Altiom d'Ydril
Humain
Nombre de messages : 642 Âge : 31 Date d'inscription : 28/08/2010
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 Taille : Niveau Magique : Eveillé / Néophyte.
| Sujet: Altiom d'Ydril - Archonte d'Ydril Dim 3 Oct 2010 - 19:17 | |
| Nom/Prénom : Altiom d'Ydril (il se garde évidemment de révéler son nom de famille à qui que ce soit) Âge : 21 ans (le teint frais, les dents blanches ) Sexe : Masculin. Race : Humain. Particularité : Un rare don culinaire et un sourire charmeur et chaleureux qui ne le quitte jamais... tout comme les ennuis d'ailleurs. Alignement : Neutre bon. Métier : Varie en fonction de sa bourse et de son humeur (ivrogne, voleur, baroudeur, voyageur, aventurier, poète, rêveur, visionnaire, ...) Classe d'arme : Principale corps à corps, secondaire à distance. Équipement : - une large cape de toile marron, chaude et résistante, munie d'une capuche. - une veste en cuir à manches courtes, ornée de motifs stylisés et renforcée de petites plaques de fonte pour le thorax, les abdominaux et les omoplates. - une ceinture à trois fourreaux (un stylet) - une bandoulière à six étuis (trois couteaux de lancer). - un pantalon de toile beige doté de genouillères et d'une coque à l'entrejambe en cuir renforcé. - une paire de robustes bottes à boucles fourrées, agrémentées de petites plaques d'acier mobiles sur la pointe, le cou-de-pied et le talon. - ce qui à première vue semble être un banal bâton de marche, mais se révèle être une canne-épée en bois de gaïac dissimulant un yari grâce à un embout à l'extrémité. - une amulette faite d'un morceau d'ambre sombre pur, traversé de part en part par un mince fil d'argent, seul souvenir de sa mère. - une bourse, trop souvent vide au goût de son propriétaire. - un morceau de bois dont l'une des extrémités est entourée de tissu, s'apparentant vaguement à une torche faite maison. Description physique : Au premier abord, le joyeux drille qu'est Altiom présente toutes les caractéristiques inhérentes à l'aventurier basique: une peau légèrement bronzée, des cheveux châtains (et en bataille cela s'entend), une barbe de trois jours qui ceinture sa bouche affichant un sempiternel sourire séducteur, et des yeux d'un bleu azuré, presque lumineux, décochant des regards charmeurs à la moindre représentante de la gente féminine agréable à regarder. Le trimardeur met un point d'orgue à entretenir sa forme physique. Ainsi, sans être une montagne de muscle, le jeune homme exhibe une silhouette athlétique sans un poil de graisse, pour le plus grand plaisir de ces dames. Rajoutez à cela sa taille conséquente (sans jeu de mot douteux), dépassant le mètre quatre-vingt cinq, et vous obtenez un vagabond pour le moins intrépide. En ce qui concerne son accoutrement, il reste pour ainsi dire dans le thème: une cape de voyage, une veste en cuir, un pantalon large, des bottes à boucle et une canne de marche. Mais seul un œil aiguisé repèrera l'arsenal et les nombreux renforcements dissimulés parmi ses effets, coupant avec son air inoffensif. Il est aussi à noter qu'il garde toujours sa canne-épée à portée de main... ou à défaut une pinte de bière. Description mentale : Comme tout voyageur sans logis qui se respecte, Altiom n'attache que peu d'importance aux possessions matérielles (l'amulette de sa mère étant l'exception qui confirme la règle). Il arbore pour ainsi dire des valeurs très personnelles, héritées de ses périples et ne se rangeant dans aucun courant de pensée. Pour lui la vie n'a pas de sens propre, mais chacun est libre de lui en trouver un. Ainsi le travail, valeur fondamentale parmi ses pairs, ne passera que bien loin derrière l'amusement ou l'altruisme (ce qui lui vaut d'être fréquemment considéré comme un flemmard, affirmation qui garde toutefois un