Benjamin Belfaure
Humain
Nombre de messages : 12 Âge : 35 Date d'inscription : 12/05/2010
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Benjamin Belfaure [Gérant des maisons closes de la rose pourpre] Ven 14 Mai 2010 - 15:31 | |
| La grande demeure des Belfaure n'avait pas été épargnée par la guerre civile. Il y avait partout des traces de combats et, des meubles gisaient en des positions insolites. Les pillards avaient pris le relais. On avait même volé la plaque de cheminée. Apparemment seul élément épargné par ce déluge de violence, un tableau au-dessus de la dite cheminée. On y voyait trois humains, deux hommes et une femme. Ils se ressemblaient énormément et pour cause : ils étaient frères et soeurs. Assis sur un luxueux fauteuil rouge au centre du tableau, il y avait Sylvain Belfaure, son sourire prétentieux toujours accroché aux lèvres. Il était l'ainé de la fratrie et avait toujours ressenti le besoin d'asseoir sa domination et de commander les autres, même s'il manquait parfois cruellement de tact. A sa gauche se trouvait la cadette, Pimprenelle Belfaure. Malgré le fait qu'elle approche de sa trente-septième année, elle n'était pas mariée et, ceci pour une raison simple : même à cet âge avancé elle n'avait toujours pas ses menstruations et se trouvait donc dans l'incapacité d'engendrer un hériter. C'était sans commune mesure le drame de sa vie. Le troisième personnage se trouvait à droite du fauteuil et était légèrement en retrait, dans l'ombre. Seule sa main, posée sur le fauteuil, était éclairée. Pourtant, un amateur d'art attentif y aurait tout de suite vu le personnage le plus important des trois. Benjamin Belfaure que sa soeur surnommait affectueusement Jem ; plutôt grand, il dépassait bien sa soeur d'une tête au moins. Il était bien bâti et ses épaules larges laissaient présager d'une musculature forgée par des heures et des heures d'entraînement. Ses joues étaient creuses et il apparaissait sur son front la première trace d'une ride, annonçant déjà sa trente-troisième année. Sa peau était hâlée, colorée par le soleil, mais il persistait sur ses joues quelques taches de rousseurs enfantines, renforçant l'expression vive et malicieuse de ses yeux bleu-vert. Ses cheveux étaient courts et d'un brun se teintant de lueurs rousses au soleil. Il dégageait de son sourire léger et de son corps entier un charisme inébranlable. A son côté gauche se trouvait une épée à une main dans un fourreau de cuir. Sur la poignée étaient gravés les mots : « Seul ce qui souffre d'un déséquilibre est voué à mourir.» Dans sa botte droite se trouvait un petit couteau de lancer. Il serait visible pour un adversaire attentif qui pourrait remarquer un léger renflement au niveau de son pied. S'ils se ressemblaient énormément physiquement, ils furent tout trois dotés de qualités mentales très différentes. Sylvain était vénal, adulait la force brute, cultivant les excès par dizaines et, la peur chez ses ennemis comme chez ses alliés. Pimprenelle avait la douceur et la tendresse d'une mère mais était également dotée d'une faculté d'analyse très poussée lui permettant de comprendre beaucoup de choses par un simple regard, mais la belle Pimprenelle ne vivait que pour le jour même et ses nerfs étaient à fleur de peau. Benjamin, quant à lui, était plus frêle que son frère mais pas moins dangereux. Il agissait dans l'ombre le plus souvent, mais possèdait l'étrange faculté de pouvoir trouver ces mots qui atteignent le coeur aussi bien pour manipuler, convaincre, séduire ou menacer. Etrange, me direz vous peut-être au vu de son métier, mais c'était probablement celui qui répondait le plus aux valeurs traditionnelles de la chevalerie, tels que la piété, l'humilité, la bravoure, la courtoisie, la foi et l'honneur. Il ne supportait pas la souffrance et, réglait généralement ses conflits avec diplomatie. Benjamin tentait toujours de prendre du recul face aux différentes situations et tentait d'agir le moins possible sous le coup de ses impulsions. Une vie sans passions est