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| L'ascension de Goar Ier de Sgardie | |
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Goar Ier
Humain
Nombre de messages : 238 Âge : 32 Date d'inscription : 15/08/2012
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| Sujet: L'ascension de Goar Ier de Sgardie Dim 17 Mar 2013 - 16:23 | |
| L'ascension de Goar Ier de Falkenberg, dit Goar le Lion, Roy de SgardiePremier jour de la septième ennéade, en Oësgard-La-Citadelle. Sous l'alouette ventripotente de sgardie, les bons hommes d'Oësgard fêtaient en liasse la levé du siège et le départ des Dormmelinois nouvellement alliés. Nombre de chevalier, écuyers, pages, bourgeois et autres manants se livrèrent à un véritable pogrom orgiaque. L'arrivé des marchands après quelques jours d'absence apporta bon vin et fort agréable pitance. (Et quelques piécettes des droits de tonlieu, que Goar se hâta de glisser dans son trésor). La ville connut en ce jour, un moment de félicité qui en dix ans de guerre semblait célébrer pour tous, une paix retrouvée. Une chose que la nouvelle génération n'avait alors jamais connu. Les chevaliers turbulents profitaient de l'occasion de festoyer, leurs ardeurs sachant qu'ils trouveraient toujours occupation pour leurs lames en ce pays qui avait fait de la guerre son parangon. Les plus dociles appréciaient avec joie la vision d'un retour à une vie tranquille. Pourtant, si loin était l'ombre de la guerre, elle n'en était pas moins achevé, le baron déchu demeurait libre et en arme, bien qu'on le dise fort malade d'une vilaine blessure, la même qui jadis terrassa Louis Pertagenet, illustre héros sgardien et saint local.
Goar de Falkenberg, avait par mesure de son inexistante sympathie pour les manants fait vendre sur les réserves, une petite quantité de vin et de pain à bas prix. Son désir de complaire à son nouveau peuple ayant violé sa pingrerie. Ce fut donc un peuple heureux et fort bien enivré (bien que seulement de piquette local), qui s'apprêtait à célébrer l'ascension de Goar au titre de Baron de la Vasme. Par malheur, il n'avait pu faire assembler ses chevaliers les plus prestigieux, occupés qu'ils étaient à la guerre. Pourtant ses pensées ne les laissèrent pas seuls. Les prêtes passèrent dans la ville, portant les reliques de plusieurs saints, tandis que la populace venait prier et toucher les coffres des objets sacrés. Le petit doigt de Saint Philippus reçu par ailleurs une bien étrange sympathie de la populace. Ce qui enchanta l'ordre des Philippins.
Alors que le peuple se livrait à divers jeux, paris et bastonnades de tout genre, Goar dans son castel, recevait ses charges de Baron de l'Amblois, ou comme certains le disait, de la Vasme, Vâmme. Baronnie qu'il avait lui même institué par le droit des armes, ainsi que le droit de ban allant sur ces terres. Bien que certains clercs s'appuyant sur diverses sources, clamèrent que la baronnie fut jadis existante, et dont l'héritier serait la lignée de Falkenberg. Cette même maison changea alors, le nouveau baron prit le nom de Goar Ier de l'Amblois, Baron de l'Amblois, dit Goar le Lion ou encore le Hutin. L'antique sanglier familiale fut baissé et on vit jaillir sur les bannières de la ville, le nouveau blason de sable au lion fier d'argent armé et lampassé de gueules. Au lion de Sgardie, la chevalerie présenta tour à tour son hommage. Et dans la joie du peuple, il jaillit dans les rues accompagné de ses fidèles chevaliers, distribuant quelques pièces dans les rues, et sous les acclamations des petites gens, fit le tour de la cité.
Dernière édition par Goar Ier le Lion le Dim 7 Avr 2013 - 21:57, édité 2 fois |
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Nombre de messages : 1686 Âge : 824 Date d'inscription : 14/01/2008
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| Sujet: Re: L'ascension de Goar Ier de Sgardie Jeu 21 Mar 2013 - 11:55 | |
| En réalité, Oësgard-la-Capitale ne sut que penser de ce couronnement. Depuis toujours bastion véritable de la vraie Oësgardie, la cité n'avait étrangement jamais tourné le dos aux barons d'Oësgard. On se souvenait d'un Baudoin capable de tenir tête à un Duc, jusqu'à bannir de ses terres une compagnie que ce dernier soutenait publiquement. On se souvenait qu'il avait porté les armes jusqu'aux portes du Roi et qu'il avait fait tombé la plus grande ville de Miradelphia et qu'il y mourût, baste, on l'avait oublié. On se souvenait de son premier lieutenant qui, faisant fi du nombre, avait tenté de sauver la ville de la vindicte serramiroise. On se souvenait aussi que des barons suivants, rien n'était venu, sinon la Meute, la paperasse et la barbarie. Aussi, Oësgard-la-Capitale avait-elle vu d'un bon œil, sans pourtant y participer, sa prise par Goar. L'homme se disait soutien d'Odacre et Odacre n'était rien d'autre que le fils de Baudoin. Mais quand le Sanglier se changea en Lion, quand le fidèle se proclama Baron, on commença à s'interroger. Qu'était le Baron de la Vâsme, au juste ? Pour les petites gens, les rouages de la noblesse demeurait vague et l'on se demandait déjà si Goar ne mentait pas, à son tour, au peuple d'Oësgard. Pas qu'on s'en souciât réellement. Après plusieurs années de guerres intestines, on commençait à douter qu'il y eut un noble qui ne mentait pas.