certain degré de vérité). Mais ce qui pour lui compte le plus se trouve être la liberté, qu'il s'agisse de la sienne ou de celle d'autrui, quitte à sacrifier sa sécurité ou son bonheur. Ainsi il est aisé de deviner qu'il possède un caractère des plus indépendant, hermétique à tout courant religieux, philosophique, ou autre. Seul l'empirisme revêt un quelconque intérêt à ses yeux, ce qu'il sait, ce en quoi il croit et ce qui guide ses actes sont le résultat de son expérience, et jamais de celle d'autrui. En conséquence, il fait partie des rares esprits libres, s'élevant au-dessus des masses aveugles et privés de libre-arbitre. Son opinion religieuse se rapproche grandement de l'agnosticisme: bien qu'il sache que les Cinq existent, il ne les considère pour autant pas comme des Dieux à part entière. Peut-être des Entités incroyablement puissantes, mais le simple fait qu'ils ne dépassent pas l'entendement humain est pour lui la preuve de leur non-déité. Une autre partie de son état d'esprit se révèle être cependant plus frivole. Là où certains le traiterons de coureur de jupons, il répondra être simplement victime de la grâce naturelle du sexe opposé. Il jouit en effet d'une assurance peu commune lorsqu'il s'agit de séduire une belle demoiselle, tout en étant un indécrottable romantique. Mais si l'amour s'en mêle, il perd rapidement ses moyens et tient plus d'un enfant de dix ans lors de son premier baiser. Il a effectivement énormément de mal à s'engager durablement avec quelqu'un (autrement que par amitié), redoutant d'être trahi et mené en bateau. Encore faut-il ajouter à cela le fait qu'il attend " le grand, majestueux et parfait amour" (quand on vous disait que c'était un indécrottable romantique ). C'est donc l'image d'un aventurier jovial, charmeur, flegmatique et ayant une forte propension à lancer des plaisanteries salaces qui perdurera dans les esprits de ses rencontres (ou d'un amant passionné et efficace pour les plus chanceuses). Histoire :De gauche à droite: Altiom d'Ydril, la Comtesse et veuve du Comte d'Ydril et Silpheed d'Ydril. La jeunesse d'Altiom, comme celle de la plupart des enfants nobles, fut teinté de solitude et d'ennui. Entre les précepteurs (les prédceptrices n'entrant évidemment pas dans la catégorie "ennuyeuses"), les entraînement martiaux, l'apprentissage de mœurs idiotes (telles "comment bien se comporter devant un homologue de la noblesse) et d'autres moins ("comment bien se comporter avec un membre de la gente féminine"), il n'avait que peu de temps à lui. Il le passait d'ailleurs généralement à fuguer pour se mêler au peuple auquel il avait toujours eu le sentiment d'appartenir, au grand dam de ses parents, bons et justes mais distants vis à vis de la plèbe. Il était en effet le cadet de la famille dirigeante du comté d'Ydril, régnant sur ces terres depuis des générations, destiné à en prendre la tête si jamais son père et frère venaient à succomber. Il n'était pas du genre à fuir les responsabilités, mais le pouvoir ne l'avait jamais attiré, et c'est tout juste s'il comprenait l'attrait que celui-ci semblait avoir sur ses confrères. Or il était conscient de l'importance de son rôle et s'était résigné à l'endosser si, par un funeste sort, il y était tenu. Cette frustration constante le poussa à développer un abondant sens de l'humour dont il se servait pour éluder les questions indiscrètes, endurer les tracas du quotidien et... mener la vie dure à ses parents.Les années passèrent, le garçon facétieux était devenu un jeune homme séduisant. Son adolescence le vit découvrir ses premiers émois... et ses premiers ébats, les passions de l'âme et les tentations de la chair (auxquelles il succomba d'ailleurs très facilement). Qu'il s'agisse d'une belle jouvencelle de la cour ou d'une