certes bien triste, mais on finit souvent par regretter les décisions prises dans ce genre de moments. Il réfléchissait toujours beaucoup avant de prendre la parole. Grand amateur de poésie, il lui arrivait d'ailleurs souvent de parler en alexandrins. «- Viens par ici Robert, prète moi main forte, Rangeons avant le retour de Pimprenelle.»Mon maître se trouvait dans l'encadrement de la porte, fidele à son portrait. Je n'étais pas son esclave, mais son serviteur car il cautionnait pas l'esclavage. Contrairement à beaucoup d'autres Diantrais, il me traitait bien et ne me prenait pas de haut. Nous étions rentré à cheval suivi de loin par Pimprenelle et ses enfants. La famille Belfaure fut longtemps une modeste famille bourgeoise de boulangers de Diantra. Mais Tius était plus ambitieux que cela, oh il faisait bien son métier, mais au lieu de dépenser le supplément d'argent en alcool ou en filles comme l'avaient fait ses aïeux, il économisa. Ses talents de stratège et sa bonne fortune lui permirent rapidement de pouvoir prêter avec de faibles taux d'intérêts à quelques artisans des rues avoisinantes... puis à quelques nobles jusqu'à ce qu'il fût officiellement déclaré banquier. Il mit sa boulangerie en gérance et, en créa une seconde qu'il fit prospérer puis qu'il plaça elle aussi en gérance. C'était là de l'argent facile qui rentrait à la maison et ses trois enfants, Sylvain, Pimprenelle et Benjamin eurent une enfance heureuse tout en apprenant avec les meilleurs précepteurs du moment. On leur apprit les convenances et les usages de la noblesse, l'équitation, le combat, la stratégie, l'économie, les langues... Et ils démarrèrent dans la vie avec une éducation sans faille. Lorsque Sylvain eut vingt ans, il s'engagea dans l'armée mais n'y resta pas bien longtemps. Enfant chéri, il supportait mal qu'on lui dicte sans cesse sa conduite et il fut de nombreuses fois blâmer pour de violentes disputes avec ses supérieurs. La mort de Tius se rajouta à cela et il devint alors l'Homme dirigeant de la famille. Une position bien plus glorifiante qu'à l'armée. Deva, veuve de Tius et mère de ses enfants, déséspérait de pouvoir marier sa fille mais même à dix-sept ans, son corps ne semblait vouloir devenir celui d'une femme. Benjamin avait treize ans et se faisait discret, même si on vantait régulièrement ses mérites auprès de sa mère. Sylvain n'avait pas le tact de son père et en moins de deux ans il dilapida près d'un tiers de la fortune que ce dernier avait amassé. C'est à ce moment que Benjamin prit en main la famille, non bien sûr il ne vint pas voir Sylvain pour lui dire simplement qu'il faisait des erreurs. Sylvain avait un clerc, Benjamin se contentait juste de lui donner des indications et des propositions à faire à son frère. Et les finances se relevèrent doucement, la supercherie ne dura pas bien longtemps. Sylvain renvoya le clerc et demanda à Benjamin ses conseils en personnes. Bien sûr, il décidait de les faire appliquer ou non, mais les rares fois où il ne l'écouta pas se révèlèrent être des catastrophes. Le début de l'entreprise familiale vint cinq ans plus tard, par Pimprenelle. Il semblait désormais évident qu'elle finirait vieille fille, rude châtiment pour une femme qui ne rêvait que d'avoir un enfant. Prise d'une étrange sorte de folie et ne supportant pas que les femmes capables d'avoir des enfants soient si mal traitées, elle se mit à les accueillir dans la demeure familiale, à les chérir. Bien sûr, inutile de préciser que toutes ces femmes qui trainaient sans le sou dans les rues la nuit n'était autre que des prostituées vendant leur corps pour quelques piécettes. Elle se mit à les materner sans véritablement mesurer l'énorme fossé qu'il y avait entre ses prostituées, et elle. Certaines d'entre elles volaient la maison, comme si elles étaient consciente que la prospérité serait courte. Voulant à la fois satisfaire sa soeur, et l'esprit vénal de son frère, Benjamin s'arrangea pour acheter les deux maisons autour de la leur, les fit détruire et y