Goar Ier de Sgarde [WIP]

Nom/Prénom : Goar de Falkenberg, susnommé Vil-Trogne.
Âge : 44 ans ou quelque chose comme ça.
Sexe : Bien sûr que oui et un gros.
Race : Humain
Particularité : Particulièrement cruel, il conçoit une haine violente envers les elfes. Il aurait dit un jour (sous l'emprise de l'alcool) « Je les tuerais tous ! Et ensuite... je les tuerais encore ! ».
Vil-Trogne reste sceptique quand à l'existence du baudrier d'argent, pour lui tout cela n'est qu'une histoire de voleurs de poules.

Alignement : Neutre
Métier : Comtiault d'Amblère
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :
Une forte et bonne pièce d'armure forgée dans l'acier Oesgardien comme tout « vrai bonhomme ». Vil-Trogne possède une fougueuse épée bâtarde (fabriqué à Amblère, et pas par ces gens qu'on n'apprécie guère de Dormmelinois). L'épée qui voyagea dans la Péninsule connu bien des noms : Coupe-Oreille, Grosse-Berthe, Bouffe-Mojile (nombreux sont ceux à dire que ce surnom serait celui d'un braquemart tout autre) mais le surnom chéri serait celui de Bibane-de-Chnik. (Cela viendrait d'un mot qu'un Thaari lui aurait crié plusieurs fois avant de tomber, mort.)

Mais que serait Goar sans ses deux fidèles lévriers. Le seigneur dormirait avec (des vilaines langues oseraient même raconter quelques autres histoires) et ne pourrait passer un repas sans avoir à ses pieds les deux animaux. Cela lui donnerait la chiure. Si l'un est femme et l'autre mâle, les deux bestiaux s'adonnent volontiers à des pratiques de grosses lopes.

Description physique :
Fier parangon de la laideur, cet esthète de l'hideux est aussi laid qu'un cochon. Son groin jaillit de son visage un peu comme le ferait un bâton dans le délicat postérieur d'un elfe. Sa vilaine trogne de méchant cochon ferait peur aux petits enfants. On le nommerait le monstre dans les chaumières et encore, cela serait juste pour forcer les petiots à arrêter de pleurer à chaudes larmes. On évite de répéter ce qu'on dit quand ils commencent à forcer sur la patience.

Ce n'est certes pas ses manières qui relèveraient un peu le niveau. Les bains et tout ce genre de chose, palsambleu, qu'il les évite. La vilaine couche de gras et de saleté étant aussi bien accrochée à sa peau qu'il ne l'est à son château. De tout son règne, on ne le vit pas une seule fois s'approcher de l'eau (hormis lorsqu'il tomba dans le fleuve, une semaine d'eau croupie). S'il n'est pas encore chauve, ça ne devrait tarder. A la place de cheveux, c'est d'étranges filaments de poils qui pendent le long de sa face. Gluant et poisseux, un seul de ses cheveux suffirait à empoissonner un puits. On ne parle pas de ses pieds, recouvert de poils bruns, ils empestent la mort. Et que dire de cette vilaine barbe, on y aperçoit des morceaux de gigots avec quelques traces de sang (elfique bien évidemment) et peut être bien quelques morceaux de cervelle.

Description mentale :
Le bougre est bien cruel, enfin c'est un gars du nord et d'Amblère, pas un de ces petits invertis du vélin. Pour lui tuer, torturer et tout ces trucs rigolos c'est une sacré marade. Voir du sang, ça le mettrait en gentille humeur qu'on dit. Quelques uns de ses hommes diraient que tout bon viols avec Vil-Trogne se feraient dans des marrées de sang, au milieu de cadavres. Les femmes et les enfants d'abord, qu'ils disent.

Mais qu'on ne se méprenne point, s'il aime le sang par Damedieu, il aime encore plus l'or et la bonne pitance. A vrai dire, il préfère s'humecter le gosier d'une bon picrate de son pays, ce genre de liqueur qui rendrait aveugle. Mais ce qu'il affectionne encore plus, c'est de se promener parmi sa gueuserie et d'en battre un ou deux. Ce gredin champêtre ne se montre pas non plus avare sur la chose. Et ce n'est pas un jeune perroquet dans son costume de soie qui viendrait lui faire concurrence. Certes il est laid, mais il en a tringler de la ribaude. On dit qu'il n'y a pas une taulière qui ne lui aurait ouvert sa porte.