paysanne aux charmant minois. Et parallèlement à son amour des femmes se développa son amour de la langue et des lettres. Il commença à rédiger divers ouvrages, des essais philosophies (qu'il agrémentait d'un style sarcastique et léger tout en restant raffiné) aux simples contes fantastiques. Mais se contenter de vivre ce monde par procuration ne lui suffisait pas, il entreprit donc de partir à l'aventure, de le découvrir pleinement, lui et ses peuplades, ses merveilles, ses tourments et ses secrets. Ce fut lors de ses voyages qu'il accepta pleinement son aptitude inhérente au combat, il avait ça dans les veines, il sentait cette rage bouillonner en lui. Il était mû d'une âme pacifique, mais d'un sang guerrier. Il apprit énormément de choses durant ses pérégrinations, sur le monde qui l'entourait comme sur lui, ce fut un homme nouveau qui rentra en Ydril. | | A son retour, il retrouva un comté en deuil. Son père avait été tué par des bandits, de retour d'un voyage, son frère Silpheed avait repris le titre et vengé leur regretté paternel, éliminant en combat singulier son assassin. Ce fut un coup dur pour Altiom, il était parti depuis plus de deux ans et vécut la mort de son père comme un échec personnel. Il se reprochait de n'avoir pas été là, d'avoir fui ses obligations, d'avoir abandonné sa famille... Pour couronner le tout son frère, récemment nommé comte d'Ydril, changea. Il devint taciturne, se renferma sur lui-même, s'éloigna plus encore de son peuple. C'était tout juste s'ils se croisaient dans les couloirs du château. Comme si tout cela ne suffisait pas, une rumeur enfla, lentement, insidieusement... s'insinuant dans la ville telle une ombre menaçante. Les gens devenaient méfiants, parlaient bas, lançaient des regards inquiets de part et d'autre. Le comté n'était plus sûr, les témoignages de silhouettes noires apparaissant dès la tombée de la nuit se multipliaient. La peur gagna tout le territoire, resserrant son emprise sur la cité. Les gardes étaient renforcées, les patrouilles doublées, les gens se terraient chez eux, le commerce lui-même en pâtissait. Mais ce n'était là qu'un prélude.Vint le jour tragique de l'attaque des Drows. Nul n'y était préparé, nul ne comprit quelle menaçante force approchait, ce fut un raid mené d'une main de maître. Deux bataillons: tandis que l'un semait le chaos dans toute la ville, l'autre infiltrait le palais, aidé par un mercenaire humain nommé Logan. Altiom fut réveillé au saut du lit, entre les cris des servants et les bruits stridents des lames qui s'entrechoquent, il ne mit pas longtemps à comprendre ce qui se passait. Enfilant sa tenue de voyage, il se rua au devant du combat, prêt à tout pour réussir là où il avait failli par le passé.
| Il traversa divers corridors, croisant quelques soldats abasourdis au détour d'une coursive qu'il enrôla pour retrouver son frère. La petite équipée rencontra bien vite un groupe d'assaillants Drows aux prises avec un contingent de gardes dans la Grand-Salle du château, ravagée par les flammes, souillée du sang des deux camps se fondant en un mélange écœurant de haine et de mort. A la vue de ce spectacle de désolation le jeune noble sentit la rage monter en lui: il lança un tonitruant cri de guerre, repris par les troupes présentes qui, galvanisées par cet élan de colère, triomphèrent de leurs adversaires dans le fracas du métal et un concert de hurlements. Ils progressèrent rapidement jusqu'aux étages supérieurs, ne trouvant que des corps inertes et des victimes agonisantes sur le chemin. L'escouade déboula dans l'étude de Silpheed, elle était étonnamment calme et exempte de traces de bataille. Au centre de celle-ci se dressait une petite table ronde sur laquelle un livre était posé, ouvert, tout comme l'une des fenêtres