construisit deux ailes à sa maison principale pour y loger les protégées de sa soeur. Il passa un marché avec elles, il les nourrissaient, elles avaient un lieu où vivre, de quoi s'habiller correctement et en échange elles travaillaient pour lui. Cela sembla satisfaire tout le monde. Le marché s'intensifia avec le temps, Pimprenelle accueillant dans sa grande gentillesse d'autres femmes et les enfants de ses femmes. Ce furent les débuts de La rose Pourpre qui devint bientôt un lieu à succès auprès des Diantrais. Bien sûr, tout le succès revint à Sylvain et on vanta la gentillesse de Pimprenelle d'avoir offert un toit à ces pauvres filles et à leurs enfants. Cette dernière décida à faire de ces jeunes femmes des dames. Certaines étaient déjà trop âgées ou ne firent pas d'efforts. D'autres furent plus coopératives, leurs journées furent donc agrémentées de leçon de danses, de chant, d'instruments, d'Histoire ou simplement de lecture et d'écriture. Rapidement, une hierarchie s'instaura dans la maison. Il y avait deux types de prostituées. Celles seulement présentes pour assouvir les plaisirs des plus rustres et ceux - un peu plus fortuné il est vrai - qui au delà de la simple relation charnelle souhaitaient un peu plus le pouvaient également. On essaya d'éviter que ces femmes tombent enceintes mais bien sûr, il y eut tout de même plusieurs bébés. Huit exactement échelonnés sur plusieurs années. Six filles et deux garçons. Pimprenelle décida d'en faire ses propres enfants. Ce fut la peut-être la seule souffrance qu'elle infligea à une femme. On aménagea une partie de la seconde aile en luxueux appartements destinés à "ses" enfants. Elle en ferait sa progéniture et doterait ses filles. Les années passèrent, on implanta plusieurs autres petites roses pourpres dans d'autres grosses cités humaines et ce n'était décemment plus du tout un acte de charité. Sylvain se remplissait les poches et avait un semblant de pouvoir, Pimprenelle élevait ses enfants pour en faire des femmes et des hommes accomplis et Benjamin gérait le tout, dans l'ombre comme à son habitude. Mais tout ceci allait et devait prendre fin. Il rêvait d'autre chose que cette vie... Alors il prépara son voyage. Peut-être irait-il voir les elfes ? Il avait aussi entendu parler de plusieurs villes qui s'étaient développés dans les terres stériles... - Spoiler:
Nom/Prénom : BELFAURE Benjamin Surnom : Jem Âge : 33 ans Sexe : Masculin Race : Humaine Particularité : Benjamin est un grand amateur de poésie. Alignement : Neutre-bon Métier : Gérant officieux d'un réseau de prostitution. Classe d'arme : Corps à corps Équipement : - Citation :
- A son côté gauche se trouvait une épée à une main dans un fourreau de cuir. Sur la poignée étaient gravés les mots : « Seul ce qui souffre d'un déséquilibre est voué à mourir.» Dans sa botte droite se trouvait un petit couteau de lancer. Il serait visible pour un adversaire attentif qui pourrait remarquer un léger renflement au niveau de son pied.
Description physique : - Citation :
- Le troisième personnage se trouvait à droite du fauteuil et était légèrement en retrait, dans l'ombre. Seule sa main, posée sur le fauteuil, était éclairée. Pourtant, un amateur d'art attentif y aurait tout de suite vu le personnage le plus important des trois. Benjamin Belfaure que sa soeur surnommait affectueusement Jem ; plutôt grand, il dépassait bien sa soeur d'une tête au moins. Il était bien bâti et ses épaules larges laissaient présager d'une musculature forgée par des heures et des heures d'entraînement. Ses joues étaient creuses et il apparaissait sur son front la première trace d'une ride, annonçant déjà sa trente-troisième année. Sa peau était hâlée, colorée par le soleil, mais il persistait sur ses joues quelques taches de rousseurs enfantines, renforçant l'expression vive et malicieuse de ses yeux bleu-vert. Ses cheveux étaient courts et d'un brun se teintant de lueurs rousses au soleil. Il dégageait de son sourire léger et de son corps entier un charisme inébranlable.