Histoire :
On le dit laid, parce que croisé avec un cochon (ce qui n'est pas difficile à imaginer à sa vilaine face). Son père, d'une beauté semblable, l'a vu naître dans la paille boueuse tout près des gorets, ce qui donna lieu à la légende. Dans sa jeunesse, il fut d'une bien belle carrure, à chasser (gibier animal ou humain) et courir la gueuse (et Damedieu sait qu'elle court vite à Amblère). On a beau dire de lui que c'est un pantouflard (mensonge que tout ça), il en fit des bonnes œuvres dans sa jeunesse. Chasser le braconnier, aller tâter les flancs des elfes et les beuveries ont bâtis l'homme. Certes avec l'âge il perdit un peu de sa force pour prendre du gras, mais il n'en reste pas moins un puissant ours, tout poilu et de mauvaise humeur. Lorsque son père perdit la vie (lors d'un banquet en mangeant son dernier gigot), beaucoup crièrent au poison. C'est mal connaître Goar, allons donc, empoissonner, manière de femme. Vil-Trogne lui frappe d'un grand coup d'épée sur la nuque. C'est ce qu'il fit avec son frère qui prenait un peu trop de place.

L'homme ne fut pas un couard, pendant la descente à Diantra, il était là ! Dans son armure et l'épée entachée de sang. Valeureux guerrier, il profita du sac de la capitale pour aller vider les orfèvreries avec ses hommes et décamper rapidement. Par malchance, la guerre prit un drôle de sens, et on obligea Goar à fuir sa terre. A la place on y mit un jeune freluquet mal dégarnis. C'est ainsi que commença ce que beaucoup nommèrent « l'épopée de l'hideux, où comment il gagna son surnom de Vil-Trogne ».

Avec Bibane-de-Chnik à ses côtés, et quelques dizaines de reîtres l'ayant suivit, tous assoiffés de rapines, il mit à feu et à sang bien des fermes. Par malchance, la noblesse n'apprécia pas ses petit jeu fut aussi appréciable qu'un bourre-pif dans une taverne. Alors qu'on jouait avec de la mignonne on lui tomba dessus derechef et de ses hommes il n'en resta pas un. Ce n'était pourtant pas ainsi que devait se termine l'histoire de Goar le seigneur-bandit. Le rigolo parvint à s'échapper. Il descendit un peu plus bas vers le sud, là ou les hommes s'habillent comme les femmes, et les femmes ne s'habillent plus. On l'engagea comme corsaire. L'homme n'ayant pas l'habitude de la mer, y passa son temps à dégoupiller ce qu'il mangeait. Le temps ayant fait son ouvrage, il attrapa le pied marin. Il passa quelques temps, allant de ci, ce là à piller des marchands et fuir la marine royale.

Encore une fois, on s'attaqua à le réduire à pas grand chose. Un navire de Thaar leur tombèrent dessus. Du bateau et de l'équipage il ne resta plus grand chose. On vendit le bougre comme esclave à un seigneur de ces régions ci. Le bougre le croyait commode, il lui jeta au visage un Bibane-de Chnik et se prit un coup d'épée en plein face. Devant à nouveau fuir, il se prit à décider de revenir par chez lui. On lui trouva quelques autres contes, une histoire de massacre d'elfe, quelques coucheries avec des jeunes pucelles d'un riche pacha, et certains gars disent même qu'il aurait tringler une drow. Revenu par chez lui, il ne tarda pas à lever quelques bougres et profitant d'une chasse tomba sur le jeune freluquet. On l'attacha, et Goar lui arracha les yeux de ses dents, puis lui coupa les mains, finalement il le manga tout entier. Tout du moins c'est ce qu'on raconte dans à la taverne.

Les temps devenant trouble, on commençait à douter du baron, certains le disait impuissant, (et tous savent qu'un impuissant ne peut diriger), d'autres le disaient être un espion à la solde des gras marchands du sud. Il n'en fallu pas plus pour que Goar reprenne son titre à grand coup de massue pour ceux qui n'en était pas d'accord. La bande de reître qu'il avait levé devenant rapidement la garde d'Amblère. On prospéra ainsi, restant flou quand à la situation. De tout ces seigneurs qui se revendiquaient le vrai baron, Goar ne dit qu'une chose « Je ne suivrais que celui qui saura porter le vrai baudrier d'argent ! ».

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : J'aime bien le gros avec sa hache.
Comment as-tu connu le forum ? : Dans une taverne je crois, un type bizarre m'en a parlé.. euh et sinon par google.
Crédit avatar et signature : Un type avec nom de chinois, Jiango-Chen ou quelque chose comme ça. Je n'ai rien contre les chinois hein.