donnant sur la cour... Ils ne devaient plus être très loin, et peut-être son frère avait-il évité les affrontement? | Altiom entendit des cris... une dispute, provenant du couloir d'en face! Il fonça vers la source, ouvrant les portes à deux battants dans un geste théâtral: personne. Il tourna la tête à droite, à gauche, bientôt rattrapé par ses troupes, épuisées par leurs armures lourdes. Des voix! Sur la droite! Il reprit sa course, bondissant par dessus les tables renversées et autres débris enflammés, passant au-dessus de hautes langues de feu. Il ne sentait plus ses jambes, il ne sentait plus l'air dans ses poumons, il ne respirait même plus. Au bord de l'évanouissement il ferma les yeux, se calma et puisa dans sa volonté. Il ressentit la fatigue s'évaporer, la douleur de ses muscles disparaître. Il accéléra derechef, presque mécaniquement. Le jeune guerrier dévala les escalier jusqu'à la porte principale. Il n'y avait plus de combats ici, seulement des cadavres. Le jeune homme continua sa course, franchissant la cour de part en part, ignorant les dernier Drows qui bataillaient avec ce qui restait de la garnison.Il s'arrêta en plein milieu d'une rue sombre, seul, éreinté. Il s'écroula au sol, respirant bruyamment, la douleur se manifesta à nouveau, sourde et intense. Il se traîna sur le sol, dans un râle de souffrance. Des larmes perlèrent sur ses joues... son frère était parti. Sauver ce qui pouvait encore l'être! Sa mère, il devait s'assurer de son sort! Se relevant douloureusement, une main sur le ventre, il retourna au pas de course vers le château. la cour était encore le théâtre de sanglantes échauffourées, mais l'intérieur du castel était quant à lui calme... si calme que c'en devenait angoissant. Seul le murmure des flammes et la plainte des mourants emplissaient la bâtisse d'effrayant et ténébreux échos. La Mort elle-même semblait s'être emparée de ce lieu.Il monta quatre à quatre les escaliers de la tour de sa mère, maculé de sang, de larmes, de boue. Arrivé sur le seuil de la porte, il vit que celle-ci était entrouverte et ne s'arrêta pas, emporté par son élan il l'enfonça, la dégondant en partie, et s'étala de tout son long sur le long froid et dur. Mais sa joue, elle, baignait dans un liquide légèrement plus chaud... presque tiède... un liquide sombre et visqueux. Il savait ce qu'il allait voir. Il releva lentement la tête, l'appréhension allait croissante. Une main, pendant misérablement... un bras tordu... un corps ensanglanté... un visage familier... sa mère. Il la regarda, incapable de prononcer le moindre mot. Sa gorge était serrée, il avait du mal à respirer, sa vision se brouillait tant l'émotion était violente. Il prit sa main glacée et la plaqua contre son front, aussi fort qu'il le put, pleurant en silence.- Fils..., murmura une voix, un souffle.- M-mère?- Fils... tu as survécu... Il voulait lui répondre mais ne put que hocher la tête. Ce ne sont pas les Drows qui...- Mère?- Je ne vais plus... tarder... mon fils, il a tenté... d'usurper notre...- Qui? Qui ça?- Je... ne tiendrai plus longtemps... prends mon amulette fils... porte-la fièrement, souviens-toi que nous... que nous serons toujours à tes côtés... souviens t'en et punis ce traître...- MERE!