Description mentale : - Citation :
- Benjamin, quant à lui, était plus frêle que son frère mais pas moins dangereux. Il agissait dans l'ombre le plus souvent, mais possèdait l'étrange faculté de pouvoir trouver ces mots qui atteignent le coeur aussi bien pour manipuler, convaincre, séduire ou menacer. Etrange, me direz vous peut-être au vu de son métier, mais c'était probablement celui qui répondait le plus aux valeurs traditionnelles de la chevalerie, tels que la piété, l'humilité, la bravoure, la courtoisie, la foi et l'honneur. Il ne supportait pas la souffrance et, réglait généralement ses conflits avec diplomatie. Benjamin tentait toujours de prendre du recul face aux différentes situations et tentait d'agir le moins possible sous le coup de ses impulsions. Une vie sans passions est certes bien triste, mais on finit souvent par regretter les décisions prises dans ce genre de moments. Il réfléchissait toujours beaucoup avant de prendre la parole.
~~~~~ Comment trouves-tu le forum ? : Très impressionant, j'ai peur de m'y perdre ! Comment as-tu connu le forum ? : Par un vert et une bleu qui ont comploté contre moi pour me faire venir. [ Dolce et Daneva ] Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : Masquerade d'ERINA
La Rose Pourpre La Rose Pourpre est un établissement de plaisirs et de luxure qui demeure à Diantra depuis un certain nombre d'années, légèrement excentré des rues principales. Lorsque aurez passé les grandes portes en fer forgé, vous vous trouverez dans une grande cour. Vous pourrez alors constater le magnifique travail des jardiniers devant toutes ces fleurs, ces ensembles de couleurs et ses milles et une odeurs. Au centre se trouve une fontaine. C'est un lieu calme et paisible que les bruits de l'extérieur n'atteignent pas. Tout autour se trouve un péristyle. Un des employés de la maison viendra alors vous trouver, vous demandera ce que vous souhaitez, vos goûts et votre prix. On vous mènera ensuite dans une des deux ailes, le bâtiment principale étant réservé à la famille Belfaure.
- Si vous êtes peu riche ou que vous souhaitez simplement assouvir vos envies de chaires, vous entrerez dans l'aîle gauche. Vous pourrez alors choisir la femme que vous souhaitez.
- Si vous êtes plus riche, ou que vous souhaitez une femme cultivée, vous irez dans l'aîle droite. On vous présentera alors un livre rempli d'illustration de chaque fille avec son prénom et ses aptitude. Quand vous aurez fait votre choix, vous monterez l'escalier pour rejoindre votre choix dans sa chambre.
Vous trouverez dans d'autres villes humaines des Bourgeons de la Rose. Ce sont les mêmes établissements mais implantés depuis moins longtemps et de moins bonne qualité car Benjamin n'y est pas en permanence. Les personnages importants
- Sylvain Belfaure
- Spoiler:
~ Quarante ans. Ils est le gérant officiel de la Rose Pourpre et de ses Bourgeons. Ainé de la fratrie, il se plait à commander les autres. Peu de clients osent venir se plaindre à lui, bon nombre de rumeurs circulent à son sujet, ne faisant qu'accroître sa mauvaise réputation et la peur des gens. Sylvain aime les femmes, boire et se battre. Il paraitrait qu'il s'intéresse à Inès, la seconde fille de Pimprenelle avec qui il a trente-quatre ans d'écart. VENAL
COLERIQUE
BRUTAL
DOMINANT
0RGUEILLEUX
- Pimprenelle Belfaure
- Spoiler:
~ Trente-sept ans Comme Pimprenelle est gentille... On ne cesse de vanter ses mérites d'avoir recueillie les femmes des bas fond de Diantra et pour leur avoir offert une vie meilleure. Et ses enfants ! En adopter huit, leur donner un nom et une éducation... Un avenir meilleur que celui que leur aurait réservé leurs catins de mères de toute évidence. Les Dames de Diantra parlent et ne vois pour une fois que le beau coté de la madonne. Diraient-elles la même chose si elles savaient que ces enfants ont en réalité été volé à leur mère à leur naissance ? DOUCE
GENTILLE
MATERNELLE
AIMANTE
COMPRÉHENSIVE
Les enfants de Pimprenelle. Au nombre de huit, ils sont les enfants de femmes de la Rose Pourpre. Dès leur naissance, Pimprenelle se l'est aient accaparés et se dit leur mère, elle leur fourni une éducation digne de la haute noblesse. Pour tous, ce sont des orphelins. Vous les croiserez peut-être dans les jardins ou dans les rues de Diantra avec leur mère adoptive.