_________________ Ombre fugace Maître de ton destin -Crédits de l'avatar: ETERNAL RETURN - Art of pierre / Alain D. Site de l'artiste: http://www.3mmi.org/v9/ |
| | | Goar Ier
Humain
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| Sujet: Re: L'ascension de Goar Ier de Sgardie Ven 29 Mar 2013 - 14:39 | |
| Deuxième jour de la Septième ennéade de Verimios Le nouveau de baron de l'Amblois, la cervelle encore branlante des orgies de la veille, traînait sa carcasse dans les passages de la citadelle. Foutre-Dieu que l'alcool, jura t-il, la gueule grisée. A peine c'était-il proclamé baron que déjà on venait le prier de rendre justice. Ces diableries lui pesait bien plus que la migraine. Oh, voilà qu'on venait l'embêter une fois de plus. Une bande de gras bonhommes, l'un la mine échauffé par le pinard était bien connu de la cour de justice. Hubert Le Bâtisseur, et avec lui d'autres maîtres-bâtisseurs de la corporation du bâtiment. A son côté, un autre bonhomme bien en chair, Jacques le Grand, tenait bien son nom, le bougre laissait à la coterie. Ces deux bougres se tenaient en affaires sur les accusations que l'un aurait saboter son travail, volé son pain, détruit ses légumes et lui aurait jeté le mauvais sort par les services d'une sorcière. L'autre répondait à ces accusations, par d'autres du même ton. Le seigneur de l'Amblois, resta ainsi assis, à regarder les deux vilains, il se tourna vers son clerc, Pierre Auvray. Ce dernier jouant de la rhétorique, lui souffla ses actions. "Mes dioulx sujets, il m'este avisés qu'à partir de céans, sera dit corporations des maçons, ci corporations des charpentiers !". Et ce jour, la scission fut faites entre les deux branches. Le nouveau Baron sut rendre bonne justice, et on lui rendu bonne finance pour cela. L'on traîna d'autres affaires durant toute la matinée.
Le repas achevé, Sebastian arriva peu après d'Essenburg avec ses hommes, puis peu après, les miliciens qu'on avait envoyé d'Amblère firent leur apparition. Goar apprenant ainsi, la victoire sur Amblère, en resta perplexe. Cela ne voulait pas dire pour autant que la paix serait enfin sienne. Il fit s'assembler ses clercs et capitaines. Peu après on décréta de quelques sujets. La milice Oesgardienne fut reformée. On fit refaire les chartes, prenant les anciens vétérans prête à signer pour Goar, puis ce ne furent pas les bourgeois qui manquèrent à désirer les privilèges de taxations. Arnoul le Meingre reçut le soin de les prendre en main. On activa la ville, pour la consolider et la fortifier. Le siège de Fenricks n'avait laissé que peu de marque, cependant on en enleva toute trace. Les réserves furent elles aussi la proie à d'intense achat. Oesgard-La-Cité, rayonnait, fière et imprenable. Goar passa le reste de sa journée à aller et venir entre la citadelle et la ville. Troisième jour de la Septième ennéade de Verimios En ce jour, les cloches de la ville tintèrent, encore et encore. La victoire sur Norman dit le benêt était annoncé. Grandes furent les festivités. Charles d'Audenehem avait apporté la nouvelle. Avec lui, plusieurs chevaliers, anciens compagnons du vaincu, venaient rendre hommage à Goar Ier de Falkenberg, Seigneur d'Oesgard-La-Cité. Ce dernier sut faire preuve de bonté et accorda à tous le respect de leurs rangs, la vie sauve et les prit à son service. Il fit de Charles d'Audenehem, l'un de ses frères, le bailli de l'Amblèrrand, et devant sa nouvelle cour,il prêta serment d'allégeance. Puis, ce fut au tour d'Arnoul Le Meingre, cousin de Goar, qu'il promut au titre de prévôt d'Oesgard. Ebles de Raisse, qu'il fit prévôt de Nebeilhem. Bien que la nouvelle que le fort avait été pillé par ceux même qui le garnissait fut reçu en grande peine, ce dernier se hâta de remettre en état la forteresse. Le patriarche de la maison de Falkenberg donna encore d'autres fiefs, moins importants, nottament dans l'uberwald, ou la majorité des seigneurs avait trouvé la mort à Nuhaldon ou dans l'incendie d'Amblère. Ainsi il honora sa promesse de donner chasements aux plus brave des hommes qui l'avait rejoint.
