne le pensait d'ailleurs.

-Tout meurtre est hélas volontaire, et la plupart ont une cause, mais non tous, il y a deux jours, alors que je marchais dans la rue j'ai vu un homme qui se portait à merveille, à l'allure vertueuse et au regard intelligent, mourir d'une mort sans cause. Un maçon fit tomber une tuile qui glissa d'un toit et se brisa sur son crâne, l'envoyant incessamment dans l'autre monde. La mort et le meurtre mon ami n'ont aucune cause, et encore moins de raison.

-Mais pour les meurtres qui disposent d'une raison et surtout d'un but, il faut dans tout les cas essayer et œuvrer pour les empêcher, comment peut-on penser tuer un être, une âme, une pensée, alors que c'est justement cette vertu de la moralité qui nous permet de vivre différemment des animaux, regardez les drows, ils ont pêché vers cette voie, et nous voulons devenir comme eux ? Non. Tout meurtre doit être réparé, non payé, mais réparé. Il m'est arrivé de tuer des hommes, je ne les connaissais pas, eux non plus. Nous n'avons rien l'un contre l'autre, si ce n'est l'ordre de s'entretuer. Et je l'ai fait, j'ai obéis, je n'ai pas résisté, et aujourd'hui, dois-je penser que cela est normal, que cela ne doit pas être remis en question ? Non. Aujourd'hui je me lamente de mon aveuglement, de ma couardise, et je regrette chaque sang que j'ai pu verser. La mort, mes amis, n'a aucune beauté, aucune splendeur, aucun respect à avoir, la mort n'est rien de plus que l'acte le plus horrible quand il est commis par l'homme contre l'homme. Il ne faut pas en avoir peur, mais ne pas la chercher ni la donner, car le seul présent que nous disposons tous, pauvre et riche, n'est rien d'autre que la vie. Nous vivons tous, et cette faible vie, ce courant d'air qu'un rien peut ôter, nous nous devons de la protéger, la notre et celle des autres. Car l'autre protégera la mienne, et il n'y aura plus de meurtre. C'est cela que je dis, je ne dis pas que les nobles commettent des crimes contre les pauvres, je dis que l'humain commet des crimes contre l'humain, je ne parle point des contrats à tuer, acte des plus abjecte, de demander la mort, je parle de la mort partout, des meurtres et des incidents, je parle de cet acte horrible, qu'est la déchéance humaine, et je plains l'humanité de vivre ainsi, sans se rendre compte que c'est la vie son plus beau présent, ni l'or, ni la guerre, ni rien d'autre, juste sa vie. Et l'amour de sa vie, doit être celle des autres, elle doit être l'amour universelle pour la vie, pour la gloire de l'homme.
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Kurik d'Erac
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MessageSujet: Re: L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre]   L'amour de son prochain est bien abstrait [Kurik et libre] I_icon_minitimeVen 2 Avr 2010 - 23:14

L'homme recommença un long discours, cela déplaisait à Kurik, mais il se taisait tout de même. Il ne voulait pas partir aussi vite, il venait à peine d'arriver.

Tout meurtre est hélas volontaire, et la plupart ont une cause, mais non tous, il y a deux jours, alors que je marchais dans la rue j'ai vu un homme qui se portait à merveille, à l'allure vertueuse et au regard intelligent, mourir d'une mort sans cause. Un maçon fit tomber une tuile qui glissa d'un toit et se brisa sur son crâne, l'envoyant incessamment dans l'autre monde. La mort et le meurtre mon ami n'ont aucune cause, et encore moins de raison.

-Mais pour les meurtres qui disposent d'une raison et surtout d'un but, il faut dans tout les cas essayer et œuvrer pour les empêcher, comment peut-on penser tuer un être, une âme, une pensée, alors que c'est justement cette vertu de la moralité qui nous permet de vivre différemment des animaux, regardez les drows, ils ont pêché vers cette voie, et nous voulons devenir comme eux ? Non. Tout meurtre doit être réparé, non payé, mais réparé. Il m'est arrivé de tuer des hommes, je ne les connaissais pas, eux non plus. Nous n'avons rien l'un contre l'autre, si ce n'est l'ordre de s'entretuer. Et je l'ai fait, j'ai obéis, je n'ai pas résisté, et aujourd'hui, dois-je penser que cela est normal, que cela ne doit pas être remis en question ? Non. Aujourd'hui je me lamente de mon aveuglement, de ma couardise, et je regrette chaque sang que j'ai pu verser. La mort, mes amis, n'a aucune beauté, aucune splendeur, aucun respect à avoir, la mort n'est rien de plus que l'acte le plus horrible quand il est commis par l'homme contre l'homme. Il ne faut pas en avoir peur, mais ne pas la chercher ni la donner, car le seul présent que nous disposons tous, pauvre et riche, n'est rien d'autre que la vie. Nous vivons tous, et cette faible vie, ce courant d'air qu'un rien peut ôter, nous nous devons de la protéger, la notre et celle des autres. Car l'autre protégera la mienne, et il n'y aura plus de meurtre. C'est cela que je dis, je ne dis pas que les nobles commettent des crimes contre les pauvres, je dis que l'humain commet des crimes contre l'humain, je ne parle point des contrats à tuer, acte des plus abjecte, de demander la mort, je parle de la mort partout, des meurtres et des incidents, je parle de cet acte horrible, qu'est la déchéance humaine, et je plains l'humanité de vivre ainsi, sans se rendre compte que c'est la vie son plus beau présent, ni l'or, ni la guerre, ni rien d'autre, juste sa vie. Et l'amour de sa vie, doit être celle des autres, elle doit être l'amour universelle pour la vie, pour la gloire de l'homme.


L'homme avait tort, Kurik en était sûr, pour vivre, il devait tuer, c'était le seul moyen de survie pour lui. Kurik coupa la parole à un vieux noble qui se levait, il s'en fichait, il avait décidé de parler et ce serait ainsi.

Et pour ceux qui doivent tuer pour simplement survivre, vous leur dites quoi ? Mourez au lieu de tuer, je ne peux concevoir cela. Et pour ceux qui tuent les drows, la race la plus tueuse, vous leurs dites quoi ? Qu'ils n'ont pas le droit car la vie est précieuse ? Et la vengeance, si on tue par vengeance, est-ce bien ou mal selon vous ? Car, seuls les personnes qui ne font rien sont stupides, tout acte doit être puni par une quelconque façon, que ce soit la mort ou la potence.
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