- Mathieu
- Spoiler:
~ Dix-sept ans Pimprenelle a beaucoup de mal à le cerner et à le garder dans le bon chemin. Plus les années passent et plus les valeurs morales qu'elle a tenté de lui inculqué se dégradent. Elle ne s'inquiète pas vraiment, pensant que c'est juste l'âge qui fait cela. Mathieu est très proche d'Inès avec qui il partage tous ses mauvais coups. Il ne supporte pas Adelaïde, quand à Candice elle pleure souvent à cause de lui quand il lui fait croire de méchantes choses ou lui vole sa poupée. MANIPULATEUR
CRUEL
RANCUNIER
INSOUMI
SOMBRE
- Inès
- Spoiler:
~ Seize ans On s'est longtemps demandé si la pauvre petite n'était pas muette tant elle parlait peu mais il semblerait que ce soit sa nature de toute observer, tout entendre et ne rien dire... du moins à haute voix. Inès écrit énormément, des lettres bien sûr mais également un journal qu'elle a toujours sur elle. Si Inès n'a aucun sens du rythme et peine à danser, elle joue de magnifiques mélodies à la harpe qui enchantent son entourage. Elle est très amie avec Mathieu, et est la grande confidente de Mégane. Elle a par deux fois repoussé les avances de Sylvain et envisage sérieusement de quitter la demeure familiale pour ne plus le croiser sur sa route. FROIDE
SILENCIEUSE
CAPRICIEUSE
INTELLIGENTE
MENTEUSE
- Adelaïde
- Spoiler:
~ Quinze ans Adelaïde fera une très bonne dame de la cour. Elle s'intéresse à tout ce qui est superficiel et aime parader dans de belles robes avec des bijoux couteux. Sa deuxième passion est sa belle chevelure rousse qu'elle pourrait passer des heures et des heures à enduire de shampoing, laver, sécher, peigner, parfumer... Avide de petites anecdotes et des histoires de cœurs des autres, elle est toujours la première au courant de tout. Malheureusement, elle manque cruellement d'esprit critique et croirait n'importe quoi. Elle n'a pas d'amis dans la fratrie, même Candice la fuit de peur de devenir sa poupée. NAIVE
PRÉCIEUSE
GENTILLE
BAVARDE
SOURIANTE
- Mégane
- Spoiler:
~ Quinze ans Allez donc lui faire comprendre que le monde extérieur est dangereux, peuplé de personnes qui en veulent à sa personne ou à son argent... La délicate Mégane souhaite visiter le monde malgré les vœux de Pimprenelle d'en faire une Dame. Combien de fois a-t-elle piqué les pantalons de Romain pour aller monter à cheval comme un homme ? Ou s'est-elle entrainée avec ce dernier pour devenir je cite "La meilleure combattante de Miradelphia" ? C'est probablement celle qui a eu le plus de punitions à cause de ses sorties dans les alentours... que ce soit pour visiter la ville - seule - ou pour aller manger les framboises de son voisin. Mégane a pourtant tout pour elle, elle danse divinement bien et a la voix d'une sirène. Elle accompagne d'ailleurs souvent les airs tristes de la harpe de sa meilleure amie, Inès. CURIEUSE
INTREPIDE
INSOUCIANTE
DELICATE
GOURMANDE
- Robine
- Spoiler:
~ Quatorze ans Beaucoup trouvent son teint de peau bronzé et ses cheveux bouclés laid dans la société où Pimprenelle tente de l'intégré. D'ailleurs elle ne s'y sent pas à sa place entre toutes ces dames poudrées et leurs rires hypocrites. Robine s'interesse énormément à la nature et aux animaux, elle les trouve fascinant et leur confie tout. Son plus grand rêve serait de se rendre en forêt pour les rencontrer à leur état sauvage. Inutile de préciser tous les arguments que déploit Pimprenelle pour que cela n'arrive pas. Robine garde pour elle une étrange certitude : Sa mère est vivante et Pimprenelle ment lorsqu'elle dit qu'ils sont orphelins... La jeune adolescente est l'amie de tout le monde, même s'il a moins d'affinité avec Adelaïde qu'elle trouve ennuyante à mourir. Elle partage avec Benjamin l'amour des mots et il n'est pas rare de les retrouver ensemble lisant quelques vers. Une rumeur lancée par Mathieu dit qu'elle éprouve pour lui des sentiments bien plus qu'amicaux mais jusqu'à preuve du contraire, c'est faux. CALME
REVEUSE
SENSIBLE
PASSIONNEE
OPTIMISTE
- Elise
- Spoiler:
~ Quatorze ans Connaissez vous la légende de Boucle d'Or ? Imaginez vous en une qui expliquerait simplement aux ours que de toutes façon, elle avait faim et il fallait qu'elle mange. Sans oublier de préciser que vu la tête qu'ils ont, ils devraient avoir honte de s'être montré à elle. Oh vous pourrez sans doute parler de la pluie et du beau temps une demi-heure avec Elise sans problème puis elle déviera sur quelques compliments qu'on lui ait fait et qui l'aient comparé au soleil. Pour beaucoup, elle est tout simplement insupportable, persuadée d'être la meilleure en tout et que tout le monde l'aime. Si Adelaïde passe des heures à se coiffer, elle, passe des heures devant son miroir pour s'assurer chaque jour que... oui oui vraiment, elle est magnifique. Cet aspect narcissique de sa personnalité se développe également dans sa manière risible de marcher et son ton très mondain. Plus tard, elle sera princesse. Qui oserait en douter ? PRECIEUSE
PLEURNICHARDE
ORGEUILLEUSE
NARCISSIQUE
EGOCENTRIQUE
- Romain
- Spoiler:
~ Douze ans Romain est à la frontière entre l'adolescence et l'enfance. D'un coté, Mathieu qui l'exorte à devenir un homme, et de l'autre Candice et ses yeux suppliants quand elle lui demande de venir jouer à la poupée avec elle. Il choisit encore souvent Candice, ayant moins de chance de se faire mal avec elle que pendant un entraînement avec Mathieu. Il est aussi très proche de Mégane mais à presque le sentiment qu'elle se sert de lui pour satisfaire ses envies d'aventures et de combat. L'humour cynique dont il fait preuve en a agréablement surpris plus d'un mais il faut croire qu'il ne fait pas exprès. Il saura malgré tout vous réconforter si vous êtes sujet à une peine de coeur ou à quelques lassitudes passagères. Il se voue tout entier à l'apprentissage du piano et au contraire d'Inès, ses mélodies sont enjouées et capable de rendre le sourire à une veuve. Timide
AGREABLE
DROLE
COMPREHENSIF
PESSIMISTE
- Candice
- Spoiler:
~ Six ans Candice n'est qu'une enfant et c'est donc la simplicité qui prime chez elle. Par exemple, elle aime sentir l'herbe sous ses pieds et s'obstine donc à enlever ses chaussures dès que Pimprenelle les lui met. Elle est aussi très joueuse et d'une générosité sans limite. Elle ne comprend pas encore que le monde est scindé entre le bien et le mal. Nul doute que si elle se retrouvait près d'un drow, elle lui offrirait des fleurs. Elle s'amuse beaucoup à copier les autres - principalement Adelaïde - et les repas sont généralement parsemé des rires éclatants de Romain et Mégane qui malgré tous leurs efforts, ne peuvent se retenir. Et dire que la pauvre victime ne comprend rien... CHIPIE
CURIEUSE
INNOCENTE
COPIEUSE
ENJOUEE
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