Ebles de Raisse avec une vingtaine de chevaliers partit pour Nebelheim peu après. Il y rassura la population qui avait connu en un mois deux incendies. Il accorda à la populaton les mêmes droits que l'avait fait Charles à Amblère. Il leva une nouvelle milice sur des chartes très ouvertes et lança la population dans la reconstruction du village. Ainsi qu'il en fut dans l'Uberwald et les autres seigneuries ayant été affectés par la guerre. Le nouveau Baillis de l'Amblèrand repartit lui aussi dans son fief. A son arrivé, ses gens et son fils avait eut le temps d'épurer les campements. Abandonné à la hâte, le campement recelait encore de nombre de trésor, armes,... Une part fut envoyé à Oesgard et une autre alla rejoindre le trésor d'Amblère. Les armes furent elles aussi distribués selon les besoins, répondant notamment aux besoins des nouvelles milices.
A Oesgard. Goar amena le marteau de fer et les morceaux d'armures de Norman à une forge. Ici, il fit fondre le précieux métal afin que sa victoire soit total. Du métal il ordonna qu'on lui forge une lourde épée, et qu'avec cette épée fait par ses ennemis, il terrasserait tout ses adversaires ! Mais aussi une couronne. Faites en fer, elle se compose d'un cercle de fer sur lequel fut ajouté six plaques d'or émaillées, cloutées et serties de cabochons. Les émaux, quand à eux, représente des motifs animales dans des teintes de rouge et de bleu. Les plaques sont articulés entre elles par des charnières décorés de cabochon, et elles mêmes sont embellis par quatre clous dont la tête revêt un aspect floral et une autre pierre en cabochon. Au centre d'une des plaques fut insérés un joyaux plus brillant que les autres, spécieux trésors de la cité, gardé depuis des lustres dans la cité. Ce joyaux serait supposé être issu d'anciens échanges avec les nains, et serait une création de Mogar lui même. Nombre de miracle avait suivit son arrivé dans le pays selon les chroniques et il serait signe de félicité et abondance. Sa dorure parfaite fut parfaitement ajouté à la couronne du Roy de Sgardie. Quatrième jour de la Septième ennéade de Verimios Ce jour là, grande fut l'attention du petit peuple. Goar de Falkenberg avait annoncé le matin même qu'il irait gravir le Mont Calinigon dans l'arrière-pays sgardien. Cette montagne projetait son ombre sur la campagne environnante tant elle état grande. Et toute homme sortant ou approchant de la capitale, pouvait la voir une journée avant d'arriver en la capitale tel que le disait les marchands. Goar partit avec plusieurs gens de sa compagnie, nombres de valets et autres serviteurs à l'accomplissement de ce rituel archaïque au symbolisme transparent. L'épopée dura le jour entier. La petite coterie atteint sans grand difficulté le sommet, l'été ayant rendu plus praticable ces dernières. On sonna plusieurs fois du cor qui résonna le long de la vallée, avant que tous retournent en Oesgard-La-Cité. La soirée fut passé à fêter l'exploit !
Cinquième jour de la Septième ennéade de Verimios
La journée n'avait en soit, rien d’exceptionnel. La guilde des merciers venait encore une fois grommeler que les taxes étaient bien trop élevés. Le baron, fort marris de voir tel comportement contourna les plaintes par quelques paroles habiles et offrit à ces ladres de quoi être satisfait pendant un temps. On l'avait bien menacé d'un XXVII bataille des trois moulins, diantre, voilà qu'on le prenait pour un Porporie ! Le baron claquant du poing chassa les marchands du castel. La matinée s'acheva ainsi par quelques palabres avec la bourgasse.