- Nous t'aimons fils..., et elle expira. Altiom saisit l'amulette dans sa main et la fixa intensément, son visage crispé à l'extrême reflétait la colère noire qui rongeait son âme. Il étreignit le corps sans vie, chuchotant un inaudible "moi aussi" à son oreille, et il se releva. Un homme se tenait devant la porte défoncée, le visage à demi recouvert d'un foulard sombre, à l'instar du reste de son accoutrement. Ce n'était pas un Drow. Il sortit une dague de son fourreau. Sa lame était encore tachée de sang: je t'attendais, lança-t-il. C'était donc lui, l'assassin de sa mère. Altiom enroula la chaînette d'argent supportant le morceau d'ambre autour de son poing et l'embrassa avant de tourné son regard vers meurtrier. Ce dernier approcha et fendit l'air de son arme, le noble déchu esquiva. NON, NON!! NOOON!! JE SURVIVRAI!!! JE VOUS FERAI PAYER!!! JE VOUS OCCIRAI TOUS!!! hurla-t-il, absolument hors de lui, en se ruant sur son adversaire qu'il heurta de plein fouet. Entraînés par sa course, ils passèrent à travers une fenêtre de la tour et basculèrent en contrebas, sur un pan de toiture. Ils roulèrent ainsi jusqu'à un autre toit en dessous et tombèrent finalement au sol. Ils se relevèrent, à moitié sonnés. Le jeune noble tenait toujours son amulette enroulée, serrée avec une telle force qu'elle lui avait entaillé la peau. Il frappa. Une fois. deux fois. Trois, quatre, il ne cessa de frapper, défigurant son opposant, ensanglantant le pendentif de sa mère, le souillant de sa rage...Il frappa jusqu'à l'épuisement. Il était à genou, au dessus du corps inerte de sa victime, les épaule affaissées, la tête basse. Il le fouilla et trouva sur lui un morceau de parchemin. Un contrat. Quoi de plus banal sur un assassin? Évidemment, le commanditaire n'avait pas signé de son nom. Il lut la missive:"Suite à l'assassinat couronné de succès du Comte d'Ydril, son fils a hérité du titre et retrouvé les mercenaires que nous avions engagé. Il les a tué, effaçant toute trace de notre nom dans ce complot. Nous avons appris que les Drows allaient tenter de capturer Sir Silpheed, cela nous donne une occasion inespérée de frapper à nouveau: éliminez la Comtesse d'Ydril et Sir Altiom, laissez les Drows s'emparer de son frère et personne ne nous soupçonnera jamais. Nous pourrons alors vous rémunérer à la hauteur de vos exploits, car vous réussirez."Quelques temps après, Sir Kalgar de Sybrondil fut nommé à la tête du comté, son propre cousin. Ainsi le père de Kalgar avait trahi, il était allé jusqu'à assassiner son propre frère et le reste de sa famille pour que la sienne prenne la tête du territoire. Altiom n'avait plus que la vengeance, il s'était fait passer pour mort pour pouvoir assister à l'accession au commandement de ses ennemis. Ceux-ci se croyant débarrassé de tout opposant s'étaient révélés au grand jour, il savait désormais qui faire payer.... et ils payeraient, cela ne faisait aucun doute.- Spoiler:
[HRP: J'ai cherché à faire coordonner au maximum mon histoire avec les RPs précédents du comté d'Ydril (qu'on m'a indiqué comme étant libre) et je n'ai pour cela quasiment pas eu à la changer. Cependant j'ai dû rajouter certains aspects par rapport aux RPs déjà écrits (exemple: le fait que l'accession au titre de comte de Kalgar ait été orchestré par les ennemis de la famille d'Altiom). J'ai fait en sorte de ne rien enlever ni changer, uniquement rajouter si nécessaire. Bien-sûr cela s'est fait sans l'accord des joueurs concernés, mais il faut dire qu'ils sont absent depuis plusieurs mois (voire plus d'un an pour certains).]
~~~~~ Comment trouves-tu le forum ? : actif, sympa, complet, détaillé, précis, amusant, génial, olympien, fastueux, mirobolant, fongique, télépathique, quindécennal, anticonstitutionnel, désoxyribonucléique, bleu (voilà, ça suffit comme ça? >.<) Comment as-tu connu le forum ? : en cherchant. Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : alors le problème c'est que j'ai un fichier de plus de 800 images de fantasy/stuff médiéval. Donc pour me rappeler de qui est telle ou telle image, je vous explique même pas le topo (disons que la majorité vient de Deviantart déjà et le reste... d'un peu partout ailleurs).
Dernière édition par Altiom d'Ydril le Lun 18 Juil 2011 - 12:53, édité 8 fois |
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