Mais la fin des journées fut des plus intéressantes. Le baron s'en était partit à l'exploration des cachots et autres catacombes du donjon. Ce fut l'un de ces hommes qui le découvrit, un cercueil gravé au nom du roi Trystan ! La chose fut certes des plus étranges qui soit. On fit monter autant qu'on le put, le bois tombant par morceaux. Il était là depuis quelques temps déjà. Ce ne fut qu'en l'ouvrant qu'on y trouva de bien étranges objets. Plus d'une vingtaine de baguette se tenait là, semblant attendre quelques usages. On dut faire appel à un vieux prêtes, devenu aveugle par le temps, il n'en état pas pour autant sénile. Du moins on le cru d'abord, mais preuve fut faites qu'il ne l'était point ! Le bougre apprit que l'ancien Baron avait passé commande de bâton de feu, d'étranges artefacts que jadis une sorcière leur avait fournit. N'osant user de pareil sorcellerie, Baudoin Ier, l'avait fait enfermé dans les catacombes, oubliant ce terrible secret. Lorsqu'on tenta de s'en servir, on mit le feu à la tapisserie, et grande peine fut celle des serviteurs de l'éteindre. Goar en fut lui même des plus surpris, il en trembla, y voyant quelque forme de sorcellerie. Ce ne fut que le vieux prête qui sauva les objets de la destruction. S'approchant, il murmura que l'objet devait être création d'Othar, seul lui avait le pouvoir de créer tel armes. Il n'en fallut pas plus, pour que Goar confia les bâtons de feu à quelques fidèles pour qu'ils apprennent à s'en servir. La journée était des plus charmantes, seul l'usage uniquement journalier des baguettes de feu vint laisser planer quelques ombres sur cette découverte.
- Spoiler:
Sixième jour de la Septième ennéade de Verimios
L'antique Sorgne avait depuis longtemps sombré dans l'oublie, ses membres ayant fuit après la chute de Baudoin, on n'y avait plus que quelques histoires et autres histoires que se murmuraient les manouvriers aux coins d'une auberge. Cela ne devait guère duré plus. La main mise sur plus de la moitié de la Sgardie, Goar Ier, dans son désir de renouer avec le passé, se lança à refaire cette charmante pègre. L'aide des Systolis lui fut des plus utiles, ces derniers avaient dans leur passé fricoté avec la Bastola ydrilienne. Oh, l'on su qu'ils restaient quelques branches affiliés à des corporations, et cela hâta la chose. Bien que Goar prit grand soin à place des fidèles. Le bon peuple, se souvenant des invasions Serraminoise, furent des plus joyeux à pouvoir à nouveau former une coalition. On l'a nomma parfois la corporation des reîtres, mais la chose resta docilement encadré par la Haute Peygre, qui sut trouver les mots -et non moins l'or-, pour s'attirer à eux, cette masse populeuse de petites gens. L'un des bougres, ayant débuté dans le braconnage et ayant fait des vols et autres larcins son occupation, ne fut certes pas pendu lorsqu'on l'arrêta, Waldin, dit Torgne-Mijole, reçu de Goar lui même, le respect pour la bonne réputation qu'on lui faisait au sein de la populace. Ancien sorgnard, résistant des invasions serraminoises et non moins fils du pays. Le ladre ne tarda pas à regrouper autour de lui maints représentants de corporations pour former l'embryon de cette nouvelle Sorgne.
Septième jour de la Septième ennéade de Verimios
En ce même moment, plusieurs émissaires de Goar était parvenu au sud de la baronnie, escortaient de quelques centaines de chevaliers. A leur tête Sebastian de Systoli mais aussi Henri de Falkenberg, fils bâtard de Goar, qui n'en tenait pas moins pour autant un noble rang. Ce dernier qui bataillait encore contre les drows lors du siège d'Amblère, était rentré aussi vite qu'il avait pu en apprenant la nouvelle. Et le jeune coq, prenait l'ampleur de la victoire de son père au côté de son ami suderon. Les troupes alonniennes avaient prit le large lors qu'ils surent que le feu et les flots avaient eut raison du Terrible. Seuls restaient en place, quelques hommes et encore Nuhaldon avait été esseulé inexplicablement. Les troupes d'Erbay et d'Adelagny ne firent pas mauvaise mine et déposèrent les armes. La guerre ici avait fauché les familles régnantes, où on aurait bien pu trouver quelques cousinages dans les familles voisines, mais ce fut autrement qu'on en fit.
Le bâtard de Falkenberg trouva en Adèle d'Erbay, une compagne de forte bonne augure. Ce fut d'ailleurs ainsi qu'il justifia élégamment son nouveau titre de Seigneur d'Erbay. Lorsqu'il devait rendre hommage à son père quelques jours plus tard. A Adelagny, on plaça Drogon le rivois comme prévôt au nom de Goar. On avait bien dit-on trouvé une sorcière, prostitué et faites de bien autre mauvaise choses que Norman avait épargné. On la brûla, ne voulant pas avoir plus à faire avec pareil engeance. Pour Nulhaldon, ce fut Sebastian de Systoli, grand meneur d'homme à la bravoure maintes foi prouvé, héritier d'une prestigieuse maison. Si son état d'homme du sud avait pu déplaire à certains, certes ce ne serait pas ses haut faits d'armes, sa bienveillance envers le petit peuple, sa compassion pour la bourgeoisie qui n'allait l'enterrer. Il était devenu tout aussi sgardien que Goar. Il fut nommé Bailli de l'Adelois, comprenant le sud de la sgardie. |
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